LA SANTE
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Merci de votre compréhension et de votre soutien
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Re: LA SANTE
C'est une information ''HANDICAPZERO'' que nous remercions.
Sirops sans sucre contre la toux Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine
Flacons de sirop sans sucre contre la toux Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine du laboratoire Sanofi-Aventis destinés à l'enfant. Plus précisément, il s'agit du Rhinathiol expectorant carbocistéïne 2 % enfants et nourrissons sans sucre, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltilol liquide (carbocistéïne) ; du Bronkirex-Gé sans sucre 2 % enfant et nourrisson, sirop édulcoré à la saccharine et au maltilol liquide (carbocistéïne) et du Carbocistéïne Winthrop 2 % enfants et nourrissons sans sucre, sirop édulcoré à la saccharine et au maltilol liquide (carbocistéïne).Détection de phénol, un produit potentiellement toxique, dans un lot de Rhinatiol pour enfant. Ne pas utiliser les flacons de sirop sans sucre pour enfants Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine et les rapporter chez le pharmacien.Numéro vert : 0 800 53 78 81.
Sirops sans sucre contre la toux Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine
Flacons de sirop sans sucre contre la toux Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine du laboratoire Sanofi-Aventis destinés à l'enfant. Plus précisément, il s'agit du Rhinathiol expectorant carbocistéïne 2 % enfants et nourrissons sans sucre, sirop édulcoré à la saccharine sodique et au maltilol liquide (carbocistéïne) ; du Bronkirex-Gé sans sucre 2 % enfant et nourrisson, sirop édulcoré à la saccharine et au maltilol liquide (carbocistéïne) et du Carbocistéïne Winthrop 2 % enfants et nourrissons sans sucre, sirop édulcoré à la saccharine et au maltilol liquide (carbocistéïne).Détection de phénol, un produit potentiellement toxique, dans un lot de Rhinatiol pour enfant. Ne pas utiliser les flacons de sirop sans sucre pour enfants Rhinatiol, Bronkirex et Carbocistéine et les rapporter chez le pharmacien.Numéro vert : 0 800 53 78 81.
Re: LA SANTE
Madame, vous tenez écrire à Madame BACHELOT
Si vous le désirez je peux vous donner son numéro de téléphone par é-mail.
Bonnes vacances quand même
Cordialement
BRIAND
L’adresse postale du ministère est :
Ministère de la Santé et des Sports
14, avenue Duquesne
75350 PARIS 07 SP
Si vous le désirez je peux vous donner son numéro de téléphone par é-mail.
Bonnes vacances quand même
Cordialement
BRIAND
L’adresse postale du ministère est :
Ministère de la Santé et des Sports
14, avenue Duquesne
75350 PARIS 07 SP
Re: LA SANTE
Bisphénol A : des chercheurs demandent son interdiction
Mise en ligne : 6 août 2009
L’association de chercheurs Antidote Europe vient d’adresser un appel au nouveau président du Parlement Européen, le Pr Jerzy Buzek, pour interdire le bisphénol A (BPA) dans les biberons.
Plusieurs études internationales sur les effets de cette substance de synthèse chimique (qui sert à fabriquer du plastique dur, le polycarbonate) montrent un risque accru de cancer, de diabète et de fertilité. Le BPA est en effet connu pour être un perturbateur endocrinien qui intervient notamment au cours du développement embryonnaire chez l’homme. En mai dernier, une étude américaine a par ailleurs révélé que le taux de BPA augmentait de 69% dans les urines de 77 volontaires quand ils buvaient des boissons issues de bouteilles en plastiques contenant du polycarbonate.
A l’automne 2008, le Canada, qui qualifie le BPA de « substance dangereuse », l’a interdit dans les biberons. Aux Etats-Unis, plusieurs grandes marques ont décidé de ne plus fabriquer de biberons contenant du Bisphénol A et certaines chaînes de supermaché ont spontanément retiré ceux qui en avaient de leur rayons. En Californie, le sénat a voté son interdiction dans les plastiques alimentaires et il n’y en aura plus dans le Connecticut à partir du 1er octobre 2011.
En Europe, à ce jour, les autorités sanitaires n’ont pas réagi, estimant qu’à faible dose, le BPA n’est pas dangereux pour l’organisme des nourrissons malgré les centaines d’études qui prouvent le contraire : « Il est regrettable que certains secteurs de l’industrie et mêmes les autorités réglementaires choississent de mettre la santé humaine en danger sur la foi de données incomplètes ou non pertinentes », souligne Antidote Europe.
En France, la position est la même : il n’y a aucun risque. Certaines municipalités comme Paris ou Toulouse ont néanmoins pris l’initiative d’interdire les biberons contenant du Bisphénol A dans leurs crèches. Le Réseau Environnement Santé (RES), créé en mars 2009, demande que le BPA soit interdit dans les plastiques alimentaires, et qu’une étude d’évaluation du taux de contamination de la population soit réalisée.
Remerciements à ''' VIVA PRESSE ''' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
P.S.
Infos et pétition sur http://www.danger-bisphenol.com et sur http://www.reseau-environnement-sante.fr
A SAVOIR
Changer de biberons
Mieux vaut remplacer les biberons contenant du BPA par des biberons en verre ou par les nouveaux biberons en plastique dur qui commencent à se répandre sur le marché. Ils contiennent du Polypropylène ou du Polyéther Sulfones (PES), solide et résistant aux températures élevées.
Et de bouteilles en plastique Les bouteilles en plastique et autres produits alimentaires (conserves, emballages, etc.) qui contiennent du Bisphénol A portent le n° 7 dans un petit triangle, c’est le code de recyclage qui les identifie. Ouvrez l’oeil !
Mise en ligne : 6 août 2009
L’association de chercheurs Antidote Europe vient d’adresser un appel au nouveau président du Parlement Européen, le Pr Jerzy Buzek, pour interdire le bisphénol A (BPA) dans les biberons.
Plusieurs études internationales sur les effets de cette substance de synthèse chimique (qui sert à fabriquer du plastique dur, le polycarbonate) montrent un risque accru de cancer, de diabète et de fertilité. Le BPA est en effet connu pour être un perturbateur endocrinien qui intervient notamment au cours du développement embryonnaire chez l’homme. En mai dernier, une étude américaine a par ailleurs révélé que le taux de BPA augmentait de 69% dans les urines de 77 volontaires quand ils buvaient des boissons issues de bouteilles en plastiques contenant du polycarbonate.
A l’automne 2008, le Canada, qui qualifie le BPA de « substance dangereuse », l’a interdit dans les biberons. Aux Etats-Unis, plusieurs grandes marques ont décidé de ne plus fabriquer de biberons contenant du Bisphénol A et certaines chaînes de supermaché ont spontanément retiré ceux qui en avaient de leur rayons. En Californie, le sénat a voté son interdiction dans les plastiques alimentaires et il n’y en aura plus dans le Connecticut à partir du 1er octobre 2011.
En Europe, à ce jour, les autorités sanitaires n’ont pas réagi, estimant qu’à faible dose, le BPA n’est pas dangereux pour l’organisme des nourrissons malgré les centaines d’études qui prouvent le contraire : « Il est regrettable que certains secteurs de l’industrie et mêmes les autorités réglementaires choississent de mettre la santé humaine en danger sur la foi de données incomplètes ou non pertinentes », souligne Antidote Europe.
En France, la position est la même : il n’y a aucun risque. Certaines municipalités comme Paris ou Toulouse ont néanmoins pris l’initiative d’interdire les biberons contenant du Bisphénol A dans leurs crèches. Le Réseau Environnement Santé (RES), créé en mars 2009, demande que le BPA soit interdit dans les plastiques alimentaires, et qu’une étude d’évaluation du taux de contamination de la population soit réalisée.
Remerciements à ''' VIVA PRESSE ''' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
P.S.
Infos et pétition sur http://www.danger-bisphenol.com et sur http://www.reseau-environnement-sante.fr
A SAVOIR
Changer de biberons
Mieux vaut remplacer les biberons contenant du BPA par des biberons en verre ou par les nouveaux biberons en plastique dur qui commencent à se répandre sur le marché. Ils contiennent du Polypropylène ou du Polyéther Sulfones (PES), solide et résistant aux températures élevées.
Et de bouteilles en plastique Les bouteilles en plastique et autres produits alimentaires (conserves, emballages, etc.) qui contiennent du Bisphénol A portent le n° 7 dans un petit triangle, c’est le code de recyclage qui les identifie. Ouvrez l’oeil !
Re: LA SANTE
Information " HANDICAPZERO " que nous remercions
Etre maman après un cancer : l'espoir de l'autogreffe d'ovaire
Sa maladie nécessitait l'administration d'un traitement stérilisant. Pourtant, grâce àune autogreffe de tissu ovarien, une patiente suivie aux CHU de Besançon et de Limoges vient de mettre au monde une petite fille de 3,7 kilos.
C'est un nouvel espoir pour toutes celles qui doivent recevoir un traitement susceptible d'altérer leur fertilité parce qu'elles sont atteintes d'un cancer : une femme vient de mettre au monde une petite fille en pleine santé, trois ans après avoir suivi un traitement hautement toxique pour les cellules de ses ovaires. La grossesse a été obtenue naturellement, sans même qu'il soit nécessaire de recourir àune fécondation in vitro ou àune stimulation ovarienne. Comment cela est-il possible ? Juste avant le début du traitement, les médecins ont prélevé un fragment d'ovaire de la patiente. Le greffon a été immédiatement congelé et conservé pendant deux ans, puis il a été réimplanté chez la jeune femme après sa guérison. À peine quatre mois après l'autogreffe, la patiente ovulait de nouveau. Deux mois plus tard, elle était enceinte.La prise en charge de différentes maladies, en particulier celle de certains cancers, passe par des approches thérapeutiques dites ' reprotoxiques ' : les protocoles de chimiothérapie ou de radiothérapie peuvent altérer les ovaires, conduisant àune insuffisance ovarienne qui se traduit par une ménopause précoce.A l'heure actuelle, la principale stratégie proposée aux jeunes femmes qui désirent préserver leur fertilité consiste àproduire des embryons par fécondation in vitro, juste avant le traitement : des ovules matures sont prélevés chez la patiente après une stimulation ovarienne, puis ils sont mis en présence de spermatozoïdes de leur conjoint. Les embryons ainsi obtenus sont congelés. Ils pourront être réimplantés dans l'utérus de la patiente àl'issue de son traitement. Contrairement aux spermatozoïdes et aux embryons, les ovules supportent mal la congélation et la décongélation. C'est pourquoi il est nécessaire de passer par un protocole de fécondation in vitro. Même si cette technique est assez efficace, elle pose certains problèmes : en premier lieu, elle ne s'adresse qu'aux femmes en couple. Par ailleurs, sa mise en ?uvre n'est pas toujours possible car elle nécessite du temps. Or il n'est pas toujours possible de repousser le début du traitement. Enfin, il existe un doute sur l'effet àlong terme de la stimulation ovarienne nécessaire àl'obtention des ovules.La technique de l'autogreffe de tissu ovarien permet de s'affranchir de ces différents problèmes. Toutefois, la technique est encore expérimentale : seules sept grossesses ont été obtenues par cette technique au travers du monde. Nouvelle communiquée lors du dernier congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie (ESHRE, 28 juin -1er juillet 2009, Amsterdam).
Journaliste : Elodie Biet, ARC
Etre maman après un cancer : l'espoir de l'autogreffe d'ovaire
Sa maladie nécessitait l'administration d'un traitement stérilisant. Pourtant, grâce àune autogreffe de tissu ovarien, une patiente suivie aux CHU de Besançon et de Limoges vient de mettre au monde une petite fille de 3,7 kilos.
C'est un nouvel espoir pour toutes celles qui doivent recevoir un traitement susceptible d'altérer leur fertilité parce qu'elles sont atteintes d'un cancer : une femme vient de mettre au monde une petite fille en pleine santé, trois ans après avoir suivi un traitement hautement toxique pour les cellules de ses ovaires. La grossesse a été obtenue naturellement, sans même qu'il soit nécessaire de recourir àune fécondation in vitro ou àune stimulation ovarienne. Comment cela est-il possible ? Juste avant le début du traitement, les médecins ont prélevé un fragment d'ovaire de la patiente. Le greffon a été immédiatement congelé et conservé pendant deux ans, puis il a été réimplanté chez la jeune femme après sa guérison. À peine quatre mois après l'autogreffe, la patiente ovulait de nouveau. Deux mois plus tard, elle était enceinte.La prise en charge de différentes maladies, en particulier celle de certains cancers, passe par des approches thérapeutiques dites ' reprotoxiques ' : les protocoles de chimiothérapie ou de radiothérapie peuvent altérer les ovaires, conduisant àune insuffisance ovarienne qui se traduit par une ménopause précoce.A l'heure actuelle, la principale stratégie proposée aux jeunes femmes qui désirent préserver leur fertilité consiste àproduire des embryons par fécondation in vitro, juste avant le traitement : des ovules matures sont prélevés chez la patiente après une stimulation ovarienne, puis ils sont mis en présence de spermatozoïdes de leur conjoint. Les embryons ainsi obtenus sont congelés. Ils pourront être réimplantés dans l'utérus de la patiente àl'issue de son traitement. Contrairement aux spermatozoïdes et aux embryons, les ovules supportent mal la congélation et la décongélation. C'est pourquoi il est nécessaire de passer par un protocole de fécondation in vitro. Même si cette technique est assez efficace, elle pose certains problèmes : en premier lieu, elle ne s'adresse qu'aux femmes en couple. Par ailleurs, sa mise en ?uvre n'est pas toujours possible car elle nécessite du temps. Or il n'est pas toujours possible de repousser le début du traitement. Enfin, il existe un doute sur l'effet àlong terme de la stimulation ovarienne nécessaire àl'obtention des ovules.La technique de l'autogreffe de tissu ovarien permet de s'affranchir de ces différents problèmes. Toutefois, la technique est encore expérimentale : seules sept grossesses ont été obtenues par cette technique au travers du monde. Nouvelle communiquée lors du dernier congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie (ESHRE, 28 juin -1er juillet 2009, Amsterdam).
Journaliste : Elodie Biet, ARC
Re: LA SANTE
IMPORTANT
La Fédération Française de Cardilologie et la croix rouge veulent sensibiliser le public à la nécéssité et se former aux gestes qui sauvent.
À ne pas manquer, du 12 au 27 septembre prochain : l'opération « Trois week-ends pour le cœur »
Arrêt cardiaque = 50 000 morts par an
Formez-vous
Une vie = 3 gestes
Geste 1 : Appelez le 15
Geste 2 : Massez
Geste 3 : Défibrilez
Liste des événemanyts sur ; http://www.1vie3gestes.com
La Fédération Française de Cardilologie et la croix rouge veulent sensibiliser le public à la nécéssité et se former aux gestes qui sauvent.
À ne pas manquer, du 12 au 27 septembre prochain : l'opération « Trois week-ends pour le cœur »
Arrêt cardiaque = 50 000 morts par an
Formez-vous
Une vie = 3 gestes
Geste 1 : Appelez le 15
Geste 2 : Massez
Geste 3 : Défibrilez
Liste des événemanyts sur ; http://www.1vie3gestes.com
Re: LA SANTE
Bon à savoir
Soleil et médicaments : un mariage à risques
Mise en ligne : juillet 2009
La photosensibilisation
On a appris à se méfier, au moment des beaux jours, des parfums, eaux de toilette et autres cosmétiques. Mais les médicaments non plus ne font pas toujours bon ménage avec le soleil : ils peuvent déclencher des réactions cutanées, parfois graves. Un risque souvent méconnu, surtout quand il s’agit de produits très courants.
Certaines molécules, administrées par voie générale (en comprimés, en gélules, voire en injections) ou en applications sur la peau (crèmes, gels, lotions, sprays), augmentent en effet la sensibilité aux rayons ultraviolets (UV), qu’ils soient solaires ou artificiels (cabines de bronzage, par exemple).
Le phénomène de photosensibilisation provoque, sur les parties découvertes du corps, des lésions sans proportion avec l’intensité de l’exposition aux UV. Il se traduit principalement par des coups de soleil (de la rougeur à la brûlure sévère), des éruptions variées (vésicules, plaques d’eczéma, urticaire…) ou une pigmentation anormale. Des manifestations plus rares, comme le décollement de l’ongle, sont parfois observées.
Deux types de réactions
Deux mécanismes sont en cause dans la survenue de ces affections : la phototoxicité et la photoallergie.
La première se manifeste rapidement après l’exposition au soleil et dépend de la quantité de médicament présente dans la peau. Une diminution des doses peut donc atténuer le problème, et le médecin prescrira de prendre le produit de préférence le soir, afin que la concentration soit faible le lendemain, lorsque la peau sera exposée au soleil.
La photoallergie, semble-t-il moins fréquente, est une réaction immunologique, c’est-à-dire de défense de l’organisme. Elle survient plus tard, généralement quarante-huit heures après l’exposition, et s’accompagne souvent de démangeaisons. Elle n’est pas fonction de la dose de médicament absorbée et peut se propager aux zones protégées du corps. Un même médicament est parfois à l’origine de réactions de type toxique et de type allergique.
Les médicaments photosensibilisants
Antibiotiques et autres anti-infectieux, spécialités cardio-vasculaires (diurétiques, antiarythmiques), psychotropes, anti-inflammatoires non stéroïdiens… plusieurs classes pharmaceutiques peuvent provoquer ces effets indésirables.
Certains médicaments ont un fort potentiel photosensibilisant. La revue médicale Prescrire, qui fait le point des connaissances en matière de « Photodermatoses d’origine médicamenteuse » dans son numéro de mars 2009, en donne une longue liste. Les notices des médicaments sensibles signalent généralement les risques de photosensibilisation ou de réactions cutanées.
Depuis quelques années, l’un des principaux responsables d’accidents de photosensibilisation est le kétoprofène sous forme de gel, un anti-inflammatoire non stéroïdien très couramment utilisé par les sportifs (sous divers noms de marque). Aujourd’hui, d’ailleurs, sur la boîte figure un pictogramme (un soleil voilé à l’intérieur d’un triangle rouge) qui met en garde contre toute exposition au soleil, même voilé, des zones traitées.
Quelle prévention ?
Si vous êtes sous traitement, abordez la question avec votre médecin. Le cas échéant, il modifiera la prescription ou suspendra le traitement pendant l’été (ou les sports d’hiver).
Si le médicament est indispensable, limitez l’exposition au soleil, optez pour des vêtements couvrants et des crèmes solaires à fort indice, sachant qu’elles n’assurent qu’une protection relative. En cas d’automédication, lisez les notices et prenez conseil auprès du pharmacien.
Attention, exposer son visage ou son bras derrière une vitre peut suffire à déclencher les réactions. Si une manifestation cutanée anormale apparaît, restez à l’ombre et consultez.
Remerciements à ''VIVA PRESSE '' particulièrement à Sylvaine Frézel
Soleil et médicaments : un mariage à risques
Mise en ligne : juillet 2009
La photosensibilisation
On a appris à se méfier, au moment des beaux jours, des parfums, eaux de toilette et autres cosmétiques. Mais les médicaments non plus ne font pas toujours bon ménage avec le soleil : ils peuvent déclencher des réactions cutanées, parfois graves. Un risque souvent méconnu, surtout quand il s’agit de produits très courants.
Certaines molécules, administrées par voie générale (en comprimés, en gélules, voire en injections) ou en applications sur la peau (crèmes, gels, lotions, sprays), augmentent en effet la sensibilité aux rayons ultraviolets (UV), qu’ils soient solaires ou artificiels (cabines de bronzage, par exemple).
Le phénomène de photosensibilisation provoque, sur les parties découvertes du corps, des lésions sans proportion avec l’intensité de l’exposition aux UV. Il se traduit principalement par des coups de soleil (de la rougeur à la brûlure sévère), des éruptions variées (vésicules, plaques d’eczéma, urticaire…) ou une pigmentation anormale. Des manifestations plus rares, comme le décollement de l’ongle, sont parfois observées.
Deux types de réactions
Deux mécanismes sont en cause dans la survenue de ces affections : la phototoxicité et la photoallergie.
La première se manifeste rapidement après l’exposition au soleil et dépend de la quantité de médicament présente dans la peau. Une diminution des doses peut donc atténuer le problème, et le médecin prescrira de prendre le produit de préférence le soir, afin que la concentration soit faible le lendemain, lorsque la peau sera exposée au soleil.
La photoallergie, semble-t-il moins fréquente, est une réaction immunologique, c’est-à-dire de défense de l’organisme. Elle survient plus tard, généralement quarante-huit heures après l’exposition, et s’accompagne souvent de démangeaisons. Elle n’est pas fonction de la dose de médicament absorbée et peut se propager aux zones protégées du corps. Un même médicament est parfois à l’origine de réactions de type toxique et de type allergique.
Les médicaments photosensibilisants
Antibiotiques et autres anti-infectieux, spécialités cardio-vasculaires (diurétiques, antiarythmiques), psychotropes, anti-inflammatoires non stéroïdiens… plusieurs classes pharmaceutiques peuvent provoquer ces effets indésirables.
Certains médicaments ont un fort potentiel photosensibilisant. La revue médicale Prescrire, qui fait le point des connaissances en matière de « Photodermatoses d’origine médicamenteuse » dans son numéro de mars 2009, en donne une longue liste. Les notices des médicaments sensibles signalent généralement les risques de photosensibilisation ou de réactions cutanées.
Depuis quelques années, l’un des principaux responsables d’accidents de photosensibilisation est le kétoprofène sous forme de gel, un anti-inflammatoire non stéroïdien très couramment utilisé par les sportifs (sous divers noms de marque). Aujourd’hui, d’ailleurs, sur la boîte figure un pictogramme (un soleil voilé à l’intérieur d’un triangle rouge) qui met en garde contre toute exposition au soleil, même voilé, des zones traitées.
Quelle prévention ?
Si vous êtes sous traitement, abordez la question avec votre médecin. Le cas échéant, il modifiera la prescription ou suspendra le traitement pendant l’été (ou les sports d’hiver).
Si le médicament est indispensable, limitez l’exposition au soleil, optez pour des vêtements couvrants et des crèmes solaires à fort indice, sachant qu’elles n’assurent qu’une protection relative. En cas d’automédication, lisez les notices et prenez conseil auprès du pharmacien.
Attention, exposer son visage ou son bras derrière une vitre peut suffire à déclencher les réactions. Si une manifestation cutanée anormale apparaît, restez à l’ombre et consultez.
Remerciements à ''VIVA PRESSE '' particulièrement à Sylvaine Frézel
Re: LA SANTE
Pour votre information
santé :
Dur, dur le retour de vacances ?
Pas la forme, pas le moral... Vous êtes partis en juillet ? Et si c'était le syndrome post-vacances ? Ne vous laissez pas abattre ! Cette légère déprime qui touche environ 35% des jeunes adultes àleur retour de vacances n'est que passagère... Quelques conseils simples vous permettront de mieux lui
Vous avez chanté tout l'été? et vous voilàbien démunis une fois que sonne l'heure du retour des vacances. Et pour cause: les vacances, on en parle pendant des mois, on s'y prépare physiquement, psychologiquement, financièrement? et on a peine le temps de poser ses valises que c'est déjàfini. Plus dure est alors la chute! Selon une étude réalisée par des chercheurs espagnols, 35% des travailleurs entre 25 et 40 ans devraient ainsi faire face au "syndrome post-vacances", un sentiment général d'inconfort causé par le retour au travail. Le plus souvent, cette déprime se traduit par des symptômes physiques tels que la fatigue, le manque d'appétit, les difficultés àse concentrer, la somnolence, l'insomnie, un rythme cardiaque anormalement rapide ou encore des douleurs musculaires diverses. Au niveau psychologique, l'ex-vacancier pourra se sentir irritable, anxieux, triste? Un sentiment de vide et une attitude "je-m'en-foutiste" sont également des phénomènes courants mais heureusement passagers après le retour des vacances.Pour ne pas céder àce désespoir de la rentrée, essayez d'organiser au mieux le retour àla réalité. Si vous étiez en voyage, rentrez quelques jours avant de reprendre le boulot. Cela vous permettra de retrouver vos marques et le simple plaisir d'être chez vous? tout en étant encore en vacances. Profitez-en pour rassembler vos souvenirs de voyage, vos photos. Celles-ci vous aideront àprolonger le sentiment de satisfaction apporté par les vacances et àle partager avec vos amis, collègues... Le plus déprimant lorsqu'on rentre de vacances est de penser qu'il faudra attendre ànouveau une année complète avant de repartir? Mais pourquoi ne pas projeter un petit week-end dans quelques mois ? Si les finances ne le permettent pas, élaborez des projets agréables àcourt terme: un cinéma en amoureux, une promenade àla campagne, un dîner entre amis? Il y a mille façons de changer d'air !En vacances, pas d'agenda surbooké, pas de tâches ménagères, pas de patron hargneux, pas de facture imprévue? Bref, aucun souci susceptible de troubler votre humeur. Résultat: vous étiez plus àl'écoute de vos proches, plus souriant, plus attentionné et plus curieux du monde? Une fois de retour, ne vous laissez pas anéantir par la déprime en rejetant la faute sur le boulot ou le mauvais temps. Maintenant que vous avez découvert àquel point la vie est plus agréable sans stress, essayez de gérer celui-ci au quotidien. Enfin, soyez philosophe: si les vacances duraient toute l'année, ce ne seraient pas des vacances? Pour s'extraire du quotidien, il est indispensable que ce quotidien existe! Et par ailleurs, c'est aussi grâce àl'argent que vous gagnez en travaillant que vous pouvez vous permettre de voyager. Les prochains congés ne sont pas si loin. Et en attendant, profitez-en. Y a pas que l'été pour s'amuser!
Information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions particulièrement Madame : Julie Luong, journaliste santé
santé :
Dur, dur le retour de vacances ?
Pas la forme, pas le moral... Vous êtes partis en juillet ? Et si c'était le syndrome post-vacances ? Ne vous laissez pas abattre ! Cette légère déprime qui touche environ 35% des jeunes adultes àleur retour de vacances n'est que passagère... Quelques conseils simples vous permettront de mieux lui
Vous avez chanté tout l'été? et vous voilàbien démunis une fois que sonne l'heure du retour des vacances. Et pour cause: les vacances, on en parle pendant des mois, on s'y prépare physiquement, psychologiquement, financièrement? et on a peine le temps de poser ses valises que c'est déjàfini. Plus dure est alors la chute! Selon une étude réalisée par des chercheurs espagnols, 35% des travailleurs entre 25 et 40 ans devraient ainsi faire face au "syndrome post-vacances", un sentiment général d'inconfort causé par le retour au travail. Le plus souvent, cette déprime se traduit par des symptômes physiques tels que la fatigue, le manque d'appétit, les difficultés àse concentrer, la somnolence, l'insomnie, un rythme cardiaque anormalement rapide ou encore des douleurs musculaires diverses. Au niveau psychologique, l'ex-vacancier pourra se sentir irritable, anxieux, triste? Un sentiment de vide et une attitude "je-m'en-foutiste" sont également des phénomènes courants mais heureusement passagers après le retour des vacances.Pour ne pas céder àce désespoir de la rentrée, essayez d'organiser au mieux le retour àla réalité. Si vous étiez en voyage, rentrez quelques jours avant de reprendre le boulot. Cela vous permettra de retrouver vos marques et le simple plaisir d'être chez vous? tout en étant encore en vacances. Profitez-en pour rassembler vos souvenirs de voyage, vos photos. Celles-ci vous aideront àprolonger le sentiment de satisfaction apporté par les vacances et àle partager avec vos amis, collègues... Le plus déprimant lorsqu'on rentre de vacances est de penser qu'il faudra attendre ànouveau une année complète avant de repartir? Mais pourquoi ne pas projeter un petit week-end dans quelques mois ? Si les finances ne le permettent pas, élaborez des projets agréables àcourt terme: un cinéma en amoureux, une promenade àla campagne, un dîner entre amis? Il y a mille façons de changer d'air !En vacances, pas d'agenda surbooké, pas de tâches ménagères, pas de patron hargneux, pas de facture imprévue? Bref, aucun souci susceptible de troubler votre humeur. Résultat: vous étiez plus àl'écoute de vos proches, plus souriant, plus attentionné et plus curieux du monde? Une fois de retour, ne vous laissez pas anéantir par la déprime en rejetant la faute sur le boulot ou le mauvais temps. Maintenant que vous avez découvert àquel point la vie est plus agréable sans stress, essayez de gérer celui-ci au quotidien. Enfin, soyez philosophe: si les vacances duraient toute l'année, ce ne seraient pas des vacances? Pour s'extraire du quotidien, il est indispensable que ce quotidien existe! Et par ailleurs, c'est aussi grâce àl'argent que vous gagnez en travaillant que vous pouvez vous permettre de voyager. Les prochains congés ne sont pas si loin. Et en attendant, profitez-en. Y a pas que l'été pour s'amuser!
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Re: LA SANTE
Pour votre information
santé :
actualités et servicesDes jambes légères, légères...
Des jambes légères, c'est bien le rêve des très nombreuses femmes qui souffrent, àdifférents degrés, de jambes lourdes. Point de fatalité, nous avons quelques armes ànotre disposition pour les alléger. Voici notre stratégie anti-jambes lourdes.
Leurs vitamines et minéraux tonifient et protègent les veines. Alors mangez équilibré et boostez la part des fruits (myrtilles, agrumes, raisins, framboises, cassis, pêches, pommes, poires?) et des légumes frais (oignons, poireaux, betteraves, brocolis, tomates, céleri, persil?). Vous ferez ainsi le plein en polyphénols, des antioxydants qui contribuent àmaintenir en bon état les parois des veines. À noter que les fibres contenues dans les fruits et les légumes, et aussi dans les céréales complètes, vous aideront àlutter contre la constipation, laquelle favorise la stase veineuse. Pour l'équilibre, limitez les aliments gras et privilégiez les poissons, les fruits de mer et les coquillages. Enfin, buvez beaucoup d'eau. Oubliez la cigarette et l'alcool car ils dilatent les veines. Quant au café, il augmente la sensation d'inconfort dans les jambes? En se contractant, les muscles activent la circulation sanguine. Autrement dit, plus vous bougez, plus vous stimulez le retour veineux. Alors surtout, évitez de rester des heures assises devant la télé ou de lire allongée sur un transat. Bougez et surtout marchez aussi souvent que possible. Si la marche est une excellente activité, tout comme la natation et le vélo, en revanche, évitez les activités qui génèrent des sauts comme le jogging, le tennis, le step? Les efforts musculaires prolongés comme la musculation sont aussi àproscrire. En cas de jambes lourdes, visez le confort. Les vêtements qui serrent la taille ou qui moulent les jambes et les mollets gênent le retour veineux. Alors choisissez des vêtements amples. Évitez les talons hauts également (2 cm est la hauteur idéale). Chaque pas active la pompe veineuse, profitez-en ! Les chaussettes et bas de contention sont recommandés. Ils font d'ailleurs partie intégrante du traitement de l'insuffisance veineuse. Ils empêchent la dilatation de la veine et améliorent le retour veineux. Attention au bas qui comprime trop fort ou qui fait garrot. Un bon bas de contention serre au niveau du pied puis se relâche progressivement en remontant le long de la jambe. En position assise, ne croisez pas les jambes.Si vous devez rester assise, mobilisez régulièrement vos jambes en faisant de petits mouvements, des rotations des chevilles et si possible utilisez un repose-pieds.Dès que possible, surélevez les jambes, et même la nuit. Évitez la chaleur. Sinon, appliquez une serviette humide et froide sur vos jambes ou passez un jet d'eau fraîche sur vos jambes. Évitez les bains chauds. Terminez votre douche par un jet d'eau fraîche depuis les pieds vers le haut des jambes. Enfin, n'hésitez pas àmasser vos jambes, toujours du bas vers le haut. Si ces conseils ne suffisent pas àvous soulager, consultez votre médecin ou un phlébologue pour trouver un traitement efficace.
Information '' HANDICAPZERO'' que nous remercions particulièrement Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Source : « Fini les jambes lourdes ! » Michel Cymes, Guide France Info, Editions Jacob Duvernet.
santé :
actualités et servicesDes jambes légères, légères...
Des jambes légères, c'est bien le rêve des très nombreuses femmes qui souffrent, àdifférents degrés, de jambes lourdes. Point de fatalité, nous avons quelques armes ànotre disposition pour les alléger. Voici notre stratégie anti-jambes lourdes.
Leurs vitamines et minéraux tonifient et protègent les veines. Alors mangez équilibré et boostez la part des fruits (myrtilles, agrumes, raisins, framboises, cassis, pêches, pommes, poires?) et des légumes frais (oignons, poireaux, betteraves, brocolis, tomates, céleri, persil?). Vous ferez ainsi le plein en polyphénols, des antioxydants qui contribuent àmaintenir en bon état les parois des veines. À noter que les fibres contenues dans les fruits et les légumes, et aussi dans les céréales complètes, vous aideront àlutter contre la constipation, laquelle favorise la stase veineuse. Pour l'équilibre, limitez les aliments gras et privilégiez les poissons, les fruits de mer et les coquillages. Enfin, buvez beaucoup d'eau. Oubliez la cigarette et l'alcool car ils dilatent les veines. Quant au café, il augmente la sensation d'inconfort dans les jambes? En se contractant, les muscles activent la circulation sanguine. Autrement dit, plus vous bougez, plus vous stimulez le retour veineux. Alors surtout, évitez de rester des heures assises devant la télé ou de lire allongée sur un transat. Bougez et surtout marchez aussi souvent que possible. Si la marche est une excellente activité, tout comme la natation et le vélo, en revanche, évitez les activités qui génèrent des sauts comme le jogging, le tennis, le step? Les efforts musculaires prolongés comme la musculation sont aussi àproscrire. En cas de jambes lourdes, visez le confort. Les vêtements qui serrent la taille ou qui moulent les jambes et les mollets gênent le retour veineux. Alors choisissez des vêtements amples. Évitez les talons hauts également (2 cm est la hauteur idéale). Chaque pas active la pompe veineuse, profitez-en ! Les chaussettes et bas de contention sont recommandés. Ils font d'ailleurs partie intégrante du traitement de l'insuffisance veineuse. Ils empêchent la dilatation de la veine et améliorent le retour veineux. Attention au bas qui comprime trop fort ou qui fait garrot. Un bon bas de contention serre au niveau du pied puis se relâche progressivement en remontant le long de la jambe. En position assise, ne croisez pas les jambes.Si vous devez rester assise, mobilisez régulièrement vos jambes en faisant de petits mouvements, des rotations des chevilles et si possible utilisez un repose-pieds.Dès que possible, surélevez les jambes, et même la nuit. Évitez la chaleur. Sinon, appliquez une serviette humide et froide sur vos jambes ou passez un jet d'eau fraîche sur vos jambes. Évitez les bains chauds. Terminez votre douche par un jet d'eau fraîche depuis les pieds vers le haut des jambes. Enfin, n'hésitez pas àmasser vos jambes, toujours du bas vers le haut. Si ces conseils ne suffisent pas àvous soulager, consultez votre médecin ou un phlébologue pour trouver un traitement efficace.
Information '' HANDICAPZERO'' que nous remercions particulièrement Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Source : « Fini les jambes lourdes ! » Michel Cymes, Guide France Info, Editions Jacob Duvernet.
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE ''que nous remercions
AVC : une nouvelle technique pour sauver en urgence
Mise en ligne : 21 août 2009
Une nouvelle technique combinant deux traitements serait efficace pour répondre en urgence aux accidents vasculaires cérébraux (AVC). Elle consisterait en une injection intra-veineuse, au pli du coude, d’une dose d’alteplase, moins de trois
heures après les premiers symptômes. Puis il s’agirait de déposer le même médicament directement au contact du caillot qui bouche l’artère, en y passant un micro-cathéter.
D’après les chercheurs, cela permettrait de déboucher l’artère dans 60 à 70% des cas mais la technique prend du temps.
Avec le traitement combiné, le chiffre des guérisons peut monter à 93% si on débouche l’artère moins de 3h30 après son occlusion. Au-delà, toute demi-heure perdue c’est 20% de guérison en moins.
L’AVC, provoqué dans 80% des cas par un caillot sanguin bloqué à l’intérieur du cerveau, est la troisième cause de mortalité en France.
P.S. Etude "Recanalise", publiée par The Lancet Neurology dans son édition de septembre, à lire en anglais sur le site http://www.thelancet.com
AVC : une nouvelle technique pour sauver en urgence
Mise en ligne : 21 août 2009
Une nouvelle technique combinant deux traitements serait efficace pour répondre en urgence aux accidents vasculaires cérébraux (AVC). Elle consisterait en une injection intra-veineuse, au pli du coude, d’une dose d’alteplase, moins de trois
heures après les premiers symptômes. Puis il s’agirait de déposer le même médicament directement au contact du caillot qui bouche l’artère, en y passant un micro-cathéter.
D’après les chercheurs, cela permettrait de déboucher l’artère dans 60 à 70% des cas mais la technique prend du temps.
Avec le traitement combiné, le chiffre des guérisons peut monter à 93% si on débouche l’artère moins de 3h30 après son occlusion. Au-delà, toute demi-heure perdue c’est 20% de guérison en moins.
L’AVC, provoqué dans 80% des cas par un caillot sanguin bloqué à l’intérieur du cerveau, est la troisième cause de mortalité en France.
P.S. Etude "Recanalise", publiée par The Lancet Neurology dans son édition de septembre, à lire en anglais sur le site http://www.thelancet.com
Re: LA SANTE
Conseils pour mieux vivre une incontinence urinaire
En attendant de trouver une solution adaptée ou une aide vraiment performante, vous pouvez mettre en pratique certains conseils pour améliorer votre qualité de vie, atténuer les désagréments de l'incontinence urinaire et empêcher l'aggravation.
Particulièrement désagréable et handicapante, l'incontinence urinaire est un trouble très fréquent qui incommode particulièrement les femmes et les personnes âgées, mais parfois aussi les jeunes adultes. Les solutions existent. Il est impératif d'en parler àson médecin afin de décider d'un traitement efficace. Certains conseils d'hygiène de vie permettent aussi d'atténuer l'incontinence, sinon d'empêcher son aggravation. Tout excès pondéral risque de peser inutilement sur votre vessie et de fatiguer les muscles qui l'entourent. La pratique d'exercices de contraction des muscles du plancher pelvien est très efficace tant pour prévenir l'apparition d'une incontinence que pour limiter l'aggravation de celle-ci. Les infections peuvent provoquer des inflammations de la vessie accentuant les envies urgentes. Quant àla constipation, elle augmente tout simplement la pression sur la vessie. Il est impératif de boire suffisamment car plus les urines sont concentrées, plus elles irritent la vessie. En revanche, ne buvez pas de grande quantité àla fois.Évitez également de trop boire dans certaines circonstances : promenades, déplacements, transports?Si vous souffrez d'incontinence nocturne, réduisez vos consommations liquides le soir. Elles sont nombreuses, àcommencer par l'alcool, les boissons contenant de la caféine (café, thé, cola) et les jus d'agrumes (oranges, pamplemousses?). Attention, de nombreux médicaments sont aussi irritants pour la vessie : antihypertenseurs, antidépresseurs, diurétiques, somnifères, antidouleurs?Certains aliments enfin irritent la vessie, comme le chocolat, les tomates et les épices.
Avec nos remerciements à Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Source : Nouvelle médecine, Centre Duke, Editions Robert Laffont.
En attendant de trouver une solution adaptée ou une aide vraiment performante, vous pouvez mettre en pratique certains conseils pour améliorer votre qualité de vie, atténuer les désagréments de l'incontinence urinaire et empêcher l'aggravation.
Particulièrement désagréable et handicapante, l'incontinence urinaire est un trouble très fréquent qui incommode particulièrement les femmes et les personnes âgées, mais parfois aussi les jeunes adultes. Les solutions existent. Il est impératif d'en parler àson médecin afin de décider d'un traitement efficace. Certains conseils d'hygiène de vie permettent aussi d'atténuer l'incontinence, sinon d'empêcher son aggravation. Tout excès pondéral risque de peser inutilement sur votre vessie et de fatiguer les muscles qui l'entourent. La pratique d'exercices de contraction des muscles du plancher pelvien est très efficace tant pour prévenir l'apparition d'une incontinence que pour limiter l'aggravation de celle-ci. Les infections peuvent provoquer des inflammations de la vessie accentuant les envies urgentes. Quant àla constipation, elle augmente tout simplement la pression sur la vessie. Il est impératif de boire suffisamment car plus les urines sont concentrées, plus elles irritent la vessie. En revanche, ne buvez pas de grande quantité àla fois.Évitez également de trop boire dans certaines circonstances : promenades, déplacements, transports?Si vous souffrez d'incontinence nocturne, réduisez vos consommations liquides le soir. Elles sont nombreuses, àcommencer par l'alcool, les boissons contenant de la caféine (café, thé, cola) et les jus d'agrumes (oranges, pamplemousses?). Attention, de nombreux médicaments sont aussi irritants pour la vessie : antihypertenseurs, antidépresseurs, diurétiques, somnifères, antidouleurs?Certains aliments enfin irritent la vessie, comme le chocolat, les tomates et les épices.
Avec nos remerciements à Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Source : Nouvelle médecine, Centre Duke, Editions Robert Laffont.
Re: LA SANTE
Uniquement pour votre information
maigrir plus vite, mangez lentement !
Quand on mange lentement, on mange moins. On pourrait maigrir sans s'astreindre àaucun régime hypocalorique, uniquement en mangeant lentement.
Il suffit de laisser bien fonctionner le centre de satiété qui se trouve dans notre cerveau.
Nombreuses sont les études qui montrent que lorsque l'on mange vite, on absorbe plus de calories que si l'on mange lentement.La satiété est commandée par un centre situé dans l'hypothalamus. Il reçoit différentes informations qui conduisent peu àpeu au rassasiement. Mais pour que cela fonctionne, il faut du temps : 20 minutes au minimum.Lorsque l'on mange vite, que l'on avale tout rond, sans prendre le temps de bien mâcher, la satiété n'a pas le temps de s'installer. On sort de table sans se sentir vraiment bien rassasié et l'on éprouve le besoin de manger de nouveau plus tard, d'où des grignotages qui apportent des calories superflus. De plus, on se ressert en attendant que les autres aient terminé leur assiette : d'où aussi des calories en plus.Bien mâcher est important pour plusieurs raisons. Les aliments humidifiés par la salive occupent une place plus grande dans l'estomac. Ce qui le distend et modère l'appétit. Les enzymes contenues dans la salive commencent àdigérer l'amidon des céréales : du glucose est plus vite délivré, ce qui augmente la glycémie et favorise la satiété. Les aliments bien mâchés sont mieux imprégnés des sucs gastriques qui commencent àdissocier les protéines en acides aminés. Le bol alimentaire passe ensuite, par giclées, dans l'intestin. Les acides aminés rejoignent alors plus vite la circulation sanguine : ils sont aussi un facteur de satiété. En même temps, un certain nombre d'hormones régulatrices de l'appétit sont secrétées par la paroi intestinale et rejoignent le centre de satiété. Le goût et l'odeur des aliments jouent aussi leur rôle dans la satiété. Lorsque l'on mange lentement, on s'aperçoit que ce qui est dans son assiette devient de moins en moins bon et enlève l'envie de continuer àmanger. Ce signal de satiété envoyé par le cerveau n'existe pas quand on mange vite. Les récepteurs nerveux qui se trouvent dans la bouche sont sensibles àla pression des aliments mâchés. Ils envoient aussi des signaux au centre de satiété.Notre alimentation est de plus en plus molle et c'est pourquoi certains n'hésitent pas àfaire la relation entre cette mollesse et l'augmentation de l'obésité.On ne mâche pas les produits mous, le centre de satiété n'a donc pas le temps de faire son travail. Quand ils sont présents, il faut prendre le temps de les manger lentement, en les gardant suffisamment longtemps dans la bouche.Le cerveau n'a pas le temps de comptabiliser les glucides et les calories contenues dans les jus de fruits et les boissons sucrées car ils passent tout droit. Ceux-ci n'induisent pas la satiété. C'est pourquoi au petit déjeuner, mieux vaut oublier le sacro-saint jus d'orange et manger un fruit, orange ou autre selon les saisons. C'est possible lorsque l'on est vorace. En rééduquant son comportement alimentaire, en s'obligeant àretrouver la bonne habitude de manger lentement, en écoutant les signaux de satiété, on mange forcément moins. On diminue ainsi son apport énergétique sans autre effort. On peut s'y obliger en posant ses couverts entre chaque bouchée. En prenant aussi le temps d'apprécier les saveurs et les parfums du plat que l'on déguste et que l'on n'avale pas ! Pour s'en convaincre, il suffit de faire l'expérience avec un morceau de chocolat. Si on le laisse fondre lentement dans la bouche, - et cela peut prendre plusieurs minutes - on se sentira bien plus apaisé que si on l'a vite croqué et avalé.
Remerciements à ''HANDICAPZERO'' particulièrement à Madame Paule Neyrat, Diététicienne
maigrir plus vite, mangez lentement !
Quand on mange lentement, on mange moins. On pourrait maigrir sans s'astreindre àaucun régime hypocalorique, uniquement en mangeant lentement.
Il suffit de laisser bien fonctionner le centre de satiété qui se trouve dans notre cerveau.
Nombreuses sont les études qui montrent que lorsque l'on mange vite, on absorbe plus de calories que si l'on mange lentement.La satiété est commandée par un centre situé dans l'hypothalamus. Il reçoit différentes informations qui conduisent peu àpeu au rassasiement. Mais pour que cela fonctionne, il faut du temps : 20 minutes au minimum.Lorsque l'on mange vite, que l'on avale tout rond, sans prendre le temps de bien mâcher, la satiété n'a pas le temps de s'installer. On sort de table sans se sentir vraiment bien rassasié et l'on éprouve le besoin de manger de nouveau plus tard, d'où des grignotages qui apportent des calories superflus. De plus, on se ressert en attendant que les autres aient terminé leur assiette : d'où aussi des calories en plus.Bien mâcher est important pour plusieurs raisons. Les aliments humidifiés par la salive occupent une place plus grande dans l'estomac. Ce qui le distend et modère l'appétit. Les enzymes contenues dans la salive commencent àdigérer l'amidon des céréales : du glucose est plus vite délivré, ce qui augmente la glycémie et favorise la satiété. Les aliments bien mâchés sont mieux imprégnés des sucs gastriques qui commencent àdissocier les protéines en acides aminés. Le bol alimentaire passe ensuite, par giclées, dans l'intestin. Les acides aminés rejoignent alors plus vite la circulation sanguine : ils sont aussi un facteur de satiété. En même temps, un certain nombre d'hormones régulatrices de l'appétit sont secrétées par la paroi intestinale et rejoignent le centre de satiété. Le goût et l'odeur des aliments jouent aussi leur rôle dans la satiété. Lorsque l'on mange lentement, on s'aperçoit que ce qui est dans son assiette devient de moins en moins bon et enlève l'envie de continuer àmanger. Ce signal de satiété envoyé par le cerveau n'existe pas quand on mange vite. Les récepteurs nerveux qui se trouvent dans la bouche sont sensibles àla pression des aliments mâchés. Ils envoient aussi des signaux au centre de satiété.Notre alimentation est de plus en plus molle et c'est pourquoi certains n'hésitent pas àfaire la relation entre cette mollesse et l'augmentation de l'obésité.On ne mâche pas les produits mous, le centre de satiété n'a donc pas le temps de faire son travail. Quand ils sont présents, il faut prendre le temps de les manger lentement, en les gardant suffisamment longtemps dans la bouche.Le cerveau n'a pas le temps de comptabiliser les glucides et les calories contenues dans les jus de fruits et les boissons sucrées car ils passent tout droit. Ceux-ci n'induisent pas la satiété. C'est pourquoi au petit déjeuner, mieux vaut oublier le sacro-saint jus d'orange et manger un fruit, orange ou autre selon les saisons. C'est possible lorsque l'on est vorace. En rééduquant son comportement alimentaire, en s'obligeant àretrouver la bonne habitude de manger lentement, en écoutant les signaux de satiété, on mange forcément moins. On diminue ainsi son apport énergétique sans autre effort. On peut s'y obliger en posant ses couverts entre chaque bouchée. En prenant aussi le temps d'apprécier les saveurs et les parfums du plat que l'on déguste et que l'on n'avale pas ! Pour s'en convaincre, il suffit de faire l'expérience avec un morceau de chocolat. Si on le laisse fondre lentement dans la bouche, - et cela peut prendre plusieurs minutes - on se sentira bien plus apaisé que si on l'a vite croqué et avalé.
Remerciements à ''HANDICAPZERO'' particulièrement à Madame Paule Neyrat, Diététicienne
Re: LA SANTE
Journée de la prostate le 15 septembre
Des urologues répondront aux personnes qui souhaitent s'informer
Tél : 0 820 366 110 ( 0,15€ minute )
http://www.urofrance.org
Des urologues répondront aux personnes qui souhaitent s'informer
Tél : 0 820 366 110 ( 0,15€ minute )
http://www.urofrance.org
Re: LA SANTE
Nettoyer, décaper, détartrer ...sans nuire à sa santé
Comment entretenir sa maison sans utiliser de produits ménagers qui àla longue se révèlent toxiques et polluants ? Voici une liste des produits naturels àutiliser pour nettoyer, dégraisser, désinfecter, faire briller, détartrer, voire même pour décaper votre four !
Désinfectants, détartrants, décapants, désodorisants, produits vaisselles, etc., sont autant de produits ménagers susceptibles d'être toxiques ou polluants. En effet, nombre d'entre eux contiennent de la soude caustique, du formol, des phénols, des solvants chlorés et autres substances non respectueuses de l'environnement. N'en achetez plus ! A la place, équipez-vous de produits naturels. Le vinaigre blancPour détartrer, faire briller les carrelages et nettoyer les vitres. Le jus de citronPour nettoyer et détartrer les robinets. Le savon noirPour nettoyer les carrelages (non vitrifiés). La terre de SommièresPour éliminer les taches grasses àsec. Le bicarbonate de soudePour récurer et décaper le four. Les cristaux de soude (carbonate de soude)Pour nettoyer en général. Dans l'eau de vaisselle, ils permettent de limiter la consommation de liquide vaisselle. L'alcool àbrûlerPour nettoyer les miroirs, les vitres, le téléphone, le clavier d'ordinateur. A diluer légèrement. L'huile de lin, la cire d'abeille et la cire végétale sans additifPour nettoyer et faire briller le bois. Les huiles essentiellesPour assainir l'atmosphère (àla place des aérosols).
Remerciements à '' HANDICAPZERO '' particulièrement à Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Source : Guide écologique de la famille, Editions Sang de la terre.
Comment entretenir sa maison sans utiliser de produits ménagers qui àla longue se révèlent toxiques et polluants ? Voici une liste des produits naturels àutiliser pour nettoyer, dégraisser, désinfecter, faire briller, détartrer, voire même pour décaper votre four !
Désinfectants, détartrants, décapants, désodorisants, produits vaisselles, etc., sont autant de produits ménagers susceptibles d'être toxiques ou polluants. En effet, nombre d'entre eux contiennent de la soude caustique, du formol, des phénols, des solvants chlorés et autres substances non respectueuses de l'environnement. N'en achetez plus ! A la place, équipez-vous de produits naturels. Le vinaigre blancPour détartrer, faire briller les carrelages et nettoyer les vitres. Le jus de citronPour nettoyer et détartrer les robinets. Le savon noirPour nettoyer les carrelages (non vitrifiés). La terre de SommièresPour éliminer les taches grasses àsec. Le bicarbonate de soudePour récurer et décaper le four. Les cristaux de soude (carbonate de soude)Pour nettoyer en général. Dans l'eau de vaisselle, ils permettent de limiter la consommation de liquide vaisselle. L'alcool àbrûlerPour nettoyer les miroirs, les vitres, le téléphone, le clavier d'ordinateur. A diluer légèrement. L'huile de lin, la cire d'abeille et la cire végétale sans additifPour nettoyer et faire briller le bois. Les huiles essentiellesPour assainir l'atmosphère (àla place des aérosols).
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- christine84
- Messages : 1144
- Enregistré le : 06 mars 2009, 08:43
Re: LA SANTE
merci Briand
par contre il manque l'huile de coude





Dans la vie on a d'immenses joies mais aussi d'innoubliables chagrin,de Marcel Pagnol
Re: LA SANTE
Que manger pour prévenir la grippe et le rhume ?
Si notre façon de manger pouvait nous éviter d'attraper la grippe et le rhume cet hiver, ce serait idéal. Mais est-ce vraiment possible et quels sont alors les aliments qu'il convient de privilégier dans nos menus ?
Certains aliments contribuent àaider notre organisme àse défendre et àrenforcer notre système immunitaire. Quels sont ces aliments àprivilégier tout au long de l'automne et de l'hiver ? Les fruits et les légumes représentent une source importante d'antioxydants qui aident l'organisme àse débarrasser des radicaux libres et donc àse défendre contre les virus. Mettez-en àchaque menu pour arriver, au moins, àl'équivalent de 5 fruits et légumes par jour. Si on considère que chaque légume ou fruit de couleur différente amène des vitamines différentes, pensez aussi àvarier les fruits et légumes de couleurs différentes !Consommés régulièrement, ces aliments aromatiques semblent réduire les infections. En prime, ils pourraient aider àprévenir certains cancers ! Riches en oméga-3, les fruits de mer ont aussi l'avantage d'apporter du zinc, un antioxydant qui stimule le système immunitaire. Les autres sources de zinc sont le foie de veau, le poulet, le germe de blé, les légumineuses, etc. Les acides gras essentiels, dont les oméga-3 sont utiles. Ils améliorent le fonctionnement immunitaire. Remplacez votre huile de tournesol par de l'huile d'olive et de colza (àconsommer avec modération !). Parallèlement, mangez du poisson trois fois par semaine (et/ou des fruits de mer). Pensez également aux noix, aux amandes et autres graines, dont les graines de lin. Les ?ufs, les poissons et aussi les viandes apportent des protéines, molécules indispensables au système immunitaire car elles participent àla fabrication des anticorps. Attention toutefois aux excès et aux mauvais choix. Certaines viandes étant très grasses, privilégiez les viandes maigres comme la volaille par exemple. N'oubliez pas que les repas lourds et gras fatiguent inversement l'organisme, lequel résiste alors moins bien aux infections (charcuteries, plats en sauce, fritures, pâtisseries, fromages?). L'activité physique enfin est indispensable pour se maintenir en forme et donc pour résister aux attaques virales.Bien entendu, contre les virus de la grippe et du rhume, l'hygiène des mains est indispensable !
Avec nos remerciements à ''HANDICAPZEO'' particulièrement à Madame : Isabelle Eustache Journaliste
Si notre façon de manger pouvait nous éviter d'attraper la grippe et le rhume cet hiver, ce serait idéal. Mais est-ce vraiment possible et quels sont alors les aliments qu'il convient de privilégier dans nos menus ?
Certains aliments contribuent àaider notre organisme àse défendre et àrenforcer notre système immunitaire. Quels sont ces aliments àprivilégier tout au long de l'automne et de l'hiver ? Les fruits et les légumes représentent une source importante d'antioxydants qui aident l'organisme àse débarrasser des radicaux libres et donc àse défendre contre les virus. Mettez-en àchaque menu pour arriver, au moins, àl'équivalent de 5 fruits et légumes par jour. Si on considère que chaque légume ou fruit de couleur différente amène des vitamines différentes, pensez aussi àvarier les fruits et légumes de couleurs différentes !Consommés régulièrement, ces aliments aromatiques semblent réduire les infections. En prime, ils pourraient aider àprévenir certains cancers ! Riches en oméga-3, les fruits de mer ont aussi l'avantage d'apporter du zinc, un antioxydant qui stimule le système immunitaire. Les autres sources de zinc sont le foie de veau, le poulet, le germe de blé, les légumineuses, etc. Les acides gras essentiels, dont les oméga-3 sont utiles. Ils améliorent le fonctionnement immunitaire. Remplacez votre huile de tournesol par de l'huile d'olive et de colza (àconsommer avec modération !). Parallèlement, mangez du poisson trois fois par semaine (et/ou des fruits de mer). Pensez également aux noix, aux amandes et autres graines, dont les graines de lin. Les ?ufs, les poissons et aussi les viandes apportent des protéines, molécules indispensables au système immunitaire car elles participent àla fabrication des anticorps. Attention toutefois aux excès et aux mauvais choix. Certaines viandes étant très grasses, privilégiez les viandes maigres comme la volaille par exemple. N'oubliez pas que les repas lourds et gras fatiguent inversement l'organisme, lequel résiste alors moins bien aux infections (charcuteries, plats en sauce, fritures, pâtisseries, fromages?). L'activité physique enfin est indispensable pour se maintenir en forme et donc pour résister aux attaques virales.Bien entendu, contre les virus de la grippe et du rhume, l'hygiène des mains est indispensable !
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