L'AUTOMOBILE
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Merci de votre compréhension et de votre soutien
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Re: L'AUTOMOBILE
Voiture : Rouler économe
Le litre de sans plomb 98 risque de bientôt s’afficher à 2 €. Pour contenir son budget carburant, la solution passe désormais par la réduction de sa consommation. Une mesure impliquant obligatoirement une conduite responsable et l’entretien de son véhicule.
Compenser, en partie du moins, la hausse du prix du carburant à la pompe, c’est possible en recherchant une utilisation rationnelle de son véhicule. En effet, une bonne attitude au volant permet de gagner jusqu’à plus de 30 % sur l’appétit de son moteur. Si un peu de simple bon sens suffit pour minimiser la consommation, il faut également savoir tirer le meilleur parti de la technologie des moteurs modernes. Enfin, prendre soin de la mécanique permet d’alléger encore sa facture carburant. Et ce qui est bon pour le porte-monnaie l’est également pour l’environnement. Réduire sa consommation revient en effet à limiter les émissions de polluants et de gaz à effet de serre.
Bien entretenir son véhicule
C’est le b.a.-ba d’une conduite saine, car l’entretien est important à double titre. Primo, c’est un gage de sérénité qui limite les risques de rencontrer, à terme, des pannes coûteuses. Secundo, un véhicule en mauvais état est très énergivore et peut demander jusqu’à 25 % de carburant en plus. À lui seul, un filtre à air encrassé peut engendrer une surconsommation de 3 %.
Bien gonfler les pneus
Le gonflage des pneus, toujours réalisé à froid (c’est-à-dire en ayant roulé moins de 5 km à 50 km/h), doit respecter la pression indiquée par le constructeur. Cette information est inscrite sur une étiquette à l’intérieur de la portière du conducteur et indiquée dans la notice d’utilisation du véhicule. Cette pression doit être majorée de 15 % si l’on envisage d’effectuer un parcours autoroutier. Au-delà des risques liés à la sécurité (perte de contrôle, risque d’éclatement…), les pneumatiques sous-gonflés entraînent une surconsommation d’environ 3 % pour un déficit de seulement 0,3 bar. La pression doit être vérifiée tous les mois, car un pneu perd jusqu’à 20 % de son air par an. (Consulter notre Dossier sur les pneus)
Évitez les charges inutiles
Rouler avec une galerie (ou des barres de toit) entraîne naturellement une surconsommation. Même à vide, ces équipements opposent une résistance aérodynamique qui augmente la consommation de 10 %. Et lorsqu’ils sont chargés, la forme des objets embarqués ainsi que leur poids font passer la surconsommation à 15 %. À 120 km/h, cela représente, en moyenne, 1 litre de carburant supplémentaire aux 100 km.
Adoptez une conduite souple
Rouler trop vite, accélérer plus que nécessaire entre deux feux, freiner brutalement, changer de rapport de vitesse sans cesse… ce comportement agressif accroît la consommation de 20 % sur route et de 40 % en ville ! Ainsi, en zone urbaine, ce sont jusqu’à plus de 3 litres de carburant qui peuvent être engloutis en plus aux 100 km. Pour les trajets routiers, pas la peine de monter le régime et de pousser le moteur. Au contraire, il faut accélérer modérément et passer « au plus vite » tous les rapports jusqu’au dernier avant de se stabiliser à la vitesse désirée. Il convient ensuite d’anticiper les ralentissements et d’utiliser au maximum le frein moteur. Les systèmes d’injection permettent en effet de ne rien consommer en phase de décélération, lors l’accélérateur est relâché. Voilà donc un ralentisseur gratuit et qui permet aussi de moins solliciter les freins. Afin de pouvoir agir encore plus sereinement, augmentez la distance avec le véhicule qui précède. Non seulement on gagne en sécurité mais aussi en consommation. Enfin, sur route, une réduction de 10 km/h de la vitesse moyenne de déplacement permet un gain d’environ 10 % sur la consommation.
Attention aux trajets réalisés à froid
Une vitesse trop rapide, réalisée avec un moteur à froid, fait croître la consommation de 50 % sur le premier kilomètre et use considérablement le moteur. En outre, c’est une phase de fonctionnement pendant laquelle le moteur pollue énormément. La bonne méthode pour partir le matin est de démarrer puis de s’installer correctement et de s’attacher. Ensuite, pas la peine de « faire chauffer » la mécanique pendant une demi-heure (même en hiver) : il faut démarrer gentiment, sans être brutal ni trop solliciter le moteur sur les premiers kilomètres.
La climatisation : à consommer avec modération
La fraîcheur coûte cher ! Ainsi, pour gagner 8° C dans l’habitacle, la consommation va augmenter d’environ 16 % pour un moteur à essence, et d’environ 20 % pour un moteur diesel. Ces pourcentages, constatés sur route, peuvent doubler en ville. De même, plus l’écart entre la température demandée et celle de l’extérieur est important, plus la surconsommation sera importante. Il faut donc d’un côté limiter l’écart thermique et de l’autre utiliser la climatisation avec parcimonie. Par exemple, pour un trajet à basse vitesse, mieux vaut ouvrir les fenêtres. Certes, cela engendre aussi une surconsommation, mais elle sera moindre qu’avec une climatisation à fond.
Yves Martin
C'est une information '' QUE CHOISIR '' que nous remecions
Le litre de sans plomb 98 risque de bientôt s’afficher à 2 €. Pour contenir son budget carburant, la solution passe désormais par la réduction de sa consommation. Une mesure impliquant obligatoirement une conduite responsable et l’entretien de son véhicule.
Compenser, en partie du moins, la hausse du prix du carburant à la pompe, c’est possible en recherchant une utilisation rationnelle de son véhicule. En effet, une bonne attitude au volant permet de gagner jusqu’à plus de 30 % sur l’appétit de son moteur. Si un peu de simple bon sens suffit pour minimiser la consommation, il faut également savoir tirer le meilleur parti de la technologie des moteurs modernes. Enfin, prendre soin de la mécanique permet d’alléger encore sa facture carburant. Et ce qui est bon pour le porte-monnaie l’est également pour l’environnement. Réduire sa consommation revient en effet à limiter les émissions de polluants et de gaz à effet de serre.
Bien entretenir son véhicule
C’est le b.a.-ba d’une conduite saine, car l’entretien est important à double titre. Primo, c’est un gage de sérénité qui limite les risques de rencontrer, à terme, des pannes coûteuses. Secundo, un véhicule en mauvais état est très énergivore et peut demander jusqu’à 25 % de carburant en plus. À lui seul, un filtre à air encrassé peut engendrer une surconsommation de 3 %.
Bien gonfler les pneus
Le gonflage des pneus, toujours réalisé à froid (c’est-à-dire en ayant roulé moins de 5 km à 50 km/h), doit respecter la pression indiquée par le constructeur. Cette information est inscrite sur une étiquette à l’intérieur de la portière du conducteur et indiquée dans la notice d’utilisation du véhicule. Cette pression doit être majorée de 15 % si l’on envisage d’effectuer un parcours autoroutier. Au-delà des risques liés à la sécurité (perte de contrôle, risque d’éclatement…), les pneumatiques sous-gonflés entraînent une surconsommation d’environ 3 % pour un déficit de seulement 0,3 bar. La pression doit être vérifiée tous les mois, car un pneu perd jusqu’à 20 % de son air par an. (Consulter notre Dossier sur les pneus)
Évitez les charges inutiles
Rouler avec une galerie (ou des barres de toit) entraîne naturellement une surconsommation. Même à vide, ces équipements opposent une résistance aérodynamique qui augmente la consommation de 10 %. Et lorsqu’ils sont chargés, la forme des objets embarqués ainsi que leur poids font passer la surconsommation à 15 %. À 120 km/h, cela représente, en moyenne, 1 litre de carburant supplémentaire aux 100 km.
Adoptez une conduite souple
Rouler trop vite, accélérer plus que nécessaire entre deux feux, freiner brutalement, changer de rapport de vitesse sans cesse… ce comportement agressif accroît la consommation de 20 % sur route et de 40 % en ville ! Ainsi, en zone urbaine, ce sont jusqu’à plus de 3 litres de carburant qui peuvent être engloutis en plus aux 100 km. Pour les trajets routiers, pas la peine de monter le régime et de pousser le moteur. Au contraire, il faut accélérer modérément et passer « au plus vite » tous les rapports jusqu’au dernier avant de se stabiliser à la vitesse désirée. Il convient ensuite d’anticiper les ralentissements et d’utiliser au maximum le frein moteur. Les systèmes d’injection permettent en effet de ne rien consommer en phase de décélération, lors l’accélérateur est relâché. Voilà donc un ralentisseur gratuit et qui permet aussi de moins solliciter les freins. Afin de pouvoir agir encore plus sereinement, augmentez la distance avec le véhicule qui précède. Non seulement on gagne en sécurité mais aussi en consommation. Enfin, sur route, une réduction de 10 km/h de la vitesse moyenne de déplacement permet un gain d’environ 10 % sur la consommation.
Attention aux trajets réalisés à froid
Une vitesse trop rapide, réalisée avec un moteur à froid, fait croître la consommation de 50 % sur le premier kilomètre et use considérablement le moteur. En outre, c’est une phase de fonctionnement pendant laquelle le moteur pollue énormément. La bonne méthode pour partir le matin est de démarrer puis de s’installer correctement et de s’attacher. Ensuite, pas la peine de « faire chauffer » la mécanique pendant une demi-heure (même en hiver) : il faut démarrer gentiment, sans être brutal ni trop solliciter le moteur sur les premiers kilomètres.
La climatisation : à consommer avec modération
La fraîcheur coûte cher ! Ainsi, pour gagner 8° C dans l’habitacle, la consommation va augmenter d’environ 16 % pour un moteur à essence, et d’environ 20 % pour un moteur diesel. Ces pourcentages, constatés sur route, peuvent doubler en ville. De même, plus l’écart entre la température demandée et celle de l’extérieur est important, plus la surconsommation sera importante. Il faut donc d’un côté limiter l’écart thermique et de l’autre utiliser la climatisation avec parcimonie. Par exemple, pour un trajet à basse vitesse, mieux vaut ouvrir les fenêtres. Certes, cela engendre aussi une surconsommation, mais elle sera moindre qu’avec une climatisation à fond.
Yves Martin
C'est une information '' QUE CHOISIR '' que nous remecions
Re: L'AUTOMOBILE
ATENTION AU NET !!!
Mise au point suite à un courrier.
Madame XXXX me soutient qu'elle a lu sur quel site ?. Il était possible de conduire un véhicule avec une boite manuelle
après avoir passé son permis de conduire avec un véhicule ayant une boite automatique.
Déolé mais c'est NON ET NON.
Le contraire oui, vous pouvez acheter un véhicule automatique par la suite.
C'est une question qui revient parfois, et je tenais à le faire savoir.
BRIAND
Mise au point suite à un courrier.
Madame XXXX me soutient qu'elle a lu sur quel site ?. Il était possible de conduire un véhicule avec une boite manuelle
après avoir passé son permis de conduire avec un véhicule ayant une boite automatique.
Déolé mais c'est NON ET NON.
Le contraire oui, vous pouvez acheter un véhicule automatique par la suite.
C'est une question qui revient parfois, et je tenais à le faire savoir.
BRIAND
Re: L'AUTOMOBILE
POUR INFORMATION
Comité interministériel de la sécurité routière
11.mai2011
En ce jour de lancement de la décennie mondiale d’action pour la sécurité routière (2011-2020) par l’ONU et l’OMS, décision à laquelle la France a largement contribué, le Premier ministre, François Fillon, a présidé le quatrième Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) de la mandature.
Sur les 103 mesures décidées par les CISR depuis 2008, 101 ont été mises en œuvre.
Les mesures décidées par le CISR du 11 mai 2011 ont pour objectif de lutter contre l’augmentation de la mortalité routière constatée sur les routes françaises depuis le début de l’année et au relâchement des comportements qui en est la cause.
Sans attendre la mise en œuvre de ces mesures, le Premier ministre a demandé au ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration de mettre en place des contrôles renforcés sur les routes, et tout particulièrement au cours des week-end prolongés du mois de juin.
1. Dissuader les excès de vitesse
Sur plus de 23 000 vies sauvées depuis 2002, 13 500 l’ont été grâce à l’amélioration des comportements des Français en matière de vitesse. Mais au moins 770 vies pourraient encore être sauvées par an si les limitations de vitesse étaient respectées par tous.
Décisions du CISR :
Pour en finir avec le comportement irresponsable de ceux qui s’autorisent à rouler à des vitesses très abusives, les excès de vitesse de plus de 50 km/h seront désormais qualifiés juridiquement, dès la première infraction, de délit.
Les avertisseurs de radars, qui sont une incitation à enfreindre les règles en matière de limitation des vitesses, seront interdits.
Les panneaux indiquant la présence de radars fixes seront supprimés et les cartes d’implantation des radars ne seront plus rendues publiques. L’information sur le positionnement des radars fixes incite en effet certains conducteurs à ne respecter la réglementation des vitesses qu’à leur proximité.
1 000 nouveaux radars seront déployés d’ici à la fin de l’année 2012, et des radars mobiles de nouvelle génération, permettant de contrôler la vitesse des usagers à partir de véhicules en circulation, ou semi-mobiles (déplaçables pour sécuriser par exemple des zones de chantiers) seront expérimentés dès cette année.
Pour aider la grande majorité des conducteurs soucieux de respecter les limitations de vitesse à le faire, toutes les technologies permettant de mieux contrôler sa vitesse seront favorisées : information sur les limitations de vitesse par les GPS, incitation au bridage volontaire des moteurs ou à l’installation d’un limiteur volontaire de vitesse. Ces mesures seront favorisées par la mise en place d’un label « voiture sûre », qui reconnaîtra le niveau d’équipement de sécurité du véhicule ; ce label doit faire l’objet de discussions qui vont être engagées avec les industriels, les associations et les assureurs.
2. Lutter contre l’alcoolémie et les stupéfiants sur la route
La conduite sous l'emprise de l'alcool est la première cause infractionnelle de mortalité au volant : en 2009, 30% des personnes tuées sur la route le sont dans un accident en présence d'un taux d'alcool supérieur au taux légal. Conduire en état d’alcoolémie multiplie par 8 le risque d’être impliqué dans un accident mortel et par 14 s’il y a en plus consommation de cannabis.
Décisions du CISR :
La possibilité de procéder à une prise de sang permettant de vérifier le taux d’alcool ou la présence de stupéfiants à la suite d’un dépistage positif effectué par les forces de l’ordre sera étendue aux infirmiers.
L’usage d’un éthylotest anti-démarrage sera rendu obligatoire sans délai pour l’ensemble des transports en commun de personnes équipé d’un éthylotest anti-démarrage.
Toute alcoolémie en situation de conduite supérieure à 0,8 g/l sera sanctionnée par le retrait de 8 points, contre 6 actuellement.
3. Sécuriser l’usage du deux-roues motorisé
L’accidentalité des conducteurs de véhicules à deux-roues motorisés demeure préoccupante en France. Ils représentaient, en 2010, environ 24% des personnes tuées sur la route pour moins de 2% du trafic.
Décisions du CISR :
Les plaques d’immatriculation pour les deux-roues motorisés seront de plus grande taille, afin de rendre plus opérants les contrôles.
Ceux qui reprennent l’usage d’une moto après 5 années d’interruption devront désormais suivre une formation s’ils n’ont pas conduit de deux-roues motorisés au cours des cinq dernières années.
Les conducteurs de motos et de tricycles devront porter un équipement rétro-réfléchissant.
4. Renforcer la vigilance au volant et combattre tous les facteurs qui réduisent l’attention portée à la conduite
Conduire est un acte important, qui nécessite que le conducteur y consacre toute son attention. Or, les sources de distraction (téléphone, textos, Internet mobile et autres écrans pendant la conduite…) se multiplient, tout comme les comportements à risque de conducteurs sous-estimant les risques liés à la fatigue et à la somnolence. L’abaissement de l’attention portée à la conduite, quelle qu’en soit la cause est à l’origine de nombreux drames de la route.
Décisions du CISR :
Téléphoner en conduisant, le téléphone tenu en main, sera sanctionné plus sévèrement, avec une contravention de la 4ème classe (au lieu de la 2ème classe) donnant lieu à un retrait de trois points du permis de conduire (au lieu d’un retrait de deux points).
En partenariat avec les professionnels de téléphonie mobile, des solutions techniques seront développées pour permettre de limiter les conversations téléphoniques au volant.
Les sanctions pour conduite d’un véhicule avec un appareil à écran en fonctionnement dans le champ de vision du conducteur (autres qu’aide à la conduite et à la navigation type GPS) seront aggravées : retrait de trois points et amende de 1 500 euros (l’amende forfaitaire pour ce type d’infraction est aujourd’hui de 135 euros d’amende et le retrait de deux points). Les contrevenants s’exposeront aussi à la saisie de l’appareil à écran.
La circulation sur bande d’arrêt d’urgence et sur voie neutralisée, pourtant interdite, est à l’origine de trop nombreux drames, dont sont victimes tant les usagers de l‘autoroute que les professionnels intervenant sur ce réseau : le non-respect de ces règles sera plus sévèrement sanctionné (135 euros d’amende, retrait de trois points).
Les bandes de rives sonores, destinées à éviter un endormissement du conducteur, seront généralisées sur l’ensemble des autoroutes au rythme des travaux routiers.
5. Donner plus de place aux citoyens dans la politique de sécurité routière
Pour maintenir autour de l’enjeu de la sécurité routière la mobilisation citoyenne qui a permis les progrès de ces dernières années, les actions entreprises doivent être portées par les usagers de la route autant que par les pouvoirs publics. Elles ne pourront l’être qu’à la condition d’être concertées, expliquées, évaluées et éventuellement corrigées.
Décisions du CISR :
Un nouveau Conseil national de la sécurité routière, instance de débat et de réflexion sur les enjeux de la sécurité routière, sera réuni, dans une configuration nouvelle, à la composition élargie.
L’expérimentation menée dans 80 lycées pour sensibiliser leurs élèves à la sécurité routière sera progressivement étendue à partir de la rentrée 2011.
Le comité interministériel de la sécurité routière a également fait un point d’étape des actions engagées depuis le printemps 2010 sur la prévention du risque routier professionnel et a décidé la poursuite de cette action.
BRIAND
Comité interministériel de la sécurité routière
11.mai2011
En ce jour de lancement de la décennie mondiale d’action pour la sécurité routière (2011-2020) par l’ONU et l’OMS, décision à laquelle la France a largement contribué, le Premier ministre, François Fillon, a présidé le quatrième Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) de la mandature.
Sur les 103 mesures décidées par les CISR depuis 2008, 101 ont été mises en œuvre.
Les mesures décidées par le CISR du 11 mai 2011 ont pour objectif de lutter contre l’augmentation de la mortalité routière constatée sur les routes françaises depuis le début de l’année et au relâchement des comportements qui en est la cause.
Sans attendre la mise en œuvre de ces mesures, le Premier ministre a demandé au ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration de mettre en place des contrôles renforcés sur les routes, et tout particulièrement au cours des week-end prolongés du mois de juin.
1. Dissuader les excès de vitesse
Sur plus de 23 000 vies sauvées depuis 2002, 13 500 l’ont été grâce à l’amélioration des comportements des Français en matière de vitesse. Mais au moins 770 vies pourraient encore être sauvées par an si les limitations de vitesse étaient respectées par tous.
Décisions du CISR :
Pour en finir avec le comportement irresponsable de ceux qui s’autorisent à rouler à des vitesses très abusives, les excès de vitesse de plus de 50 km/h seront désormais qualifiés juridiquement, dès la première infraction, de délit.
Les avertisseurs de radars, qui sont une incitation à enfreindre les règles en matière de limitation des vitesses, seront interdits.
Les panneaux indiquant la présence de radars fixes seront supprimés et les cartes d’implantation des radars ne seront plus rendues publiques. L’information sur le positionnement des radars fixes incite en effet certains conducteurs à ne respecter la réglementation des vitesses qu’à leur proximité.
1 000 nouveaux radars seront déployés d’ici à la fin de l’année 2012, et des radars mobiles de nouvelle génération, permettant de contrôler la vitesse des usagers à partir de véhicules en circulation, ou semi-mobiles (déplaçables pour sécuriser par exemple des zones de chantiers) seront expérimentés dès cette année.
Pour aider la grande majorité des conducteurs soucieux de respecter les limitations de vitesse à le faire, toutes les technologies permettant de mieux contrôler sa vitesse seront favorisées : information sur les limitations de vitesse par les GPS, incitation au bridage volontaire des moteurs ou à l’installation d’un limiteur volontaire de vitesse. Ces mesures seront favorisées par la mise en place d’un label « voiture sûre », qui reconnaîtra le niveau d’équipement de sécurité du véhicule ; ce label doit faire l’objet de discussions qui vont être engagées avec les industriels, les associations et les assureurs.
2. Lutter contre l’alcoolémie et les stupéfiants sur la route
La conduite sous l'emprise de l'alcool est la première cause infractionnelle de mortalité au volant : en 2009, 30% des personnes tuées sur la route le sont dans un accident en présence d'un taux d'alcool supérieur au taux légal. Conduire en état d’alcoolémie multiplie par 8 le risque d’être impliqué dans un accident mortel et par 14 s’il y a en plus consommation de cannabis.
Décisions du CISR :
La possibilité de procéder à une prise de sang permettant de vérifier le taux d’alcool ou la présence de stupéfiants à la suite d’un dépistage positif effectué par les forces de l’ordre sera étendue aux infirmiers.
L’usage d’un éthylotest anti-démarrage sera rendu obligatoire sans délai pour l’ensemble des transports en commun de personnes équipé d’un éthylotest anti-démarrage.
Toute alcoolémie en situation de conduite supérieure à 0,8 g/l sera sanctionnée par le retrait de 8 points, contre 6 actuellement.
3. Sécuriser l’usage du deux-roues motorisé
L’accidentalité des conducteurs de véhicules à deux-roues motorisés demeure préoccupante en France. Ils représentaient, en 2010, environ 24% des personnes tuées sur la route pour moins de 2% du trafic.
Décisions du CISR :
Les plaques d’immatriculation pour les deux-roues motorisés seront de plus grande taille, afin de rendre plus opérants les contrôles.
Ceux qui reprennent l’usage d’une moto après 5 années d’interruption devront désormais suivre une formation s’ils n’ont pas conduit de deux-roues motorisés au cours des cinq dernières années.
Les conducteurs de motos et de tricycles devront porter un équipement rétro-réfléchissant.
4. Renforcer la vigilance au volant et combattre tous les facteurs qui réduisent l’attention portée à la conduite
Conduire est un acte important, qui nécessite que le conducteur y consacre toute son attention. Or, les sources de distraction (téléphone, textos, Internet mobile et autres écrans pendant la conduite…) se multiplient, tout comme les comportements à risque de conducteurs sous-estimant les risques liés à la fatigue et à la somnolence. L’abaissement de l’attention portée à la conduite, quelle qu’en soit la cause est à l’origine de nombreux drames de la route.
Décisions du CISR :
Téléphoner en conduisant, le téléphone tenu en main, sera sanctionné plus sévèrement, avec une contravention de la 4ème classe (au lieu de la 2ème classe) donnant lieu à un retrait de trois points du permis de conduire (au lieu d’un retrait de deux points).
En partenariat avec les professionnels de téléphonie mobile, des solutions techniques seront développées pour permettre de limiter les conversations téléphoniques au volant.
Les sanctions pour conduite d’un véhicule avec un appareil à écran en fonctionnement dans le champ de vision du conducteur (autres qu’aide à la conduite et à la navigation type GPS) seront aggravées : retrait de trois points et amende de 1 500 euros (l’amende forfaitaire pour ce type d’infraction est aujourd’hui de 135 euros d’amende et le retrait de deux points). Les contrevenants s’exposeront aussi à la saisie de l’appareil à écran.
La circulation sur bande d’arrêt d’urgence et sur voie neutralisée, pourtant interdite, est à l’origine de trop nombreux drames, dont sont victimes tant les usagers de l‘autoroute que les professionnels intervenant sur ce réseau : le non-respect de ces règles sera plus sévèrement sanctionné (135 euros d’amende, retrait de trois points).
Les bandes de rives sonores, destinées à éviter un endormissement du conducteur, seront généralisées sur l’ensemble des autoroutes au rythme des travaux routiers.
5. Donner plus de place aux citoyens dans la politique de sécurité routière
Pour maintenir autour de l’enjeu de la sécurité routière la mobilisation citoyenne qui a permis les progrès de ces dernières années, les actions entreprises doivent être portées par les usagers de la route autant que par les pouvoirs publics. Elles ne pourront l’être qu’à la condition d’être concertées, expliquées, évaluées et éventuellement corrigées.
Décisions du CISR :
Un nouveau Conseil national de la sécurité routière, instance de débat et de réflexion sur les enjeux de la sécurité routière, sera réuni, dans une configuration nouvelle, à la composition élargie.
L’expérimentation menée dans 80 lycées pour sensibiliser leurs élèves à la sécurité routière sera progressivement étendue à partir de la rentrée 2011.
Le comité interministériel de la sécurité routière a également fait un point d’étape des actions engagées depuis le printemps 2010 sur la prévention du risque routier professionnel et a décidé la poursuite de cette action.
BRIAND
Re: L'AUTOMOBILE
Accident de la route
Sociétés d'autoroutes, centres-autos ou fabricants, à intervalles réguliers, ces différents acteurs du monde de l'automobile sensibilisent les conducteurs sur la nécessité de rouler avec des pneus en bon état et bien gonflés. Des recommandations trop souvent négligées. Car, en réalité, combien d'automobilistes s'astreignent à vérifier chaque mois la pression de leurs gommes, comme la prudence l'impose pourtant ?
à sa manière, la Cour de cassation apporte sa contribution au débat, invitant de facto les automobilistes à la vigilance ! Dans un récent arrêt, elle considère en effet que rouler avec des pneus usés à 50 % constitue une faute en cas d'accident de la circulation. Une faute qui, cumulée avec d'autres commises de manière concomitantes, peut priver le conducteur victime de toute indemnisation.
Dans le cas soumis à la Cour, un automobiliste avait perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il roulait de nuit sur autoroute à 120 km/h par temps de pluie (NDLR : dans cette situation, la limitation de vitesse passe de 130 à 110 km/h), avec des pneus usés à 50 % à l'arrière. Aux yeux des juges, ces deux manquements caractérisent un ensemble de fautes qui justifient donc le retrait du droit à indemnisation.
D'après les manufacturiers, les rainures d'un pneu classique de voiture atteignent une profondeur de 8 mm. La réglementation exige qu'il soit obligatoirement changé lorsque la profondeur n'est plus que de 1,6 mm. Une cote qui est signalée à l'automobiliste par l'apparition des témoins d'usure intégrés au pneumatique.
Date : Sun, 22 May 2011
Avec mes remerciements à '' Handicapzéro '' et '' Que choisir ''
Sociétés d'autoroutes, centres-autos ou fabricants, à intervalles réguliers, ces différents acteurs du monde de l'automobile sensibilisent les conducteurs sur la nécessité de rouler avec des pneus en bon état et bien gonflés. Des recommandations trop souvent négligées. Car, en réalité, combien d'automobilistes s'astreignent à vérifier chaque mois la pression de leurs gommes, comme la prudence l'impose pourtant ?
à sa manière, la Cour de cassation apporte sa contribution au débat, invitant de facto les automobilistes à la vigilance ! Dans un récent arrêt, elle considère en effet que rouler avec des pneus usés à 50 % constitue une faute en cas d'accident de la circulation. Une faute qui, cumulée avec d'autres commises de manière concomitantes, peut priver le conducteur victime de toute indemnisation.
Dans le cas soumis à la Cour, un automobiliste avait perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il roulait de nuit sur autoroute à 120 km/h par temps de pluie (NDLR : dans cette situation, la limitation de vitesse passe de 130 à 110 km/h), avec des pneus usés à 50 % à l'arrière. Aux yeux des juges, ces deux manquements caractérisent un ensemble de fautes qui justifient donc le retrait du droit à indemnisation.
D'après les manufacturiers, les rainures d'un pneu classique de voiture atteignent une profondeur de 8 mm. La réglementation exige qu'il soit obligatoirement changé lorsque la profondeur n'est plus que de 1,6 mm. Une cote qui est signalée à l'automobiliste par l'apparition des témoins d'usure intégrés au pneumatique.
Date : Sun, 22 May 2011
Avec mes remerciements à '' Handicapzéro '' et '' Que choisir ''
Re: L'AUTOMOBILE
Un millier de nouveaux radars... "pédagogiques"
Créé le 23/05/2011 à 09h28
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a annoncé dimanche le déploiement d'un "millier de radars pédagogiques" indiquant la vitesse "dès la semaine prochaine", mais "sans sanction" pour les automobilistes. M. Guéant a précisé qu'il s'agissait "d'une première tranche". Ces "radars pédagogiques" indiqueront la vitesse à laquelle roulent les automobilistes et seront "placés notamment dans les zones dangereuses, y compris sur des itinéraires dans lesquels des radars existent". Ils permettront à l'automobiliste de "lever le pied". M. Guéant a qualifié cette mesure de "nouveau volet de la politique routière" du gouvernement.
C'est une information RTL
Créé le 23/05/2011 à 09h28
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a annoncé dimanche le déploiement d'un "millier de radars pédagogiques" indiquant la vitesse "dès la semaine prochaine", mais "sans sanction" pour les automobilistes. M. Guéant a précisé qu'il s'agissait "d'une première tranche". Ces "radars pédagogiques" indiqueront la vitesse à laquelle roulent les automobilistes et seront "placés notamment dans les zones dangereuses, y compris sur des itinéraires dans lesquels des radars existent". Ils permettront à l'automobiliste de "lever le pied". M. Guéant a qualifié cette mesure de "nouveau volet de la politique routière" du gouvernement.
C'est une information RTL
Re: L'AUTOMOBILE
POUR INFORMATION
Sécurité routière : 2ème trimestre 2011
Relâchement des comportements sur la route : « nous pouvons tous arrêter cela, alors faisons-le ! ». La Sécurité routière diffuse à nouveau sa campagne télévisée
Claude GUEANT, ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration, et Michèle MERLI, déléguée interministérielle à la Sécurité routière, annoncent la nouvelle diffusion d’une campagne télévisée destinée à rappeler au grand public les conséquences dramatiques d’un accident de la route. Cette campagne invite chacun d’entre nous à réfléchir et à agir sur son comportement au volant en mettant en scène des personnes dont la vie a été bouleversée par l’accident d’un proche.
6 mai 2011 - En France, près d’un accident de la route sur dix associé à l’utilisation du téléphone au volant
Parmi les facteurs susceptibles d’altérer les capacités de conduite et provoquer des accidents, la distraction au volant fait l’objet d’une attention grandissante et, en particulier, la distraction liée à l’usage de systèmes de télécommunication. Le développement exponentiel et rapide des téléphones mobiles utilisés par tous dans toutes les situations de la vie quotidienne ainsi que la construction de véhicules de plus en plus équipés de systèmes de télécommunication justifient cette préoccupation.
6 mai 2011 - Aggravation de la mortalité routière en avril 2011 (+19,9%) suite à une série d’accidents particulièrement graves et à un relâchement préoccupant des comportements
Malgré une baisse de 2% du nombre des accidents corporels en avril 2011 par rapport à avril 2010, la gravité de nombreux accidents entraîne une forte hausse du nombre de personnes ayant perdu la vie sur les routes, avec 59 personnes tuées de plus qu’en avril 2010 (+19,9%), confirmant malheureusement la tendance à la hausse inquiétante constatée depuis le début de l’année.
11 mai 2011 - Comité interministériel de la sécurité routière
En ce jour de lancement de la décennie mondiale d’action pour la sécurité routière (2011- 2020) par l’ONU et l’OMS, décision à laquelle la France a largement contribué, le Premier ministre, François FILLON, a présidé le quatrième Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) de la mandature.
11 avril 2011 - Mars 2011 : hausse de la mortalité routière (+2,7%) du fait d’une forte hausse de la mortalité des usagers de deux-roues motorisés
En mars 2011, 308 personnes ont perdu la vie sur les routes de France, contre 300 en mars 2010,. On observe en mars 2011 une baisse générale de la mortalité de tous les usagers de la route, sauf les deux roues-motorisés, et tout particulièrement les motocyclistes qui subissent une augmentation du nombre de personnes tuées de +49% entre mars 2010 et 2011.
Je n'ai pas signé la pétition. Comme beaucoup, j'ai vu trop de personnes dans les centres de rééducation suite à des accidents de la circulation. Surtout des accidentés avec des deux roues, beaucoup de jeunes et des vies brisées....
Je conduis depuis 1963 et maintenant, j'arrive à avoir peur tellement cela roule vite.....
je n'hésite pas à écrire mon point de vue, merci d'écrire le vôtre.
BRIAND
Sécurité routière : 2ème trimestre 2011
Relâchement des comportements sur la route : « nous pouvons tous arrêter cela, alors faisons-le ! ». La Sécurité routière diffuse à nouveau sa campagne télévisée
Claude GUEANT, ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration, et Michèle MERLI, déléguée interministérielle à la Sécurité routière, annoncent la nouvelle diffusion d’une campagne télévisée destinée à rappeler au grand public les conséquences dramatiques d’un accident de la route. Cette campagne invite chacun d’entre nous à réfléchir et à agir sur son comportement au volant en mettant en scène des personnes dont la vie a été bouleversée par l’accident d’un proche.
6 mai 2011 - En France, près d’un accident de la route sur dix associé à l’utilisation du téléphone au volant
Parmi les facteurs susceptibles d’altérer les capacités de conduite et provoquer des accidents, la distraction au volant fait l’objet d’une attention grandissante et, en particulier, la distraction liée à l’usage de systèmes de télécommunication. Le développement exponentiel et rapide des téléphones mobiles utilisés par tous dans toutes les situations de la vie quotidienne ainsi que la construction de véhicules de plus en plus équipés de systèmes de télécommunication justifient cette préoccupation.
6 mai 2011 - Aggravation de la mortalité routière en avril 2011 (+19,9%) suite à une série d’accidents particulièrement graves et à un relâchement préoccupant des comportements
Malgré une baisse de 2% du nombre des accidents corporels en avril 2011 par rapport à avril 2010, la gravité de nombreux accidents entraîne une forte hausse du nombre de personnes ayant perdu la vie sur les routes, avec 59 personnes tuées de plus qu’en avril 2010 (+19,9%), confirmant malheureusement la tendance à la hausse inquiétante constatée depuis le début de l’année.
11 mai 2011 - Comité interministériel de la sécurité routière
En ce jour de lancement de la décennie mondiale d’action pour la sécurité routière (2011- 2020) par l’ONU et l’OMS, décision à laquelle la France a largement contribué, le Premier ministre, François FILLON, a présidé le quatrième Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) de la mandature.
11 avril 2011 - Mars 2011 : hausse de la mortalité routière (+2,7%) du fait d’une forte hausse de la mortalité des usagers de deux-roues motorisés
En mars 2011, 308 personnes ont perdu la vie sur les routes de France, contre 300 en mars 2010,. On observe en mars 2011 une baisse générale de la mortalité de tous les usagers de la route, sauf les deux roues-motorisés, et tout particulièrement les motocyclistes qui subissent une augmentation du nombre de personnes tuées de +49% entre mars 2010 et 2011.
Je n'ai pas signé la pétition. Comme beaucoup, j'ai vu trop de personnes dans les centres de rééducation suite à des accidents de la circulation. Surtout des accidentés avec des deux roues, beaucoup de jeunes et des vies brisées....
Je conduis depuis 1963 et maintenant, j'arrive à avoir peur tellement cela roule vite.....
je n'hésite pas à écrire mon point de vue, merci d'écrire le vôtre.
BRIAND
Re: L'AUTOMOBILE
FAITS DIVERS INSOLITE
A vélo et à contresens sur l'autoroute, il transportait de la drogue
Créé le 26/05/2011 à 20h10
Du jamais vu. Même dans les films les plus délirants. Mais, lui, l'a fait. Lundi soir, des chauffeurs routiers - stupéfaits - ont repéré un homme qui circulait à vélo à contresens sur l'A9 entre Mèze et Montpellier dans l'Hérault. Les gendarmes, prévenus, ont intercepté le cycliste visiblement un peu énervé. Ils ont alors découvert dans le sac à dos de cet homme de 34 ans, originaire de Lavaur dans le Tarn, plusieurs kilos de drogue en tous genres.
C'est une information RTL
A vélo et à contresens sur l'autoroute, il transportait de la drogue
Créé le 26/05/2011 à 20h10
Du jamais vu. Même dans les films les plus délirants. Mais, lui, l'a fait. Lundi soir, des chauffeurs routiers - stupéfaits - ont repéré un homme qui circulait à vélo à contresens sur l'A9 entre Mèze et Montpellier dans l'Hérault. Les gendarmes, prévenus, ont intercepté le cycliste visiblement un peu énervé. Ils ont alors découvert dans le sac à dos de cet homme de 34 ans, originaire de Lavaur dans le Tarn, plusieurs kilos de drogue en tous genres.
C'est une information RTL
Re: L'AUTOMOBILE
Droits des particuliers Automobile
Radars : des panneaux pédagogiques au lieu des avertisseurs
Non, le gouvernement n'aura finalement pas reculé. Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant l'a affirmé à l'Assemblée nationale le 25 mai dernier : les panneaux avertisseurs de radars seront bien démontés. « Je confirme que ces panneaux seront retirés. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus d'effet préventif ; trop de conducteurs ralentissent lorsqu'ils voient le panneau et ré-accélèrent ensuite. Or les limites de vitesse doivent être respectées partout ! », a-t-il martelé en répondant à un député. Dans le même temps, seront déployés des panneaux pédagogiques qui précisent la vitesse à laquelle roule le conducteur, sans le sanctionner. Ces radars pédagogiques seront implantés :
- de façon aléatoire et pas systématiquement avant un radar fixe,
- dans des lieux adéquats avant certains radars fixes ;
- à des endroits dangereux sans radar.
Le retrait des panneaux avertisseurs va commencer avant le week-end de l'Ascension.
Réponse ministérielle du 25 mai 2011, [...]
1/05/2011
Réponse à une question d'actualité du député JUNG
Mis à jour le : 26/05/2011 09:17
Mercredi 25 mai 2011, Claude GUÉANT, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, a répondu à une question d'actualité du député JUNG, relative à la lutte contre l'insécurité routière.
Armand JUNG, député du Bas-Rhin
Ma question s'adresse à Monsieur le Premier ministre.
Monsieur le Premier ministre, 1 256 personnes ont trouvé la mort sur les routes de notre pays depuis janvier 2011. Cela correspond à une hausse d'environ 12,5% par rapport à l'an dernier à la même époque. Nous étions pourtant quelques-uns ici même sur tous les bancs à mettre en garde le gouvernement contre l'assouplissement du permis à points. Cette décision était une erreur qui se paie chère sur les routes aujourd'hui. Vous nous proposez maintenant des mesures incohérentes et incompréhensibles pour la plupart de nos concitoyens s'agissant du démontage ou non des panneaux annonçant les radars ou l'installation radars pédagogiques. Qui faut-il croire, entre votre ministre de l'intérieur et vous-même, dans un domaine aussi sensible que la sécurité routière ; aucun lobby, aucune démagogie électorale ne doivent guider notre action. Vos hésitations, vos atermoiements contribuent à affaiblir et même à déstabiliser la politique de sécurité routière de notre pays qui faisait pourtant consensus entre nous. Si nous avons besoin d'une prévention accrue et d'une répression renforcée, il nous faut également réfléchir à la conception de la voiture du futur que préparent nos industriels. Nulle part vous n'abordez cette question. Monsieur le Premier ministre, il n'y a pas de fatalité à l'échec. Si vous ne prenez pas rapidement les mesures adéquates et cohérentes, l'objectif de 3.000 morts sur les routes en 2012 ne pourra pas être atteint. Votre responsabilité politique et personnelle est immense. Je vous demande de clarifier votre démarche en matière de sécurité routière pour ne pas assister à un tragique retour en arrière.
Claude GUÉANT, ministre de l'intérieur
Merci Monsieur le Président. Mesdames et Messieurs les députés, Monsieur le député Armand JUNG. Je vais vous décevoir parce que, contrairement à ce que vous pensez, il y a une complète identité de vue au sein du gouvernement, une complète identité de vue entre le gouvernement et sa majorité sur les questions de sécurité routière. Et d'abord il y a une conviction et une réaffirmation c'est celle de notre détermination farouche à lutter contre l'insécurité routière. Nous déplorions il y a dix ans 8.500 morts sur nos routes. L'année dernière ce fut moins de 4.000 et c'est une évolution dont nous pouvons être fiers. Depuis le début de l'année cependant c'est vrai, il y a une dégradation. Et si nous ne réagissons pas eh bien nous nous acheminons vers 500 à 600 morts de plus. C'est une perspective que le gouvernement n'accepte pas. C'est le sens des mesures qui ont été prises en CISR le 11 mai et parmi celles-ci la décision de retirer les panneaux signalant la présence des radars fixes des contrôles de vitesse a fait débat. Je confirme que ces panneaux seront retirés. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus d'effet préventif ; trop de conducteurs ralentissent lorsqu'ils voient le panneau et ré-accélèrent ensuite. Or les limites de vitesse doivent être respectées partout. Ils seront retirés après l'avis d'une commission locale des acteurs de la sécurité routière qui proposera des moyens d'information supplémentaires sur les vitesses, à l'intention des usagers. Et ils le seront en même temps que seront déployés des radars pédagogiques qui rappellent à l'usager la vitesse à laquelle il roule sans le sanctionner. Ces radars pédagogiques seront implantés de façon aléatoire et non systématiquement à 400 m d'un radar fixe, comme aujourd'hui. Il y en aura à des lieux adéquats avant les radars fixes ; il y en aura aussi à d'autres endroits dangereux sans radars. Et tout cela va aller très vite. Des commissions locales se réunissent dès cette semaine ; les panneaux commenceront à être enlevés dès la semaine prochaine. C'est le résultat d'un travail fructueux entre le gouvernement et sa majorité.
Radars : des panneaux pédagogiques au lieu des avertisseurs
Non, le gouvernement n'aura finalement pas reculé. Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant l'a affirmé à l'Assemblée nationale le 25 mai dernier : les panneaux avertisseurs de radars seront bien démontés. « Je confirme que ces panneaux seront retirés. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus d'effet préventif ; trop de conducteurs ralentissent lorsqu'ils voient le panneau et ré-accélèrent ensuite. Or les limites de vitesse doivent être respectées partout ! », a-t-il martelé en répondant à un député. Dans le même temps, seront déployés des panneaux pédagogiques qui précisent la vitesse à laquelle roule le conducteur, sans le sanctionner. Ces radars pédagogiques seront implantés :
- de façon aléatoire et pas systématiquement avant un radar fixe,
- dans des lieux adéquats avant certains radars fixes ;
- à des endroits dangereux sans radar.
Le retrait des panneaux avertisseurs va commencer avant le week-end de l'Ascension.
Réponse ministérielle du 25 mai 2011, [...]
1/05/2011
Réponse à une question d'actualité du député JUNG
Mis à jour le : 26/05/2011 09:17
Mercredi 25 mai 2011, Claude GUÉANT, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, a répondu à une question d'actualité du député JUNG, relative à la lutte contre l'insécurité routière.
Armand JUNG, député du Bas-Rhin
Ma question s'adresse à Monsieur le Premier ministre.
Monsieur le Premier ministre, 1 256 personnes ont trouvé la mort sur les routes de notre pays depuis janvier 2011. Cela correspond à une hausse d'environ 12,5% par rapport à l'an dernier à la même époque. Nous étions pourtant quelques-uns ici même sur tous les bancs à mettre en garde le gouvernement contre l'assouplissement du permis à points. Cette décision était une erreur qui se paie chère sur les routes aujourd'hui. Vous nous proposez maintenant des mesures incohérentes et incompréhensibles pour la plupart de nos concitoyens s'agissant du démontage ou non des panneaux annonçant les radars ou l'installation radars pédagogiques. Qui faut-il croire, entre votre ministre de l'intérieur et vous-même, dans un domaine aussi sensible que la sécurité routière ; aucun lobby, aucune démagogie électorale ne doivent guider notre action. Vos hésitations, vos atermoiements contribuent à affaiblir et même à déstabiliser la politique de sécurité routière de notre pays qui faisait pourtant consensus entre nous. Si nous avons besoin d'une prévention accrue et d'une répression renforcée, il nous faut également réfléchir à la conception de la voiture du futur que préparent nos industriels. Nulle part vous n'abordez cette question. Monsieur le Premier ministre, il n'y a pas de fatalité à l'échec. Si vous ne prenez pas rapidement les mesures adéquates et cohérentes, l'objectif de 3.000 morts sur les routes en 2012 ne pourra pas être atteint. Votre responsabilité politique et personnelle est immense. Je vous demande de clarifier votre démarche en matière de sécurité routière pour ne pas assister à un tragique retour en arrière.
Claude GUÉANT, ministre de l'intérieur
Merci Monsieur le Président. Mesdames et Messieurs les députés, Monsieur le député Armand JUNG. Je vais vous décevoir parce que, contrairement à ce que vous pensez, il y a une complète identité de vue au sein du gouvernement, une complète identité de vue entre le gouvernement et sa majorité sur les questions de sécurité routière. Et d'abord il y a une conviction et une réaffirmation c'est celle de notre détermination farouche à lutter contre l'insécurité routière. Nous déplorions il y a dix ans 8.500 morts sur nos routes. L'année dernière ce fut moins de 4.000 et c'est une évolution dont nous pouvons être fiers. Depuis le début de l'année cependant c'est vrai, il y a une dégradation. Et si nous ne réagissons pas eh bien nous nous acheminons vers 500 à 600 morts de plus. C'est une perspective que le gouvernement n'accepte pas. C'est le sens des mesures qui ont été prises en CISR le 11 mai et parmi celles-ci la décision de retirer les panneaux signalant la présence des radars fixes des contrôles de vitesse a fait débat. Je confirme que ces panneaux seront retirés. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus d'effet préventif ; trop de conducteurs ralentissent lorsqu'ils voient le panneau et ré-accélèrent ensuite. Or les limites de vitesse doivent être respectées partout. Ils seront retirés après l'avis d'une commission locale des acteurs de la sécurité routière qui proposera des moyens d'information supplémentaires sur les vitesses, à l'intention des usagers. Et ils le seront en même temps que seront déployés des radars pédagogiques qui rappellent à l'usager la vitesse à laquelle il roule sans le sanctionner. Ces radars pédagogiques seront implantés de façon aléatoire et non systématiquement à 400 m d'un radar fixe, comme aujourd'hui. Il y en aura à des lieux adéquats avant les radars fixes ; il y en aura aussi à d'autres endroits dangereux sans radars. Et tout cela va aller très vite. Des commissions locales se réunissent dès cette semaine ; les panneaux commenceront à être enlevés dès la semaine prochaine. C'est le résultat d'un travail fructueux entre le gouvernement et sa majorité.
Re: L'AUTOMOBILE
Accident de la route : Vérifions nos pneus !
Sociétés d'autoroutes, centres-autos ou fabricants, à intervalles réguliers, ces différents acteurs du monde de l'automobile sensibilisent les conducteurs sur la nécessité de rouler avec des pneus en bon état et bien gonflés. Des recommandations trop souvent négligées. Car, en réalité, combien d'automobilistes s'astreignent à vérifier chaque mois la pression de leurs gommes, comme la prudence l'impose pourtant ?
à sa manière, la Cour de cassation apporte sa contribution au débat, invitant de facto les automobilistes à la vigilance ! Dans un récent arrêt, elle considère en effet que rouler avec des pneus usés à 50 % constitue une faute en cas d'accident de la circulation. Une faute qui, cumulée avec d'autres commises de manière concomitantes, peut priver le conducteur victime de toute indemnisation.
Dans le cas soumis à la Cour, un automobiliste avait perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il roulait de nuit sur autoroute à 120 km/h par temps de pluie (NDLR : dans cette situation, la limitation de vitesse passe de 130 à 110 km/h), avec des pneus usés à 50 % à l'arrière.
Aux yeux des juges, ces deux manquements caractérisent un ensemble de fautes qui justifient donc le retrait du droit à indemnisation.
D'après les manufacturiers, les rainures d'un pneu classique de voiture atteignent une profondeur de 8 mm. La réglementation exige qu'il soit obligatoirement changé lorsque la profondeur n'est plus que de 1,6 mm. Une cote qui est signalée à l'automobiliste par l'apparition des témoins d'usure intégrés au pneumatique.
Date : Sun, 22 May 2011 23:00:00 +0000
Remerciements à '' HANDICAPZERO '' pour cette information
Sociétés d'autoroutes, centres-autos ou fabricants, à intervalles réguliers, ces différents acteurs du monde de l'automobile sensibilisent les conducteurs sur la nécessité de rouler avec des pneus en bon état et bien gonflés. Des recommandations trop souvent négligées. Car, en réalité, combien d'automobilistes s'astreignent à vérifier chaque mois la pression de leurs gommes, comme la prudence l'impose pourtant ?
à sa manière, la Cour de cassation apporte sa contribution au débat, invitant de facto les automobilistes à la vigilance ! Dans un récent arrêt, elle considère en effet que rouler avec des pneus usés à 50 % constitue une faute en cas d'accident de la circulation. Une faute qui, cumulée avec d'autres commises de manière concomitantes, peut priver le conducteur victime de toute indemnisation.
Dans le cas soumis à la Cour, un automobiliste avait perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il roulait de nuit sur autoroute à 120 km/h par temps de pluie (NDLR : dans cette situation, la limitation de vitesse passe de 130 à 110 km/h), avec des pneus usés à 50 % à l'arrière.
Aux yeux des juges, ces deux manquements caractérisent un ensemble de fautes qui justifient donc le retrait du droit à indemnisation.
D'après les manufacturiers, les rainures d'un pneu classique de voiture atteignent une profondeur de 8 mm. La réglementation exige qu'il soit obligatoirement changé lorsque la profondeur n'est plus que de 1,6 mm. Une cote qui est signalée à l'automobiliste par l'apparition des témoins d'usure intégrés au pneumatique.
Date : Sun, 22 May 2011 23:00:00 +0000
Remerciements à '' HANDICAPZERO '' pour cette information
Re: L'AUTOMOBILE
Voiture sans permis
La conduite d'un deux-roues de moins de 50 cm3 ou d'une voiturette (voitures dites sans permis), qui ne demandait jusqu'alors que les ASSR (attestation scolaire de sécurité routière) et/ou ou l'ASR (attestation de sécurité routière), nécessitera à partir du 19 janvier 2013 l'obtention du permis de conduire de catégorie AM. Ce permis, bien moins contraignant que le permis B, sera donc indispensable pour conduire un cyclomoteur à deux ou trois roues de moins de 50 cm3, ou dont la puissance maximale nette est inférieure ou égale à 4 kW s'il est équipé d'un moteur électrique. Le permis AM sera aussi obligatoire pour prendre le volant d'une voiture « sans permis » dont la masse à vide est inférieure ou égale à 350 kg (catégorie L6e) et dont la vitesse est bridée à 45 km/h. L'âge minimal requis pour passer cet examen sera en principe de 16 ans, mais les états membres pourront le ramener à 14 ans ou le relever au maximum à 18 ans, sur leur territoire national. Il sera obtenu après un « simple » examen de conduite théorique. Seules les personnes nées avant 1988 échapperont à cette nouvelle règle.
BRIAND
La conduite d'un deux-roues de moins de 50 cm3 ou d'une voiturette (voitures dites sans permis), qui ne demandait jusqu'alors que les ASSR (attestation scolaire de sécurité routière) et/ou ou l'ASR (attestation de sécurité routière), nécessitera à partir du 19 janvier 2013 l'obtention du permis de conduire de catégorie AM. Ce permis, bien moins contraignant que le permis B, sera donc indispensable pour conduire un cyclomoteur à deux ou trois roues de moins de 50 cm3, ou dont la puissance maximale nette est inférieure ou égale à 4 kW s'il est équipé d'un moteur électrique. Le permis AM sera aussi obligatoire pour prendre le volant d'une voiture « sans permis » dont la masse à vide est inférieure ou égale à 350 kg (catégorie L6e) et dont la vitesse est bridée à 45 km/h. L'âge minimal requis pour passer cet examen sera en principe de 16 ans, mais les états membres pourront le ramener à 14 ans ou le relever au maximum à 18 ans, sur leur territoire national. Il sera obtenu après un « simple » examen de conduite théorique. Seules les personnes nées avant 1988 échapperont à cette nouvelle règle.
BRIAND
Re: L'AUTOMOBILE
UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION
Une gamme dédiée à la sécurité routière !
Fonctionnement des indicateurs de limite de vitesse :
Les indicateurs de limite de vitesse Snooper vous indiquent en permanence la limite de vitesse à respecter. Il arrive souvent de conduire sur autoroute en se demandant si la limite est 130 ou 110 Km/h. En ville il n'est pas toujours facile de savoir si l'on est dans une zone à 50 ou 70 Km/h.
Seul Snooper propose des indicateurs de limite de vitesse entièrement dédiés à l'indication de limite de vitesse !
Légalité des indicateurs de limite de vitesse :
Les indicateurs de limite de vitesse sont parfaitement légaux puisqu'ils vous incitent en permanence à respecter les limitations de vitesse.
Pour renseignements Tél : 05 31 61 61 30
http://www.snooper.fr/INDICATEUR.DE.VIT ... ySpeed.pdf
Autoplus le 13 juin 2011
Une gamme dédiée à la sécurité routière !
Fonctionnement des indicateurs de limite de vitesse :
Les indicateurs de limite de vitesse Snooper vous indiquent en permanence la limite de vitesse à respecter. Il arrive souvent de conduire sur autoroute en se demandant si la limite est 130 ou 110 Km/h. En ville il n'est pas toujours facile de savoir si l'on est dans une zone à 50 ou 70 Km/h.
Seul Snooper propose des indicateurs de limite de vitesse entièrement dédiés à l'indication de limite de vitesse !
Légalité des indicateurs de limite de vitesse :
Les indicateurs de limite de vitesse sont parfaitement légaux puisqu'ils vous incitent en permanence à respecter les limitations de vitesse.
Pour renseignements Tél : 05 31 61 61 30
http://www.snooper.fr/INDICATEUR.DE.VIT ... ySpeed.pdf
Autoplus le 13 juin 2011
Re: L'AUTOMOBILE
Mauvaises nouvelles de la semaine
Renault Mégane III et Fluence
Risque de perte de l'assistance de direction en raison de la coupure d'un fil d'alimentation électrique. Ce dernier, qui frotte contre la colonne de direction, risque en effet de se couper à long terme. La perte de fonctionnement de l'assistance de direction rendrait alors le braquage des roues très difficile.
Date : Lundi 20 Juin 2011
Renault Mégane III
Dysfonctionnement du calculateur d'airbag. Ce problème peut engendrer le non déploiement ou, à l'inverse, le déploiement de l'airbag passager même lorsque celui-ci a été désactivé.
Date : Vendredi 24 Juin 2011
Info handicapzéro que je remercie
Renault Mégane III et Fluence
Risque de perte de l'assistance de direction en raison de la coupure d'un fil d'alimentation électrique. Ce dernier, qui frotte contre la colonne de direction, risque en effet de se couper à long terme. La perte de fonctionnement de l'assistance de direction rendrait alors le braquage des roues très difficile.
Date : Lundi 20 Juin 2011
Renault Mégane III
Dysfonctionnement du calculateur d'airbag. Ce problème peut engendrer le non déploiement ou, à l'inverse, le déploiement de l'airbag passager même lorsque celui-ci a été désactivé.
Date : Vendredi 24 Juin 2011
Info handicapzéro que je remercie
Re: L'AUTOMOBILE
POUR VOTRE INFORMATION
Budget auto
Inexorablement, le budget de l'automobiliste augmente. C'est le constat réalisé par l'Automobile Club de France, qui décortique depuis 15 ans les dépenses des conducteurs. 2010 n'aura pas échappé à la règle. L'utilisation d'une voiture à essence aura coûté 5 744 , soit 2,4 %, de plus qu'en 2009, et celle d'une diesel 7 466 , soit une augmentation de 1,6 % (1). Pourtant, pour contenir ses dépenses en 2010, l'automobiliste a limité l'utilisation de sa voiture. Ainsi, il aura parcouru 9 076 km (contre 9 163 km en 2009) s'il roule à l'essence et 15 648 km s'il roule au diesel (soit une baisse de 1,3 %).
S'il a moins roulé mais payé plus, c'est que l'automobiliste a dû supporter des hausses dans plusieurs domaines. Par exemple, la prime d'assurance enregistre une hausse de 2,1 %, et cela malgré la baisse des sinistres. De même, l'entretien est de plus en plus cher avec des hausses de 4,1 % pour les ingrédients de peinture, de 3,3 % pour la main-d'oeuvre et de 2,1 % pour les pièces détachées. Au final, l'entretien coûte 2,8 % de plus qu'en 2009. Mais c'est le poste carburant qui obtient la triste palme de la plus forte hausse. En 2010, le litre de SP95 a augmenté de 11,3 % (soit plus de sept fois l'inflation à 1,5 %) et le litre de gazole de 15 %. Ainsi, le poste carburant a représenté 709 , pour 527 litres de SP95 pour un modèle à essence, et 807 pour le diesel, correspondant à une consommation de 704 litres de gazole. Donc, même en ayant réduit l'utilisation de sa voiture, l'automobiliste ne compense pas les différentes hausses des prix des matières premières, ni celles des taxes.
L'automobiliste : le premier contribuable français
L'augmentation du budget de l'automobiliste est également liée à la hausse des différentes taxes. Ainsi, ce budget (pour une voiture neuve) se voit imposé à hauteur de 33 % pour un modèle à essence et de 35 % pour un diesel. Triste rappel : les litres de SP95 et de gazole sont taxés (via la TIPP) respectivement à hauteur de 159 % et 116 %. D'un autre côté, les taxes liées à l'achat d'un véhicule représentent 20 à 25 % selon qu'il s'agit d'une voiture neuve ou d'occasion. Au final, en 2010, la recette des taxes liées à l'automobile s'est élevée à 60 milliards d'euros, et l'automobiliste devient le premier contribuable de France. Dans ces conditions, il est très difficile de réduire ses dépenses et de contenir son budget automobile.
Comment se répartit le budget de l'automobiliste ?
L'analyse des dépenses de l'automobiliste montre que l'achat de la voiture demeure le poste le plus important dans son budget. Suivent l'entretien et le carburant. On remarque également qu'une voiture diesel coûte plus cher à l'entretien : 19 % de ce budget, contre 12 % pour le modèle à essence. Une différence notable qui peut remettre en cause l'achat d'un diesel si le kilométrage annuel n'est pas élevé.
Renault Clio III essence(en euro) Peugeot 308 diesel(en euro) Amortissement 47 42 Entretien 12 19 Carburant 12 11 Assurance 10 10 Garage 10 7 Frais financiers 6 7 Péages 3 4 Total 100 100
(1) L'organisme fait ses calculs sur deux modèles de référence : une Renault Clio III essence 1.2 TCE 100 ch et une Peugeot 308 HDI 92 ch.
Date : Sun, 19 Jun 2011 23:00:00 +0000
Remerciements à handicapéro pour cette information
Une vieille rumeur revient encore, l'an prochain la vignette pourrait refaire son apparition....Et 2013 nous réserverait de mauvaises surprises. En attendant Bonnes vacances à ceux qui partent samedi BRIAND
Budget auto
Inexorablement, le budget de l'automobiliste augmente. C'est le constat réalisé par l'Automobile Club de France, qui décortique depuis 15 ans les dépenses des conducteurs. 2010 n'aura pas échappé à la règle. L'utilisation d'une voiture à essence aura coûté 5 744 , soit 2,4 %, de plus qu'en 2009, et celle d'une diesel 7 466 , soit une augmentation de 1,6 % (1). Pourtant, pour contenir ses dépenses en 2010, l'automobiliste a limité l'utilisation de sa voiture. Ainsi, il aura parcouru 9 076 km (contre 9 163 km en 2009) s'il roule à l'essence et 15 648 km s'il roule au diesel (soit une baisse de 1,3 %).
S'il a moins roulé mais payé plus, c'est que l'automobiliste a dû supporter des hausses dans plusieurs domaines. Par exemple, la prime d'assurance enregistre une hausse de 2,1 %, et cela malgré la baisse des sinistres. De même, l'entretien est de plus en plus cher avec des hausses de 4,1 % pour les ingrédients de peinture, de 3,3 % pour la main-d'oeuvre et de 2,1 % pour les pièces détachées. Au final, l'entretien coûte 2,8 % de plus qu'en 2009. Mais c'est le poste carburant qui obtient la triste palme de la plus forte hausse. En 2010, le litre de SP95 a augmenté de 11,3 % (soit plus de sept fois l'inflation à 1,5 %) et le litre de gazole de 15 %. Ainsi, le poste carburant a représenté 709 , pour 527 litres de SP95 pour un modèle à essence, et 807 pour le diesel, correspondant à une consommation de 704 litres de gazole. Donc, même en ayant réduit l'utilisation de sa voiture, l'automobiliste ne compense pas les différentes hausses des prix des matières premières, ni celles des taxes.
L'automobiliste : le premier contribuable français
L'augmentation du budget de l'automobiliste est également liée à la hausse des différentes taxes. Ainsi, ce budget (pour une voiture neuve) se voit imposé à hauteur de 33 % pour un modèle à essence et de 35 % pour un diesel. Triste rappel : les litres de SP95 et de gazole sont taxés (via la TIPP) respectivement à hauteur de 159 % et 116 %. D'un autre côté, les taxes liées à l'achat d'un véhicule représentent 20 à 25 % selon qu'il s'agit d'une voiture neuve ou d'occasion. Au final, en 2010, la recette des taxes liées à l'automobile s'est élevée à 60 milliards d'euros, et l'automobiliste devient le premier contribuable de France. Dans ces conditions, il est très difficile de réduire ses dépenses et de contenir son budget automobile.
Comment se répartit le budget de l'automobiliste ?
L'analyse des dépenses de l'automobiliste montre que l'achat de la voiture demeure le poste le plus important dans son budget. Suivent l'entretien et le carburant. On remarque également qu'une voiture diesel coûte plus cher à l'entretien : 19 % de ce budget, contre 12 % pour le modèle à essence. Une différence notable qui peut remettre en cause l'achat d'un diesel si le kilométrage annuel n'est pas élevé.
Renault Clio III essence(en euro) Peugeot 308 diesel(en euro) Amortissement 47 42 Entretien 12 19 Carburant 12 11 Assurance 10 10 Garage 10 7 Frais financiers 6 7 Péages 3 4 Total 100 100
(1) L'organisme fait ses calculs sur deux modèles de référence : une Renault Clio III essence 1.2 TCE 100 ch et une Peugeot 308 HDI 92 ch.
Date : Sun, 19 Jun 2011 23:00:00 +0000
Remerciements à handicapéro pour cette information
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Re: L'AUTOMOBILE
Le prix du carburant en Bretagne
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