LA SANTE
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Re: LA SANTE
Danger des téléphones portables sur la santé : des scientifiques s’inquiètent dans une lettre ouverte
Mise en ligne : 25 mai 2011
Alors que depuis le 24 mai et jusqu’au 31 mai, des experts internationaux se réunissent sous l’égide du Centre International de Recherche sur le Cancer (Circ) à Lyon, pour évaluer le risque cancérigène des champs électromagnétiques des radio fréquences comprenant, entre autres, les téléphones portables, des scientifiques de différents pays [1] ont envoyé une lettre ouverte au directeur pour leur faire part de leurs interrogations.
La première concerne la tenue de cette réunion alors même que la plus grande étude sur les téléphones portables, Interphone, menée entre 1999 et 2004 sur 6600 cas de cancers dans 13 pays, n’a pas encore livré au public tous ces résultats. D’autant plus étrange, selon les signataires, que les conclusions sont attendues depuis 5 ans et que certaines des observations sont inquiétantes puisqu’elles indiquent que les plus gros utilisateurs de portables depuis 10 ans ont un risque augmenté, statistiquement significatif, de tumeurs du cerveau (gliomes).
Plus de tumeurs du cerveau
Le risque est par ailleurs plus grand chez les personnes qui disaient que leur cancer était survenu du côté de la tête où elles avaient l’habitude de tenir leur téléphone. « Permettez-nous de suggérer que ceci n’est sans doute pas le fait du hasard mais de ce que nous enseignons à nos étudiants, soit que le risque apparait d’abord chez les personnes les plus exposées avant de diffuser au reste de la population », écrivent les auteurs. « Nous craignons par conséquent que ce qui a été observé non seulement dans l’étude Interphone mais aussi dans d’autres études comme celles conduites dans les pays nordiques ne soit que le début de la mise en évidence d’une importante survenue de tumeurs du cerveau », avertissent-ils.
Les auteurs insistent également auprès du directeur du Circ pour que tous les résultats soient publiés au plus vite, avant la fin 2011, et qu’on en sache plus notamment sur la découverte de 1 100 neurinomes acoustiques (grosseur bénigne située dans l’oreille interne) et de 400 tumeurs des glandes parotides, ces petits canaux qui transportent la salive.
Des liens d’influence
Ils s’interrogent aussi sur l’indépendance des experts chargés d’évaluer le groupe (cancérigène reconnu, cancérigène probable ou possible) dans lequel les radio fréquences seront classées et exigent que les conflits d’intérêts soient déclarés. Ce qui semble ne pas être le cas : « Nous avons attendu jusqu’au dernier moment pour les voir apparaître mais sans succès. Nous ne comprenons pas que les documents de cette importance ne soient pas rendus publics », stipulent les scientifiques.
Mais on sait qu’un des experts pressenti, le Pr Anders Ahlbom de l’Institut médical Karolinska en Suède, est au conseil d’administration d’une société de conseil travaillant pour le principal opérateur de téléphonie mobile suédois. Il a finalement été exclu du groupe d’experts. Mais se référant au rapport de l’Igas d’avril 2011 sur la sécurité sanitaire qui estime que la présence des observateurs de l’industrie dans les collectifs d’experts « est trop ambiguë pour être maintenue », les signataires dénoncent également la présence dans le groupe de travail sur les radio fréquences de trois représentants de l’industrie de la téléphonie sans fil (GSM, Mobile Manufacturers Forum, CTIA, The Wireless association).
« Qu’en penser ? », questionnent-ils. Réponse bientôt.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
P.S. A lire aussi :
Wifi, un danger pour notre santé ?
[1] Parmi les signataires le Wecf (Women in Europe for a Common Future) dont Annie Sascot pour la France, directrice de recherche à l’Inserm, le Réseau Environnement Santé, l’International Society of Doctors for Environnment, Health Environment Alliance (Heal), le Dr David Servan-Schreiber, Annie Thébaud-Monny, directrice de recherche honoraire à l’Inserm, etc.
Mise en ligne : 25 mai 2011
Alors que depuis le 24 mai et jusqu’au 31 mai, des experts internationaux se réunissent sous l’égide du Centre International de Recherche sur le Cancer (Circ) à Lyon, pour évaluer le risque cancérigène des champs électromagnétiques des radio fréquences comprenant, entre autres, les téléphones portables, des scientifiques de différents pays [1] ont envoyé une lettre ouverte au directeur pour leur faire part de leurs interrogations.
La première concerne la tenue de cette réunion alors même que la plus grande étude sur les téléphones portables, Interphone, menée entre 1999 et 2004 sur 6600 cas de cancers dans 13 pays, n’a pas encore livré au public tous ces résultats. D’autant plus étrange, selon les signataires, que les conclusions sont attendues depuis 5 ans et que certaines des observations sont inquiétantes puisqu’elles indiquent que les plus gros utilisateurs de portables depuis 10 ans ont un risque augmenté, statistiquement significatif, de tumeurs du cerveau (gliomes).
Plus de tumeurs du cerveau
Le risque est par ailleurs plus grand chez les personnes qui disaient que leur cancer était survenu du côté de la tête où elles avaient l’habitude de tenir leur téléphone. « Permettez-nous de suggérer que ceci n’est sans doute pas le fait du hasard mais de ce que nous enseignons à nos étudiants, soit que le risque apparait d’abord chez les personnes les plus exposées avant de diffuser au reste de la population », écrivent les auteurs. « Nous craignons par conséquent que ce qui a été observé non seulement dans l’étude Interphone mais aussi dans d’autres études comme celles conduites dans les pays nordiques ne soit que le début de la mise en évidence d’une importante survenue de tumeurs du cerveau », avertissent-ils.
Les auteurs insistent également auprès du directeur du Circ pour que tous les résultats soient publiés au plus vite, avant la fin 2011, et qu’on en sache plus notamment sur la découverte de 1 100 neurinomes acoustiques (grosseur bénigne située dans l’oreille interne) et de 400 tumeurs des glandes parotides, ces petits canaux qui transportent la salive.
Des liens d’influence
Ils s’interrogent aussi sur l’indépendance des experts chargés d’évaluer le groupe (cancérigène reconnu, cancérigène probable ou possible) dans lequel les radio fréquences seront classées et exigent que les conflits d’intérêts soient déclarés. Ce qui semble ne pas être le cas : « Nous avons attendu jusqu’au dernier moment pour les voir apparaître mais sans succès. Nous ne comprenons pas que les documents de cette importance ne soient pas rendus publics », stipulent les scientifiques.
Mais on sait qu’un des experts pressenti, le Pr Anders Ahlbom de l’Institut médical Karolinska en Suède, est au conseil d’administration d’une société de conseil travaillant pour le principal opérateur de téléphonie mobile suédois. Il a finalement été exclu du groupe d’experts. Mais se référant au rapport de l’Igas d’avril 2011 sur la sécurité sanitaire qui estime que la présence des observateurs de l’industrie dans les collectifs d’experts « est trop ambiguë pour être maintenue », les signataires dénoncent également la présence dans le groupe de travail sur les radio fréquences de trois représentants de l’industrie de la téléphonie sans fil (GSM, Mobile Manufacturers Forum, CTIA, The Wireless association).
« Qu’en penser ? », questionnent-ils. Réponse bientôt.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
P.S. A lire aussi :
Wifi, un danger pour notre santé ?
[1] Parmi les signataires le Wecf (Women in Europe for a Common Future) dont Annie Sascot pour la France, directrice de recherche à l’Inserm, le Réseau Environnement Santé, l’International Society of Doctors for Environnment, Health Environment Alliance (Heal), le Dr David Servan-Schreiber, Annie Thébaud-Monny, directrice de recherche honoraire à l’Inserm, etc.
Re: LA SANTE
Légumes contaminés : pas d’inquiétude en France
Mise en ligne : 30 mai 2011
Les autorités sanitaires françaises tiennent à rassurer : l’état de santé des trois Français qui auraient été infectés par la bactérie E.coli imputée à des concombres importés d’Espagne n’est pas inquiétant. Cette bactérie est productrice de shiga-toxines (Stec). Ces Stec peuvent entraîner des manifestations cliniques variées (diarrhée banale ou sanglante) pouvant évoluer vers le syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui affecte le sang, les reins et, dans les cas graves, le système nerveux central.
En Allemagne, le SHU, a fait 10 morts et touché 300 personnes. Les trois Français malades ont en commun d’avoir séjourné en Allemagne. D’autres cas suspects ont été signalés en Autriche, en Suède, au Danemark, aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne, tous liés à des déplacements en Allemagne.
Pour l’instant, on ne sait toujours pas si les concombres ont été contaminés en Espagne ou en Allemagne.
La France surveille la situation, la bactérie ayant une période d’incubation de 7 à 15 jours. L’Institut national de veille sanitaire (InVS) recommande aux médecins hospitaliers ou libéraux français ayant diagnostiqué une diarrhée sanglante ou un SHU survenus depuis le 20 avril chez des patients ayant séjourné en Allemagne dans les quinze jours précédant le début des symptômes de les signaler à l’Agence régionale de santé de leur région.
Il s’agit de l’une des plus importantes épidémies de STEC/SHU jamais recensées à travers le monde et de la plus importante épidémie de ce type en Allemagne.
C'est une information '' VIVA PRESSE'' que nous remercions
Mise en ligne : 30 mai 2011
Les autorités sanitaires françaises tiennent à rassurer : l’état de santé des trois Français qui auraient été infectés par la bactérie E.coli imputée à des concombres importés d’Espagne n’est pas inquiétant. Cette bactérie est productrice de shiga-toxines (Stec). Ces Stec peuvent entraîner des manifestations cliniques variées (diarrhée banale ou sanglante) pouvant évoluer vers le syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui affecte le sang, les reins et, dans les cas graves, le système nerveux central.
En Allemagne, le SHU, a fait 10 morts et touché 300 personnes. Les trois Français malades ont en commun d’avoir séjourné en Allemagne. D’autres cas suspects ont été signalés en Autriche, en Suède, au Danemark, aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne, tous liés à des déplacements en Allemagne.
Pour l’instant, on ne sait toujours pas si les concombres ont été contaminés en Espagne ou en Allemagne.
La France surveille la situation, la bactérie ayant une période d’incubation de 7 à 15 jours. L’Institut national de veille sanitaire (InVS) recommande aux médecins hospitaliers ou libéraux français ayant diagnostiqué une diarrhée sanglante ou un SHU survenus depuis le 20 avril chez des patients ayant séjourné en Allemagne dans les quinze jours précédant le début des symptômes de les signaler à l’Agence régionale de santé de leur région.
Il s’agit de l’une des plus importantes épidémies de STEC/SHU jamais recensées à travers le monde et de la plus importante épidémie de ce type en Allemagne.
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Re: LA SANTE
Mutuelle des cheminots de Normandie Un dépassement d’honoraires camouflé… ?
Mise en ligne : 6 juin 2011
Jusqu’ici, à la suite d’examens spécifiques, chaque patient repartait avec ses radios ou avec le compte rendu de son échographie ou de son scanner. Grâce à une convention signée en 2007, les radiologues de ville pouvaient souscrire à une option « archivage » qui les autorisait à facturer un supplément de 3 ou 4 euros par examen, pris en charge par l’assurance-maladie. Mais le Conseil d’Etat a décidé, le 21 juillet 2009, que les Caisses primaires d’assurance-maladie ne rembourseraient plus cette somme.
L’archivage numérique consiste à conserver durant deux ans les images pertinentes (radiographies, scanners, Irm…) afin de faciliter la comparaison lors d’éventuels examens ultérieurs. Le patient peut toujours disposer des images sur support papier. « A la suite de la décision des Cpam et des mutuelles de ne plus prendre en charge cet archivage numérique, les radiologues tentent de le facturer à leurs patients. Feraient-ils ainsi retomber sur les assurés sociaux leurs investissements en équipement informatique ? » s’interroge Joël Carpentier, secrétaire adjoint de la Mutuelle des cheminots de Normandie. Cette pratique peut être un frein à la prévention : les mammographies prescrites dans le cadre des campagnes de dépistage du cancer du sein peuvent être touchées par cette « contribution » de 3 ou 4 euros (voire jusqu’à 10 euros…) non remboursée. Or ces examens permettent un dépistage précoce du cancer du sein. Il est donc essentiel que les femmes qui l’effectuent n’aient rien à débourser.
La Mutuelle des cheminots de Normandie informe ses adhérents que, si leur radiologue leur facture cette prestation spécifique, ils sont libres de dire non (le praticien ne peut refuser de faire les examens pour ce seul motif). En effet, cette somme ne leur sera remboursée ni par l’assurance-maladie, ni par la mutuelle, qui assimile cette pratique à un dépassement d’honoraires camouflé pour un acte qui n’a vraiment rien de médical !
François Teruel
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Mise en ligne : 6 juin 2011
Jusqu’ici, à la suite d’examens spécifiques, chaque patient repartait avec ses radios ou avec le compte rendu de son échographie ou de son scanner. Grâce à une convention signée en 2007, les radiologues de ville pouvaient souscrire à une option « archivage » qui les autorisait à facturer un supplément de 3 ou 4 euros par examen, pris en charge par l’assurance-maladie. Mais le Conseil d’Etat a décidé, le 21 juillet 2009, que les Caisses primaires d’assurance-maladie ne rembourseraient plus cette somme.
L’archivage numérique consiste à conserver durant deux ans les images pertinentes (radiographies, scanners, Irm…) afin de faciliter la comparaison lors d’éventuels examens ultérieurs. Le patient peut toujours disposer des images sur support papier. « A la suite de la décision des Cpam et des mutuelles de ne plus prendre en charge cet archivage numérique, les radiologues tentent de le facturer à leurs patients. Feraient-ils ainsi retomber sur les assurés sociaux leurs investissements en équipement informatique ? » s’interroge Joël Carpentier, secrétaire adjoint de la Mutuelle des cheminots de Normandie. Cette pratique peut être un frein à la prévention : les mammographies prescrites dans le cadre des campagnes de dépistage du cancer du sein peuvent être touchées par cette « contribution » de 3 ou 4 euros (voire jusqu’à 10 euros…) non remboursée. Or ces examens permettent un dépistage précoce du cancer du sein. Il est donc essentiel que les femmes qui l’effectuent n’aient rien à débourser.
La Mutuelle des cheminots de Normandie informe ses adhérents que, si leur radiologue leur facture cette prestation spécifique, ils sont libres de dire non (le praticien ne peut refuser de faire les examens pour ce seul motif). En effet, cette somme ne leur sera remboursée ni par l’assurance-maladie, ni par la mutuelle, qui assimile cette pratique à un dépassement d’honoraires camouflé pour un acte qui n’a vraiment rien de médical !
François Teruel
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Re: LA SANTE
Médecins : 41% sont des femmes
Mise en ligne : 14 juin 2011
199 987 médecins sont en activité régulière en France. Un effectif quasi stable sur un an (- 0,03 %), après deux exercices de baisse, d’après l’Atlas de la démographie médicale publié par l’Ordre des médecins.
41 % d’entre eux sont des femmes, en revanche, on observe une accélération du vieillissement : en 2010, l’âge moyen s’établissait à 50 ans ; il est maintenant passé à 51,4 ans (53 ans pour les hommes et 49 ans pour les femmes).
46% des médecins (hommes et femmes) exercent en libéral. L’Ordre note une nouvelle fois le « désintérêt croissant » manifesté par les médecins pour l’exercice libéral, « au profit de l’exercice salarié et, plus particulièrement, hospitalier ; aussi bien chez les médecins généralistes que chez les médecins spécialistes ».
L’Atlas relève la forte proportion (1 sur 4) des praticiens ayant obtenu leur diplôme hors de France (en Roumanie d’abord, puis dans un pays du Maghreb…). Ces médecins diplômés à l’étranger exercent majoritairement dans les régions à faible densité médicale, constate l’Ordre.
Quelle que soit l’origine de leur diplôme, ces nouveaux inscrits choisissent majoritairement le salariat (à 70 %) et ne se tournent vers l’exercice libéral exclusif que dans 9,4 % des cas.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Mise en ligne : 14 juin 2011
199 987 médecins sont en activité régulière en France. Un effectif quasi stable sur un an (- 0,03 %), après deux exercices de baisse, d’après l’Atlas de la démographie médicale publié par l’Ordre des médecins.
41 % d’entre eux sont des femmes, en revanche, on observe une accélération du vieillissement : en 2010, l’âge moyen s’établissait à 50 ans ; il est maintenant passé à 51,4 ans (53 ans pour les hommes et 49 ans pour les femmes).
46% des médecins (hommes et femmes) exercent en libéral. L’Ordre note une nouvelle fois le « désintérêt croissant » manifesté par les médecins pour l’exercice libéral, « au profit de l’exercice salarié et, plus particulièrement, hospitalier ; aussi bien chez les médecins généralistes que chez les médecins spécialistes ».
L’Atlas relève la forte proportion (1 sur 4) des praticiens ayant obtenu leur diplôme hors de France (en Roumanie d’abord, puis dans un pays du Maghreb…). Ces médecins diplômés à l’étranger exercent majoritairement dans les régions à faible densité médicale, constate l’Ordre.
Quelle que soit l’origine de leur diplôme, ces nouveaux inscrits choisissent majoritairement le salariat (à 70 %) et ne se tournent vers l’exercice libéral exclusif que dans 9,4 % des cas.
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Re: LA SANTE
Petits pots à la banane de Nestlé
éventuel risque de présence de morceaux de verre.
Date : Jeudi 30 Juin 2011 Merci handicapzéro
éventuel risque de présence de morceaux de verre.
Date : Jeudi 30 Juin 2011 Merci handicapzéro
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Cholestérol et vacances
Vous devez surveiller votre cholestérol, donc votre alimentation. Ce qui, en vacances, n'est pas toujours évident, surtout si vous partez à l'étranger. Quelles sont les bonnes stratégies ?
Piqûre de rappel
Vous le savez bien évidemment. Vous devez éviter le plus possible les aliments et les produits de l'industrie qui contiennent beaucoup de graisses saturées : le beurre, la crème et les fromages fermentés, le saindoux, les charcuteries, les viandes rouges grasses, les viennoiseries, les pâtisseries. Et limiter aussi les œufs.
Le bon revers de la médaille, c'est que vous devez manger des poissons le plus souvent possible (à cause de leur richesse en Omega 3), des viandes blanches et des volailles, ce qui n'est pas désagréable, beaucoup de céréales, de légumes et de fruits d'où le cholestérol est totalement absent.
Vacances en famille
Vous êtes dans une maison familiale ou amicale ?
Quand vous arrivez, chargez-vous des achats de base. Vous pourrez ainsi faire provision des huiles qui sont recommandées (olive, colza), des laitages maigres, etc.
Bref, ce qu'il faut pour cuisiner une alimentation saine, pauvre en acides gras saturés et bénéfique contre le cholestérol. De toute façon, ça fera du bien à tout le monde !
Si votre médecin vous a donné une liste d'aliments à proscrire et à favoriser, emportez-la avec vous.
Elle servira à briefer ceux qui font les courses et à éviter qu'ils ne rapportent un festival d'acides gras saturés, genre monceau de barquettes de charcuteries (parce que ça évite de cuisiner !) ou train de côtes de bœuf bien grasses pour le barbecue ou provision de glaces bien crémeuses alors que des sorbets auraient fait tout aussi bien l'affaire, s'ils avaient su !
Mais ne vous prenez pas trop la tête pour autant : il ne faut pas quand même pas gâcher vos vacances et vous stresser (ce qui n'est pas bon pour votre cholestérol). Le jour où vous faites un écart, au restaurant parce qu'il n'y a pas de poisson au menu, ou en mangeant un morceau de fromage parce qu'il est vraiment trop tentant, compensez le lendemain en consommant du poisson et surtout plus de légumes et de fruits.
Vacances au sud
Vous partez dans un pays du sud de la France ou de la planète ?
Le respect des règles alimentaires anti-cholestérol vous sera beaucoup plus facile car la cuisine est le plus souvent faite à l'huile d'olive, les viandes rouges et les charcuteries n'y règnent pas, beurre et crème ne sont pas les vedettes de la gastronomie.
C'est le bon moment pour découvrir les bienfaits du régime méditerranéen, d'autant plus qu'il a fait ses preuves scientifiques dans la lutte contre le cholestérol.
Les vacances sont le bon moment pour prendre de bonnes habitudes alimentaires !
Fruits, légumes et poissons regorgent sur les marchés : si vous êtes dans une maison de vacances, les courses seront un plaisir. Si vous êtes dans un hôtel ou un club, il y a de grandes chances pour que ces produits soient souvent au menu.
Vacances à l'étranger
Même si vous parlez parfaitement l'anglais, la barrière de la langue risque fort de se poser : déchiffrer un menu dans un hôtel scandinave peut vous poser quelques difficultés de compréhension.
Si vous avez un IPhone, le problème est résolu ! PicTranslator, http://www.pictranslator.com, vous propose de prendre une photo du menu qui sera traduit d'un coup dans son intégralité que ce soit en russe, en espagnol ou en polonais (il y a 16 langues). Ca marche aussi avec d'autres textes de bonne qualité, ce qui doit vous permettre de déchiffrer les étiquettes des produits si vous faites des courses dans un supermarché.
Mais vous pouvez aussi télécharger l'application de traduction de Google qui vous traduira ce que vous lui dites à haute voix. 15 langues différentes sont disponibles.
Si vous n'avez pas cet équipement mais un ordinateur, prenez alors le temps (avant de partir si vous n'emportez pas votre machine) de vous faire une traduction, sur Google, de tous les aliments à "problème cholestérol" dans la langue de votre pays de vacances. Imprimez-la et gardez-la avec vous.
Où que ce soit, bougez-vous
Ne passez pas vos vacances vautré toute la journée dans un transat au bord d'une piscine !
Les études ne manquent plus qui démontrent que l'exercice physique est complètement bénéfique car il permet d'augmenter la proportion de bon cholestérol (le HDL).
Marche, vélo, natation sont particulièrement recommandés. Ce ne sont pas des sports que l'on peut facilement pratiquer en vacances ?
Vous visitez des villes, vous marchez. A la campagne, louez-vous un vélo et allez vous balader tranquille. Vous êtes au bord de la mer, nagez !
Vous allez inévitablement y prendre goût car ces exercices vont vous faire secréter de bonnes endorphines, ces molécules qui procurent du plaisir. Vous en aurez besoin à votre retour de vacances car vous vous y êtes habitué. Alors vous continuerez de marcher, vous aurez envie d'un vélo ou d'aller souvent nager. Et ce sera tout bénéfice dans votre combat contre le cholestérol.
Journaliste : Paule Neyrat, Diététicienne
Source : Kraus W.E. et coll., Effects of the amount and intensity of exercise on plasma lipoproteins, New England Journal of Medecine, 347 ( 19) : 1483-92, 7 novembre 2002 ; Walking Compared with Vigorous Exercise for the Prevention of Cardiovascular Events in Women, JoAnn E. Manson, et coll., N Engl J Med 2002; 347:716-725 September 5, 2002
Remerciements à handicapzéro pour cette information
BRIAND
Cholestérol et vacances
Vous devez surveiller votre cholestérol, donc votre alimentation. Ce qui, en vacances, n'est pas toujours évident, surtout si vous partez à l'étranger. Quelles sont les bonnes stratégies ?
Piqûre de rappel
Vous le savez bien évidemment. Vous devez éviter le plus possible les aliments et les produits de l'industrie qui contiennent beaucoup de graisses saturées : le beurre, la crème et les fromages fermentés, le saindoux, les charcuteries, les viandes rouges grasses, les viennoiseries, les pâtisseries. Et limiter aussi les œufs.
Le bon revers de la médaille, c'est que vous devez manger des poissons le plus souvent possible (à cause de leur richesse en Omega 3), des viandes blanches et des volailles, ce qui n'est pas désagréable, beaucoup de céréales, de légumes et de fruits d'où le cholestérol est totalement absent.
Vacances en famille
Vous êtes dans une maison familiale ou amicale ?
Quand vous arrivez, chargez-vous des achats de base. Vous pourrez ainsi faire provision des huiles qui sont recommandées (olive, colza), des laitages maigres, etc.
Bref, ce qu'il faut pour cuisiner une alimentation saine, pauvre en acides gras saturés et bénéfique contre le cholestérol. De toute façon, ça fera du bien à tout le monde !
Si votre médecin vous a donné une liste d'aliments à proscrire et à favoriser, emportez-la avec vous.
Elle servira à briefer ceux qui font les courses et à éviter qu'ils ne rapportent un festival d'acides gras saturés, genre monceau de barquettes de charcuteries (parce que ça évite de cuisiner !) ou train de côtes de bœuf bien grasses pour le barbecue ou provision de glaces bien crémeuses alors que des sorbets auraient fait tout aussi bien l'affaire, s'ils avaient su !
Mais ne vous prenez pas trop la tête pour autant : il ne faut pas quand même pas gâcher vos vacances et vous stresser (ce qui n'est pas bon pour votre cholestérol). Le jour où vous faites un écart, au restaurant parce qu'il n'y a pas de poisson au menu, ou en mangeant un morceau de fromage parce qu'il est vraiment trop tentant, compensez le lendemain en consommant du poisson et surtout plus de légumes et de fruits.
Vacances au sud
Vous partez dans un pays du sud de la France ou de la planète ?
Le respect des règles alimentaires anti-cholestérol vous sera beaucoup plus facile car la cuisine est le plus souvent faite à l'huile d'olive, les viandes rouges et les charcuteries n'y règnent pas, beurre et crème ne sont pas les vedettes de la gastronomie.
C'est le bon moment pour découvrir les bienfaits du régime méditerranéen, d'autant plus qu'il a fait ses preuves scientifiques dans la lutte contre le cholestérol.
Les vacances sont le bon moment pour prendre de bonnes habitudes alimentaires !
Fruits, légumes et poissons regorgent sur les marchés : si vous êtes dans une maison de vacances, les courses seront un plaisir. Si vous êtes dans un hôtel ou un club, il y a de grandes chances pour que ces produits soient souvent au menu.
Vacances à l'étranger
Même si vous parlez parfaitement l'anglais, la barrière de la langue risque fort de se poser : déchiffrer un menu dans un hôtel scandinave peut vous poser quelques difficultés de compréhension.
Si vous avez un IPhone, le problème est résolu ! PicTranslator, http://www.pictranslator.com, vous propose de prendre une photo du menu qui sera traduit d'un coup dans son intégralité que ce soit en russe, en espagnol ou en polonais (il y a 16 langues). Ca marche aussi avec d'autres textes de bonne qualité, ce qui doit vous permettre de déchiffrer les étiquettes des produits si vous faites des courses dans un supermarché.
Mais vous pouvez aussi télécharger l'application de traduction de Google qui vous traduira ce que vous lui dites à haute voix. 15 langues différentes sont disponibles.
Si vous n'avez pas cet équipement mais un ordinateur, prenez alors le temps (avant de partir si vous n'emportez pas votre machine) de vous faire une traduction, sur Google, de tous les aliments à "problème cholestérol" dans la langue de votre pays de vacances. Imprimez-la et gardez-la avec vous.
Où que ce soit, bougez-vous
Ne passez pas vos vacances vautré toute la journée dans un transat au bord d'une piscine !
Les études ne manquent plus qui démontrent que l'exercice physique est complètement bénéfique car il permet d'augmenter la proportion de bon cholestérol (le HDL).
Marche, vélo, natation sont particulièrement recommandés. Ce ne sont pas des sports que l'on peut facilement pratiquer en vacances ?
Vous visitez des villes, vous marchez. A la campagne, louez-vous un vélo et allez vous balader tranquille. Vous êtes au bord de la mer, nagez !
Vous allez inévitablement y prendre goût car ces exercices vont vous faire secréter de bonnes endorphines, ces molécules qui procurent du plaisir. Vous en aurez besoin à votre retour de vacances car vous vous y êtes habitué. Alors vous continuerez de marcher, vous aurez envie d'un vélo ou d'aller souvent nager. Et ce sera tout bénéfice dans votre combat contre le cholestérol.
Journaliste : Paule Neyrat, Diététicienne
Source : Kraus W.E. et coll., Effects of the amount and intensity of exercise on plasma lipoproteins, New England Journal of Medecine, 347 ( 19) : 1483-92, 7 novembre 2002 ; Walking Compared with Vigorous Exercise for the Prevention of Cardiovascular Events in Women, JoAnn E. Manson, et coll., N Engl J Med 2002; 347:716-725 September 5, 2002
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BRIAND
Re: LA SANTE
Que faire en cas de fortes chaleurs ?
Rafraîchir son habitation
* Fermez les volets et les rideaux des façades exposées au soleil.
* Maintenez les fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure.
* Ouvrez les fenêtres tôt le matin, tard le soir et la nuit.
* Provoquez des courants d’air dans tout le bâtiment dès que la température extérieure est plus basse que la température intérieure.
* Dans la mesure du possible, baissez ou éteignez les lumières électriques et plus généralement les appareils électriques susceptibles de dégager de la chaleur.
Se rafraîchir
* Prenez régulièrement dans la journée des douches ou des bains frais, sans vous sécher.
* Restez à l’intérieur de votre habitat dans les pièces les plus fraîches et au mieux, dans un espace rafraîchi (réglez votre système de rafraîchissement 5°C en dessous de la température ambiante).
* En l’absence de rafraîchissement, passez au moins 2 ou 3heures par jour dans un endroit frais : grands magasins, cinémas, lieux publics (listes de ces endroits disponibles auprès du numéro mis en place par la préfecture ou auprès de votre mairie).
Éviter de sortir
* Évitez de sortir à l’extérieur aux heures les plus chaudes (11h – 21h).
* Préférez le matin tôt ou le soir tard, restez à l’ombre dans la mesure du possible, ne vous installez pas en plein soleil.
* Portez un chapeau, des vêtements légers (coton) et amples, de préférence de couleur claire.
Se désaltérer
* Buvez régulièrement et sans attendre d’avoir soif, au moins 1 litre et demi à 2 litres par jour, sauf en cas de contre-indication médicale.
* Ne consommez pas d’alcool, qui altère les capacités de lutte contre la chaleur et favorise la déshydratation.
* Évitez les boissons à forte teneur en caféine (café, thé, colas) ou très sucrées (sodas) car ces liquides augmentent la sécrétion de l’urine.
* En cas de difficulté à avaler les liquides, prenez de l’eau sous forme solide en consommant des fruits (melons, pastèques, prunes, raisins, agrumes) et des crudités (concombres, tomates, sauf en cas de diarrhées), boire de l’eau gélifiée.
* Accompagnez la prise de boissons non-alcoolisées d’une alimentation solide, en fractionnant si besoin les repas, pour recharger l’organisme en sels minéraux (pain, soupes, etc.).
* Évitez les activités extérieures nécessitant des dépenses d’énergie trop importantes (sports, jardinage, bricolage, etc.).
Aider ses proches
* Aidez les personnes dépendantes (nourrissons et enfants, personnes âgées, personnes handicapées, personnes souffrant de troubles mentaux) en leur proposant régulièrement des boissons, même en l’absence de demande de leur part.
* Appelez régulièrement vos voisins et/ou vos proches âgés et/ou handicapés pour prendre régulièrement de leurs nouvelles.
Source : Ministère de la santé
Direction générale de la santé
Département des urgences sanitaires
Cellule communication
Rédaction : juin 2011
Rafraîchir son habitation
* Fermez les volets et les rideaux des façades exposées au soleil.
* Maintenez les fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure.
* Ouvrez les fenêtres tôt le matin, tard le soir et la nuit.
* Provoquez des courants d’air dans tout le bâtiment dès que la température extérieure est plus basse que la température intérieure.
* Dans la mesure du possible, baissez ou éteignez les lumières électriques et plus généralement les appareils électriques susceptibles de dégager de la chaleur.
Se rafraîchir
* Prenez régulièrement dans la journée des douches ou des bains frais, sans vous sécher.
* Restez à l’intérieur de votre habitat dans les pièces les plus fraîches et au mieux, dans un espace rafraîchi (réglez votre système de rafraîchissement 5°C en dessous de la température ambiante).
* En l’absence de rafraîchissement, passez au moins 2 ou 3heures par jour dans un endroit frais : grands magasins, cinémas, lieux publics (listes de ces endroits disponibles auprès du numéro mis en place par la préfecture ou auprès de votre mairie).
Éviter de sortir
* Évitez de sortir à l’extérieur aux heures les plus chaudes (11h – 21h).
* Préférez le matin tôt ou le soir tard, restez à l’ombre dans la mesure du possible, ne vous installez pas en plein soleil.
* Portez un chapeau, des vêtements légers (coton) et amples, de préférence de couleur claire.
Se désaltérer
* Buvez régulièrement et sans attendre d’avoir soif, au moins 1 litre et demi à 2 litres par jour, sauf en cas de contre-indication médicale.
* Ne consommez pas d’alcool, qui altère les capacités de lutte contre la chaleur et favorise la déshydratation.
* Évitez les boissons à forte teneur en caféine (café, thé, colas) ou très sucrées (sodas) car ces liquides augmentent la sécrétion de l’urine.
* En cas de difficulté à avaler les liquides, prenez de l’eau sous forme solide en consommant des fruits (melons, pastèques, prunes, raisins, agrumes) et des crudités (concombres, tomates, sauf en cas de diarrhées), boire de l’eau gélifiée.
* Accompagnez la prise de boissons non-alcoolisées d’une alimentation solide, en fractionnant si besoin les repas, pour recharger l’organisme en sels minéraux (pain, soupes, etc.).
* Évitez les activités extérieures nécessitant des dépenses d’énergie trop importantes (sports, jardinage, bricolage, etc.).
Aider ses proches
* Aidez les personnes dépendantes (nourrissons et enfants, personnes âgées, personnes handicapées, personnes souffrant de troubles mentaux) en leur proposant régulièrement des boissons, même en l’absence de demande de leur part.
* Appelez régulièrement vos voisins et/ou vos proches âgés et/ou handicapés pour prendre régulièrement de leurs nouvelles.
Source : Ministère de la santé
Direction générale de la santé
Département des urgences sanitaires
Cellule communication
Rédaction : juin 2011
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Le sujet est arrivé sur le forum récemment. (deux infos reçues ce jour)
L’UFC-Que Choisir s’inquiète de la tournure des négociations en cours sur la convention médicale entre les syndicats de médecins et l’Assurance maladie sur la création d’un secteur « optionnel » qui entérinerait les dépassements d’honoraires.
Ce nouveau secteur, entre le secteur 1 (conventionné) et le secteur 2 (à honoraires libres) « autoriserait certains médecins spécialistes (chirurgiens, anesthésistes, gynécologues obstétriciens) à pratiquer des dépassements d’honoraires pouvant atteindre 50 % du tarif de base, à condition qu’ils réalisent 30 % de leurs actes au tarif conventionné », écrit Que-Choisir dans un communiqué.
Elle considère qu ’il s’agirait d’une « aubaine pour les médecins concernés qui bénéficieraient ainsi d’une clientèle solvabilisée – puisque les complémentaires santé s’engageraient à prendre en charge ces dépassements – et d’un financement d’une partie de leurs cotisations sociales par la collectivité ».
L’association de consommateurs estime que les cotisations de complémentaire santé « déjà en croissance de 52 % entre 2001 et 2008, exploseraient sous l’effet de l’augmentation du prix moyen des actes concernés ». Et ceux qui ne peuvent cotiser à une complémentaire santé devraient payer ces dépassements d’honoraires. _Les dépassements d’honoraire ont doublé en 20 ans, en euros constants...............
Information '' VIVA PRESSE '' et '' QUE CHOIIR '' Le 18 juillet 2011
Le sujet est arrivé sur le forum récemment. (deux infos reçues ce jour)
L’UFC-Que Choisir s’inquiète de la tournure des négociations en cours sur la convention médicale entre les syndicats de médecins et l’Assurance maladie sur la création d’un secteur « optionnel » qui entérinerait les dépassements d’honoraires.
Ce nouveau secteur, entre le secteur 1 (conventionné) et le secteur 2 (à honoraires libres) « autoriserait certains médecins spécialistes (chirurgiens, anesthésistes, gynécologues obstétriciens) à pratiquer des dépassements d’honoraires pouvant atteindre 50 % du tarif de base, à condition qu’ils réalisent 30 % de leurs actes au tarif conventionné », écrit Que-Choisir dans un communiqué.
Elle considère qu ’il s’agirait d’une « aubaine pour les médecins concernés qui bénéficieraient ainsi d’une clientèle solvabilisée – puisque les complémentaires santé s’engageraient à prendre en charge ces dépassements – et d’un financement d’une partie de leurs cotisations sociales par la collectivité ».
L’association de consommateurs estime que les cotisations de complémentaire santé « déjà en croissance de 52 % entre 2001 et 2008, exploseraient sous l’effet de l’augmentation du prix moyen des actes concernés ». Et ceux qui ne peuvent cotiser à une complémentaire santé devraient payer ces dépassements d’honoraires. _Les dépassements d’honoraire ont doublé en 20 ans, en euros constants...............
Information '' VIVA PRESSE '' et '' QUE CHOIIR '' Le 18 juillet 2011
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Marseille
Le Pr François Nicoli, démissionnaire : « Je ne pouvais plus assurer la sécurité de mes patients »
Mise en ligne : 19 juillet 2011
Le professeur François Nicoli, chef du service d’urgences neuro-vasculaires du CHU de la Timone à Marseille revient sur l’annonce de sa démission, en juin dernier, pour protester contre le manque de moyens dans son service.........
Information VIVA PRESSE que nous remercions
Marseille
Le Pr François Nicoli, démissionnaire : « Je ne pouvais plus assurer la sécurité de mes patients »
Mise en ligne : 19 juillet 2011
Le professeur François Nicoli, chef du service d’urgences neuro-vasculaires du CHU de la Timone à Marseille revient sur l’annonce de sa démission, en juin dernier, pour protester contre le manque de moyens dans son service.........
Information VIVA PRESSE que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Vers des primes "à la performance" pour les médecins
Créé le 21/07/2011 à 18h10
Les négociations auront duré dix-huit heures. L'assurance maladie et les syndicats de médecins libéraux ont signé dans la nuit de mercredi une nouvelle convention médicale pour les cinq prochaines années. Un protocole d'accord pour généraliser le paiement à la performance pour les médecins : une prime qui pourrait s'élever à 9.000 euros pour les généralistes qui atteindront l'ensemble des objectifs fixés en termes de prévention, de prescription ou encore d'informatisation de leur cabinet. L'accord jette aussi les bases d'un "secteur optionnel", nouveau secteur tarifaire permettant d'encadrer les dépassements d'honoraires de certains spécialistes. Mais sa mise en oeuvre reste suspendue à l'accord des complémentaires santé (mutuelles, assurances privées).
Information RTL
Vers des primes "à la performance" pour les médecins
Créé le 21/07/2011 à 18h10
Les négociations auront duré dix-huit heures. L'assurance maladie et les syndicats de médecins libéraux ont signé dans la nuit de mercredi une nouvelle convention médicale pour les cinq prochaines années. Un protocole d'accord pour généraliser le paiement à la performance pour les médecins : une prime qui pourrait s'élever à 9.000 euros pour les généralistes qui atteindront l'ensemble des objectifs fixés en termes de prévention, de prescription ou encore d'informatisation de leur cabinet. L'accord jette aussi les bases d'un "secteur optionnel", nouveau secteur tarifaire permettant d'encadrer les dépassements d'honoraires de certains spécialistes. Mais sa mise en oeuvre reste suspendue à l'accord des complémentaires santé (mutuelles, assurances privées).
Information RTL
Re: LA SANTE
Que nous réserve t'on et à quelle sauce allons nous être encore mangés?
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Attention aux tatouages au henné noir
Mise en ligne : 25 juillet 2011
Les tatouages au henné marron ou orange ont de moins en moins la cote. Les Français leur préfèrent depuis plusieurs années ceux au henné noir, qui donnent davantage l’impression d’être vrais. Problème : pour obtenir la couleur noire tant appréciée, les tatoueurs ajoutent de la paraphenylènedianmine au mélange initial de poudre verte et d’huile, une substance pourtant interdite par la législation européenne dans les produits cosmétiques destinés à être directement appliqués sur la peau.
Les allergologues du Centre hospitalier de Lyon Sud ont donc tiré la sonnette d’alarme en cette période de grandes vacances, durant laquelle les tatouages se multiplient : le henné noir provoque des réactions allergiques pouvant mener à des hospitalisations.
« Ces réactions allergiques peuvent être violentes », rappellent les allergologues. Elles peuvent se limiter à la zone tatouée, mais aussi s’étendre à la zone avoisinante, voire se généraliser à tout le corps. Elles peuvent laisser des cicatrices indélébiles et provoquer des allergies aux teintures capillaires, à certains médicaments ou encore à des colorants vestimentaires.
La paraphenylènedianmine est utilisée en coiffure, pour réaliser les teintures, mais de manière légale car elle n’est présente qu’à 2 % dans les préparations et nécessite un temps de pause très court. Dans le cas des tatouages au henné noir, les proportions peuvent atteindre 25 ou 35 % et la substance nécessite un temps de pause de plusieurs heures.
information VIVA
Attention aux tatouages au henné noir
Mise en ligne : 25 juillet 2011
Les tatouages au henné marron ou orange ont de moins en moins la cote. Les Français leur préfèrent depuis plusieurs années ceux au henné noir, qui donnent davantage l’impression d’être vrais. Problème : pour obtenir la couleur noire tant appréciée, les tatoueurs ajoutent de la paraphenylènedianmine au mélange initial de poudre verte et d’huile, une substance pourtant interdite par la législation européenne dans les produits cosmétiques destinés à être directement appliqués sur la peau.
Les allergologues du Centre hospitalier de Lyon Sud ont donc tiré la sonnette d’alarme en cette période de grandes vacances, durant laquelle les tatouages se multiplient : le henné noir provoque des réactions allergiques pouvant mener à des hospitalisations.
« Ces réactions allergiques peuvent être violentes », rappellent les allergologues. Elles peuvent se limiter à la zone tatouée, mais aussi s’étendre à la zone avoisinante, voire se généraliser à tout le corps. Elles peuvent laisser des cicatrices indélébiles et provoquer des allergies aux teintures capillaires, à certains médicaments ou encore à des colorants vestimentaires.
La paraphenylènedianmine est utilisée en coiffure, pour réaliser les teintures, mais de manière légale car elle n’est présente qu’à 2 % dans les préparations et nécessite un temps de pause très court. Dans le cas des tatouages au henné noir, les proportions peuvent atteindre 25 ou 35 % et la substance nécessite un temps de pause de plusieurs heures.
information VIVA
Re: LA SANTE
Intoxications alimentaires de l'été, comment les éviter ?
Lorsque les aliments sont mal transportés, mal conservés et préparés au dernier moment, ils peuvent être porteurs de multiples bactéries néfastes. Comment repérer ces produits à risque ? Et comment se traiter en cas d'intoxications ? Les réponses du professeur Robert Benamouzig, chef du service de gastro-entérologie à l'hôpital Avicenne de Bobigny et membre de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE).
L'été est souvent synonyme de beaux jours propices au bien-être et à la relaxation. Mais il peut également annoncer de mauvaises surprises... De fait, qui ne connaît pas la « tourista » ? Cette fameuse « diarrhée du voyageur » survenant souvent en haute saison. Casse-croûte sur le pouce, charcuteries et glaces achetés dans la baraque à frites du coin... En vacances, si la découverte de nouvelles régions, pays et sites ne manque pas d'attraits ; celle des produits de la supérette du village ou des spécialités locales est parfois, plus hasardeuse. Même si, en principe, « tout produit contrôlé et répondant aux normes réglementaires en terme de conservation est, à priori, sans danger pour la santé », précise le professeur Benamouzig.
Attention aux viandes, oeufs et crèmes
Le problème, c'est que le touriste qui achète ses produits, pour la première fois, chez un fournisseur alimentaire (restaurant, supermarché, kiosque à glaces...) ne peut pas savoir, à l'avance, si celui-ci respecte ou non les normes de qualité. Et cela, même si quelques signes peuvent, tout de même l'alerter (lire l'encadré). L'été, le voyageur doit se méfier tout particulièrement de certains aliments. Le principal risque étant lié à la rupture de la chaîne du froid : « Les glaces et crèmes de toutes sortes (y compris celles contenues dans les pâtisseries) peuvent provoquer des intoxications lorsqu'elles ne sont pas bien conservées. Même chose pour la charcuterie. La viande hachée crue, quant à elle, favorise la prolifération des bactéries. Et les oeufs peuvent être vecteurs de salmonelles. Car contrairement aux infections virales de l'hiver, les intoxications de l'été sont plutôt d'ordre alimentaires et bactériennes », détaille le professeur Benamouzig. Dans ce cas, lorsque l'on a consommé des produits avariés - infestés de mauvaises bactéries - l'intoxication alimentaire estivale peut-elle être grave ? « La sévérité de la maladie n'est pas tellement liée au type de bactérie présent dans l'aliment (staphylocoques, salmonelles escherichia coli...). Mais au “terrain” de chaque patient : le tout-petit, la personne âgée ou immunodéprimée risquent, par exemple, de développer une forme plus importante d'intoxication que les trentenaires en bonne santé », explique le professeur Benamouzig.
Les intoxications graves restent rares
Deux types d'infections peuvent conduire à une intoxication alimentaire. Celles dites « directes » sont engendrées par l'ingestion d'un ou plusieurs microbes provoquant directement une atteinte de la muqueuse digestive (au niveau de l'intestin ou du côlon). « Pour ce type d'infection, l'intoxication est le plus souvent modérée (lorsqu'elle touche l'intestin). Elle n'est sévère que dans certains cas, notamment lorsqu'elle infecte le côlon », note le professeur Benamouzig. Les infections indirectes, quant à elles, surviennent lorsque le microbe absorbé sécrète à son tour un produit toxique (appelé toxine). « Certaines toxines peuvent provoquer des diarrhées sévères et une importante déshydratation », poursuit le professeur Benamouzig. En cas d'intoxication alimentaire grave, les symptômes doivent amener à consulter - en quelques heures - un médecin généraliste ou les urgences de l'hôpital le plus proche : très forte fièvre (entre 38.5 et 39), douleurs abdominales intenses avec durcissement du ventre, nausées et vomissements importants, diarrhées avec présence de sang et/ou de glaires dans les selles. Heureusement, ces cas extrêmes restent rares. Seule une dizaine de décès survient chaque année en France à la suite d'intoxications alimentaires.
Un traitement classique
Le plus souvent, la maladie reste bénigne, la guérison survient en 48 heures et les symptômes sont modérés : pas ou peu de fièvre (37.8 à 38 maximum), diarrhée liquide sans perte de sang, vomissements et nausées peu importants. Le premier traitement de l'intoxication alimentaire reste la réhydratation : le patient doit boire une grande quantité d'eau agrémentée de sel et de sucre (disponible en pharmacie ou à concocter soi-même) ou du coca sans bulles. Côté médicaments, les antisécrétoires (contre le vomissement) et les produits bloquant le transit (contre les diarrhées) figurent parmi les produits les plus prescrits par le médecin. Enfin, lorsque l'on est intoxiqué, mieux vaut ne pas oublier de se laver régulièrement les mains. Ce geste simple évite de contaminer les aliments avec ses propres germes !
Peut-on repérer les intoxications estivales ?
L'allure d'un magasin peut, parfois aider le consommateur à choisir le(s) lieu(x) où il souhaite s'alimenter. Par exemple, un restaurant où les règles d'hygiène générales ne seraient pas respectées (vitrine sale, couverts mal lavés, WC mal entretenus...) doivent alerter le bon sens du voyageur. De même, un supermarché qui laisse, dans ses rayons, des produits dont la date de péremption est dépassée, n'est pas un endroit à fréquenter ! « Mais attention : l'allure peut être trompeuse. Un magasin doté d'une belle devanture récemment refaite n'est pas forcément un gage de qualité », affirme le professeur Benamouzig. Généralement, les grandes enseignes connues du grand public (telles que les chaînes de supermarchés et restaurants) garantissent davantage de sécurité au consommateur. Les process de fabrication et de conservation des aliments sont bien maîtrisés. Mais là encore, le client n'est pas à l'abri. Certains employés ne respectant pas toujours les règles d'hygiène imposées par leur supérieur !
Coup de pouce
En prévention et pour soulager les symptômes de la diarrhée infectieuse, les probiotiques sont considérés comme vraiment efficaces (Lactibiane Voyage de Pileje, 12,90 € en pharmacie), mais les huiles essentielles sont aussi d'une aide précieuse. Facile d'administration, le Help Spray SOS Digestion-Tourista de Pranarôm se prend par voie orale à chaque repas et contient des HE de cannelle anti-infectieuse puissante, de tea tree anti-bactérienne à large spectre et de menthe pour ses propriétés digestives (9,90 € en pharmacies et boutiques bio).
Parfois, les troubles digestifs ne sont pas le fait d'une intoxication à proprement dit, mais plus une diarrhée d'acclimatation due au changement d'habitudes alimentaires et de climat, au stress du voyage...
20 % à 25 % des voyageurs qui effectuent leur périple en zone tropicale présentent une tourista pendant leur séjour.
Remerciements à HANDICAPZEO particulièrement à Mme Hélia Hakimi-Prévot journaliste 10/08/2011
Lorsque les aliments sont mal transportés, mal conservés et préparés au dernier moment, ils peuvent être porteurs de multiples bactéries néfastes. Comment repérer ces produits à risque ? Et comment se traiter en cas d'intoxications ? Les réponses du professeur Robert Benamouzig, chef du service de gastro-entérologie à l'hôpital Avicenne de Bobigny et membre de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie (SNFGE).
L'été est souvent synonyme de beaux jours propices au bien-être et à la relaxation. Mais il peut également annoncer de mauvaises surprises... De fait, qui ne connaît pas la « tourista » ? Cette fameuse « diarrhée du voyageur » survenant souvent en haute saison. Casse-croûte sur le pouce, charcuteries et glaces achetés dans la baraque à frites du coin... En vacances, si la découverte de nouvelles régions, pays et sites ne manque pas d'attraits ; celle des produits de la supérette du village ou des spécialités locales est parfois, plus hasardeuse. Même si, en principe, « tout produit contrôlé et répondant aux normes réglementaires en terme de conservation est, à priori, sans danger pour la santé », précise le professeur Benamouzig.
Attention aux viandes, oeufs et crèmes
Le problème, c'est que le touriste qui achète ses produits, pour la première fois, chez un fournisseur alimentaire (restaurant, supermarché, kiosque à glaces...) ne peut pas savoir, à l'avance, si celui-ci respecte ou non les normes de qualité. Et cela, même si quelques signes peuvent, tout de même l'alerter (lire l'encadré). L'été, le voyageur doit se méfier tout particulièrement de certains aliments. Le principal risque étant lié à la rupture de la chaîne du froid : « Les glaces et crèmes de toutes sortes (y compris celles contenues dans les pâtisseries) peuvent provoquer des intoxications lorsqu'elles ne sont pas bien conservées. Même chose pour la charcuterie. La viande hachée crue, quant à elle, favorise la prolifération des bactéries. Et les oeufs peuvent être vecteurs de salmonelles. Car contrairement aux infections virales de l'hiver, les intoxications de l'été sont plutôt d'ordre alimentaires et bactériennes », détaille le professeur Benamouzig. Dans ce cas, lorsque l'on a consommé des produits avariés - infestés de mauvaises bactéries - l'intoxication alimentaire estivale peut-elle être grave ? « La sévérité de la maladie n'est pas tellement liée au type de bactérie présent dans l'aliment (staphylocoques, salmonelles escherichia coli...). Mais au “terrain” de chaque patient : le tout-petit, la personne âgée ou immunodéprimée risquent, par exemple, de développer une forme plus importante d'intoxication que les trentenaires en bonne santé », explique le professeur Benamouzig.
Les intoxications graves restent rares
Deux types d'infections peuvent conduire à une intoxication alimentaire. Celles dites « directes » sont engendrées par l'ingestion d'un ou plusieurs microbes provoquant directement une atteinte de la muqueuse digestive (au niveau de l'intestin ou du côlon). « Pour ce type d'infection, l'intoxication est le plus souvent modérée (lorsqu'elle touche l'intestin). Elle n'est sévère que dans certains cas, notamment lorsqu'elle infecte le côlon », note le professeur Benamouzig. Les infections indirectes, quant à elles, surviennent lorsque le microbe absorbé sécrète à son tour un produit toxique (appelé toxine). « Certaines toxines peuvent provoquer des diarrhées sévères et une importante déshydratation », poursuit le professeur Benamouzig. En cas d'intoxication alimentaire grave, les symptômes doivent amener à consulter - en quelques heures - un médecin généraliste ou les urgences de l'hôpital le plus proche : très forte fièvre (entre 38.5 et 39), douleurs abdominales intenses avec durcissement du ventre, nausées et vomissements importants, diarrhées avec présence de sang et/ou de glaires dans les selles. Heureusement, ces cas extrêmes restent rares. Seule une dizaine de décès survient chaque année en France à la suite d'intoxications alimentaires.
Un traitement classique
Le plus souvent, la maladie reste bénigne, la guérison survient en 48 heures et les symptômes sont modérés : pas ou peu de fièvre (37.8 à 38 maximum), diarrhée liquide sans perte de sang, vomissements et nausées peu importants. Le premier traitement de l'intoxication alimentaire reste la réhydratation : le patient doit boire une grande quantité d'eau agrémentée de sel et de sucre (disponible en pharmacie ou à concocter soi-même) ou du coca sans bulles. Côté médicaments, les antisécrétoires (contre le vomissement) et les produits bloquant le transit (contre les diarrhées) figurent parmi les produits les plus prescrits par le médecin. Enfin, lorsque l'on est intoxiqué, mieux vaut ne pas oublier de se laver régulièrement les mains. Ce geste simple évite de contaminer les aliments avec ses propres germes !
Peut-on repérer les intoxications estivales ?
L'allure d'un magasin peut, parfois aider le consommateur à choisir le(s) lieu(x) où il souhaite s'alimenter. Par exemple, un restaurant où les règles d'hygiène générales ne seraient pas respectées (vitrine sale, couverts mal lavés, WC mal entretenus...) doivent alerter le bon sens du voyageur. De même, un supermarché qui laisse, dans ses rayons, des produits dont la date de péremption est dépassée, n'est pas un endroit à fréquenter ! « Mais attention : l'allure peut être trompeuse. Un magasin doté d'une belle devanture récemment refaite n'est pas forcément un gage de qualité », affirme le professeur Benamouzig. Généralement, les grandes enseignes connues du grand public (telles que les chaînes de supermarchés et restaurants) garantissent davantage de sécurité au consommateur. Les process de fabrication et de conservation des aliments sont bien maîtrisés. Mais là encore, le client n'est pas à l'abri. Certains employés ne respectant pas toujours les règles d'hygiène imposées par leur supérieur !
Coup de pouce
En prévention et pour soulager les symptômes de la diarrhée infectieuse, les probiotiques sont considérés comme vraiment efficaces (Lactibiane Voyage de Pileje, 12,90 € en pharmacie), mais les huiles essentielles sont aussi d'une aide précieuse. Facile d'administration, le Help Spray SOS Digestion-Tourista de Pranarôm se prend par voie orale à chaque repas et contient des HE de cannelle anti-infectieuse puissante, de tea tree anti-bactérienne à large spectre et de menthe pour ses propriétés digestives (9,90 € en pharmacies et boutiques bio).
Parfois, les troubles digestifs ne sont pas le fait d'une intoxication à proprement dit, mais plus une diarrhée d'acclimatation due au changement d'habitudes alimentaires et de climat, au stress du voyage...
20 % à 25 % des voyageurs qui effectuent leur périple en zone tropicale présentent une tourista pendant leur séjour.
Remerciements à HANDICAPZEO particulièrement à Mme Hélia Hakimi-Prévot journaliste 10/08/2011
Re: LA SANTE
Votre chirurgien me demande un dépassement d'honoraires,croyez -vous qu'il en a le droit me demande une personne ?
Il y a deux pratique bien différentes
1 ) le dépasement d'honoraires est parfaitement autorisé.
2 ) Le dessous de table ou pot de vin est totalement prohibé .
Si un professionnel vous réclame une somme en espèces sans facturation, vous pouvez déposez plainte et le signaler à l'ordre des médecins.
J'ai oublié mon rendez-vous chez le médecin, peut-il m' être facturé une consultation ?
Non , mais cela n'exclut pas de respecter les règles de politesse. A savoir prévenir si vous
avez un empêchement.
Une spécialiste m'avait confié : Cela me permettrait de prendre rapidement un patient qui est obligé d'attendre des semaines parfois.
BRIAND
Il y a deux pratique bien différentes
1 ) le dépasement d'honoraires est parfaitement autorisé.
2 ) Le dessous de table ou pot de vin est totalement prohibé .
Si un professionnel vous réclame une somme en espèces sans facturation, vous pouvez déposez plainte et le signaler à l'ordre des médecins.
J'ai oublié mon rendez-vous chez le médecin, peut-il m' être facturé une consultation ?
Non , mais cela n'exclut pas de respecter les règles de politesse. A savoir prévenir si vous
avez un empêchement.
Une spécialiste m'avait confié : Cela me permettrait de prendre rapidement un patient qui est obligé d'attendre des semaines parfois.
BRIAND
Re: LA SANTE
Adoptons les bons réflexes
Fruits et légumes : cocktail de pesticides
Mise en ligne : 25 août 2011
Sans devenir parano, mieux vaut connaître les dangers de notre alimentation pour éviter de s’empoisonner à petit feu… Nos astuces pour déjouer les pièges de la malbouffe.
Championne, la France ! Avec près de 80 000 tonnes de pesticides déversés sur les cultures chaque année, elle est le premier utilisateur européen de ces substances. Pas étonnant donc qu’on en retrouve des traces dans nos assiettes.
En 2009, selon l’association Générations futures, 52,1 % de nos fruits et légumes contenaient des résidus de pesticides, contre 45 % en 2006. Rien d’illégal, sauf que 7,6 % dépassaient les limites maximales autorisées, 8,2 % pour les céréales. Parmi les hors-la-loi, les pêches, les fraises, les oranges, les citrons, les mandarines, les poivrons, le céleri branche, les épinards, les poireaux, les tomates, les laitues… En 2008, ce sont 4,5 % des raisins de 5 pays européens qui n’étaient pas dans les clous.
On ne s’inquiéterait pas si certains de ces pesticides n’étaient pas classés cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction et si nous n’étions exposés qu’à un seul. Mais il y en a en moyenne 5 par fruit. Une pomme peut même recevoir jusqu’à 27 traitements différents, un raisin, 40, de même qu’une pomme de terre !
Le réseau Pan-Europe, qui regroupe 600 Ong, propose de réduire la quantité de pesticides de moitié. Un rêve ! En 2008, dans le cadre de l’harmonisation de la réglementation au niveau européen, plutôt que d’opter pour un alignement sur les doses les plus faibles en vigueur dans certains pays, la Commission européenne a choisi les plus hautes. Moralité : une tomate française peut désormais recevoir 10 fois plus d’herbicide qu’avant. A raison de 5 fruits et légumes recommandés par jour, merci les lobbys.
Astuce :
Laver et éplucher ne suffit pas, car les pesticides peuvent imprégner la chair. Privilégiez les fruits et légumes bio, qui, selon l’Afssa, « éliminent les risques associés aux produits phytosanitaires de synthèse pour la santé humaine ».
Achetez des produits de saison et de proximité, car, pour qu’ils se conservent longtemps, ceux qui viennent de loin sont aspergés de pesticides après la récolte.
Remerciements à '' VIVA'' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
Fruits et légumes : cocktail de pesticides
Mise en ligne : 25 août 2011
Sans devenir parano, mieux vaut connaître les dangers de notre alimentation pour éviter de s’empoisonner à petit feu… Nos astuces pour déjouer les pièges de la malbouffe.
Championne, la France ! Avec près de 80 000 tonnes de pesticides déversés sur les cultures chaque année, elle est le premier utilisateur européen de ces substances. Pas étonnant donc qu’on en retrouve des traces dans nos assiettes.
En 2009, selon l’association Générations futures, 52,1 % de nos fruits et légumes contenaient des résidus de pesticides, contre 45 % en 2006. Rien d’illégal, sauf que 7,6 % dépassaient les limites maximales autorisées, 8,2 % pour les céréales. Parmi les hors-la-loi, les pêches, les fraises, les oranges, les citrons, les mandarines, les poivrons, le céleri branche, les épinards, les poireaux, les tomates, les laitues… En 2008, ce sont 4,5 % des raisins de 5 pays européens qui n’étaient pas dans les clous.
On ne s’inquiéterait pas si certains de ces pesticides n’étaient pas classés cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction et si nous n’étions exposés qu’à un seul. Mais il y en a en moyenne 5 par fruit. Une pomme peut même recevoir jusqu’à 27 traitements différents, un raisin, 40, de même qu’une pomme de terre !
Le réseau Pan-Europe, qui regroupe 600 Ong, propose de réduire la quantité de pesticides de moitié. Un rêve ! En 2008, dans le cadre de l’harmonisation de la réglementation au niveau européen, plutôt que d’opter pour un alignement sur les doses les plus faibles en vigueur dans certains pays, la Commission européenne a choisi les plus hautes. Moralité : une tomate française peut désormais recevoir 10 fois plus d’herbicide qu’avant. A raison de 5 fruits et légumes recommandés par jour, merci les lobbys.
Astuce :
Laver et éplucher ne suffit pas, car les pesticides peuvent imprégner la chair. Privilégiez les fruits et légumes bio, qui, selon l’Afssa, « éliminent les risques associés aux produits phytosanitaires de synthèse pour la santé humaine ».
Achetez des produits de saison et de proximité, car, pour qu’ils se conservent longtemps, ceux qui viennent de loin sont aspergés de pesticides après la récolte.
Remerciements à '' VIVA'' particulièrement à Mme Brigitte Bègue