LA SANTE
Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP
Règles du forum
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de banissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de banissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
La médecine du travail cassée par un amendement à la loi sur les retraites ?
Mise en ligne : 15 septembre 2010
Le débat sur les retraites s’est poursuivi Hier à l’Assemblée nationale, mais c’est sur l’amendement 730, déposé par le gouvernement, que les affrontements ont été les plus vifs.
Cet amendement concerne la médecine du travail et reprend tel que un projet du MEDEF la plaçant de fait sous la tutelle des employeurs.
Il permet au passage de passer en force en évacuant toute discussion et toute négociation avec les syndicats.
L’opposition – notamment Martine Billard (PG), Roland Muzeau (PCF) et Marisol Touraine (PS) – a dénoncé le texte, expliquant qu’au « détour d’un amendement, le gouvernement est en train de mettre à bas toute l’organisation du système de santé au travail […] les services de santé au travail d’entreprise soient désormais placés sous l’autorité de l’employeur. Autrement dit, le principe même de l’indépendance de la médecine du travail, principe essentiel si l’on veut que les salariés soient effectivement protégés, est remis en cause au détour d’un simple amendement. »
Et de relever que « dans le texte même de cet amendement, que l’employeur va désigner lui-même les salariés chargés de s’occuper des activités de protection et de prévention des risques professionnels. Cela veut dire que nous aurons, au sein des entreprises, des salariés qui ne seront pas élus, qui ne seront pas choisis par les organisations syndicales ou par les salariés directement, mais désignés, choisis par l’employeur. »
Toutes mesures qui sont directement la reprise des demandes patronales qui avaient conduit au blocage des discussions avec les confédérations syndicales en 2009.
L’Union des familles laïques (UFAL) dénonce un amendement « qui vise à supprimer l’indépendance des médecins du travail dans les missions posées par la loi de 1946 » et qui transfère les missions des médecins du travail « aux services de santé au travail, donc à des directeurs, nommés et choisis par les employeurs, mettant fin à la part d’indépendance qu’avait le médecin du travail ».
« Ce ne seront plus les médecins du travail qui seront chargés de la prévention médicale des risques professionnels et du rôle de veille, mais les employeurs responsables de l’organisation du travail et des risques qu’ils font encourir à la santé des travailleurs qu’ils salarient. »
La Fnath (accidentés du travail), et l’Andeva (victimes de l’amiante) protestent contre « une suppression en catimini de l’indépendance de la médecine du travail ».
Merci VIVA pour cette information
La médecine du travail cassée par un amendement à la loi sur les retraites ?
Mise en ligne : 15 septembre 2010
Le débat sur les retraites s’est poursuivi Hier à l’Assemblée nationale, mais c’est sur l’amendement 730, déposé par le gouvernement, que les affrontements ont été les plus vifs.
Cet amendement concerne la médecine du travail et reprend tel que un projet du MEDEF la plaçant de fait sous la tutelle des employeurs.
Il permet au passage de passer en force en évacuant toute discussion et toute négociation avec les syndicats.
L’opposition – notamment Martine Billard (PG), Roland Muzeau (PCF) et Marisol Touraine (PS) – a dénoncé le texte, expliquant qu’au « détour d’un amendement, le gouvernement est en train de mettre à bas toute l’organisation du système de santé au travail […] les services de santé au travail d’entreprise soient désormais placés sous l’autorité de l’employeur. Autrement dit, le principe même de l’indépendance de la médecine du travail, principe essentiel si l’on veut que les salariés soient effectivement protégés, est remis en cause au détour d’un simple amendement. »
Et de relever que « dans le texte même de cet amendement, que l’employeur va désigner lui-même les salariés chargés de s’occuper des activités de protection et de prévention des risques professionnels. Cela veut dire que nous aurons, au sein des entreprises, des salariés qui ne seront pas élus, qui ne seront pas choisis par les organisations syndicales ou par les salariés directement, mais désignés, choisis par l’employeur. »
Toutes mesures qui sont directement la reprise des demandes patronales qui avaient conduit au blocage des discussions avec les confédérations syndicales en 2009.
L’Union des familles laïques (UFAL) dénonce un amendement « qui vise à supprimer l’indépendance des médecins du travail dans les missions posées par la loi de 1946 » et qui transfère les missions des médecins du travail « aux services de santé au travail, donc à des directeurs, nommés et choisis par les employeurs, mettant fin à la part d’indépendance qu’avait le médecin du travail ».
« Ce ne seront plus les médecins du travail qui seront chargés de la prévention médicale des risques professionnels et du rôle de veille, mais les employeurs responsables de l’organisation du travail et des risques qu’ils font encourir à la santé des travailleurs qu’ils salarient. »
La Fnath (accidentés du travail), et l’Andeva (victimes de l’amiante) protestent contre « une suppression en catimini de l’indépendance de la médecine du travail ».
Merci VIVA pour cette information
Re: LA SANTE
l'affaire est grave et mérite qu'on suive cette nouvelle affaire .................
Re: LA SANTE
DÉPENSES SANTÉ : pour votre information
De plus en plus inabordables pour les ménages français
Actualité publiée hier mardi 28/09
UFC
Alors que la Commission des comptes de la sécurité sociale se réunit, ce 28 septembre sur les grandes orientations du PLFSS pour 2011, une nouvelle enquête de l'UFC-Que Choisir dénonce l’augmentation de la part des ménages dans les dépenses de santé qui atteint désormais 15%, pour certains usagers. Car le coût d’une complémentaire santé (+ 44%/ personne entre 2001 et 2008) augmenterait beaucoup plus rapidement que le montant des remboursements (+ 27%). D’où une obligation de plus en plus répandue de report des soins.
En France, la consommation de biens et de services de santé (CSBM) atteignait 170,5 milliards d’euros en 2008, puis 175,7 milliards en 2009, soit une consommation par habitant de 2.750 euros. En 50 ans, la part de ces dépenses dans le PIB est passée de 3,4 % en 1960 à 9,2 % en 2009 avec une forte période de progression entre 2000 et 2003.
9,4% c'était la part des dépenses de santé prise en charge par les ménages, en 2009, selon les dernières données de la Drees (Voir tableau ci-contre). Mais le plan d'économies du gouvernement pour l'Assurance Maladie, en réflexion dans le cadre de la préparation du PLFSS 2011, qui s’élève à 2,5 milliards d'euros d’économies pour 2011 aura des conséquences certaines sur le budget santé des Français. Les mutuelles ont déjà pris position, sur l’ensemble des pistes pour une répercussion des différentes mesures sur les primes d’assurance des usagers, tout en s’inquiétant également du renforcement des inégalités d’accès à la santé.
En 2009, le dernier rapport de la Drees, explique la baisse de la part de la Sécurité sociale entre 2005 et 2008, dans le financement de la CSBM : En 2009, elle est de 75,5 %, comme en 2008. Mais de 2005 à 2008, la structure de la dépense se serait déformée en faveur de produits moins bien remboursés ou non remboursés et pris en charge de façon variable par les organismes complémentaires. Et, si la prise en charge par les organismes complémentaires est orientée à la hausse, en valeur absolue, sa progression est faible par rapport aux évolutions des années antérieures.
Toujours dans le même sens, cette étude menée par l’UFC montre une progression des dépenses de santé à la charge des ménages de plus de 50% entre 2001 et 2008 allant, pour certains, jusqu’à 15% du budget dédié à la santé. Le reste à charge des ménages atteint 16,4 milliards d’euros en 2009, soit 9,4 % de la CSBM et demeure élevé pour certaines dépenses comme l’optique, les soins dentaires ou les médicaments.
Le report de soins pour certaines catégories de Français, déjà dénoncé dans la quatrième édition du « Baromètre Cercle Santé » sur la perception des Européens et des Américains sur leurs systèmes de santé respectifs, est confirmé par cette nouvelle étude. Si 35% des Français ont (23%) ou pourraient (12%) être amenés à reporter une dépense de santé, ici UGFC révèle que 32% des Français sans complémentaires reportent leur soins, mais que c’est également le cas pour 13% des Français qui souscrivent à une complémentaire et 24% des Français ayant de faibles revenus (moins de 800 € par mois).
Le coût d’une complémentaire santé ( + 44%/ personne entre 2001 et 2008) augmenterait beaucoup plus rapidement que le montant des remboursements (+ 27%), souligne l’UFC qui estime l’augmentation du budget santé à la charge de chaque Français, à 22 € en moyenne en 2011, avec les nouvelles mesures évoquées (déremboursements de médicaments et nouvelle taxe sur les contrats d’assurance).
En conclusion, l’association UFC dénonce, tout comme les mutuelles, un renforcement des inégalités d’accès à la santé.
De plus en plus inabordables pour les ménages français
Actualité publiée hier mardi 28/09
UFC
Alors que la Commission des comptes de la sécurité sociale se réunit, ce 28 septembre sur les grandes orientations du PLFSS pour 2011, une nouvelle enquête de l'UFC-Que Choisir dénonce l’augmentation de la part des ménages dans les dépenses de santé qui atteint désormais 15%, pour certains usagers. Car le coût d’une complémentaire santé (+ 44%/ personne entre 2001 et 2008) augmenterait beaucoup plus rapidement que le montant des remboursements (+ 27%). D’où une obligation de plus en plus répandue de report des soins.
En France, la consommation de biens et de services de santé (CSBM) atteignait 170,5 milliards d’euros en 2008, puis 175,7 milliards en 2009, soit une consommation par habitant de 2.750 euros. En 50 ans, la part de ces dépenses dans le PIB est passée de 3,4 % en 1960 à 9,2 % en 2009 avec une forte période de progression entre 2000 et 2003.
9,4% c'était la part des dépenses de santé prise en charge par les ménages, en 2009, selon les dernières données de la Drees (Voir tableau ci-contre). Mais le plan d'économies du gouvernement pour l'Assurance Maladie, en réflexion dans le cadre de la préparation du PLFSS 2011, qui s’élève à 2,5 milliards d'euros d’économies pour 2011 aura des conséquences certaines sur le budget santé des Français. Les mutuelles ont déjà pris position, sur l’ensemble des pistes pour une répercussion des différentes mesures sur les primes d’assurance des usagers, tout en s’inquiétant également du renforcement des inégalités d’accès à la santé.
En 2009, le dernier rapport de la Drees, explique la baisse de la part de la Sécurité sociale entre 2005 et 2008, dans le financement de la CSBM : En 2009, elle est de 75,5 %, comme en 2008. Mais de 2005 à 2008, la structure de la dépense se serait déformée en faveur de produits moins bien remboursés ou non remboursés et pris en charge de façon variable par les organismes complémentaires. Et, si la prise en charge par les organismes complémentaires est orientée à la hausse, en valeur absolue, sa progression est faible par rapport aux évolutions des années antérieures.
Toujours dans le même sens, cette étude menée par l’UFC montre une progression des dépenses de santé à la charge des ménages de plus de 50% entre 2001 et 2008 allant, pour certains, jusqu’à 15% du budget dédié à la santé. Le reste à charge des ménages atteint 16,4 milliards d’euros en 2009, soit 9,4 % de la CSBM et demeure élevé pour certaines dépenses comme l’optique, les soins dentaires ou les médicaments.
Le report de soins pour certaines catégories de Français, déjà dénoncé dans la quatrième édition du « Baromètre Cercle Santé » sur la perception des Européens et des Américains sur leurs systèmes de santé respectifs, est confirmé par cette nouvelle étude. Si 35% des Français ont (23%) ou pourraient (12%) être amenés à reporter une dépense de santé, ici UGFC révèle que 32% des Français sans complémentaires reportent leur soins, mais que c’est également le cas pour 13% des Français qui souscrivent à une complémentaire et 24% des Français ayant de faibles revenus (moins de 800 € par mois).
Le coût d’une complémentaire santé ( + 44%/ personne entre 2001 et 2008) augmenterait beaucoup plus rapidement que le montant des remboursements (+ 27%), souligne l’UFC qui estime l’augmentation du budget santé à la charge de chaque Français, à 22 € en moyenne en 2011, avec les nouvelles mesures évoquées (déremboursements de médicaments et nouvelle taxe sur les contrats d’assurance).
En conclusion, l’association UFC dénonce, tout comme les mutuelles, un renforcement des inégalités d’accès à la santé.
Re: LA SANTE
DÉPENSES SANTÉ : Pourquoi la part des ménages va encore augmenter
]Actualité publiée il y a 12 jours
Accès à la santé
9,4% c'est la part des dépenses de santé prise en charge par les ménages. Mais le plan d'économies du gouvernement pour l'Assurance Maladie, en réflexion dans le cadre de la préparation du PLFSS 2011, qui s’élève à 2,5 milliards d'euros d’économies pour 2011 pourrait avoir des coséquences sur le budget santé des Français. Si le Ministère de la Santé ne parle, à cette heure que de « pistes de travail », les mutuelles ont déjà pris position, sur l’ensemble des pistes pour une répercussion des mesures sur les primes d’assurance des usagers, tout en s’inquiétant du renforcement des inégalités d’accès à la santé.
Mutuelles et autres complémentaires, associations, syndicats et professionnels de santé prennent tous tour à tour position contre ces nouvelles mesures ou pistes, qu’elles représentent un désengagement de la Sécurité sociale ou encore un transfert de financement vers les complémentaires. Une chose est sûre, les usagers devront participer directement de manière plus important...
]ASSURANCE MALADIE : Objectif 2,5 milliards d'euros d'économies pour 2011
Actualité publiée il y a 13 jours
PLFSS 2011
Le plan d'économies du gouvernement pour l'assurance maladie, en réflexion dans le cadre de la préparation du PLFSS 2011, s’élèverait à 2,5 milliards d'euros d’économies pour 2011, selon Les Echos du 16 septembre. Cette annonce suit la publication, le 7 septembre, du rapport de la Cour sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale, qui alertait sur le fait qu’un retour à l’équilibre, dès 2011, pour l’Assurance maladie et 2018, pour les régimes de retraite, impliquerait nécessairement des mesures très fortes du gouvernement.
Les comptes de la sécurité sociale se sont fortement dégradés en 2009 puisque le déficit de l’ensemble des régimes obligatoires de base a plus que doublé par rapport à 2008, atteignant 24,9 milliards d’euros, le régime général représentant la part la plus importante du déficit (20,3 milliards d’euros). L’assurance maladie connaît la dégradation la plus forte, son déficit passant de 4,4 milliards d’euros à 10,5 milliards d’euros. Les dépense...
la SÉCU dérembourse les médicaments mais rembourse les implants mammaires défectueux
Actualité publiée ajourd'hui
Chirurgie esthétique et réparatrice
A l’heure où le PLFSS 2011 se fait plus que rigoureux, la Ministre de la santé annonce le remboursement intégral des examens, chirurgie, et éventuellement nouvelle prothèse pour les femmes qui relèvent de la chirurgie réparatrice. 30.000 femmes seraient concernées, des patientes fragilisées, ayant subi une exérèse du sein à la suite d’une pathologie cancéreuse…L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avait lancé une alerte et suspendu la mise sur le marché et l’utilisation des implants mammaires pré-remplis de gel de silicone, fabriqués par la société Poly Implant Prothèse et demande le retrait des produits. En cause, la non-conformité de ces implants mammaires ainsi que l’augmentation du nombre et le taux de ruptures déclarées à l’Agence sanitaire.
500.000 femmes en France sont porteuses de prothèses mammaires en France. Depuis 2001, précise l’Afssaps, environ 30.000 femmes ont été implantées avec des prothèses PIP remplies de gel de silicone. ...
Mercredi 29/09/2010
Re: LA SANTE
Mutuelle familiale d’Aquitaine
Une étude sur les dépenses de santé non remboursées par la Sécu
Mise en ligne : 4 octobre 2010
Forfaits, franchises, dépassements d’honoraires, baisse des remboursements des médicaments… : ces mesures visant à réduire les remboursements de la Sécurité sociale pèsent de plus en plus lourd dans le budget des ménages.
Les adhérents mutualistes ne sont pas épargnés, qui voient leurs cotisations augmenter, parfois jusqu’à représenter 10 % de leurs revenus !
Ces dépenses de santé non prises en charge par les régimes obligatoire et complémentaire s’appellent les « restes à charge ». Au premier semestre 2010, à la demande de l’association girondine « La santé, un droit pour tous », ils ont fait l’objet d’une étude universitaire intitulée « Restes à charge et renoncement aux soins ».
Sonia Purgues, étudiante en master de sociologie à l’université de Bordeaux 2, a mené ses travaux à la Mutuelle familiale d’Aquitaine (Mfa).
Un questionnaire anonyme a ainsi été adressé à 2 000 adhérents afin de connaître leur parcours de soins, les franchises et forfaits qu’ils ont dû payer au cours des six derniers mois. Ces renseignements ont été complétés par des entretiens individuels également confidentiels.
« Je voulais notamment savoir si ces restes à charge avaient augmenté ces dernières années. Sans avoir encore procédé à l’analyse statistique des données, je peux déjà dire qu’ils sont particulièrement lourds pour l’optique, les prothèses dentaires et auditives ainsi que pour les consultations chez les spécialistes en secteur 2 à cause des dépassements d’honoraires », note Sonia Purgues, qui intervient également au Laboratoire d’analyse des problèmes sociaux et de l’action collective (Lapsac), partie prenante de l’étude.
« De plus en plus de mutualistes doivent renoncer à leur couverture complémentaire, alors que la couverture obligatoire ne couvre pas 55 % des dépenses engagées ! » s’alarme de son côté Patrick Julou, le président de la Mfa, rappelant que les mutuelles ne se contentent pas de vendre des contrats, mais qu’elles proposent des solutions à leurs adhérents pour atténuer les restes à charge, dans leurs centres dentaires et optiques, par exemple, et qu’elles interpellent régulièrement les pouvoirs publics pour de meilleurs remboursements de la Sécurité sociale.
Merci VIVA PRESSE et cette mutuelle pour l'information particulèrement Karine Pollet
Une étude sur les dépenses de santé non remboursées par la Sécu
Mise en ligne : 4 octobre 2010
Forfaits, franchises, dépassements d’honoraires, baisse des remboursements des médicaments… : ces mesures visant à réduire les remboursements de la Sécurité sociale pèsent de plus en plus lourd dans le budget des ménages.
Les adhérents mutualistes ne sont pas épargnés, qui voient leurs cotisations augmenter, parfois jusqu’à représenter 10 % de leurs revenus !
Ces dépenses de santé non prises en charge par les régimes obligatoire et complémentaire s’appellent les « restes à charge ». Au premier semestre 2010, à la demande de l’association girondine « La santé, un droit pour tous », ils ont fait l’objet d’une étude universitaire intitulée « Restes à charge et renoncement aux soins ».
Sonia Purgues, étudiante en master de sociologie à l’université de Bordeaux 2, a mené ses travaux à la Mutuelle familiale d’Aquitaine (Mfa).
Un questionnaire anonyme a ainsi été adressé à 2 000 adhérents afin de connaître leur parcours de soins, les franchises et forfaits qu’ils ont dû payer au cours des six derniers mois. Ces renseignements ont été complétés par des entretiens individuels également confidentiels.
« Je voulais notamment savoir si ces restes à charge avaient augmenté ces dernières années. Sans avoir encore procédé à l’analyse statistique des données, je peux déjà dire qu’ils sont particulièrement lourds pour l’optique, les prothèses dentaires et auditives ainsi que pour les consultations chez les spécialistes en secteur 2 à cause des dépassements d’honoraires », note Sonia Purgues, qui intervient également au Laboratoire d’analyse des problèmes sociaux et de l’action collective (Lapsac), partie prenante de l’étude.
« De plus en plus de mutualistes doivent renoncer à leur couverture complémentaire, alors que la couverture obligatoire ne couvre pas 55 % des dépenses engagées ! » s’alarme de son côté Patrick Julou, le président de la Mfa, rappelant que les mutuelles ne se contentent pas de vendre des contrats, mais qu’elles proposent des solutions à leurs adhérents pour atténuer les restes à charge, dans leurs centres dentaires et optiques, par exemple, et qu’elles interpellent régulièrement les pouvoirs publics pour de meilleurs remboursements de la Sécurité sociale.
Merci VIVA PRESSE et cette mutuelle pour l'information particulèrement Karine Pollet
Re: LA SANTE
POUR VOTRE INFORMATION
Un million de médicaments contrefaits saisis dans 45 pays, dont la France
Mise en ligne : 15 octobre 2010
Plus d’un million de médicaments contrefaits ont été saisis dans 45 pays, notamment la France, la Belgique, le Canada, la Suisse, mais aussi Cuba, la Russie ou la Thaïlande. Le montant est évalué à environ 2,6 millions de dollars (1,86 million d’euros). 290 sites de vente de médicaments contrefaits ont été fermés au terme de cette opération intitulée « Pangea 3 », menée du 5 au 12 octobre. Plus de 10 000 colis ont été saisis dans les centres de tri postaux ou chez des grossistes.
D’après le Quotidien du médecin" de ce jour, les produits saisis en France sont essentiellement des spécialités indiquées dans les troubles de l’érection, mais aussi des produits utilisés pour accroître les performances des sportifs (anabolisants stéroïdiens, clenbutérol, tamoxifen, clomifène, hormones de croissance, éphédrine).
Des anxiolytiques, des hypnotiques, des antiulcéreux, des antidiabétiques, des antispasmodiques, des diurétiques ont aussi été saisis ainsi que des dispositifs médicaux, tels les lentilles de contact et les produits de rinçage pour lentilles.
D’après Interpol, l’Asie n’est pas la seule palte-forme de vente il y a aussi l’Amérique latine et l’Europe centrale. Le marché des médicaments contrefaits vendus sur Internet est estimé à plusieurs centaines de millions d’euros et est « bien plus rentable que le trafic de drogue », conclu Interpol.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Un million de médicaments contrefaits saisis dans 45 pays, dont la France
Mise en ligne : 15 octobre 2010
Plus d’un million de médicaments contrefaits ont été saisis dans 45 pays, notamment la France, la Belgique, le Canada, la Suisse, mais aussi Cuba, la Russie ou la Thaïlande. Le montant est évalué à environ 2,6 millions de dollars (1,86 million d’euros). 290 sites de vente de médicaments contrefaits ont été fermés au terme de cette opération intitulée « Pangea 3 », menée du 5 au 12 octobre. Plus de 10 000 colis ont été saisis dans les centres de tri postaux ou chez des grossistes.
D’après le Quotidien du médecin" de ce jour, les produits saisis en France sont essentiellement des spécialités indiquées dans les troubles de l’érection, mais aussi des produits utilisés pour accroître les performances des sportifs (anabolisants stéroïdiens, clenbutérol, tamoxifen, clomifène, hormones de croissance, éphédrine).
Des anxiolytiques, des hypnotiques, des antiulcéreux, des antidiabétiques, des antispasmodiques, des diurétiques ont aussi été saisis ainsi que des dispositifs médicaux, tels les lentilles de contact et les produits de rinçage pour lentilles.
D’après Interpol, l’Asie n’est pas la seule palte-forme de vente il y a aussi l’Amérique latine et l’Europe centrale. Le marché des médicaments contrefaits vendus sur Internet est estimé à plusieurs centaines de millions d’euros et est « bien plus rentable que le trafic de drogue », conclu Interpol.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Comment s’y prendre pour perdre du poids ?
Il faut diminuer raisonnablement votre ration calorique. Pour cela, commencez par diminuer la part des aliments d’origine animale et par privilégier les végétaux : légumes, fruits, céréales complètes. Evidemment, privilégiez aussi les bonnes graisses au détriment des mauvaises : passez notamment à l’huile d’olive et de colza. Enfin, mangez du poisson 3 fois par semaine pour leurs oméga-3, bénéfiques à la santé, et supprimez tout grignotage. L’autre grande règle pour perdre du poids est de faire de l’activité physique, le plus possible, même si elle est modérée. Ce n’est pas l’intensité qui compte le plus, mais la régularité. Sachez aussi que tout s’ajoute : marche, bricolage, jardinage, montée des escaliers, promenade avec le chien… Cette hygiène de vie vous sera bénéfique toute votre vie et pour votre santé en général. Ce serait dommage de ne pas essayer avant de devoir prendre des médicaments tous les jours et de supprimer les aliments contenant du cholestérol !
Journaliste : Isabelle Eustache d 'Handicapzéo que nous remercions.
J'avais posé la question à mon docteur :
Docteur aidez- moi à perdre du poids !!!
Réponse :
Le meilleur régime qu'il existe :
Tu en mets moins dans ta fourchette et tu bois de l'eau
Moi je peux pas et vous ????
BRIAND
Comment s’y prendre pour perdre du poids ?
Il faut diminuer raisonnablement votre ration calorique. Pour cela, commencez par diminuer la part des aliments d’origine animale et par privilégier les végétaux : légumes, fruits, céréales complètes. Evidemment, privilégiez aussi les bonnes graisses au détriment des mauvaises : passez notamment à l’huile d’olive et de colza. Enfin, mangez du poisson 3 fois par semaine pour leurs oméga-3, bénéfiques à la santé, et supprimez tout grignotage. L’autre grande règle pour perdre du poids est de faire de l’activité physique, le plus possible, même si elle est modérée. Ce n’est pas l’intensité qui compte le plus, mais la régularité. Sachez aussi que tout s’ajoute : marche, bricolage, jardinage, montée des escaliers, promenade avec le chien… Cette hygiène de vie vous sera bénéfique toute votre vie et pour votre santé en général. Ce serait dommage de ne pas essayer avant de devoir prendre des médicaments tous les jours et de supprimer les aliments contenant du cholestérol !
Journaliste : Isabelle Eustache d 'Handicapzéo que nous remercions.
J'avais posé la question à mon docteur :
Docteur aidez- moi à perdre du poids !!!
Réponse :
Le meilleur régime qu'il existe :
Tu en mets moins dans ta fourchette et tu bois de l'eau
Moi je peux pas et vous ????
BRIAND
Re: LA SANTE
si si si tu peux Briand ....
si tu prends une petite fourchette !!!!
si tu prends une petite fourchette !!!!
Re: LA SANTE
Merci du tuyau Françoise, je vais essayer..........
Les maladies chroniques progressent dans les pays en développement
Mise en ligne : 25 octobre 2010
Obésité, diabète, les maladies chroniques progressent dans le monde en particulier dans les pays en voie de développement.
"la conséquence de l’importation du style de vie occidental", ont remarqué les chercheurs réunis à Berlin au deuxième Congrès mondial de la santé la semaine dernière.
Les maladies chroniques ne sont plus le fait des pays riches, 80% des nouveaux cas sont désormais diagnostiqués dans les pays pauvres ou en voie de développement.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ce sont les régions d’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental qui sont les plus touchées par ce fléau. L’obésité fait des ravages en Amérique du Nord et au Moyen-Orient. En Inde, les cas de diabète sont plus nombreux dans les villes que dans les campagnes. L’OMS table sur une croissance de cette maladie de 135 millions de malades en 1995 à 300 millions en 2025.
D’après les experts réunis à Berlin, l’accent est toujours mis sur le paludisme et le sida dans les pays en développement mais pas assez sur les maladies chroniques. Il est important de développer la prévention.
Merci '' VIVA PRESSE' pour cette information d'aujourd'hui.
Les maladies chroniques progressent dans les pays en développement
Mise en ligne : 25 octobre 2010
Obésité, diabète, les maladies chroniques progressent dans le monde en particulier dans les pays en voie de développement.
"la conséquence de l’importation du style de vie occidental", ont remarqué les chercheurs réunis à Berlin au deuxième Congrès mondial de la santé la semaine dernière.
Les maladies chroniques ne sont plus le fait des pays riches, 80% des nouveaux cas sont désormais diagnostiqués dans les pays pauvres ou en voie de développement.
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ce sont les régions d’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental qui sont les plus touchées par ce fléau. L’obésité fait des ravages en Amérique du Nord et au Moyen-Orient. En Inde, les cas de diabète sont plus nombreux dans les villes que dans les campagnes. L’OMS table sur une croissance de cette maladie de 135 millions de malades en 1995 à 300 millions en 2025.
D’après les experts réunis à Berlin, l’accent est toujours mis sur le paludisme et le sida dans les pays en développement mais pas assez sur les maladies chroniques. Il est important de développer la prévention.
Merci '' VIVA PRESSE' pour cette information d'aujourd'hui.
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
8 trucs à savoir sur l'hygiène intime
Dévoiler son intimité et ses petits problèmes intimes n’est jamais chose facile. Voici quelques conseils en matière d’hygiène intime, ce qu’il faut faire et ne pas faire, avec des explications pratiques.
La toilette de cette zone intime doit respecter certaines règles, à appliquer au quotidien.
Pas de douche vaginale au risque de détruire l’équilibre de la flore vulvaire et vaginale, dont la fonction est protectrice. La toilette intime est uniquement externe.
Pas d’excès ! Une toilette intime quotidienne est suffisante, voire deux, une le matin et une le soir. Avec les excès, on risque de fragiliser inutilement cette zone.
Attention, pas de gant de toilette ! Ce sont des nids à microbes. Leur utilisation est inutile et risque d’entraîner des infections.
Pour la toilette intime, n’utilisez pas de produits particuliers, excepté en cas de problèmes intimes de type irritations ou infections. Dans ce cas, il faut se tourner vers des produits spécialement conçus pour l’hygiène intime, dont le pH est adapté.
Les produits antiseptiques ne sont pas indiqués. Un soin lavant doux, comme pour le corps, est adapté en l’absence de tout problème d’irritations ou d’infections.
Les irritations et les infections de cette zone intime sont anormales. Elles nécessitent d’en parler simplement, sans tabou, avec son médecin, afin qu’il prescrive le cas échéant un traitement.
Pour prévenir d’éventuelles infections, changez de sous-vêtements tous les jours. Pour cette même raison, changez régulièrement vos protections périodiques pendant les règles.
Enfin, pour prévenir les risques d’irritation de cette région très fragile, privilégiez les sous-vêtements en coton au lieu du synthétique, et évitez les vêtements trop serrés.
Ces règles d’hygiène intime sont simples et faciles à appliquer. Ce sont de bonnes habitudes à prendre à tout âge et pour toute la vie.
Remerciements à ''HANDICAPZERO'' particulièrement à : Madame Isabelle Eustache Journaliste
Source : Congrès Impact Santé, Institut Fournier, mai 2009.
8 trucs à savoir sur l'hygiène intime
Dévoiler son intimité et ses petits problèmes intimes n’est jamais chose facile. Voici quelques conseils en matière d’hygiène intime, ce qu’il faut faire et ne pas faire, avec des explications pratiques.
La toilette de cette zone intime doit respecter certaines règles, à appliquer au quotidien.
Pas de douche vaginale au risque de détruire l’équilibre de la flore vulvaire et vaginale, dont la fonction est protectrice. La toilette intime est uniquement externe.
Pas d’excès ! Une toilette intime quotidienne est suffisante, voire deux, une le matin et une le soir. Avec les excès, on risque de fragiliser inutilement cette zone.
Attention, pas de gant de toilette ! Ce sont des nids à microbes. Leur utilisation est inutile et risque d’entraîner des infections.
Pour la toilette intime, n’utilisez pas de produits particuliers, excepté en cas de problèmes intimes de type irritations ou infections. Dans ce cas, il faut se tourner vers des produits spécialement conçus pour l’hygiène intime, dont le pH est adapté.
Les produits antiseptiques ne sont pas indiqués. Un soin lavant doux, comme pour le corps, est adapté en l’absence de tout problème d’irritations ou d’infections.
Les irritations et les infections de cette zone intime sont anormales. Elles nécessitent d’en parler simplement, sans tabou, avec son médecin, afin qu’il prescrive le cas échéant un traitement.
Pour prévenir d’éventuelles infections, changez de sous-vêtements tous les jours. Pour cette même raison, changez régulièrement vos protections périodiques pendant les règles.
Enfin, pour prévenir les risques d’irritation de cette région très fragile, privilégiez les sous-vêtements en coton au lieu du synthétique, et évitez les vêtements trop serrés.
Ces règles d’hygiène intime sont simples et faciles à appliquer. Ce sont de bonnes habitudes à prendre à tout âge et pour toute la vie.
Remerciements à ''HANDICAPZERO'' particulièrement à : Madame Isabelle Eustache Journaliste
Source : Congrès Impact Santé, Institut Fournier, mai 2009.
Re: LA SANTE
LE TABAC
La campagne contre le tabagisme des jeunes, lancée par l’Inpes le 16 novembre prochain, sous forme d’un manga interactif. Un objectif, retarder l’âge de la première cigarette.
A l’âge de 14 ans, le taux de fumeurs quotidiens dépasse les 5% chez les élèves parisiens, à 17 ans, ce taux dépasse les 25%. Près de 30% des jeunes de 17 ans fument quotidiennement. La consommation régulière de tabac est repartie à la hausse en 2010 chez les jeunes Parisiens.Ce sont les derniers résultats de l’enquête de Paris Sans Tabac (mai 2010), la seule grande enquête réalisée en France sur une population de collégiens et de lycéens. Depuis février 2007, il est interdit de fumer dans les établissements scolaires et depuis mai 2009, la vente de tabac aux moins de 18 ans est interdite.
http://www.tabac-info-service.fr
Avec une PR le tabac est très déconseillé
BRIAND
La campagne contre le tabagisme des jeunes, lancée par l’Inpes le 16 novembre prochain, sous forme d’un manga interactif. Un objectif, retarder l’âge de la première cigarette.
A l’âge de 14 ans, le taux de fumeurs quotidiens dépasse les 5% chez les élèves parisiens, à 17 ans, ce taux dépasse les 25%. Près de 30% des jeunes de 17 ans fument quotidiennement. La consommation régulière de tabac est repartie à la hausse en 2010 chez les jeunes Parisiens.Ce sont les derniers résultats de l’enquête de Paris Sans Tabac (mai 2010), la seule grande enquête réalisée en France sur une population de collégiens et de lycéens. Depuis février 2007, il est interdit de fumer dans les établissements scolaires et depuis mai 2009, la vente de tabac aux moins de 18 ans est interdite.
http://www.tabac-info-service.fr
Avec une PR le tabac est très déconseillé
BRIAND
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Le pruneau c'est bon bon pour les os
D'où viennent les vertus du pruneau contre l'ostéoporose ?
Du potassium et du bore qu'il renferme. Ces oligo-éléments jouent un rôle essentiel dans la préservation du capital osseux. "Le potassium combat l'acidité du sang qui favorise la déminéralisation osseuse", précise le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. Par ailleurs, selon une étude américaine (2004) sur des femmes ménopausées, la prise de 100g/j de pruneaux durant 3 mois augmente la présence d'une enzyme indispensable à la minéralisation de l'os, la phosphatase alcaline (3).
Consommation recommandée : Un ou deux pruneaux par jour, en fonction des effets sur votre transit (attention à l'effet laxatif).
Co En cas de constipation, "2 ou 3 pruneaux par jour au petit-déjeuner, au quotidien", conseille le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. A adapter en fonction de la réaction de votre transit.
Sans vouloir faire de Pub
BRIAND
Le pruneau c'est bon bon pour les os
D'où viennent les vertus du pruneau contre l'ostéoporose ?
Du potassium et du bore qu'il renferme. Ces oligo-éléments jouent un rôle essentiel dans la préservation du capital osseux. "Le potassium combat l'acidité du sang qui favorise la déminéralisation osseuse", précise le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. Par ailleurs, selon une étude américaine (2004) sur des femmes ménopausées, la prise de 100g/j de pruneaux durant 3 mois augmente la présence d'une enzyme indispensable à la minéralisation de l'os, la phosphatase alcaline (3).
Consommation recommandée : Un ou deux pruneaux par jour, en fonction des effets sur votre transit (attention à l'effet laxatif).
Co En cas de constipation, "2 ou 3 pruneaux par jour au petit-déjeuner, au quotidien", conseille le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. A adapter en fonction de la réaction de votre transit.
Sans vouloir faire de Pub
BRIAND
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Le pruneau c'est bon bon pour les os
D'où viennent les vertus du pruneau contre l'ostéoporose ?
Du potassium et du bore qu'il renferme. Ces oligo-éléments jouent un rôle essentiel dans la préservation du capital osseux. "Le potassium combat l'acidité du sang qui favorise la déminéralisation osseuse", précise le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. Par ailleurs, selon une étude américaine (2004) sur des femmes ménopausées, la prise de 100g/j de pruneaux durant 3 mois augmente la présence d'une enzyme indispensable à la minéralisation de l'os, la phosphatase alcaline (3).
Consommation recommandée : Un ou deux pruneaux par jour, en fonction des effets sur votre transit (attention à l'effet laxatif).
Co En cas de constipation, "2 ou 3 pruneaux par jour au petit-déjeuner, au quotidien", conseille le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. A adapter en fonction de la réaction de votre transit.
Sans vouloir faire de Pub
BRIAND
Le pruneau c'est bon bon pour les os
D'où viennent les vertus du pruneau contre l'ostéoporose ?
Du potassium et du bore qu'il renferme. Ces oligo-éléments jouent un rôle essentiel dans la préservation du capital osseux. "Le potassium combat l'acidité du sang qui favorise la déminéralisation osseuse", précise le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. Par ailleurs, selon une étude américaine (2004) sur des femmes ménopausées, la prise de 100g/j de pruneaux durant 3 mois augmente la présence d'une enzyme indispensable à la minéralisation de l'os, la phosphatase alcaline (3).
Consommation recommandée : Un ou deux pruneaux par jour, en fonction des effets sur votre transit (attention à l'effet laxatif).
Co En cas de constipation, "2 ou 3 pruneaux par jour au petit-déjeuner, au quotidien", conseille le Dr Franck Senninger, médecin, nutritionniste. A adapter en fonction de la réaction de votre transit.
Sans vouloir faire de Pub
BRIAND
Re: LA SANTE
POUR VOTRE INFORMATION
Les frais de santé acculent chaque année 100 millions de personnes à la pauvreté
Mise en ligne : 23 novembre 2010
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les gouvernements financent mal le secteur de la santé dans le monde.
Elle estime dans son Rapport sur la santé dans le monde, 2010, présenté le 22 novembre à Berlin, que « dans les pays où le financement de la santé est en grande partie assuré par la facturation des soins aux usagers eux-mêmes, les frais de santé acculent chaque année 100 millions de personnes à la pauvreté ».
Du fait du vieillissement de la population et du coût des nouveaux traitements, le coût de la santé augmente très fortement. Dans les pays ou le système de santé est collectif et les soins abordables, le financement devient plus difficile. Dans les pays ou les usagers payent eux-mêmes les soins, ils se ruinent pour se soigner.
Car l’objectif d’une couverture universelle– adopté en 2005 par plus de 190 Etats – reste lointain.
« Nul ne devrait être acculé à la ruine pour se procurer les soins de santé dont il a besoin », a déclaré le Dr Margaret Chan, directrice générale de l’organisation qui propose trois directions de travail : « mobiliser davantage de fonds pour la santé, mobiliser ces fonds de manière plus équitable et dépenser l’argent plus efficacement ». Car
La situation dénoncée par l’Oms touche d’abord les pays les plus pauvres. Les rapporteurs écrivent ainsi trois pays africains seulement sont parvenus à « affecter 15% du budget de la nation à la santé », le minimum pour faire fonctionner un système de santé. Si la cinquantaine d’Etats les plus pauvres avaient rempli cet objectif, 15 milliards de dollars de plus auraient pu être mobilisés.
Ainsi, si l’Inde taxait de seulement 0,005 % les transactions en devises, elle en retirerait 370 millions de dollars pour financer son système de santé. Or 44 dollars par habitant seulement sont nécessaires pour assurer « l’accès ne serait-ce qu’à un minimum de services de santé de qualité dans les pays à faible revenu ».
Les pays pauvres n’y arriveront pas seuls, rappelle cependant l’OMS et l’aide internationale reste insuffisante. Peu de pays riches tiennent leur engagement de consacrer 0,7 % de leur PIB à l’aide publique au développement
Le problème d’accès aux soins devenus trop chers ne concernent pas que les pays pauvres. Le Monde (23/11/2010) souligne ainsi qu’en 2007, le coût de la santé a contribué « à 62 % des faillites totales des familles aux Etats-Unis (contre 50 % en 2001) ».
L’OMS suggère de financer l’accès aux soins par le « prépaiement » manière plus équitable de mobiliser des fonds pour la santé. Par exemple avec un fond commun alimenté par des taxes ou par des primes d’assurances. « Les fonds ainsi dégagés sont mis en commun, ce qui permet d’éviter que ceux qui ont la malchance de tomber malades soient les seuls à en supporter la charge financière »...
Enfin, souligne l’OMS, il faut améliorer l’efficacité des dépenses du systèmes de santé : médicaments génériques, meilleure gestion des centres hospitaliers.. De 20 à 40 % des dépenses de santé seraient perdues par gaspillage.
P.S. Rapport sur la santé dans le monde 2010, Le financement des systèmes de santé : le chemin vers une couverture universelle :
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Les frais de santé acculent chaque année 100 millions de personnes à la pauvreté
Mise en ligne : 23 novembre 2010
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les gouvernements financent mal le secteur de la santé dans le monde.
Elle estime dans son Rapport sur la santé dans le monde, 2010, présenté le 22 novembre à Berlin, que « dans les pays où le financement de la santé est en grande partie assuré par la facturation des soins aux usagers eux-mêmes, les frais de santé acculent chaque année 100 millions de personnes à la pauvreté ».
Du fait du vieillissement de la population et du coût des nouveaux traitements, le coût de la santé augmente très fortement. Dans les pays ou le système de santé est collectif et les soins abordables, le financement devient plus difficile. Dans les pays ou les usagers payent eux-mêmes les soins, ils se ruinent pour se soigner.
Car l’objectif d’une couverture universelle– adopté en 2005 par plus de 190 Etats – reste lointain.
« Nul ne devrait être acculé à la ruine pour se procurer les soins de santé dont il a besoin », a déclaré le Dr Margaret Chan, directrice générale de l’organisation qui propose trois directions de travail : « mobiliser davantage de fonds pour la santé, mobiliser ces fonds de manière plus équitable et dépenser l’argent plus efficacement ». Car
La situation dénoncée par l’Oms touche d’abord les pays les plus pauvres. Les rapporteurs écrivent ainsi trois pays africains seulement sont parvenus à « affecter 15% du budget de la nation à la santé », le minimum pour faire fonctionner un système de santé. Si la cinquantaine d’Etats les plus pauvres avaient rempli cet objectif, 15 milliards de dollars de plus auraient pu être mobilisés.
Ainsi, si l’Inde taxait de seulement 0,005 % les transactions en devises, elle en retirerait 370 millions de dollars pour financer son système de santé. Or 44 dollars par habitant seulement sont nécessaires pour assurer « l’accès ne serait-ce qu’à un minimum de services de santé de qualité dans les pays à faible revenu ».
Les pays pauvres n’y arriveront pas seuls, rappelle cependant l’OMS et l’aide internationale reste insuffisante. Peu de pays riches tiennent leur engagement de consacrer 0,7 % de leur PIB à l’aide publique au développement
Le problème d’accès aux soins devenus trop chers ne concernent pas que les pays pauvres. Le Monde (23/11/2010) souligne ainsi qu’en 2007, le coût de la santé a contribué « à 62 % des faillites totales des familles aux Etats-Unis (contre 50 % en 2001) ».
L’OMS suggère de financer l’accès aux soins par le « prépaiement » manière plus équitable de mobiliser des fonds pour la santé. Par exemple avec un fond commun alimenté par des taxes ou par des primes d’assurances. « Les fonds ainsi dégagés sont mis en commun, ce qui permet d’éviter que ceux qui ont la malchance de tomber malades soient les seuls à en supporter la charge financière »...
Enfin, souligne l’OMS, il faut améliorer l’efficacité des dépenses du systèmes de santé : médicaments génériques, meilleure gestion des centres hospitaliers.. De 20 à 40 % des dépenses de santé seraient perdues par gaspillage.
P.S. Rapport sur la santé dans le monde 2010, Le financement des systèmes de santé : le chemin vers une couverture universelle :
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Les médecins sont toujours aussi mal répartis sur le territoire
Mise en ligne : 24 novembre 2010
L’Atlas de la démographie médicale 2009 publié par l’Ordre des médecins montre que le nombre de médecins retraités du Tableau de l’ordre des médecins progresse plus vite que le nombre des inscrits en activité.
En 2009, 261 378 médecins étaient inscrits à l’ordre (+ 1,2 %) dont 216 450 actifs (+ 0,2 %). Le nombre de retraités, 44 928 a progressé de 6,6 %.
Les médecins en activité exercent un peu plus souvent en libéral (46,5 %) qu’en salarié (41,7 %), 11,8 % mêlant les deux. La tendance est clairement à la baisse de l’exercice en libéral : en 2009, 8,6 % seulement des nouveaux inscrits ont choisi ce statut. Dans les années 1980, la moitié des jeunes médecins entrant dans la profession s’installaient en libéral.
L’Ordre relève cependant que le nombre de médecins en activité n’a cessé de progresser et qu’il a augmenté de 93 % au cours des 30 dernières années. Il y a en moyenne 308 médecins par tranche de 100 000 habitants. C’est à moyen terme que la situation est moins rassurante.
Le premier problème est celui de la pyramide des âges des médecins : 41,7% sont âgés de 50 à 59 ans et 16,1 % ont plus de 60 ans. Nombre de ces professionnels partiront en retraite dans les prochaines années or il faut 10 ans au moins pour former un médecin.
Un phénomène accentué par les choix professionnels des nouveaux médecins : ils sont de plus en plus nombreux à choisir de n’exercer qu’en remplacements et à temps partiel.
Le deuxième problème est celui de leur répartition sur le territoire car les déséquilibres régionaux de la démographie médicale persistent. Si l’Ile-de-France (370 médecins/100 000 habitants) et les régions du sud (374/100 000 en Paca) sont largement dotées, 11 régions (soit la moitié) dispo
sent de moins de 280 médecins/100 000 habitants, le record étant en Picardie (239/100 000).
Information " VIVA ¨PRESSE '' que nous remerçions
Les médecins sont toujours aussi mal répartis sur le territoire
Mise en ligne : 24 novembre 2010
L’Atlas de la démographie médicale 2009 publié par l’Ordre des médecins montre que le nombre de médecins retraités du Tableau de l’ordre des médecins progresse plus vite que le nombre des inscrits en activité.
En 2009, 261 378 médecins étaient inscrits à l’ordre (+ 1,2 %) dont 216 450 actifs (+ 0,2 %). Le nombre de retraités, 44 928 a progressé de 6,6 %.
Les médecins en activité exercent un peu plus souvent en libéral (46,5 %) qu’en salarié (41,7 %), 11,8 % mêlant les deux. La tendance est clairement à la baisse de l’exercice en libéral : en 2009, 8,6 % seulement des nouveaux inscrits ont choisi ce statut. Dans les années 1980, la moitié des jeunes médecins entrant dans la profession s’installaient en libéral.
L’Ordre relève cependant que le nombre de médecins en activité n’a cessé de progresser et qu’il a augmenté de 93 % au cours des 30 dernières années. Il y a en moyenne 308 médecins par tranche de 100 000 habitants. C’est à moyen terme que la situation est moins rassurante.
Le premier problème est celui de la pyramide des âges des médecins : 41,7% sont âgés de 50 à 59 ans et 16,1 % ont plus de 60 ans. Nombre de ces professionnels partiront en retraite dans les prochaines années or il faut 10 ans au moins pour former un médecin.
Un phénomène accentué par les choix professionnels des nouveaux médecins : ils sont de plus en plus nombreux à choisir de n’exercer qu’en remplacements et à temps partiel.
Le deuxième problème est celui de leur répartition sur le territoire car les déséquilibres régionaux de la démographie médicale persistent. Si l’Ile-de-France (370 médecins/100 000 habitants) et les régions du sud (374/100 000 en Paca) sont largement dotées, 11 régions (soit la moitié) dispo
sent de moins de 280 médecins/100 000 habitants, le record étant en Picardie (239/100 000).
Information " VIVA ¨PRESSE '' que nous remerçions