LA SANTE
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Merci de votre compréhension et de votre soutien
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Re: LA SANTE
ENQUÊTE
Réalisée dans une ville du sud de la France le 1er semestre 2010.
Cette enquête confirme les dépassements d'honoraires de 55 % pour les spécialistes, 42 % pour les chirurgiens et 3 % pour les généralistes.
La moitié des patients sont informés pendant les consultations.
38 % ont l'information au moment de la prise du rendez-vous parce que la plupart avait posé la question.
Arrêté du 11 juin 1996, Les tarifs doivent être affichés dans les salles d'attente.
( information CADRE DE VIE clcv que je remercie.)
BRIAND
Réalisée dans une ville du sud de la France le 1er semestre 2010.
Cette enquête confirme les dépassements d'honoraires de 55 % pour les spécialistes, 42 % pour les chirurgiens et 3 % pour les généralistes.
La moitié des patients sont informés pendant les consultations.
38 % ont l'information au moment de la prise du rendez-vous parce que la plupart avait posé la question.
Arrêté du 11 juin 1996, Les tarifs doivent être affichés dans les salles d'attente.
( information CADRE DE VIE clcv que je remercie.)
BRIAND
Re: LA SANTE
POUR VOTRE INFORMATION
La chirurgie ambulatoire progresse nettement en France
Mise en ligne : 1er décembre 2010
La chirurgie ambulatoire qui permet aux patients de sortir d’hospitalisation le jour même de leur opération ne cesse de progresser en France au fil des années, indique l’assurance-maladie.
Plutôt appréciée des patients et nettement moins moins coûteuse, la chirurgie ambulatoire est facilité par des progrès techniques dans l’anesthésie, les interventions chirurgicales moins invasives, le suivi des patients à domicile.
Jusqu’en 2008, 5 types d’invention ("gestes chirurgicaux") étaient pratiqués en ambulatoire, 12 autres ont été ajoutés en 2009, le tout représentant près de 2 millions d’interventions pouvant être pratiquées en ambulatoire. Une dizaine de nouveaux geste chirurgicaux seront ajoutés dans les prochains mois.
Les trois-quarts des 17 gestes chirurgicaux retenus sont déjà pratiqués en ambulatoire. Ceux qui concernent le plus grand nombre de patients sont aussi ceux qui progressent le plus vite : chirurgie de la cataracte (plus de 640 000 séjours et + 19 points), arthroscopie du genou, (140 228, + 24 points), extractions dentaires (274 000, + 17 points) et chirurgie des varices (123 466 et + 30 points).
Le taux de chirurgie ambulatoire varie selon les régions de 63 % en Franche-Comté à 79 % en Languedoc-Roussillon et PACA. Le pourtour méditerranéen, le sud-ouest, le Nord et la région parisienne enregistrent les taux les plus élevés.
Information VIVA PRESSE que nous remercions
La chirurgie ambulatoire progresse nettement en France
Mise en ligne : 1er décembre 2010
La chirurgie ambulatoire qui permet aux patients de sortir d’hospitalisation le jour même de leur opération ne cesse de progresser en France au fil des années, indique l’assurance-maladie.
Plutôt appréciée des patients et nettement moins moins coûteuse, la chirurgie ambulatoire est facilité par des progrès techniques dans l’anesthésie, les interventions chirurgicales moins invasives, le suivi des patients à domicile.
Jusqu’en 2008, 5 types d’invention ("gestes chirurgicaux") étaient pratiqués en ambulatoire, 12 autres ont été ajoutés en 2009, le tout représentant près de 2 millions d’interventions pouvant être pratiquées en ambulatoire. Une dizaine de nouveaux geste chirurgicaux seront ajoutés dans les prochains mois.
Les trois-quarts des 17 gestes chirurgicaux retenus sont déjà pratiqués en ambulatoire. Ceux qui concernent le plus grand nombre de patients sont aussi ceux qui progressent le plus vite : chirurgie de la cataracte (plus de 640 000 séjours et + 19 points), arthroscopie du genou, (140 228, + 24 points), extractions dentaires (274 000, + 17 points) et chirurgie des varices (123 466 et + 30 points).
Le taux de chirurgie ambulatoire varie selon les régions de 63 % en Franche-Comté à 79 % en Languedoc-Roussillon et PACA. Le pourtour méditerranéen, le sud-ouest, le Nord et la région parisienne enregistrent les taux les plus élevés.
Information VIVA PRESSE que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
ALERTE au froid intense : Conseils pour les personnes âgées
Si vous êtes insuffisant respiratoire ou que vous avez une bronchite chronique
Demandez à votre médecin s’il convient de vous vacciner contre les infections pneumococciques
- Lorsque vous sortez, habillez-vous chaudement et évitez de faire des efforts à l’extérieur par grandfroid
- En cas d’exacerbation (aggravation de la dyspnée habituelle, majoration et/ou aspect purulent de l’expectoration, fièvre), consultez immédiatement votre médecin traitant
- Munissez-vous de votre traitement habituel et d’eau pour le prendre en cas de déplacement même de durée brève, et notamment de votre broncho-dilatateur s’il vous en a été prescrit.
- En cas de voyage de nuit par la route, munissez-vous de tout votre traitement habituel et d’une couverture de survie
- En cas d’urgence, si vous n’arrivez pas à joindre votre médecin traitant, appelez le 15 ou le 112 ; vous pouvez demander conseil au pharmacien en attendant si vous vous trouvez à proximité d’une pharmacie.
Dans tous les cas, il est indispensable de prendre l’avis de votre généraliste ou de votre spécialiste qui connaît bien votre état de santé et qui pourra vous donner les conseils complémentaires nécessaires.
FL
mis à jour le 06/12/2010 information AGEVILLAGE que nous remercions
ALERTE au froid intense : Conseils pour les personnes âgées
Si vous êtes insuffisant respiratoire ou que vous avez une bronchite chronique
Demandez à votre médecin s’il convient de vous vacciner contre les infections pneumococciques
- Lorsque vous sortez, habillez-vous chaudement et évitez de faire des efforts à l’extérieur par grandfroid
- En cas d’exacerbation (aggravation de la dyspnée habituelle, majoration et/ou aspect purulent de l’expectoration, fièvre), consultez immédiatement votre médecin traitant
- Munissez-vous de votre traitement habituel et d’eau pour le prendre en cas de déplacement même de durée brève, et notamment de votre broncho-dilatateur s’il vous en a été prescrit.
- En cas de voyage de nuit par la route, munissez-vous de tout votre traitement habituel et d’une couverture de survie
- En cas d’urgence, si vous n’arrivez pas à joindre votre médecin traitant, appelez le 15 ou le 112 ; vous pouvez demander conseil au pharmacien en attendant si vous vous trouvez à proximité d’une pharmacie.
Dans tous les cas, il est indispensable de prendre l’avis de votre généraliste ou de votre spécialiste qui connaît bien votre état de santé et qui pourra vous donner les conseils complémentaires nécessaires.
FL
mis à jour le 06/12/2010 information AGEVILLAGE que nous remercions
Re: LA SANTE
Les ministres européens enterrent l’allongement du congé maternité à 20 semaines
Mise en ligne : 8 décembre 2010
La proposition de porter à 20 semaines le congé de maternité indemnisé à 100 % du salaire dans l’Union européenne, votée par le parlement européen le 20 octobre dernier, a été repoussée par les ministres des Affaires sociales et de l’Emploi de l’UE réunis à Bruxelles le 6 décembre.
Les ministres n’ont cependant pas rejeté l’idée de passer à 18 semaines, comme le propose la Commission européenne, mais refusent l’idée d’une indemnisation à 100 %.
Les parlementaires européens avaient également demandé que soit adopté dans toute l’Union le principe d’un congé de paternité indemnisé de deux semaines au moins.
Roselyne Bachelot, ministre française des Solidarités, a argué du coût de la proposition des députés – 1,3 milliard d’euros pour la Sécurité sociale française selon elle – en période de crise économique. Les ministres britannique et allemand ont adopté la même position.
Le congé maternité restera donc pour l’instant fixé à 14 semaines au moins – il est de 16 semaines en France.
P.S. Notre article précédent :
Le Parlement européen veut porter le congé maternité à 20 semaines
Information VIVA PRESSE que nous remercions
Mise en ligne : 8 décembre 2010
La proposition de porter à 20 semaines le congé de maternité indemnisé à 100 % du salaire dans l’Union européenne, votée par le parlement européen le 20 octobre dernier, a été repoussée par les ministres des Affaires sociales et de l’Emploi de l’UE réunis à Bruxelles le 6 décembre.
Les ministres n’ont cependant pas rejeté l’idée de passer à 18 semaines, comme le propose la Commission européenne, mais refusent l’idée d’une indemnisation à 100 %.
Les parlementaires européens avaient également demandé que soit adopté dans toute l’Union le principe d’un congé de paternité indemnisé de deux semaines au moins.
Roselyne Bachelot, ministre française des Solidarités, a argué du coût de la proposition des députés – 1,3 milliard d’euros pour la Sécurité sociale française selon elle – en période de crise économique. Les ministres britannique et allemand ont adopté la même position.
Le congé maternité restera donc pour l’instant fixé à 14 semaines au moins – il est de 16 semaines en France.
P.S. Notre article précédent :
Le Parlement européen veut porter le congé maternité à 20 semaines
Information VIVA PRESSE que nous remercions
Re: LA SANTE
Santé : actualités et services Cystite : buvez, éliminez !
La cystite ou inflammation de la vessie est très fréquente, surtout chez la femme. Elle est caractérisée par des sensations de brûlures en urinant associées à de fréquentes envies d'uriner. Elle guérit facilement et rapidement à condition de bien suivre le traitement et surtout d'observer correctement quelques règles simples d'hygiène de vie. En résumé, sachez que les cystites seraient moins fréquentes et surtout récidiveraient moins si les femmes buvaient davantage et urinaient plus souvent.
Comment se manifeste une cystite ?
La cystite est très fréquente, essentiellement chez la femme, en raison de la disposition anatomique de la vessie, de l'anus et du vagin.La cystite ou inflammation de la vessie entraîne essentiellement des douleurs en urinant (appelées douleurs mictionnelles) qui peuvent être très intenses, une sensation de pesanteur de la vessie et également des envies impérieuses d'uriner, avec seulement émission de quelques gouttes d'urine. Les urines peuvent être troubles, blanchâtres, d'odeur forte. Si elles sont rouges, c'est qu'elles contiennent du sang. En général, la température est normale ou reste inférieure à 38,5°C et il n'y a pas de douleurs lombaires ; dans le cas contraire, il est probable que l'infection urinaire soit plus sévère, d'origine rénale par exemple. Consultez alors sans tarder votre médecin.
Une infection urinaire est le plus souvent responsable
Les femmes sont particulièrement exposées au risque d'infection urinaire en raison de leur anatomie : l'urètre (le conduit urinaire qui débouche dans la vessie), le vagin et l'anus sont situés les uns à côté des autres. C'est ainsi que les bactéries présentes dans l'anus peuvent arriver dans l'urètre et dans la vessie. L'urine constituant un milieu propice à la multiplication des bactéries, une infection peut se développer au niveau de la vessie et entraîner une inflammation : la vessie est irritée, d'où les douleurs, et ne tolère plus la présence d'urine, d'où son élimination continuelle et en petite quantité. On connaît un certain nombre de facteurs favorisants la survenue d'une cystite comme le diabète (la présence de sucres dans les urines favorise la prolifération des bactéries), la grossesse (qui diminue le tonus musculaire de la vessie et entraîne une stagnation des urines), les rapports sexuels répétés, l'utilisation de diaphragmes comme contraceptifs ainsi que la prise de la pilule, ou encore la constipation.
D'autres causes peuvent intervenir dans la cystite
Une inflammation d'autres organes situés à proximité de la vessie (urètre, vagin ou vulve) peut être à l'origine d'une cystite. Le muguet, affection fréquente provoquée par un parasite, peut entraîner des sensations de brûlures ou de picotements au moment d'uriner. L'infection à Chlamydiae, qui est une maladie sexuellement transmissible, peut également être responsable de cystites, avec parfois un écoulement vaginal. De même que l'infection génitale par le virus Herpès irrite les muqueuses, provoquant ainsi des douleurs mictionnelles. Parfois, les brûlures urinaires surviennent en l'absence d'infection. Il s'agit d'une inflammation de la vessie sans cause bactérienne, qu'on appelle « cystalgie à urines claires ». Les douleurs se situent alors plutôt au niveau du pelvis et sont permanentes, souvent indépendantes des mictions. Il faut également penser à l'allergie liée aux produits utilisés pour la toilette, dont le point de départ est le vagin. Enfin, chez l'homme, l'augmentation de volume de la prostate peut entraîner une compression des voies urinaires et diminuer le débit urinaire, favorisant la cystite.
Comment confirmer le diagnostic de cystite ?
Lors d'un premier épisode de cystite, un examen des urines à la bandelette suffit, en apportant des informations sur la présence éventuelle de pus, de sang. En cas de doute, chez l'enfant, ou s'il s'agit d'une cystite récidivante, votre médecin demandera un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) afin de mettre en évidence la présence de bactéries (Escherichia coli le plus souvent) en grand nombre (supérieures à 100 000 germes/ml). D'autres examens complémentaires, comme une urographie intra veineuse, une échographie de la vessie, voire une cystoscopie, ne seront prescrits qu'en fonction du contexte, comme par exemple une cystite récidivante, la recherche de malformations, d'anomalies de l'écoulement urinaire ou de calculs.
Le traitement d'une cystite aiguà« est très efficace
Le traitement de la cystite sera d'autant plus efficace qu'il est démarré rapidement. Dès les premiers symptômes, les désinfectants urinaires sont indiqués (ils sont vendus en pharmacie sans ordonnance), de même que les médicaments luttant contre le spasme de la vessie. Si les symptômes persistent ou sont d'emblée intenses, n'attendez pas avant de consulter votre médecin. Après un prélèvement d'urine, il vous prescrira un antibiotique à bonne élimination urinaire. La durée de traitement classique de la cystite est de cinq jours, mais il existe aujourd'hui des traitements courts sur 3 jours et même des traitements « minute » en dose unique qui sont aujourd'hui le souvent employés. Si ces derniers comportent de nombreux avantages (facilité de suivi, moindre coût, moins d'effets secondaires). Mais si l'infection récidive, le traitement doit être alors prolongé, en prenant éventuellement plusieurs antibiotiques, selon le germe en cause.
Les règles d'hygiène de vie sont indispensables pour prévenir les récidives
* urinez aussi souvent que vous en ressentez le besoin, - buvez au moins 1,5 litres d'eau par jour, entre les repas,
* videz votre vessie après les rapports sexuels,
* si vous utilisez un diaphragme, nettoyez-le après chaque usage,
* essuyez vous d'avant en arrière, et non l'inverse,
* portez des sous-vêtements en coton, évitez les pantalons trop serrés,
* évitez les produits de toilette susceptibles d'être allergisants au niveau de la région génitale (savon trop agressif, parfum, spray),
* luttez contre la constipation.
[/col
Aves nos remerciements a ''' HANDICAPZERO '' particulièrement au Dr Sylvie Coulomb journaliste[/b]
Source : L'urologie. J. Cukier. P.U.F. Que sais-je. Problèmes urologiques de la femme. P. Colombeau. Médecine au quotidien. Ed. J. Lyon. Brûlures mictionnelles de la femme jeune. P. Simon. FMC du Quotidien du Médecin. 12-11-96.
La cystite ou inflammation de la vessie est très fréquente, surtout chez la femme. Elle est caractérisée par des sensations de brûlures en urinant associées à de fréquentes envies d'uriner. Elle guérit facilement et rapidement à condition de bien suivre le traitement et surtout d'observer correctement quelques règles simples d'hygiène de vie. En résumé, sachez que les cystites seraient moins fréquentes et surtout récidiveraient moins si les femmes buvaient davantage et urinaient plus souvent.
Comment se manifeste une cystite ?
La cystite est très fréquente, essentiellement chez la femme, en raison de la disposition anatomique de la vessie, de l'anus et du vagin.La cystite ou inflammation de la vessie entraîne essentiellement des douleurs en urinant (appelées douleurs mictionnelles) qui peuvent être très intenses, une sensation de pesanteur de la vessie et également des envies impérieuses d'uriner, avec seulement émission de quelques gouttes d'urine. Les urines peuvent être troubles, blanchâtres, d'odeur forte. Si elles sont rouges, c'est qu'elles contiennent du sang. En général, la température est normale ou reste inférieure à 38,5°C et il n'y a pas de douleurs lombaires ; dans le cas contraire, il est probable que l'infection urinaire soit plus sévère, d'origine rénale par exemple. Consultez alors sans tarder votre médecin.
Une infection urinaire est le plus souvent responsable
Les femmes sont particulièrement exposées au risque d'infection urinaire en raison de leur anatomie : l'urètre (le conduit urinaire qui débouche dans la vessie), le vagin et l'anus sont situés les uns à côté des autres. C'est ainsi que les bactéries présentes dans l'anus peuvent arriver dans l'urètre et dans la vessie. L'urine constituant un milieu propice à la multiplication des bactéries, une infection peut se développer au niveau de la vessie et entraîner une inflammation : la vessie est irritée, d'où les douleurs, et ne tolère plus la présence d'urine, d'où son élimination continuelle et en petite quantité. On connaît un certain nombre de facteurs favorisants la survenue d'une cystite comme le diabète (la présence de sucres dans les urines favorise la prolifération des bactéries), la grossesse (qui diminue le tonus musculaire de la vessie et entraîne une stagnation des urines), les rapports sexuels répétés, l'utilisation de diaphragmes comme contraceptifs ainsi que la prise de la pilule, ou encore la constipation.
D'autres causes peuvent intervenir dans la cystite
Une inflammation d'autres organes situés à proximité de la vessie (urètre, vagin ou vulve) peut être à l'origine d'une cystite. Le muguet, affection fréquente provoquée par un parasite, peut entraîner des sensations de brûlures ou de picotements au moment d'uriner. L'infection à Chlamydiae, qui est une maladie sexuellement transmissible, peut également être responsable de cystites, avec parfois un écoulement vaginal. De même que l'infection génitale par le virus Herpès irrite les muqueuses, provoquant ainsi des douleurs mictionnelles. Parfois, les brûlures urinaires surviennent en l'absence d'infection. Il s'agit d'une inflammation de la vessie sans cause bactérienne, qu'on appelle « cystalgie à urines claires ». Les douleurs se situent alors plutôt au niveau du pelvis et sont permanentes, souvent indépendantes des mictions. Il faut également penser à l'allergie liée aux produits utilisés pour la toilette, dont le point de départ est le vagin. Enfin, chez l'homme, l'augmentation de volume de la prostate peut entraîner une compression des voies urinaires et diminuer le débit urinaire, favorisant la cystite.
Comment confirmer le diagnostic de cystite ?
Lors d'un premier épisode de cystite, un examen des urines à la bandelette suffit, en apportant des informations sur la présence éventuelle de pus, de sang. En cas de doute, chez l'enfant, ou s'il s'agit d'une cystite récidivante, votre médecin demandera un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) afin de mettre en évidence la présence de bactéries (Escherichia coli le plus souvent) en grand nombre (supérieures à 100 000 germes/ml). D'autres examens complémentaires, comme une urographie intra veineuse, une échographie de la vessie, voire une cystoscopie, ne seront prescrits qu'en fonction du contexte, comme par exemple une cystite récidivante, la recherche de malformations, d'anomalies de l'écoulement urinaire ou de calculs.
Le traitement d'une cystite aiguà« est très efficace
Le traitement de la cystite sera d'autant plus efficace qu'il est démarré rapidement. Dès les premiers symptômes, les désinfectants urinaires sont indiqués (ils sont vendus en pharmacie sans ordonnance), de même que les médicaments luttant contre le spasme de la vessie. Si les symptômes persistent ou sont d'emblée intenses, n'attendez pas avant de consulter votre médecin. Après un prélèvement d'urine, il vous prescrira un antibiotique à bonne élimination urinaire. La durée de traitement classique de la cystite est de cinq jours, mais il existe aujourd'hui des traitements courts sur 3 jours et même des traitements « minute » en dose unique qui sont aujourd'hui le souvent employés. Si ces derniers comportent de nombreux avantages (facilité de suivi, moindre coût, moins d'effets secondaires). Mais si l'infection récidive, le traitement doit être alors prolongé, en prenant éventuellement plusieurs antibiotiques, selon le germe en cause.
Les règles d'hygiène de vie sont indispensables pour prévenir les récidives
* urinez aussi souvent que vous en ressentez le besoin, - buvez au moins 1,5 litres d'eau par jour, entre les repas,
* videz votre vessie après les rapports sexuels,
* si vous utilisez un diaphragme, nettoyez-le après chaque usage,
* essuyez vous d'avant en arrière, et non l'inverse,
* portez des sous-vêtements en coton, évitez les pantalons trop serrés,
* évitez les produits de toilette susceptibles d'être allergisants au niveau de la région génitale (savon trop agressif, parfum, spray),
* luttez contre la constipation.
[/col
Aves nos remerciements a ''' HANDICAPZERO '' particulièrement au Dr Sylvie Coulomb journaliste[/b]
Source : L'urologie. J. Cukier. P.U.F. Que sais-je. Problèmes urologiques de la femme. P. Colombeau. Médecine au quotidien. Ed. J. Lyon. Brûlures mictionnelles de la femme jeune. P. Simon. FMC du Quotidien du Médecin. 12-11-96.
Re: LA SANTE
POUR VOTRE INFORMATION
La gastro arrive : petits conseils pour l’éviter
Mise en ligne : 5 janvier 2011
L’épidémie de gastro-entérite se confirme en France. D’après le réseau Sentinelles, l’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimée à 550 cas pour 100 000 habitants, nettement au-dessus du seuil épidémique (288 cas pour 100 000 habitants). 558 000 personnes ont consulté pour gastro-entérite en deux semaines, estime le réseau.
La gastro frappe toutes les régions à l’exception du Limousin qui est pour l’instant sous le seuil épidémique.
Règle numéro un, respecter les règles d’hygiène
Se laver les mains :
sytématiquement après être passé aux toilettes
avant la préparation des repas. Evidemment, les personnes malades s’abstiendront de préparer à manger pour le reste de la famille.
avant de passer à table et en sortant de table. Il existe aujourd’hui des savons-gels très efficaces qui s’utilisent sans eau et éliminent un maximum de germes indésirables.
Ne pas boire et ne pas manger dans le même verre ou la même assiette que quelqu’un d’autre.
Dans la cuisine
Le plan de travail, l’évier, la table doivent être désinfectés très régulièrement. Le frigo : ne rien laisser traîner à l’air libre, fermer toutes les boîtes hermétiquement et vérifier régulièrement les date de péremption.
Enfin, désinfectez les toilettes très régulièrement, surtout si quelqu’un est malade dans la famille.
Les conseils simples pour les enfants
Chez les jeunes enfants, le principal danger de la diarrhée aiguë est le risque de déshydratation.
Lui faire boire une solution de réhydratation orale (SRO, disponible en pharmacie sans ordonnance).
Lui proposer régulièrement de manger des aliments qu’il apprécie ou poursuivre les tétées en cas d’allaitement.
Le surveiller jusqu’à la fin de la diarrhée (prendre sa température, surveiller le nombre de selles, de vomissements, de SRO ou d’aliments consommés). Si l’enfant n’est pas comme d’habitude ou si les symptômes persistent, en parler au médecin.
Des vaccins pour les enfants
Pour les jeunes enfants, deux vaccins sont aujourd’hui disponibles sur le marché, qui permettent de se prémunir contre la forme la plus répandue du rotavirus. Ils sont très efficaces : entre 70 % et 90 % de réussite. Ils peuvent être administrés par voie orale, avant l’âge de six mois. Seul souci : ils coûtent très cher et ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale.
Lire aussi Gastro : ce qu’il faut savoir
P.S. Pour suivre l’épidémie : http://www.sentiweb.org
information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions particulièrement
Madame à Marilyn Perioli
La gastro, c’est quoi ?
La gastro-entérite peut avoir différentes causes, bactériennes ou virales. Les fameuses salmonelles que l’on retrouve dans la nourriture sont parfois responsables, de même que les colibacilles. En hiver, c’est essentiellement le rotavirus, extrêmement contagieux, qui frappe la population européenne, entraînant de véritables épidémies. Chez les enfants et les personnes fragiles, la gastro peut être encore plus sévère, provoquant une déshydratation qui conduira à l’hôpital.
La gastro arrive : petits conseils pour l’éviter
Mise en ligne : 5 janvier 2011
L’épidémie de gastro-entérite se confirme en France. D’après le réseau Sentinelles, l’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimée à 550 cas pour 100 000 habitants, nettement au-dessus du seuil épidémique (288 cas pour 100 000 habitants). 558 000 personnes ont consulté pour gastro-entérite en deux semaines, estime le réseau.
La gastro frappe toutes les régions à l’exception du Limousin qui est pour l’instant sous le seuil épidémique.
Règle numéro un, respecter les règles d’hygiène
Se laver les mains :
sytématiquement après être passé aux toilettes
avant la préparation des repas. Evidemment, les personnes malades s’abstiendront de préparer à manger pour le reste de la famille.
avant de passer à table et en sortant de table. Il existe aujourd’hui des savons-gels très efficaces qui s’utilisent sans eau et éliminent un maximum de germes indésirables.
Ne pas boire et ne pas manger dans le même verre ou la même assiette que quelqu’un d’autre.
Dans la cuisine
Le plan de travail, l’évier, la table doivent être désinfectés très régulièrement. Le frigo : ne rien laisser traîner à l’air libre, fermer toutes les boîtes hermétiquement et vérifier régulièrement les date de péremption.
Enfin, désinfectez les toilettes très régulièrement, surtout si quelqu’un est malade dans la famille.
Les conseils simples pour les enfants
Chez les jeunes enfants, le principal danger de la diarrhée aiguë est le risque de déshydratation.
Lui faire boire une solution de réhydratation orale (SRO, disponible en pharmacie sans ordonnance).
Lui proposer régulièrement de manger des aliments qu’il apprécie ou poursuivre les tétées en cas d’allaitement.
Le surveiller jusqu’à la fin de la diarrhée (prendre sa température, surveiller le nombre de selles, de vomissements, de SRO ou d’aliments consommés). Si l’enfant n’est pas comme d’habitude ou si les symptômes persistent, en parler au médecin.
Des vaccins pour les enfants
Pour les jeunes enfants, deux vaccins sont aujourd’hui disponibles sur le marché, qui permettent de se prémunir contre la forme la plus répandue du rotavirus. Ils sont très efficaces : entre 70 % et 90 % de réussite. Ils peuvent être administrés par voie orale, avant l’âge de six mois. Seul souci : ils coûtent très cher et ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale.
Lire aussi Gastro : ce qu’il faut savoir
P.S. Pour suivre l’épidémie : http://www.sentiweb.org
information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions particulièrement
Madame à Marilyn Perioli
La gastro, c’est quoi ?
La gastro-entérite peut avoir différentes causes, bactériennes ou virales. Les fameuses salmonelles que l’on retrouve dans la nourriture sont parfois responsables, de même que les colibacilles. En hiver, c’est essentiellement le rotavirus, extrêmement contagieux, qui frappe la population européenne, entraînant de véritables épidémies. Chez les enfants et les personnes fragiles, la gastro peut être encore plus sévère, provoquant une déshydratation qui conduira à l’hôpital.
Re: LA SANTE
Gastroentérite : quels sont les aliments à éviter et ceux à privilégier ?
L’épidémie de gastroentérite a démarré. Au-delà des bons réflexes pour échapper à la gastroentérite, que peut-on faire si malgré tout nous sommes atteints par cette infection du système digestif ? Et surtout que boire en cas de gastroentérite, quels sont les aliments à éviter ou à privilégier ?
Quand la gastroentérite vous tient, buvez de l’eau pour compenser les pertes
Si vous avez l’estomac au bord des lèvres, inutile de vous forcer à manger quoi que ce soit. L’important est de boire de l’eau (ou idéalement une solution de réhydratation) par petites gorgées aussi souvent que possible. En effet, les diarrhées et les vomissements entraînent des pertes hydriques qu’il faut compenser.
Attention, pas de coca ou autre soda. Ces boissons gazeuses très acides sont beaucoup trop agressives pour vos intestins fragilisés par la gastroentérite. Évidemment, pas d’alcool non plus, trop irritant pour le système digestif et inversement déshydratant.
Si l’eau ne passe pas bien, buvez un peu de bouillon, d’eau sucrée ou de tisane.Vous aussi suçoter une cuillière de miel.
Évitez le café, même si en toutes petites quantités il peut être bénéfique à certains, il est irritant chez d’autres personnes et aggrave la diarrhée.
Automédication en cas de symptômes importants :
En cas de symptômes importants, vous pouvez recourir à l’automédication, par exemple :
Lopéramide pour arrêter la diarrhée.
Nifuroxazide comme anti-infectieux intestinal.
Demandez conseil à votre pharmacien !
Lorsque la phase aiguà« de la gastroentérite est passée et que vous vous sentez capable de manger quelque chose, faites les bons choix et débutez très progressivement par petites quantités.
Les aliments à éviter en cas de gastroentérite
Il faut éviter les aliments gras et ceux qui sont riches en fibres comme les légumes verts et les fruits frais, à l’exception de la banane (à privilégier bien mûre).
Les aliments à privilégier
Vous pouvez manger de petites quantités de laitages, comme un peu de yaourt ou un petit morceau de fromage à pâte cuite.
Les féculents sont à privilégier, notamment le riz blanc, mais aussi les pâtes.
Tentez le pain blanc ou les céréales sans sucre.
Vous pouvez essayer les carottes cuites.
Carottes et féculents peuvent être accompagnés de petits morceaux de viande maigre ou de poisson bien cuits.
Les compotes (les fruits étant cuits et mixés) sont souvent appréciées. A débuter, là encore, par petites quantités.
Mais si les nausées reviennent, arrêtez de manger et attendez une demi-heure avant votre prochaine tentative.
Gastroentérites : les bons réflexes
En cas de gastroentérite chez un nourrisson ou une personne âgée, soyez très prudent car ces sujets fragiles se déshydratent rapidement. Mieux vaut qu’ils soient suivis par un médecin. Dans tous les cas, une gastroentérite qui persiste impose la consultation d’un médecin.
Enfin, pour éviter la gastroentérite et limiter sa transmission, lavez-vous les mains aussi souvent que possible, impérativement en sortant des toilettes et avant de préparer les repas. C’est aussi le moment d’écouler votre stock de solutions hydroalcooliques !
Information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions particulièrement : Isabelle Eustache Journaliste
Source : Le Manuel Merck, Editions Larousse.
L’épidémie de gastroentérite a démarré. Au-delà des bons réflexes pour échapper à la gastroentérite, que peut-on faire si malgré tout nous sommes atteints par cette infection du système digestif ? Et surtout que boire en cas de gastroentérite, quels sont les aliments à éviter ou à privilégier ?
Quand la gastroentérite vous tient, buvez de l’eau pour compenser les pertes
Si vous avez l’estomac au bord des lèvres, inutile de vous forcer à manger quoi que ce soit. L’important est de boire de l’eau (ou idéalement une solution de réhydratation) par petites gorgées aussi souvent que possible. En effet, les diarrhées et les vomissements entraînent des pertes hydriques qu’il faut compenser.
Attention, pas de coca ou autre soda. Ces boissons gazeuses très acides sont beaucoup trop agressives pour vos intestins fragilisés par la gastroentérite. Évidemment, pas d’alcool non plus, trop irritant pour le système digestif et inversement déshydratant.
Si l’eau ne passe pas bien, buvez un peu de bouillon, d’eau sucrée ou de tisane.Vous aussi suçoter une cuillière de miel.
Évitez le café, même si en toutes petites quantités il peut être bénéfique à certains, il est irritant chez d’autres personnes et aggrave la diarrhée.
Automédication en cas de symptômes importants :
En cas de symptômes importants, vous pouvez recourir à l’automédication, par exemple :
Lopéramide pour arrêter la diarrhée.
Nifuroxazide comme anti-infectieux intestinal.
Demandez conseil à votre pharmacien !
Lorsque la phase aiguà« de la gastroentérite est passée et que vous vous sentez capable de manger quelque chose, faites les bons choix et débutez très progressivement par petites quantités.
Les aliments à éviter en cas de gastroentérite
Il faut éviter les aliments gras et ceux qui sont riches en fibres comme les légumes verts et les fruits frais, à l’exception de la banane (à privilégier bien mûre).
Les aliments à privilégier
Vous pouvez manger de petites quantités de laitages, comme un peu de yaourt ou un petit morceau de fromage à pâte cuite.
Les féculents sont à privilégier, notamment le riz blanc, mais aussi les pâtes.
Tentez le pain blanc ou les céréales sans sucre.
Vous pouvez essayer les carottes cuites.
Carottes et féculents peuvent être accompagnés de petits morceaux de viande maigre ou de poisson bien cuits.
Les compotes (les fruits étant cuits et mixés) sont souvent appréciées. A débuter, là encore, par petites quantités.
Mais si les nausées reviennent, arrêtez de manger et attendez une demi-heure avant votre prochaine tentative.
Gastroentérites : les bons réflexes
En cas de gastroentérite chez un nourrisson ou une personne âgée, soyez très prudent car ces sujets fragiles se déshydratent rapidement. Mieux vaut qu’ils soient suivis par un médecin. Dans tous les cas, une gastroentérite qui persiste impose la consultation d’un médecin.
Enfin, pour éviter la gastroentérite et limiter sa transmission, lavez-vous les mains aussi souvent que possible, impérativement en sortant des toilettes et avant de préparer les repas. C’est aussi le moment d’écouler votre stock de solutions hydroalcooliques !
Information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions particulièrement : Isabelle Eustache Journaliste
Source : Le Manuel Merck, Editions Larousse.
Re: LA SANTE
Infarctus : reconnaître les symptômes pour diminuer la mortalité
Mise en ligne : 14 janvier 2011
Le 12 janvier a démarré une campagne d’information et de sensibilisation "Infarctus, une question de vie" destinée à mieux faire connaître la maladie au grand public. En effet, 65 % des Français déclarent méconnaître les signes d’alerte.
L’infarctus du myocarde est la destruction d’une partie du muscle cardiaque due à l’interruption de la circulation sanguine dans les artères qui le nourrissent. Il se traduit généralement par une douleur au niveau de la poitrine, en arrière du sternum, qui donne l’impression d’être serrer dans un étau. Elle peut se faire sentir aussi dans les mâchoires, les bras (surtout le gauche) ou le creux de l’estomac.
Parfois, les symptômes sont trompeurs et se manifestent par des douleurs au poignet ou uniquement à la mâchoire ou encore par un embarras gastrique.
Les principaux facteurs de risque sont l’hérédité, l’âge, le sexe (les hommes sont plus touchés que les femmes), le tabagisme (il multiplie par 3 les risques), le surpoids, la sédentarité, le cholestérol et l’hypertension. Les femmes ne sont pas épargnées. En revanche, elles sont moins bien dépistées et leur pronostic est plus défavorable : leur mortalité a 30 jours est presque deux fois plus élevée.
En France, environ 100 000 personnes ont un infarctus chaque année et tous les 40 minutes, une personne en meurt. La campagne qui vient d’être lancée vise l’objectif du Haut Conseil de la Santé Publique : baisser la mortalité par infarctus de 10 % d’ici 2015.
Information VIVA PRESSE que nous remercions particulièrement Brigitte Bègue
Mise en ligne : 14 janvier 2011
Le 12 janvier a démarré une campagne d’information et de sensibilisation "Infarctus, une question de vie" destinée à mieux faire connaître la maladie au grand public. En effet, 65 % des Français déclarent méconnaître les signes d’alerte.
L’infarctus du myocarde est la destruction d’une partie du muscle cardiaque due à l’interruption de la circulation sanguine dans les artères qui le nourrissent. Il se traduit généralement par une douleur au niveau de la poitrine, en arrière du sternum, qui donne l’impression d’être serrer dans un étau. Elle peut se faire sentir aussi dans les mâchoires, les bras (surtout le gauche) ou le creux de l’estomac.
Parfois, les symptômes sont trompeurs et se manifestent par des douleurs au poignet ou uniquement à la mâchoire ou encore par un embarras gastrique.
Les principaux facteurs de risque sont l’hérédité, l’âge, le sexe (les hommes sont plus touchés que les femmes), le tabagisme (il multiplie par 3 les risques), le surpoids, la sédentarité, le cholestérol et l’hypertension. Les femmes ne sont pas épargnées. En revanche, elles sont moins bien dépistées et leur pronostic est plus défavorable : leur mortalité a 30 jours est presque deux fois plus élevée.
En France, environ 100 000 personnes ont un infarctus chaque année et tous les 40 minutes, une personne en meurt. La campagne qui vient d’être lancée vise l’objectif du Haut Conseil de la Santé Publique : baisser la mortalité par infarctus de 10 % d’ici 2015.
Information VIVA PRESSE que nous remercions particulièrement Brigitte Bègue
Re: LA SANTE
Infarctus, une question de vie
Janvier 2011 : avec les autres acteurs de la cardiologie française, la FFC lance une grande campagne sur le thème de l'infarctus du myocarde
Pour faire baisser la mortalité liée à l'infarctus du myocarde, tous les acteurs de la cardiologie française se sont associés au sein d'une grande campagne d'information et de sensibilisation qui commencera le 12 janvier 2011. Vous pouvez trouver une présentation de cette campagne sur notre site à cette adresse Infarctus, une question de vie.
Vous pouvez également consulter le site dédié à cette opération : infarctus-info.org associant la Fédération Française de Cardiologie, le Collège National des Cardiologue Français, la Société Française de Cardiologie, la Société Française de Médecine d'Urgence, le SAMU Urgences de France et le Collège National des Cardiologues des Hôpitaux Généraux sur le site web dédié
Comme chaque année, le Parcours du Cœur, qui se tiendra les 2 et 3 avril 2011, sera l'occasion d'une double rencontre...
Janvier 2011 : avec les autres acteurs de la cardiologie française, la FFC lance une grande campagne sur le thème de l'infarctus du myocarde
Pour faire baisser la mortalité liée à l'infarctus du myocarde, tous les acteurs de la cardiologie française se sont associés au sein d'une grande campagne d'information et de sensibilisation qui commencera le 12 janvier 2011. Vous pouvez trouver une présentation de cette campagne sur notre site à cette adresse Infarctus, une question de vie.
Vous pouvez également consulter le site dédié à cette opération : infarctus-info.org associant la Fédération Française de Cardiologie, le Collège National des Cardiologue Français, la Société Française de Cardiologie, la Société Française de Médecine d'Urgence, le SAMU Urgences de France et le Collège National des Cardiologues des Hôpitaux Généraux sur le site web dédié
Comme chaque année, le Parcours du Cœur, qui se tiendra les 2 et 3 avril 2011, sera l'occasion d'une double rencontre...
Re: LA SANTE
La pétition des généralistes contre les restrictions d’accès aux soins
Mise en ligne : 19 janvier 2011
En septembre dernier, la Cpam du Val-de-Marne a traîné le docteur Didier Poupardin, un généraliste de Vitry-sur-Seine (94), devant devant le tribunal des affaires sociales (TASS).
Sa faute : avoir placé en remboursement à 100 % des prescriptions faites à des patients en difficulté pour leur permettre d’accéder aux soins.
Loin de plier, le Dr Poupardin et 122 autres « médecins confrontés à des problématiques du même type » ont lancé une pétition nationale pour « porter ensemble un combat contre le rouleau compresseur qui diminue l’accessibilité aux soins de toute la population et qui agit pour privatiser de plus en plus le système solidaire de protection sociale ».
Leur « Manifeste de résistance » déclare que « médecins, chargés de soigner, dépister, prévenir les maladies de nos patients, nous ne pouvons pas rester indifférents devant l’accroissement des mesures qui tendent à restreindre l’accès aux soins remboursés et à privatiser la sécurité sociale ».
Les signataires soulignent que « c’est une marque de civilisation que les techniques médicales et chirurgicales progressent et soient accessibles à tous ». Ils rejettent l’idée qu’il y a trop de dépenses de santé, la culpabilisation des médecins et des malades « accusés de dépenser trop, d’être assoiffés de soins, d’examens coûteux alors que les renoncements aux soins explosent ».
P.S. Plus d’infos :
http://didierpoupardin.wordpress.com
Information ''VIVA PRESSE'' que nous remercions
Mise en ligne : 19 janvier 2011
En septembre dernier, la Cpam du Val-de-Marne a traîné le docteur Didier Poupardin, un généraliste de Vitry-sur-Seine (94), devant devant le tribunal des affaires sociales (TASS).
Sa faute : avoir placé en remboursement à 100 % des prescriptions faites à des patients en difficulté pour leur permettre d’accéder aux soins.
Loin de plier, le Dr Poupardin et 122 autres « médecins confrontés à des problématiques du même type » ont lancé une pétition nationale pour « porter ensemble un combat contre le rouleau compresseur qui diminue l’accessibilité aux soins de toute la population et qui agit pour privatiser de plus en plus le système solidaire de protection sociale ».
Leur « Manifeste de résistance » déclare que « médecins, chargés de soigner, dépister, prévenir les maladies de nos patients, nous ne pouvons pas rester indifférents devant l’accroissement des mesures qui tendent à restreindre l’accès aux soins remboursés et à privatiser la sécurité sociale ».
Les signataires soulignent que « c’est une marque de civilisation que les techniques médicales et chirurgicales progressent et soient accessibles à tous ». Ils rejettent l’idée qu’il y a trop de dépenses de santé, la culpabilisation des médecins et des malades « accusés de dépenser trop, d’être assoiffés de soins, d’examens coûteux alors que les renoncements aux soins explosent ».
P.S. Plus d’infos :
http://didierpoupardin.wordpress.com
Information ''VIVA PRESSE'' que nous remercions
Re: LA SANTE
Merci Briand
cette info est hyper importante pour une fois que des médecins se positionnent nettement en faveur des malades !!!
il y en a tant qui dérivent ...
cette info est hyper importante pour une fois que des médecins se positionnent nettement en faveur des malades !!!
il y en a tant qui dérivent ...
Re: LA SANTE
L’Afssaps publiera aujourd’hui la liste des médicaments « placés sous surveillance »
Mise en ligne : 31 janvier 2011
Une liste de 76 médicaments « placés sous surveillance » doit être communiquée dans la journée par l’Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) à la demande du ministère de la Santé. Certains de ces produits, une soixantaine sont suivis depuis des années via un « plan de gestion des risques » déjà connu.
Par ailleurs, deux médicaments devraient être interdits : le Fonzylane (ou buflomédil), un vasodilatateur et le Nizoral (un anti-mycosique), deux médicaments dont le retrait a été demandé par la commission d’Autorisation de mise sur le marché, selon le Figaro.
Le retrait de ces deux médicaments a été demandé par la revue médicale indépendante Prescrire. Le premier aurait des d’effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels, le deuxième présente un risque de survenue d’hépatites fulgurantes.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Mise en ligne : 31 janvier 2011
Une liste de 76 médicaments « placés sous surveillance » doit être communiquée dans la journée par l’Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) à la demande du ministère de la Santé. Certains de ces produits, une soixantaine sont suivis depuis des années via un « plan de gestion des risques » déjà connu.
Par ailleurs, deux médicaments devraient être interdits : le Fonzylane (ou buflomédil), un vasodilatateur et le Nizoral (un anti-mycosique), deux médicaments dont le retrait a été demandé par la commission d’Autorisation de mise sur le marché, selon le Figaro.
Le retrait de ces deux médicaments a été demandé par la revue médicale indépendante Prescrire. Le premier aurait des d’effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels, le deuxième présente un risque de survenue d’hépatites fulgurantes.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Le droit au séjour pour raisons médicales remis en cause
Mise en ligne : 1er février 2011
Réunis le 31 janvier au Sénat pour une conférence de presse extraordinaire, associations (Aides, Ciss, Uniopss Fnars), médecins et sociétés savantes (Fédération française de pneumologie, Conseil national du sida, Société française de santé publique...) ont tiré la sonnette d’alarme sur la remise en cause du droit au séjour pour raisons médicales (article 17 ter du projet de loi sur l’immigration).
Aujourd’hui la loi garantit dans des conditions strictes un droit au séjour pour les étrangers atteint d’une pathologie d’une exceptionnelle gravité qui ne peuvent « effectivement bénéficier d’un traitement approprié dans leur pays d’origine ».
L’admission au séjour dépend des possibilités pour la personne d’accéder à une prise en charge médicale, en fonction des traitements disponibles dans son pays, de l’état des structures sanitaires, du manque de personnel médical, des ruptures fréquentes de stocks, des possibilités à une protection sociale.
L’amendement déposé par le gouvernement et voté en première lecture par l’Assemblée nationale propose de remplacer les termes « défaut de bénéfice effectif » par celui « d’indisponibilité » du traitement.
Cette formulation floue est largement sujette à caution et à interprétations : si cet amendement est voté en l’état, la simple disponibilité dans le pays d’origine de médicaments, même en quantité insuffisante, même à des tarifs prohibitifs, pourrait alors suffire à justifier le refus de régularisation de personnes gravement malades alors même qu’elle n’auraient pas concrètement accès aux soins dans leur pays d’origine.
Pour Willy Rozembaum, co-découvreur du sida et président du Conseil national dusida, « cette mesure va exclure des soins les malades les plus vulnérables. Ce n’est pas admissible ».
Une mesure injuste qui serait de plus inefficace économiquement : un récent rapport de l’inspection générale des finances (IGF) et de l’inspection générale des affaires sociales (Igas) le confirme. Si l’accès à une carte de séjour de pour raisons médicales était restreint, les malades sans solutions dans leur pays viendraient quand même mais s’enfermeraient dans l’illégalité (voir témoignage). Et les charges seraient simplement transférées de la Caisse d’assurance maladie vers le budget de l’Aide médicale d’Etat (allocation pour les étrangers en situation irrégulière) avec un retard de recours aux soins beaucoup plus coûteux pour la collectivité.
L’immigration thérapeutique est un mythe L’un des motifs invoqué pour modifier la loi est d’affirmer que les étrangers utiliseraient le droit au séjour thérapeutique comme un prétexte pour immigrer en masse.
Or, selon une enquête de l’Observatoire de l’accès aux soins de Médecins du monde menée auprès de plus d’un millier de migrants en Europe, seuls 6 % citent la santé parmi les raisons qui les ont poussés à quitter leur pays. Le nombre d’étrangers qui se prévalent de leur état de santé pour être admis au séjour s’est stabilisé en 2008 autour de 28 000 personnes représentant seulement 0,8 % des 3 500 000 étrangers en situation régulière vivant en France.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Anne-Marie Thomazeau[/b]
Le droit au séjour pour raisons médicales remis en cause
Mise en ligne : 1er février 2011
Réunis le 31 janvier au Sénat pour une conférence de presse extraordinaire, associations (Aides, Ciss, Uniopss Fnars), médecins et sociétés savantes (Fédération française de pneumologie, Conseil national du sida, Société française de santé publique...) ont tiré la sonnette d’alarme sur la remise en cause du droit au séjour pour raisons médicales (article 17 ter du projet de loi sur l’immigration).
Aujourd’hui la loi garantit dans des conditions strictes un droit au séjour pour les étrangers atteint d’une pathologie d’une exceptionnelle gravité qui ne peuvent « effectivement bénéficier d’un traitement approprié dans leur pays d’origine ».
L’admission au séjour dépend des possibilités pour la personne d’accéder à une prise en charge médicale, en fonction des traitements disponibles dans son pays, de l’état des structures sanitaires, du manque de personnel médical, des ruptures fréquentes de stocks, des possibilités à une protection sociale.
L’amendement déposé par le gouvernement et voté en première lecture par l’Assemblée nationale propose de remplacer les termes « défaut de bénéfice effectif » par celui « d’indisponibilité » du traitement.
Cette formulation floue est largement sujette à caution et à interprétations : si cet amendement est voté en l’état, la simple disponibilité dans le pays d’origine de médicaments, même en quantité insuffisante, même à des tarifs prohibitifs, pourrait alors suffire à justifier le refus de régularisation de personnes gravement malades alors même qu’elle n’auraient pas concrètement accès aux soins dans leur pays d’origine.
Pour Willy Rozembaum, co-découvreur du sida et président du Conseil national dusida, « cette mesure va exclure des soins les malades les plus vulnérables. Ce n’est pas admissible ».
Une mesure injuste qui serait de plus inefficace économiquement : un récent rapport de l’inspection générale des finances (IGF) et de l’inspection générale des affaires sociales (Igas) le confirme. Si l’accès à une carte de séjour de pour raisons médicales était restreint, les malades sans solutions dans leur pays viendraient quand même mais s’enfermeraient dans l’illégalité (voir témoignage). Et les charges seraient simplement transférées de la Caisse d’assurance maladie vers le budget de l’Aide médicale d’Etat (allocation pour les étrangers en situation irrégulière) avec un retard de recours aux soins beaucoup plus coûteux pour la collectivité.
L’immigration thérapeutique est un mythe L’un des motifs invoqué pour modifier la loi est d’affirmer que les étrangers utiliseraient le droit au séjour thérapeutique comme un prétexte pour immigrer en masse.
Or, selon une enquête de l’Observatoire de l’accès aux soins de Médecins du monde menée auprès de plus d’un millier de migrants en Europe, seuls 6 % citent la santé parmi les raisons qui les ont poussés à quitter leur pays. Le nombre d’étrangers qui se prévalent de leur état de santé pour être admis au séjour s’est stabilisé en 2008 autour de 28 000 personnes représentant seulement 0,8 % des 3 500 000 étrangers en situation régulière vivant en France.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Anne-Marie Thomazeau[/b]
Re: LA SANTE
Voici la liste de 59 médicaments sous surveillance en France
ABSTRAL . Il sagit dun anti-douleur morphinique. Effet indésirable possible : dépression respiratoire.
ACLASTA 5 mg . Cest un traitement de lostéoporose. Effet indésirable : insuffisances rénales.
ACOMPLIA. Ce produit de traitement de lobésité ou des patients en surpoids a fait lobjet dun retrait du marché le 23 octobre 2008, mais les autorités surveillent toujours les effets indésirables sur les patientes : il peut entraîner des dépressions, des vertiges et des troubles du sommeil.
ALLI 60mg . Ce médicament est indiqué dans le traitement du surpoids. Il est sous surveillance car il peut entraîner des troubles de lanxiété.
ANTASOL . Ce traitement anti-douleur utilisé à lhôpital est un mélange doxygène et de protoxyde dazote. Il peut entraîner une modification des perceptions sensorielles et une angoisse.
ARCOXIA . Il sagit dun anti inflammatoire non stéroïdien utilisé dans le traitement de larthrose. Effet secondaire : Il peut augmenter le risque daccident vasculaire cérébraux, et dinfarctus du myocarde.
BYETTA . Ce médicament est un anti-diabétique. Il entraîne des troubles gastro-intestinaux, des nausées, et des vomissements. Une étude montre quil augmente le risque dinsuffisance rénale aigüe.
CELSENTRI . Il sagit dun médicament de la famille des antirétroviraux contre le VIH. Les effets secondaires sont les risques datteintes du foie, les troubles cardiaques et musculaires.
CERVARIX . Cst un vaccin contre le col de lutérus en prévention des cancers du col. Effets secondaires possibles : céphalées, et douleurs musculaires, rougeur et gonflement.
CHAMPIX . Ce médicament daide à larrêt du tabac agit sur les récepteurs nicotiniques du cerveau. Il a des effets secondaires. Notamment la dépression, lirritabilité, les céphalées.
CHLORHYDRATE DE BUPRENORPHINE . Il sagit dun traitement substitutif des drogues opiacées. Il peut entraîner des atteintes hépatiques, et des cas de dépression respiratoire.
CIMZIA : Il sagit dune prise en charge de la polyarthrite rhumatoide. Des effets secondaires ont été identifiés, notamment des tuberculoses et des zonas.
CYMBALTA . Ce médicament est un antédépresseur. Ses effets secondaires sont des atteintes graves du foie. LAfssaps indique que «le risque de suicides pourrait être augmenté».
EFFENTORA . Ce médicament est un anti-douleur. Il peut provoquer une accoutumance. Le surdosage peut être mortel.
EFIENT 10 mg . Ce médicament est indiqué pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. Les effets secondaires identifiés sont le risque hémorragique et lanémie.
ELLAONE . Il sagit dun contraceptif durgence à prendre dans les cinq jours après un rapport sexuel non protégé. Les risques identifiés sont laugmentation de la pression artérielle, les grossesses extra-utérines et les atteintes du foie.
ENTONOX . Ce traitement utilisé à lhôpital est un mélange doxygène et de protoxyde dazote. Il peut entraîner une modification des perceptions sensorielles et une angoisse.
EXJADE . Ce médicament est indiqué contre la surcharge en fer. Il peut provoquer des troubles au foie et aux intestins.
FIRMAGON . Il sagit dun traitement hormonal pour le cancer de la prostate. Il peut entraîner des pathologies cardio-vasculaires et une diminution de la densité minérale osseuse.
GALVUS . Il sagit dun anti-diabétique. Il peut provoquer des atteintes du foie, et des troubles du système nerveux.
GARDASIL . Il sagit du vaccin contre le papillomavirus, pour éviter les cancers du col de lutérus. Il peut entrainer des réactions cutanées au point dinjection et de la fièvre. Il nest pas recommandé pour la femme enceinte.
ILARIS . Ce médicament est un anticorps, pour lutter contre certaines infections. Il peut entraîner des vertiges et une hypercholestérolémie.
INCRELEX . Ce médicament est indiqué dans le traitement à long terme des retards de croissance chez lenfant. Des hypoglycémies et des hypertrophies des amygdales ont été signalées.
INSTANYL . Il sagit dun anti-douleur morphinique. Il peut provoquer des dépressions respiratoires, des vomissements, et des vertiges.
INTELENCE . Il sagit dun médicament de la famille des antirétroviraux. Les risques identifiés sont léruption cutanée, parfois sous forme très importantes, et les nausées.
INTRINSA , patch indiqué dans la baisse du désir sexuel chez les femmes souffrant de ménopause chirurgicale. Effets indésirables : réactions locales au site dapplication (30 % des patients), acné, hirsutisme et raucité de la voix (pour 1% des patients). Risques potentiels : survenue du cancer du sein et dévènements cardiovasculaires.
ISENTRESS, indiqué dans le traitement de linfection par VIH. Effets indésirables : diarrhées, nausées et fièvre. Risque potentiel : développement de résistances et échec virologique.
JANUVIA, 100 mg comprimé pelliculé , indiqué chez les patients diabétiques de type 2 pour le contrôle de la glycémie. Effets indésirables : troubles digestifs, infections des voies respiratoires, réactions cutanées, réactions dhypersensibilité.
KALINOX , réservé aux professionnels, indiqué comme anti-douleur chez le dentiste ou aux urgences. Effets indésirables : modification des perceptions sensorielles, nausées, angoisse, euphorie.
KUVAN , indiqué dans deux maladies métaboliques rares. Effets indésirables : troubles gastro-intestinaux. Risque potentiel : atteinte des reins.
LUCENTIS , indiqué dans la dégénérescence maculaire liée à lâge (DMLA). Effets indésirables : décollements de la rétine, déchirures rétitiennes, cataractes traumatiques (survenus dans moins de 0,1% des injections intravitréennes) ; inflammations intraoculaire (moins de 1% des cas). Risque potentiel : réaction allergique grave.
METHADONE AP-HP gélule , indiqué dans le traitement de substitution des drogues. Effets indésirables : hypersudation, nausées, constipation, dépression respiratoire, hypotension sévère, arrêt respiratoire, choc et arrêt cardiaque.
MULTAQ , indiqué dans certains troubles cardiaques. Effets indésirables : diarrhées, nausées, vomissements et asthénie.
MYCAMINE , indiqué contre les mycoses. Effets indésirables : nausées et vomissements. Risque potentiel : développement de tumeurs du foie.
NPLATE , indiqué pour augmenter la production de plaquettes. Effets indésirables : maux de tête. Risques potentiels : problèmes cardio-vasculaires.
ONGLYZA , indiqué dans le diabète de type 2. Effets indésirables : infections respiratoires, vomissements, maux de tête.
ORENCIA , indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : infections respiratoires et urinaires, réactions allergiques, nausées, maux de tête.
OXYNOX , réservé aux professionnels, indiqué comme anti-douleur chez le dentiste ou aux urgences. Effets indésirables : modification des perceptions sensorielles, nausées, angoisse, euphorie.
PRADAXA , indiqué chez les patients ayant une prothèse totale de hanche ou de genou. Effets indésirables : nausées, vomissements, constipations, thromboses veineuses profondes, insomies. Risques : hémorragie, atteinte du foi.
PREVENAR 13 , vaccin contre les infections à pneumocoque (méningites, pneumonies...) pour les enfants. Effets indésirables : réactions au site dinjection, fièvre, irritabilité, perte dappétit et troubles du sommeil.
PROCORALAN , indiqué dans certains troubles du rythme cardiaque. Effets indésirables : ralentissement du rythme cardiaque et vision trouble.
RELISTOR , indiqué pour les patients en soins palliatifs. Effets indésirables : douleurs abdominales, nausées, diarrhées.
REVLIMID , indiqué contre le myélome multiple, cancer de la moelle osseuse. Effets indésirables : troubles du sang, gastro-intestinaux, éruptions cutanées. Risques potentiels : embolies.
REVOLADE , indiqué pour certaines personnes ayant subi une ablation de la rate. Effets indésirables : maux de tête, nausées. Risques : atteintes du foie, thromboses veineuses, embolies pulmonaires, infarctus.
ROACTEMRA , contre la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : rhinopharyngites, maux de tête. Risques : infections graves comme pneumonie ou zona, perforations gastro-intestinales.
STELARA , contre le psoriasis. Risques : réactions cutanées, allergies, infections.
SYMBICORT , contre lasthme. Effets indésirables : palpitations, tremblements, irritations de la gorge, toux, raucité de la voix.
THALIDOMIDE , retiré du marché mondial en 1962, il est actuellement réutilisé pour ses propriétés antitumorales. Les effets indésirables : malformations congénitales en cas de grossesse ; tromboses veineuses ; embolies pulmonaires.
THELIN , pour les patients souffrant dhypertension artérielle pulmonaire dans le but daméliorer leur capacité à lexercice physique. Effets indésirables : infections des voix respiratoires, troubles de la coagulation. Risques : oedème pulmonaire.
TOCTINO , contre leczéma chronique sévère des mains. Risque élevé de malformation congénitale en cas de grossesse. Autres risques : troubles psychiatriques ou encore oculaires.
TRACLEER , indiqué contre lhypertension artérielle pulmonaire et aussi contre les ulcères digitaux. Risques associés : toxicité hépatique.
TYSABRI , réservé à lusage hospitalier et indiqué dans la sclérose en plaques. Risques : graves troubles au foie et des complications neurologiques.
TYVERB , indiqué contre le cancer du sein. Effets indésirables : troubles digestifs et cutanés ; atteintes du foie ; toxicité pulmonaire.
VALDOXAN . Il sagit dun anti-dépresseur. Il peut provoquer des nausées et des vertiges. Des problèmes au foie ont aussi été identifiés.
VIMPAT . Cest un anti-épileptique. Il peut entrainer des céphalées, des nausées. Des risques de suicide sont signalés.
VOLIBRIS . Ce médicament est utilisé dans le traitement de lhypertension arterielle pulmonaire. Il a été notifié des oedèmes, des affections des voies respiratoires supérieures et des palpitations.
XARELTO . Il sagit dun médicament de prise en charge des troubles cardio-vasculaires. Il peut provoquer des risques de saignements, des complications hémorragiques, et des ulcères gastro-intestinaux.
XYREM Cest un traitement de la maladie du sommeil, dite narcolepsie. Les risques liés au produit font apparaître des dépressions respiratoires, des troubles neuro-psychiatrique, des idées suicidaires et des tentatives de suicide.
ZYPADHERA Il sagit dun anti-psychotique délivré aux patients adultes schizophrènes. Dans certains cas, des effets secondaires du type agressivité, vertiges, hypertension, convulsion, et même quelques cas de coma ont été rapportés.
ABSTRAL . Il sagit dun anti-douleur morphinique. Effet indésirable possible : dépression respiratoire.
ACLASTA 5 mg . Cest un traitement de lostéoporose. Effet indésirable : insuffisances rénales.
ACOMPLIA. Ce produit de traitement de lobésité ou des patients en surpoids a fait lobjet dun retrait du marché le 23 octobre 2008, mais les autorités surveillent toujours les effets indésirables sur les patientes : il peut entraîner des dépressions, des vertiges et des troubles du sommeil.
ALLI 60mg . Ce médicament est indiqué dans le traitement du surpoids. Il est sous surveillance car il peut entraîner des troubles de lanxiété.
ANTASOL . Ce traitement anti-douleur utilisé à lhôpital est un mélange doxygène et de protoxyde dazote. Il peut entraîner une modification des perceptions sensorielles et une angoisse.
ARCOXIA . Il sagit dun anti inflammatoire non stéroïdien utilisé dans le traitement de larthrose. Effet secondaire : Il peut augmenter le risque daccident vasculaire cérébraux, et dinfarctus du myocarde.
BYETTA . Ce médicament est un anti-diabétique. Il entraîne des troubles gastro-intestinaux, des nausées, et des vomissements. Une étude montre quil augmente le risque dinsuffisance rénale aigüe.
CELSENTRI . Il sagit dun médicament de la famille des antirétroviraux contre le VIH. Les effets secondaires sont les risques datteintes du foie, les troubles cardiaques et musculaires.
CERVARIX . Cst un vaccin contre le col de lutérus en prévention des cancers du col. Effets secondaires possibles : céphalées, et douleurs musculaires, rougeur et gonflement.
CHAMPIX . Ce médicament daide à larrêt du tabac agit sur les récepteurs nicotiniques du cerveau. Il a des effets secondaires. Notamment la dépression, lirritabilité, les céphalées.
CHLORHYDRATE DE BUPRENORPHINE . Il sagit dun traitement substitutif des drogues opiacées. Il peut entraîner des atteintes hépatiques, et des cas de dépression respiratoire.
CIMZIA : Il sagit dune prise en charge de la polyarthrite rhumatoide. Des effets secondaires ont été identifiés, notamment des tuberculoses et des zonas.
CYMBALTA . Ce médicament est un antédépresseur. Ses effets secondaires sont des atteintes graves du foie. LAfssaps indique que «le risque de suicides pourrait être augmenté».
EFFENTORA . Ce médicament est un anti-douleur. Il peut provoquer une accoutumance. Le surdosage peut être mortel.
EFIENT 10 mg . Ce médicament est indiqué pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. Les effets secondaires identifiés sont le risque hémorragique et lanémie.
ELLAONE . Il sagit dun contraceptif durgence à prendre dans les cinq jours après un rapport sexuel non protégé. Les risques identifiés sont laugmentation de la pression artérielle, les grossesses extra-utérines et les atteintes du foie.
ENTONOX . Ce traitement utilisé à lhôpital est un mélange doxygène et de protoxyde dazote. Il peut entraîner une modification des perceptions sensorielles et une angoisse.
EXJADE . Ce médicament est indiqué contre la surcharge en fer. Il peut provoquer des troubles au foie et aux intestins.
FIRMAGON . Il sagit dun traitement hormonal pour le cancer de la prostate. Il peut entraîner des pathologies cardio-vasculaires et une diminution de la densité minérale osseuse.
GALVUS . Il sagit dun anti-diabétique. Il peut provoquer des atteintes du foie, et des troubles du système nerveux.
GARDASIL . Il sagit du vaccin contre le papillomavirus, pour éviter les cancers du col de lutérus. Il peut entrainer des réactions cutanées au point dinjection et de la fièvre. Il nest pas recommandé pour la femme enceinte.
ILARIS . Ce médicament est un anticorps, pour lutter contre certaines infections. Il peut entraîner des vertiges et une hypercholestérolémie.
INCRELEX . Ce médicament est indiqué dans le traitement à long terme des retards de croissance chez lenfant. Des hypoglycémies et des hypertrophies des amygdales ont été signalées.
INSTANYL . Il sagit dun anti-douleur morphinique. Il peut provoquer des dépressions respiratoires, des vomissements, et des vertiges.
INTELENCE . Il sagit dun médicament de la famille des antirétroviraux. Les risques identifiés sont léruption cutanée, parfois sous forme très importantes, et les nausées.
INTRINSA , patch indiqué dans la baisse du désir sexuel chez les femmes souffrant de ménopause chirurgicale. Effets indésirables : réactions locales au site dapplication (30 % des patients), acné, hirsutisme et raucité de la voix (pour 1% des patients). Risques potentiels : survenue du cancer du sein et dévènements cardiovasculaires.
ISENTRESS, indiqué dans le traitement de linfection par VIH. Effets indésirables : diarrhées, nausées et fièvre. Risque potentiel : développement de résistances et échec virologique.
JANUVIA, 100 mg comprimé pelliculé , indiqué chez les patients diabétiques de type 2 pour le contrôle de la glycémie. Effets indésirables : troubles digestifs, infections des voies respiratoires, réactions cutanées, réactions dhypersensibilité.
KALINOX , réservé aux professionnels, indiqué comme anti-douleur chez le dentiste ou aux urgences. Effets indésirables : modification des perceptions sensorielles, nausées, angoisse, euphorie.
KUVAN , indiqué dans deux maladies métaboliques rares. Effets indésirables : troubles gastro-intestinaux. Risque potentiel : atteinte des reins.
LUCENTIS , indiqué dans la dégénérescence maculaire liée à lâge (DMLA). Effets indésirables : décollements de la rétine, déchirures rétitiennes, cataractes traumatiques (survenus dans moins de 0,1% des injections intravitréennes) ; inflammations intraoculaire (moins de 1% des cas). Risque potentiel : réaction allergique grave.
METHADONE AP-HP gélule , indiqué dans le traitement de substitution des drogues. Effets indésirables : hypersudation, nausées, constipation, dépression respiratoire, hypotension sévère, arrêt respiratoire, choc et arrêt cardiaque.
MULTAQ , indiqué dans certains troubles cardiaques. Effets indésirables : diarrhées, nausées, vomissements et asthénie.
MYCAMINE , indiqué contre les mycoses. Effets indésirables : nausées et vomissements. Risque potentiel : développement de tumeurs du foie.
NPLATE , indiqué pour augmenter la production de plaquettes. Effets indésirables : maux de tête. Risques potentiels : problèmes cardio-vasculaires.
ONGLYZA , indiqué dans le diabète de type 2. Effets indésirables : infections respiratoires, vomissements, maux de tête.
ORENCIA , indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : infections respiratoires et urinaires, réactions allergiques, nausées, maux de tête.
OXYNOX , réservé aux professionnels, indiqué comme anti-douleur chez le dentiste ou aux urgences. Effets indésirables : modification des perceptions sensorielles, nausées, angoisse, euphorie.
PRADAXA , indiqué chez les patients ayant une prothèse totale de hanche ou de genou. Effets indésirables : nausées, vomissements, constipations, thromboses veineuses profondes, insomies. Risques : hémorragie, atteinte du foi.
PREVENAR 13 , vaccin contre les infections à pneumocoque (méningites, pneumonies...) pour les enfants. Effets indésirables : réactions au site dinjection, fièvre, irritabilité, perte dappétit et troubles du sommeil.
PROCORALAN , indiqué dans certains troubles du rythme cardiaque. Effets indésirables : ralentissement du rythme cardiaque et vision trouble.
RELISTOR , indiqué pour les patients en soins palliatifs. Effets indésirables : douleurs abdominales, nausées, diarrhées.
REVLIMID , indiqué contre le myélome multiple, cancer de la moelle osseuse. Effets indésirables : troubles du sang, gastro-intestinaux, éruptions cutanées. Risques potentiels : embolies.
REVOLADE , indiqué pour certaines personnes ayant subi une ablation de la rate. Effets indésirables : maux de tête, nausées. Risques : atteintes du foie, thromboses veineuses, embolies pulmonaires, infarctus.
ROACTEMRA , contre la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : rhinopharyngites, maux de tête. Risques : infections graves comme pneumonie ou zona, perforations gastro-intestinales.
STELARA , contre le psoriasis. Risques : réactions cutanées, allergies, infections.
SYMBICORT , contre lasthme. Effets indésirables : palpitations, tremblements, irritations de la gorge, toux, raucité de la voix.
THALIDOMIDE , retiré du marché mondial en 1962, il est actuellement réutilisé pour ses propriétés antitumorales. Les effets indésirables : malformations congénitales en cas de grossesse ; tromboses veineuses ; embolies pulmonaires.
THELIN , pour les patients souffrant dhypertension artérielle pulmonaire dans le but daméliorer leur capacité à lexercice physique. Effets indésirables : infections des voix respiratoires, troubles de la coagulation. Risques : oedème pulmonaire.
TOCTINO , contre leczéma chronique sévère des mains. Risque élevé de malformation congénitale en cas de grossesse. Autres risques : troubles psychiatriques ou encore oculaires.
TRACLEER , indiqué contre lhypertension artérielle pulmonaire et aussi contre les ulcères digitaux. Risques associés : toxicité hépatique.
TYSABRI , réservé à lusage hospitalier et indiqué dans la sclérose en plaques. Risques : graves troubles au foie et des complications neurologiques.
TYVERB , indiqué contre le cancer du sein. Effets indésirables : troubles digestifs et cutanés ; atteintes du foie ; toxicité pulmonaire.
VALDOXAN . Il sagit dun anti-dépresseur. Il peut provoquer des nausées et des vertiges. Des problèmes au foie ont aussi été identifiés.
VIMPAT . Cest un anti-épileptique. Il peut entrainer des céphalées, des nausées. Des risques de suicide sont signalés.
VOLIBRIS . Ce médicament est utilisé dans le traitement de lhypertension arterielle pulmonaire. Il a été notifié des oedèmes, des affections des voies respiratoires supérieures et des palpitations.
XARELTO . Il sagit dun médicament de prise en charge des troubles cardio-vasculaires. Il peut provoquer des risques de saignements, des complications hémorragiques, et des ulcères gastro-intestinaux.
XYREM Cest un traitement de la maladie du sommeil, dite narcolepsie. Les risques liés au produit font apparaître des dépressions respiratoires, des troubles neuro-psychiatrique, des idées suicidaires et des tentatives de suicide.
ZYPADHERA Il sagit dun anti-psychotique délivré aux patients adultes schizophrènes. Dans certains cas, des effets secondaires du type agressivité, vertiges, hypertension, convulsion, et même quelques cas de coma ont été rapportés.
Re: LA SANTE
Dans cette liste, J'attire votre attention sur:
ORENCIA , indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : infections respiratoires et urinaires, réactions allergiques, nausées, maux de tête.
CIMZIA : Il sagit dune prise en charge de la polyarthrite rhumatoide. Des effets secondaires ont été identifiés, notamment des tuberculoses et des zonas.
ROACTEMRA , contre la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : rhinopharyngites, maux de tête. Risques : infections graves comme pneumonie ou zona, perforations gastro-intestinales.
ORENCIA , indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : infections respiratoires et urinaires, réactions allergiques, nausées, maux de tête.
CIMZIA : Il sagit dune prise en charge de la polyarthrite rhumatoide. Des effets secondaires ont été identifiés, notamment des tuberculoses et des zonas.
ROACTEMRA , contre la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : rhinopharyngites, maux de tête. Risques : infections graves comme pneumonie ou zona, perforations gastro-intestinales.