LA SANTE

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BRIAND
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INFORMATION " LE PARISIEN "
Médicaments : 80% des génériques sont importés........
http://www.leparisien.fr/societe/trop-d ... eneriques-
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Une nouvelle loi anti-tabac en 2013

Mise en ligne : 14 décembre 2012
Une nouvelle loi de santé publique comportant un volet sur le tabac sera présentée en 2013 a annoncé la Ministre de la santé, Marisol Touraine, ce vendredi à nos confrères de BFM-TV et de RMC.
Cette annonce fait suite à la présentation jeudi d’un rapport par la Cour des comptes faisant état des défaillances de la France sur les politiques engagées dans la lutte contre le tabagisme. La Cour des comptes estime, en effet, que « la politique antitabac en France n’est pas à la hauteur des dégâts sanitaires et financiers causés par le tabagisme, qui progresse à nouveau, en particulier chez les femmes, les jeunes et les personnes les plus pauvres ».
« Les risques liés au tabagisme qui constitue de très loin, avec 73 000 décès par an –soit 200 morts par jour-, la première cause de mortalité évitable en France, sont encore gravement sous-estimés par la population », a souligné Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes, en présentant le rapport d’évaluation des politiques de lutte contre le tabac sur deux décennies, et plus particulièrement sur la dernière (2001-2011).
10% de fumeurs en moins en 10 ans au Royaume-Uni
« Un Français sur trois fume alors que ce n’est le cas que d’un Anglais sur cinq », fait remarquer Didier Migaud qui met en avant le modèle britannique : avec une « politique alliant pédagogie, aide concrète et personnalisée, contrôle très strict et systématique de l’application de la réglementation », le Royaume-Uni est parvenu "à réduire de près de 10 points la consommation de tabac en dix ans, et est passé de 30% à 20% de fumeurs dans l’ensemble de la population".
Le rapport pointe du doigt les moyens de prévention, d’aide directe à l’arrêt du tabac, les contrôles et sanctions du non respect de l‘interdiction de vente aux mineurs, lesquels ne « sont pas à la hauteur des enjeux de santé publique ». « Un buraliste ne risque d’être contrôlé par les Douanes qu’une fois par siècle », a lancé le président, relançant la polémique sur le rôle de ces derniers et rappelant que l’aide de 300 millions par an qui leur est versée pour compenser la baisse des ventes de cigarettes est « trois fois supérieure aux sommes consacrées à la prévention ».
En outre, la Cour des comptes préconise de fortes hausses de prix du tabac. Marisol Touraine a confirmé qu’une hausse des prix des paquets de cigarettes, adoptée par l’assemblée nationale était prévue pour le 1er juillet 2013, s’ajoutant à celle intervenue en octobre dernier. Concernant la mise en place en France des paquets de cigarettes dits « neutres », dépourvus de marque publicitaire, comme en Australie, la ministre a simplement estimé que cette proposition « méritait attention ».
Sylvie Boistard

C'EST UNE INFORMATION " VIVA "
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UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION

Pamplemousse et médicaments, attention !
28/12/2012 | D.Martin


Le pamplemousse… Un fruit d’hiver gorgé de vitamines que l’on aime savourer au petit déjeuner ou au dessert.
Seulement voilà, il contient deux substances naturelles, la bergamottine et la 6,7 dihydroxybergamottine, qui font mauvais ménage avec certains médicaments. Et comme on en a beaucoup parlé, l’Ansm* tient à faire une mise au point. Rappel l’absorption intestinale de certains médicaments est régulée dans les entérocytes (cellules intestinales), par une enzyme, le CYP3A4. Et cette enzyme entre en compétition avec les deux substances du pamplemousse. Le résultat, insiste l’Ansm, est une augmentation des effets secondaires des médicaments, comme s’il y avait surdosage. Heureusement, cette interaction indésirable ne se produit qu’avec un nombre limité de médicaments. Sont concernés notamment : certains médicaments contre le cholestérol, le plus souvent, la simvastatine, Zocor®, parfois l’atorvastatine, Tahor® ; des immunosuppresseurs, surtout ciclosporine, Néoral®, tacrolimus, Prograf®. Récemment on s’est aperçu que d’autres médicaments peuvent aussi voir leurs effets indésirables majorés : dronédarone, Multaq® et ivabradine, un antidépresseur, ou encore le docétaxel, Taxotère®, utilisé dans le cancer du sein. L’Ansm souligne qu’aucune publication scientifique n’a montré un risque de moindre efficacité des antibiotiques, anticancéreux ou contraceptifs en cas de consommation de pamplemousse, lequel est le seul agrume concerné, orange, citron, aucun problème.
Demandez conseil à votre pharmacien et, surtout, lisez attentivement les notices.

Source. *Ansm, Association nationale de sécurité des médicaments. / Bien-être & Santé


Parlez-en à votre médecin, cela revient souvent. Je poserais la question au mien et je donnerais la réponse sur le forum, merci de faire la même chose.
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POUR INFORMATION

Médicaments : le gâchis des dates d'expiration

Le Point.fr - Publié le 26/12/2012 à 12:01 - Modifié le 28/12/2012 à 18:08

Certains traitements restent efficaces des années après leur date de péremption, mais les fabricants ne l'attestent plus.

C'est une bien étrange découverte qu'ont faite récemment Lee Cantrell et ses collègues de l'université de San Diego (Californie) en analysant le contenu de huit médicaments retrouvés chez un pharmacien qui avaient expiré depuis 28 à 40 ans. Ils ont montré que les principes actifs de ces produits étaient en majorité toujours présents en quantité acceptable. Mais, attention, ce n'était pas le cas de ceux contenant de l'aspirine ou une amphétamine. Leur travail, qui vient d'être publié dans les Archives of Internal Medicine, pourrait inciter les autorités à revoir la pratique actuelle de détermination de la date d'expiration.
En pratique, les scientifiques américains ont dissous les médicaments puis recherché les 15 principes actifs différents qu'ils renfermaient lors de leur commercialisation. Résultat : 12 des 15 molécules testées étaient toujours présentes en quantité supérieure ou égale à 90 % de la quantité initiale. Il s'agissait notamment de la codéine, du phénobarbital (somnifère), du paracétamol, du méprobamate (contre l'anxiété)... Plus étonnant encore, trois de ces molécules ont été trouvées en quantité supérieure à 110 % de celle prévue, ce qui soulève des inquiétudes rétrospectives concernant les pratiques de fabrication il y a quelques décennies.
Actifs jusqu'à 30 ans après la date d'expiration !
L'an dernier, déjà, l'Association des médecins du canton de Genève (Suisse) avait dénoncé une durée de vie "abusivement courte" des médicaments et même interpellé le Conseil fédéral à ce sujet. Selon la Radio romande, "alors que Vaud et Fribourg ont pu conserver leur stock de Tamiflu en demandant au fabricant Roche une prolongation de deux ans, Genève a pour sa part détruit cet automne ses 900 boîtes qui parvenaient à expiration, lesquelles avaient coûté 27 000 francs" (plus de 22 000 euros).
Le cas de ce médicament contre la grippe est loin d'être isolé. Et les spécialistes suisses expliquent : "La durée de validité ne correspond pas forcément à la période pendant laquelle le médicament est pleinement actif, mais seulement à une période pendant laquelle le fabricant garantit son action." Ce dernier fixe cette dernière sur la base de tests qu'il a effectués et qui portent, en général, sur une période de deux à cinq ans. En réalité, "rien ne dit que la durée d'action d'un médicament ne pourrait pas être plus longue, mais simplement on arrête de l'attester", déplorait Maury Pasquier, conseillère socialiste des États, sur le site de l'association genevoise.
Pour appuyer ses dires, elle s'était fondée sur une étude - conduite par la Food and Drug Administration et par le département de la Défense des États-Unis - montrant que le degré de puissance varie selon les médicaments et les conditions de stockage, particulièrement l'humidité, mais qu'un grand nombre de médicaments conservés dans des conditions correctes gardent 90 % de leur puissance pendant au moins cinq ans après la date d'expiration figurant sur leur emballage. 
Et parfois jusqu'à 30 ans. Bien sûr, tout dépend de leur forme galénique. Par exemple, les liquides ne sont pas aussi stables que les solides. Quant aux antibiotiques, leur validité est beaucoup plus courte. Mais, de toute façon, ils ne doivent jamais être réutilisés sans avis médical.

INFORMATION '' LE POINT ''

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CONTINUEZ LE NETTOYAGE

L'infirmière indélicate devra rembourser 220000€ à la Sécu

Une infirmière libérale a été condamnée ce vendredi par le tribunal correctionnel de Créteil (Val-de-Marne) à 18 mois de prison avec sursis pour avoir escroqué la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) du Val-de-Marne à qui elle devra verser 220 000 € de dommages et intérêts.

Elle échappe à une peine de prison ferme

Reconnue coupable d'escroquerie mais relaxée des faits de blanchiment, Valérie Parrot, 47 ans, a été condamnée à 18 mois de prison avec sursis, une peine assortie d'une mise à l'épreuve de 3 ans.

SUR LE MÊME SUJET

Les infirmières auraient surfacturé près d’un million d’euros

Bordeaux: un infirmier poursuivi pour 500.000 euros de détournements
Lors de l'audience au tribunal, le 14 décembre, le procureur avait requis 4 mois de prison ferme, 10 000 € d'amende et le remboursement du préjudice.

131 000 € siphonnés sur les comptes d'une nonagénaire


Elle a également été reconnue coupable d'abus de faiblesse et devra verser 131 000 € de dommages et intérêts et 5000 € au titre de préjudice moral à une nonagénaire qu'elle hébergeait. Pendant cette période, plus de 130 000 € avaient disparu des comptes de la vieille dame. Entre septembre 2010 et février 2012, elle avait hébergé une de ses patientes, alors âgée de 90 ans, après l’avoir déménagée de sa maison de retraite sans l’autorisation de la famille et de l’établissement. Pendant ces dix-huit mois, les comptes de la vieille dame ont été siphonnés. « Des dizaines de chèques ont été effectués pendant cette période pour acheter du fioul, deux voitures, des enceintes et régler les réparations d’une piscine. Cela ne correspond pas aux dépenses d’une vieille dame », avait fait remarquer un magistrat lors de l'audience, le 14 décembre.

Son compagnon plombier prenait la tension


Installée à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), l'infirmière au chiffre d'affaire exceptionnellement élevé était soupçonnée de surfacturations, d'actes commis par des tiers -son compagnon, plombier, réalisait des gestes médicaux comme des prises de tension- ou fictifs et de doubles télétransmissions entre 2007 et 2010.

«Moi, je faisais mes 35 heures en deux jours»


A l'audience, pleine d'aplomb et sûre d'elle, cette femme avait justifié son chiffre d'affaires par une activité surhumaine, déclarant travailler sept jours sur sept, 20 à 21 heures par jour. Ce rythme lui permettait de soigner jusqu'à une soixantaine de patients quotidiennement et de s'assurer un revenu mensuel de 8000 à 10 000 €, a-t-elle assuré. « C’est le salaire que mérite une infirmière qui ne compte pas ses heures, avait justifié la praticienne, le regard noir. Sarkozy disait qu’il fallait travailler plus pour gagner plus. Moi, je faisais mes 35 heures en deux jours. Je ne suis pas à la CPAM », avait-elle lâché à la barre, provocatrice.

Vendredi, sitôt connue la décision de justice, l'infirmière s'est effondrée en pleurs dans les bras de ses proches.


INFORMATION '' LE PARISIEN ''' qu'il faut remercier de dénoncer tout cela

Je suis le plombier bier bier quel beau métier.......
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De nombreux médicaments sont plus dangereux qu’utiles, selon Prescrire


Mise en ligne : 4 février 2013

« Nous ne sommes pas contents car notre souci est que les gens soient mieux soignés », a déclaré Bruno Toussaint, directeur de la revue indépendante Prescrire, hier, en préalable de la remise de sa Pilule d’Or du médicament 2013.

Ce prix, organisé tous les ans, sert à distinguer les firmes pharmaceutiques ayant commercialisé des médicaments « permettant de faire progresser un domaine de la thérapeutique de manière tangible au bénéfice des patients ».

Or, cette année, aucune Pilule d’Or n’a pu être décernée. C’était déjà le cas l’an passé. « Nous sommes en panne d’innovation », déplore Bruno Toussaint. Pire : il y aurait plutôt des médicaments à supprimer.

« Mediator, les pilules de 3ème et 4ème générations ne sont que quelques arbres qui cachent la forêt, précise-t-il. Chaque année, des médicaments sont autorisés sans progrès notoires pour les patients. Parfois, ils sont moins efficaces ou plus nocifs qu’un ancien médicament de référence ».
Une nouveauté sur cinq est à éviter

Selon la Revue, qui consacre un dossier à ce sujet dans son numéro de février, en 2012, « la moitié des nouveaux médicaments ou des nouvelles indications n’apportent pas de progrès », seuls 4 représentent une réelle avancée et, plus alarmant, « une nouveauté sur cinq est à éviter ». Ainsi, parmi les nouvelles molécules analysées par Prescrire, environ 18% comportent un bénéfice-risque défavorable et n’auraient pas du être autorisées.

Comment en est-on arrivé là ? La revue le résume dans ses colonnes : « Une promotion massive leur assure une image positive aux yeux des soignants et des patients. Des leaders d’opinion renommés interviennent dans les congrès et les médias spécialisés. Des campagnes de presse mettent en avant le problème de santé visé par le médicament, ce qui pousse les patients concernés à le demander, etc. ».

Résultat : de nombreux médicaments sont plus dangereux qu’utiles. « Les agences sanitaires ne font pas leur travail de protection des patients », dénonce Bruno Toussaint, qui rappelle que depuis 2010, année où a éclaté le scandale du Médiator, « des dizaines de médicaments auraient du être retirés du marché ».
Environ 60 médicaments à écarter

Des nouveaux mais aussi des anciens qui comportent plus de risques que d’avantages. Une soixantaine, au total, dont la liste est publiée sur le site de Prescrire http://www.prescrire.fr parmi lesquels on trouve 15 médicaments contre la douleur, les rhumatismes (Nexen, Ketum...), l’ostéoporose et l’arthrose, 10 antidépresseurs (Stablon, Eflexor, Stresam...) dont deux utilisés dans le sevrage tabagique (Champix et Zyban), 9 médicaments pour le coeur (Rasilez, un antihypertenseur, Lipanor, un hypochlolestérolémiant...), 5 anticancéreux (Yondelis, Removab...), 3 médicaments utilisés en dermatologie et allergologie (Protoptic contre l’eczéma...), 4 antidiabètiques (Onglyza, Januvia...) auxquels s’ajoute le Xenical contre la perte de poids, 2 médicaments de gastro-entérologie (Motilium, Resolor), 2 antibiotiques (Ketek...), un traitement hormonal substitutif de la ménopause (Livial), etc.

Pour Prescrire, « Les patients et soignants ont intérêt à réviser les traitements en cours et à leur préférer les traitements éprouvés. Sans attendre que les autorités décident enfin les retraits du marché qui s’impose au vu des données d’évaluation ».

De fait, en dépit des alertes répétées depuis 1997, il aura fallu attendre 2009 pour que l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Afssaps), devenue Agence Nationale de sécurité du Médicament (Ansm), interdise le Mediator. Pendant ce temps, combien de victimes ?

Remerciements à '' VIVA '' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
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Rappel d'huîtres dans la Manche après des intoxications

SAINT-LO (France) (AFP) © 2013 AFP
La pêche et la commercialisation de tout coquillage en provenance d'une des principales zones de production d'huîtres bas-normande, autour de Blainville-sur-mer (Manche), est interdite et des produits déjà vendus sont rappelés pour destruction à la suite d'intoxications alimentaires, a annoncé jeudi la préfecture.
Les produits expédiés depuis le 28 janvier de cette zone d'environ 5 km, qui va de Blainville-sur-mer à Anneville-sur-mer, sont "rappelés par les producteurs en vue de leur destruction", précise la préfecture.
Cette décision fait suite "à la survenue de cas d'intoxications collectives suite à la consommation de coquillages en provenance des dépôts de la zone de production", selon la même source.............................................;
La Normandie est l'une des principales régions ostréicoles françaises.


Le 07/02/2013 - AFP
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ENCORE !!!!!!!
3 infirmières accusées d'avoir escroqué 1,34 million d'euros à l'Assurance maladie
Trois infirmières libérales ont été déférées la semaine dernière devant le Parquet de Paris pour des fraudes présumées, notamment des soins fictifs, qui leur auraient permis d'empocher la bagatelle d'au moins 1,34 million d'euros. Elles sont soupçonnées d'escroqueries en "bande organisée, vol et exercice illégal de la profession de médecin", au préjudice à ce jour de sept caisses d'assurance maladie et mutuelles.
Le 6 février 2013

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Des pesticides dans les cheveux des salariés viticoles et des riverains des vignes

Mise en ligne : 19 février 2013

Alors que le salon de l’Agriculture va ouvrir ses portes le 23 février, l’association d’information sur l’exposition aux pesticides Générations Futures, lance un pavé dans la mare en publiant les résultats d’une enquête inédite.

Entre mi-octobre et mi-novembre 2012, elle a fait analysé les mèches de cheveux de 15 salariés viticoles du bordelais (qui travaille dans les vignes mais qui ne pulvérise pas de pesticides), 5 riverains habitant près des vignobles et 5 témoins vivant loin des vignes.

Conclusion : tous les salariés viticoles ont des résidus de pesticides dans la chevelure, 11 fois plus en moyenne que chez les non professionnels. Chez 4 des 15 salariés testés, on retrouve la trace de dix pesticides différents. Il ne fait pas bon, non plus, vivre à moins de 250 mètres des vignes : en effet, les riverains ont 5 fois plus de pesticides dans leurs cheveux que les gens qui habitent en ville.
45% des molécules cancérigènes possibles

Selon Générations Futures, 45% des molécules retrouvées sont classées cancérigènes possibles en Europe ou aux USA et 36% sont suspectées d’être des perturbateurs endocriniens.

« Notre enquête a ses limites compte tenu du nombre restreint de volontaires testés et demande à être confirmée par d’autres études scientifiques, affirme François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. Néanmoins, on a toutes les raisons de croire qu’elle est représentative de l’exposition des salariés viticoles et des proches riverains et que ce serait pareil dans une autre région ».

La France est le pays européen qui utilise le plus de pesticides (62 700 tonnes en 2011), et le troisième au monde. Le plan Ecophyto lancé en 2008 suite au Grenelle de l’Environnement prévoyait une réduction de moitié de ces substances chimiques en dix ans ainsi que l’exclusion des plus dangereuses. L’objectif est loin d’être atteint, c’est même l’inverse qui se passe puisque la consommation de pesticides entre 2009 et 2011 a augmenté de 2,7%.
Il faut retirer les plus dangereux du marché

Globalement en meilleure santé que la population générale selon l’enquête Agrican, les agriculteurs développeraient cependant plus fréquemment des cancers particuliers (lymphomes, tumeurs de la vessie, du cerveau...) et des maladies neurodégénératives de type Parkinson qui pourraient être liés aux pesticides.

« Quand on baigne dans une soupe de perturbateurs endocriniens pendant 20 à 30 ans comme c’est le cas pour les agriculteurs et les viticulteurs, on a plus de risques que les autres, souligne François Veillerette. Il est urgent de retirer les produits à risques du marché qui sont considérés cancérigènes possibles sur l’animal et de développer des alternatives aux pesticides. Qu’est-ce qu’on attend ? ».

INFORMATION '' VIVA '' Remerciements à Mme Brigitte Bègue

P.S.
A lire :
Moins de pesticides dans les fruits et légumes ? Pas si sûr !
Les pesticides affectent le cerveau des viticulteurs exposés
Agriculteurs : le lien entre pesticides et maladie de Parkinson dans les tableaux de maladie professionnelle
Pourquoi il faut interdire les perturbateurs endocriniens
Perturbateurs endocriniens : des effets avérés sur plusieurs générations
"Oui, on peut nourrir le monde sans pesticides"
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Bactérie E. coli: rappel de fromages de chèvre des Etablissements Hardy
Par AFP le 01 mars 2013

Les Etablissements Hardy, qui produisent et commercialisent des fromages dans le Loir-et-Cher et au niveau national, ont annoncé vendredi avoir procédé au retrait de 390 fromages contaminés par la bactérie intestinale Escherichia coli (E. coli).
Les produits concernés sont des fromages de chèvre "Selles sur Cher AOP Fermiers 150g" et comportent le code sanitaire : FR 41.043.003 CE, indique la société dans un communiqué
Ces fromages sont commercialisés depuis le 15 février à la coupe chez les fromagers ou en rayon traditionnel dans des magasins de la grande distribution au niveau national.
Il est demandé aux personnes qui détiendraient ces produits de ne pas les consommer et de les rapporter au point vente où ils ont été achetés, indique le communiqué.
Les Escherichia coli peuvent entraîner dans la semaine qui suit la consommation, des gastro-entérites éventuellement hémorragiques, accompagnées de fièvre, et pouvant être suivies de complications rénales sévères chez les jeunes enfants, est-il rappelé.
Les personnes susceptibles d'avoir consommé les fromages incriminés et présentant ce type de symptômes sont invitées à aller "sans délai" consulter leur médecin.
Pour tout renseignement, les consommateurs peuvent contacter la société au 02.54.71.66.81.
Bactérie
Les bactéries sont des micro-organismes monocellulaires courants dans l'environnement ainsi que dans et sur le corps. On peut distinguer les bonnes bactéries présentes dans le système gastro-intestinal et qui favorisent la digestion. Les bactéries lactoba
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Les femmes vivent plus longtemps que les hommes mais l’écart se réduit


Mise en ligne : 8 mars 2013

"La santé des femmes en questions", c’est le thème d’un colloque organisé aujourd’hui à Paris à l’occasion de la Journée des Droits des Femmes. Viva avait assisté à sa préparation.

« C’est pareil, partout dans le monde, les femmes vivent plus longtemps que les hommes », soulignait Nathalie Fourcade, chercheuse à la Dress (Direction de la recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques), mercredi 6 février, en ouverture d’un séminaire sur la santé des femmes qui devait servir de préparation au colloque organisé le 8 mars à Paris par la Mutuelle générale de l’éducation nationale (Mgen), la Chaire Santé de Sciences-PO, le Planning familial, la Mutuelle des étudiants (Lmde) et le ministère de la Santé.

Les Françaises championnes d’Europe

Actuellement, l’espérance de vie des Françaises dépassent de 6,4 ans celles des Français. Elles font même office de championnes puisqu’elles ont la longévité la plus élevée d’Europe. Le phénomène n’est pas nouveau, selon Nathalie Fourcade : déjà au 17ème siècle, la surmortalité masculine était plus forte. A l’exception du 18ème, où les filles de moins de 20 ans mourraient avant les garçons du même âge (à cause des maternités surtout), le phénomène a perduré au 19ème puis au 20ème même si l’écart entre les deux sexes se réduit (il était de 8 ans au cours du 20ème siècle).

Curieusement, les femmes ont beau avoir une meilleure espérance de vie, elles n’ont pas forcément une bonne image de leur santé : 71% d’entre-elles se disent en bonne santé contre 77% des hommes. Elles déclarent plus de symptômes (mal au ventre, stress, etc. ) qui ne sont pas associés à un risque vital et consultent davantage le médecin. « Les femmes sont plus à l’écoute de leur santé que les hommes pour qui s’écouter est un peu considéré comme un signe de faiblesse », analyse Nathalie Fourcade.

Un tiers des filles de 13 ans ont déjà fumé

Les femmes vivent plus longtemps que les hommes mais pour combien de temps encore ? « Avec l’uniformisation des comportements, une vague de fumeuses arrivent depuis 30 ans, explique le Pr Bertrand Dautzenberg, pneumologue à la Pitié-Salpetrière à Paris. Alors que les hommes fument moins, les femmes fument plus ».

Un retour de balancier qui fait mal car, selon le pneumologue, « une fois qu’on a acquis la dépendance à la nicotine, on ne guérit jamais. Or, on devient d’autant plus dépendant que l’on commence à fumer jeune, vers 12-14 ans ».

En France, 30% des filles de 13 à 15 ans ont déjà touché à la cigarette. On est aussi un des pays d’Europe où les futures mamans fument le plus en début de grossesse : 30,7% en 2010, elles sont encore 16% à fumer en fin de grossesse.

Quatre fois plus de cancers du poumon

Des chiffres qui ont de quoi alerter : chaque année, le cancer du poumon tue 8000 femmes,dont une majorité de fumeuses. « Les hommes ont deux fois moins deux cancers du poumon qu’il y a 10 ans et les femmes quatre fois, affirme le Pr Dautzenberg. En 2015, le cancer du poumon tuera plus de femmes que le cancer du sein ».

Sans compter que le tabagisme fait d’autres dégâts chez les femmes, notamment des maladies cardiovasculaires. « Il y a de plus en plus d’infarctus du myocarde chez les femmes de 45 ans, curieusement ils suivent la courbe de la consommation de tabac », note le pneumologue.

Et si les femmes sont plus sensibles en général aux messages de prévention, en revanche, elles ont plus de difficultés à arrêter de fumer que les hommes : peur de prendre du poids, manque de confiance, etc. Et ce n’est pas moins pire avec des cigarettes légères. « Ça ne change rien. Les « light » ou « ultra-light » font autant de morts que les vieilles Gauloises, déclare le Pr Dautzenberg. C’est juste du marketing pour vendre ».

Elles boivent plus d’alcool qu’avant

Autre inquiétude pour la santé des femmes : elles sont de plus en plus nombreuses à boire de l’alcool. Sur trois millions de buveurs excessifs en France, 20 à 30% sont des femmes. Selon le Baromètre santé 2010, 6% des femmes interrogées affirment boire de l’alcool tous les jours. Deux pics sont observés : à 30 ans (après la première maternité) et à la ménopause.

A l’inverse des hommes, la consommation régulière d’alcool et les ivresses fréquentes touchent davantage les femmes diplômées (Bac + 2). Un phénomène qui n’est pas sans risques : « Il y a une inégalité physiologique entre les femmes et les hommes, dit le Dr Catherine Simon, psychiatre addictologue au CHRU de Brest. Chez elles, l’espace vasculaire est plus petit donc, pour une même quantité d’alcool ingéré et un même poids, l’alcoolémie sera plus élevé chez les femmes ».

Chez les femmes, l’excès d’alcool est associé à un sur-risque de cancer du sein et colorectal, d’AVC, et de maladies coronariennes. L’alcool est également contre-indiqué chez les femmes enceintes car il traverse le placenta et altère le fœtus. On estime que les troubles psychomoteurs, les retards staturo-pondéral, etc. concernent 5% des naissances.

Un des taux d’Ivg les plus élevés d’Europe

Les spécificités féminines ne sont pas non plus toujours simples à gérer. La période de la ménopause, par exemple, peut-être mal vécue et associée à un épisode dépressif. Par ailleurs, si 80% des Françaises utilisent un moyen contraceptif (10% préservatif, 5% implant, 56% pilules et 26% stérilet) et s’il y a moins de grossesses non désirées, le taux d’Ivg reste en France un des plus élevés d’Europe : une femme sur deux y a eu recours et deux Ivg sur trois concernent une femme sous contraceptif, la pilule notamment.

De même, alors que la France se situe au second rang de l’Union européenne pour faire des bébés, l’âge moyen à la première grossesse recule (30,1 ans) et un quart des naissances a lieu après 35 ans. Conséquence : les grossesses à risques sont en augmentation et les difficultés pour être enceintes aussi. Le recours à l’assistance médicale à la procréation augmente.

Plus exposées aux risques psychosociaux

La santé des femmes revêt d’autres particularismes. Exemple : elles font plus de tentatives de suicide que les hommes. Un acte qui sonne surtout comme un appel à l’aide car ces derniers réussissent plus souvent leur suicide. Aujourd’hui, elles sont également plus exposées à des troubles psychosociaux au travail que leurs homologues masculins. Entre cause : le déséquilibre entre leur investissement professionnel et leur reconnaissance. Les femmes ont beau travailler, elles occupent majoritairement des postes de subalternes. Et à compétence et qualification égales, elles sont toujours moins rémunérées que les hommes.

Trois ans de vie en moins chez les ouvrières

La santé des femmes reflète aussi les inégalités sociales. Toutes les études montrent que plus elles sont élevées dans la hiérarchie sociale, meilleure est leur santé. Pour preuve : il y a trois ans d’écart entre l’espérance de vie d’une femme cadre et celle d’une ouvrière. A contrario, une ouvrière vit plus longtemps qu’un homme cadre. Or, le statut social détermine souvent les comportements. On sait, notamment, que le recours à prévention est plus important chez les cadres supérieurs. Les exemples sont nombreux : le taux de prématurés et de bébés de petit poids augmentent chez les femmes en bas de l’échelle sociale, c’est pareil pour l’obésité. Et même si le dépistage organisé du cancer du sein a permis de réduire les écarts, les femmes aisées sont mieux dépistées et mieux prises en charge que les autres...

Les femmes souffrent d’isolement

Enfin, tout n’est pas rose quand on fait de vieux os car plus on vieillit plus on est malade. Résultat, en France, plus de la moitié des personnes en Affection longue durée (Ald) sont des femmes. Curieusement, alors que les messieurs meurent plus tôt, le nombre d’années passé en bonne santé à partir de 65 ans est identique chez les hommes et chez les femmes, soit 5,5 ans. Autre revers de la médaille à la longévité : les femmes souffrent d’isolement. Et pas uniquement parce que leur conjoint est décédé avant elle. « Après 50 ans, elles vivent plus souvent seules, prévient Nathalie Fourcade. Quand il y a des séparations à cet âge, les hommes se remarient souvent avec des femmes plus jeunes, pas les femmes ».

Remerciements à '' VIVA '' particuiièrement à Mme Brigitte Bègue

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Re: LA SANTE

Message par BRIAND »

Déserts médicaux : le traitement de fond du Dr Maurey
Si le gouvernement ne s’est pas encore décidé à prendre à bras le corps le sujet des « déserts médicaux », le Sénat a de son côté sorti un rapport courageux qui avance ENFIN des mesures solides ! Les propositions du sénateur Maurey, adoptées à l’unanimité par la Commission du développement durable, n’ont rien de timoré -ce qui change des politiques publiques de ces dernières années. Des politiques « insuffisantes, pour ne pas dire inefficaces » comme le reconnaît crûment le rapport, qui formule des propositions : limitation de la liberté d’installation (les patients des jeunes médecins qui décideraient de s’installer dans des zones à forte densité médicale ne seraient pas remboursés), obligation pour les spécialistes d’exercer pendant deux ans à la fin de leurs études dans une zone sous-dotée… Ca déménage !
Lorsque l’UFC-Que Choisir a sorti son enquête sur la fracture sanitaire, la Confédération des syndicats médicaux français n’y est pas allée de main morte, critiquant une approche « démagogique » et des « remèdes simplistes ». Cette fois, elle stigmatise « des mesures totalement ineptes, dangereuses et contreproductives », qui mettent en lumière une « ignorance crasse ». Toucher à la liberté d’installation des médecins ne sera pas chose facile. C’est pourtant le remède qui s’impose. Reste à savoir si le gouvernement aura le courage d’y recourir…

Mr Alain Bazot, Président de l'UFC-Que Choisir 6 Mars 2013
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Re: LA SANTE

Message par BRIAND »

UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION

Tramadol : un antidouleur mis sous haute surveillance

L'Afssaps vient de placer sous haute surveillance l'antidouleur Tramadol®. Utilisé notamment pour soigner le mal de dos et les douleurs articulaires, ce médicament générique venu remplacer le Di-Antalvic® comporterait de graves risques pour la santé.
Parmi ses nombreux effets secondaires, le Tramadol® (derivé de l'opium), provoquerait des vomissements, une désorientation et des troubles du sommeil. Mais un de ses plus gros dangers c'est le risque d'addiction. "Personne ne m'avait prévenu des effets addictifs. J'ai augmenté les doses et je suis devenu complètement accro", relate Teddy, 26 ans, dans Le Parisien.
Depuis le mois de mars 2011 où le Di-Antalvic® a été retiré de la vente, 35% des 8 millions de consommateurs utilisent le Tramadol.
En France, la molécule du tramadol est présente dans une vingtaine d'autres médicaments, comme le Topalgic®, l'Ixprim® et le Contramal®.  

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Re: LA SANTE

Message par BRIAND »

Les sondes mal désinfectées, prochain scandale sanitaire ?
mardi 04 juin 2013


Les protocoles de décontamination des sondes endocavitaires (sondes vaginales et rectales), décidés en 2007 par le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), seraient insuffisants et conduiraient à plus de 30 000 infections annuelles, dénonce Michèle Rivasi, députée européenne membre de la Commission Santé et Environnement du Parlement européen...............
BRIAND
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