LA SANTE
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Re: LA SANTE
Information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions
Agence France Presse
Bachelot demande une enquête sur le décès d'un patient ce week-end
PARIS (Agence .France.Presse.) - Le lundi 29 décembre 2009 à 14h10
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé lundi avoir demandé une enquête sur le décès d'un homme qui n'avait pas pu être conduit dans un service de réanimation adapté pendant plusieurs heures après un malaise cardiaque survenu samedi soir à Massy (Essonne).
Mme Bachelot "s'exprimera dans le courant de la journée, dès que les premiers éléments sur cette affaire lui auront été communiqués", a ajouté le ministère dans un communiqué.
Selon des sources concordantes, un homme, victime samedi soir d'un malaise cardiaque à Massy, n'a pu être accueilli pendant six heures, faute de place, dans un service de réanimation hospitalier et est décédé alors qu'il allait enfin y être admis.
Mme Bachelot souhaite "que toute la lumière soit faite sur les circonstances" du décès, demandant notamment "que soit reconstitué le parcours du patient depuis sa prise en charge par le Samu jusqu'à son décès". Elle "rendra publique les conclusions de cette enquête dès qu'elle sera fournie".
L'équipe du Samu qui a pris en charge ce patient vers minuit aurait cherché en vain pour lui auprès de 27 hôpitaux d'Ile-de-France une place dans un service de réanimation qui pourrait lui faire une coronarographie, a déclaré dimanche à l'A.F.P. un praticien du Samu de l'Essonne.
Une place ne se serait libérée que vers 6H00 dimanche à l'hôpital Lariboisière, à Paris, mais le patient est décédé au moment où il arrivait dans cet établissement, en provenance des urgences de l'hôpital de Longjumeau, selon cette même source.
Ces faits ont été révélés par le syndicat d'urgentistes Amuf qui met en cause les fermetures de lits de réanimation en cette période de fin d'année et plus largement le manque de moyens des urgences.
L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) affirme quant à elle que "dimanche à 16H00, comme la veille à la même heure, cinq places de réanimation étaient disponibles en Ile-de-France".
Mme Bachelot a "demandé un état des lieux précis du nombre de lits de réanimation disponibles en Ile-de-France cette nuit-là", a indiqué le ministère.
"Les malades ne prennent pas de vacances, il y a bien que les pouvoirs publics qui ne le savent pas", a réagi lundi sur France Inter le président de l'Amuf, Patrick Pelloux, dénonçant "des difficultés épouvantables" dans les services d'urgences qui seraient "sur-saturés".
"Les lits de réanimation sont chose rare", a souligné le Dr Pelloux, précisant que faute de "lits d'hospitalisation conventionnels" disponibles, les responsables des services de réanimation "ne peuvent pas faire sortir leurs malades" et libérer ainsi des lits de réanimation
Le jour de Noël, le président de l'Amuf s'en était déjà pris à Roselyne Bachelot dont il avait réclamé la démission, au lendemain de la mort d'un enfant dans un hôpital parisien à la suite d'une erreur de médicament.
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S'il y avait plus de personnels et docteurs !!! BRIAND
Agence France Presse
Bachelot demande une enquête sur le décès d'un patient ce week-end
PARIS (Agence .France.Presse.) - Le lundi 29 décembre 2009 à 14h10
La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé lundi avoir demandé une enquête sur le décès d'un homme qui n'avait pas pu être conduit dans un service de réanimation adapté pendant plusieurs heures après un malaise cardiaque survenu samedi soir à Massy (Essonne).
Mme Bachelot "s'exprimera dans le courant de la journée, dès que les premiers éléments sur cette affaire lui auront été communiqués", a ajouté le ministère dans un communiqué.
Selon des sources concordantes, un homme, victime samedi soir d'un malaise cardiaque à Massy, n'a pu être accueilli pendant six heures, faute de place, dans un service de réanimation hospitalier et est décédé alors qu'il allait enfin y être admis.
Mme Bachelot souhaite "que toute la lumière soit faite sur les circonstances" du décès, demandant notamment "que soit reconstitué le parcours du patient depuis sa prise en charge par le Samu jusqu'à son décès". Elle "rendra publique les conclusions de cette enquête dès qu'elle sera fournie".
L'équipe du Samu qui a pris en charge ce patient vers minuit aurait cherché en vain pour lui auprès de 27 hôpitaux d'Ile-de-France une place dans un service de réanimation qui pourrait lui faire une coronarographie, a déclaré dimanche à l'A.F.P. un praticien du Samu de l'Essonne.
Une place ne se serait libérée que vers 6H00 dimanche à l'hôpital Lariboisière, à Paris, mais le patient est décédé au moment où il arrivait dans cet établissement, en provenance des urgences de l'hôpital de Longjumeau, selon cette même source.
Ces faits ont été révélés par le syndicat d'urgentistes Amuf qui met en cause les fermetures de lits de réanimation en cette période de fin d'année et plus largement le manque de moyens des urgences.
L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) affirme quant à elle que "dimanche à 16H00, comme la veille à la même heure, cinq places de réanimation étaient disponibles en Ile-de-France".
Mme Bachelot a "demandé un état des lieux précis du nombre de lits de réanimation disponibles en Ile-de-France cette nuit-là", a indiqué le ministère.
"Les malades ne prennent pas de vacances, il y a bien que les pouvoirs publics qui ne le savent pas", a réagi lundi sur France Inter le président de l'Amuf, Patrick Pelloux, dénonçant "des difficultés épouvantables" dans les services d'urgences qui seraient "sur-saturés".
"Les lits de réanimation sont chose rare", a souligné le Dr Pelloux, précisant que faute de "lits d'hospitalisation conventionnels" disponibles, les responsables des services de réanimation "ne peuvent pas faire sortir leurs malades" et libérer ainsi des lits de réanimation
Le jour de Noël, le président de l'Amuf s'en était déjà pris à Roselyne Bachelot dont il avait réclamé la démission, au lendemain de la mort d'un enfant dans un hôpital parisien à la suite d'une erreur de médicament.
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S'il y avait plus de personnels et docteurs !!! BRIAND
Re: LA SANTE
Information reçue d'un ami.
Il y a urgence pour les Hôpitaux
Le 28 décembre, un homme, victime d'un malaise cardiaque, est décédé après avoir attendu six heures des soins appropriés. Aucun des 27 centres hospitaliers d'Ile-de-France contactés par le Samu n'avait pu lui faire les examens que son état nécessitait.
Cela fait longtemps que l'Association des médecins urgentistes affirme que la sécurité des patients n'est plus assurée dans les hôpitaux, et encore moins durant les périodes de congés. La ministre de la Santé Madame Bachelot a beau nier ce problème, les hôpitaux ferment de plus en plus de lits, faute de personnel et de moyens financiers.
Voilà où mène la politique de restrictions budgétaires dans les services publics
Il y a urgence pour les Hôpitaux
Le 28 décembre, un homme, victime d'un malaise cardiaque, est décédé après avoir attendu six heures des soins appropriés. Aucun des 27 centres hospitaliers d'Ile-de-France contactés par le Samu n'avait pu lui faire les examens que son état nécessitait.
Cela fait longtemps que l'Association des médecins urgentistes affirme que la sécurité des patients n'est plus assurée dans les hôpitaux, et encore moins durant les périodes de congés. La ministre de la Santé Madame Bachelot a beau nier ce problème, les hôpitaux ferment de plus en plus de lits, faute de personnel et de moyens financiers.
Voilà où mène la politique de restrictions budgétaires dans les services publics
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Après le décès d’un patient faute de place, Roselyne Bachelot se fait cueillir sur « les lits disponibles » dans les hôpitaux
Mise en ligne : 31 décembre 2008
Après la mort d’un patient faute de place en hôpital et malgré l’intervention du Samu, la ministre de la Santé a déclaré qu’en fait 11 lits étaient disponibles en région parisienne à ce moment : « il y avait une offre de soins qui n’a pas rencontré la demande ».
Une façon de renvoyer la responsabilité sur l’hôpital public et sur les urgentistes qui auraient été incapables de trouver et fournir les soins nécessaires à la survie de ce patient.
Les choses semblent plus claires deux jours après l’incident. Le Monde (31/12/2008) montre que de 1990 à 2008, le nombre de passage au urgences est passé de 7 à 15 millions par an. Sur une période comparable (1981-2006), un lit hospitalier sur quatre a été supprimé dans le public, un sur cinq dans le privé.
Le quotidien publie également les témoignages de quatre professionnels de santé qui tous soulignent les problèmes budgétaires des hôpitaux dans lesquels ils travaillent. « J’ai toujours connu des budgets inférieurs à ce qui étaient nécessaire » raconte une directrice d’établissement ; « cela fait des années que la pénurie de personnel est organisée » dénonce une infirmière, et le professeur Nizard rappelle que « faute de place, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris refuse chaque année 5 000 à 6 000 victimes de traumatismes qui sont transférées vers le privé ».
Le site d’information Rue89 pose la question : « Les 11 lits brandis par Bachelot étaient-ils vraiment libres ? ». Rue89 constate ainsi que « l’hôpital de Mantes affirme que son service ne comptait "aucune place jusqu’au lendemain soir", malgré les affirmations de la ministre ».
A Provins, hôpital cité par les autorités comme ayant une place libre, Rue89 affirme que « le service de réanimation ne peut pas pratiquer de coronarographie. La place disponible ce soir-là n’était donc pas susceptible de sauver le patient ».
L’Amuf, le syndicat des urgentistes dénonce pour sa part « une irresponsabilité et une incompétence totale de notre ministre dans la gestion de cette crise [...] et un report lâche de sa responsabilité sur les urgentistes ».
L’Amuf rappelle qu’elle avait alerté sur les risques que faisaient courir le manque de personnel et de moyens accordés aux hôpitaux, notamment aux urgences. C’est d’ailleurs aussi pour obtenir ces moyens que les urgentistes sont en grève – tout en assumant leur poste – depuis des semaines.
P.S. http://www.lemonde.fr
http://www.rue89.com
http://www.amuf.fr
.....................................................................................................................
Ceci à l'attention des personnes qui racontent... que j 'écoute tout et que crois tout.
Oui ! je mets mon nez partout!
Vous avez ici encore quatre sources d' informations.
BRIAND
Après le décès d’un patient faute de place, Roselyne Bachelot se fait cueillir sur « les lits disponibles » dans les hôpitaux
Mise en ligne : 31 décembre 2008
Après la mort d’un patient faute de place en hôpital et malgré l’intervention du Samu, la ministre de la Santé a déclaré qu’en fait 11 lits étaient disponibles en région parisienne à ce moment : « il y avait une offre de soins qui n’a pas rencontré la demande ».
Une façon de renvoyer la responsabilité sur l’hôpital public et sur les urgentistes qui auraient été incapables de trouver et fournir les soins nécessaires à la survie de ce patient.
Les choses semblent plus claires deux jours après l’incident. Le Monde (31/12/2008) montre que de 1990 à 2008, le nombre de passage au urgences est passé de 7 à 15 millions par an. Sur une période comparable (1981-2006), un lit hospitalier sur quatre a été supprimé dans le public, un sur cinq dans le privé.
Le quotidien publie également les témoignages de quatre professionnels de santé qui tous soulignent les problèmes budgétaires des hôpitaux dans lesquels ils travaillent. « J’ai toujours connu des budgets inférieurs à ce qui étaient nécessaire » raconte une directrice d’établissement ; « cela fait des années que la pénurie de personnel est organisée » dénonce une infirmière, et le professeur Nizard rappelle que « faute de place, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris refuse chaque année 5 000 à 6 000 victimes de traumatismes qui sont transférées vers le privé ».
Le site d’information Rue89 pose la question : « Les 11 lits brandis par Bachelot étaient-ils vraiment libres ? ». Rue89 constate ainsi que « l’hôpital de Mantes affirme que son service ne comptait "aucune place jusqu’au lendemain soir", malgré les affirmations de la ministre ».
A Provins, hôpital cité par les autorités comme ayant une place libre, Rue89 affirme que « le service de réanimation ne peut pas pratiquer de coronarographie. La place disponible ce soir-là n’était donc pas susceptible de sauver le patient ».
L’Amuf, le syndicat des urgentistes dénonce pour sa part « une irresponsabilité et une incompétence totale de notre ministre dans la gestion de cette crise [...] et un report lâche de sa responsabilité sur les urgentistes ».
L’Amuf rappelle qu’elle avait alerté sur les risques que faisaient courir le manque de personnel et de moyens accordés aux hôpitaux, notamment aux urgences. C’est d’ailleurs aussi pour obtenir ces moyens que les urgentistes sont en grève – tout en assumant leur poste – depuis des semaines.
P.S. http://www.lemonde.fr
http://www.rue89.com
http://www.amuf.fr
.....................................................................................................................
Ceci à l'attention des personnes qui racontent... que j 'écoute tout et que crois tout.
Oui ! je mets mon nez partout!
Vous avez ici encore quatre sources d' informations.
BRIAND
Re: LA SANTE
Merci '' VIVA PRESSE '' pour vos informations
Santé
Les tarifs des complémentaires santé à la hausse en 2009
Le président de la Mutualité française, Jean-Pierre Davant a confirmé hier, 30 décembre, que les tarifs des mutuelles santé augmenterait en 2009. Une conséquence du prélèvement de 1 milliard prévu par l’instauration, dans la loi de financement de la Sécu 2009 d’une taxe supplémentaire pérenne sur le chiffre d’affaires des complémentaires santé.
L’augmentation des cotisations devrait être de 3 à 7 % pour les contrats individuels et de l’ordre de 5 % pour les contrats collectifs. Une hausse qui touchera également les assurances.
[31.12.08]
Santé
Les tarifs des complémentaires santé à la hausse en 2009
Le président de la Mutualité française, Jean-Pierre Davant a confirmé hier, 30 décembre, que les tarifs des mutuelles santé augmenterait en 2009. Une conséquence du prélèvement de 1 milliard prévu par l’instauration, dans la loi de financement de la Sécu 2009 d’une taxe supplémentaire pérenne sur le chiffre d’affaires des complémentaires santé.
L’augmentation des cotisations devrait être de 3 à 7 % pour les contrats individuels et de l’ordre de 5 % pour les contrats collectifs. Une hausse qui touchera également les assurances.
[31.12.08]
Re: LA SANTE
santé : actualités et services
Le grand froid peut-il aggraver certaines maladies ?
En période de grand froid, notre organisme se mobilise pour lutter contre la baisse de température. Les réactions qu'il met en oeuvre sont susceptibles d'interférer avec certaines maladies, notamment cardiaques ou respiratoires. Il en est de même pour certains médicaments.
Lorsqu'il fait très froid, le corps augmente par tous les moyens sa production de chaleur pour maintenir une température corporelle adéquate. En plus des frissons (reflet de l'activité musculaire), et d'une augmentation générale du métabolisme, on observe une vasoconstriction cutanée (diminution de la circulation du sang àla surface de la peau) et une augmentation du rythme cardiaque. C'est ainsi qu'une période de grand froid est susceptible d'aggraver certaines maladies préexistantes, notamment cardiovasculaires et respiratoires, parallèlement au risque d'accidents aigus comme l'hypothermie et les engelures.De la même façon, la prise de certains médicaments par grand froid peut provoquer ou aggraver des symptômes liés au froid. Par exemple, certains médicaments qui agissent sur le système nerveux central peuvent empêcher celui-ci de déclencher les frissons ou la diminution de la circulation sanguine àla surface de la peau. Autrement dit, certains médicaments peuvent contrer l'organisme dans sa réaction contre le froid. C'est le cas par exemple de certains traitements contre l'hypertension ou l'angine de poitrine, mais aussi des antiépileptiques, neuroleptiques et des médicaments qui agissent sur la vigilance. Attention, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), précise que ' dans la plupart des cas, un médicament ne représente pas, àlui tout seul, un risque, surtout s'il est bien utilisé. D'autres facteurs de risque, comme la maladie ou le grand âge, doivent être pris en considération '. Les personnes âgées et àl'opposé les très jeunes enfants (0 à2 ans). Les personnes atteintes d'une maladie, en particulier cardiaque ou respiratoire, dont l'asthme, d'une hypothyroïdie, d'une maladie neuropsychiatrique, d'une infection respiratoire. Les sujets atteints de séquelles d'un accident vasculaire cérébral, d'un traumatisme cérébral, d'une paralysie majeure?Les personnes malnutries.Les travailleurs en plein air.Au moindre doute, il convient de demander l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien et de lire la notice de vos médicaments. Dans tous les cas, ne stoppez pas votre traitement de vous-même et ne modifiez pas les doses, car vous risqueriez d'éventuelles complications liées àl'arrêt brutal du traitement ou àla maladie qui n'est plus traitée. Vous devez poursuivre votre traitement en respectant les doses et les heures de prise de vos médicaments comme votre médecin vous l'a indiqué. En revanche, n'hésitez pas àlui demander conseil. En période de grand froid, limitez les efforts physiques.Evitez les efforts brusques et les passages rapides du chaud au froid.Pour sortir, habillez-vous chaudement et couvrez bien vos extrémités (tête et mains). Couvrez également votre nez et votre bouche pour respirer moins d'air froid.Contrairement aux idées reçues, la consommation d'alcool ne réchauffe pas. Inversement, l'alcool aggrave l'hypothermie. Il engourdit et fait disparaître les signaux d'alerte du froid.Ne surchauffez pas votre logement mais chauffez normalement en vous assurant de sa bonne ventilation pour éviter tout risque d'intoxication au monoxyde de carbone.Si vous rencontrez une personne sans abri ou en difficulté dans la rue, vous pouvez composer le 115.
Information de Madame Isabelle Eustache journaliste
Source : Communiqué de presse de l'Institut national de prévention et l'éducation pour la santé (Inpes), janvier 2009 ; Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dossier grand froid
Merci '' HANDICAPZERO '' pour cette information
Le grand froid peut-il aggraver certaines maladies ?
En période de grand froid, notre organisme se mobilise pour lutter contre la baisse de température. Les réactions qu'il met en oeuvre sont susceptibles d'interférer avec certaines maladies, notamment cardiaques ou respiratoires. Il en est de même pour certains médicaments.
Lorsqu'il fait très froid, le corps augmente par tous les moyens sa production de chaleur pour maintenir une température corporelle adéquate. En plus des frissons (reflet de l'activité musculaire), et d'une augmentation générale du métabolisme, on observe une vasoconstriction cutanée (diminution de la circulation du sang àla surface de la peau) et une augmentation du rythme cardiaque. C'est ainsi qu'une période de grand froid est susceptible d'aggraver certaines maladies préexistantes, notamment cardiovasculaires et respiratoires, parallèlement au risque d'accidents aigus comme l'hypothermie et les engelures.De la même façon, la prise de certains médicaments par grand froid peut provoquer ou aggraver des symptômes liés au froid. Par exemple, certains médicaments qui agissent sur le système nerveux central peuvent empêcher celui-ci de déclencher les frissons ou la diminution de la circulation sanguine àla surface de la peau. Autrement dit, certains médicaments peuvent contrer l'organisme dans sa réaction contre le froid. C'est le cas par exemple de certains traitements contre l'hypertension ou l'angine de poitrine, mais aussi des antiépileptiques, neuroleptiques et des médicaments qui agissent sur la vigilance. Attention, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), précise que ' dans la plupart des cas, un médicament ne représente pas, àlui tout seul, un risque, surtout s'il est bien utilisé. D'autres facteurs de risque, comme la maladie ou le grand âge, doivent être pris en considération '. Les personnes âgées et àl'opposé les très jeunes enfants (0 à2 ans). Les personnes atteintes d'une maladie, en particulier cardiaque ou respiratoire, dont l'asthme, d'une hypothyroïdie, d'une maladie neuropsychiatrique, d'une infection respiratoire. Les sujets atteints de séquelles d'un accident vasculaire cérébral, d'un traumatisme cérébral, d'une paralysie majeure?Les personnes malnutries.Les travailleurs en plein air.Au moindre doute, il convient de demander l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien et de lire la notice de vos médicaments. Dans tous les cas, ne stoppez pas votre traitement de vous-même et ne modifiez pas les doses, car vous risqueriez d'éventuelles complications liées àl'arrêt brutal du traitement ou àla maladie qui n'est plus traitée. Vous devez poursuivre votre traitement en respectant les doses et les heures de prise de vos médicaments comme votre médecin vous l'a indiqué. En revanche, n'hésitez pas àlui demander conseil. En période de grand froid, limitez les efforts physiques.Evitez les efforts brusques et les passages rapides du chaud au froid.Pour sortir, habillez-vous chaudement et couvrez bien vos extrémités (tête et mains). Couvrez également votre nez et votre bouche pour respirer moins d'air froid.Contrairement aux idées reçues, la consommation d'alcool ne réchauffe pas. Inversement, l'alcool aggrave l'hypothermie. Il engourdit et fait disparaître les signaux d'alerte du froid.Ne surchauffez pas votre logement mais chauffez normalement en vous assurant de sa bonne ventilation pour éviter tout risque d'intoxication au monoxyde de carbone.Si vous rencontrez une personne sans abri ou en difficulté dans la rue, vous pouvez composer le 115.
Information de Madame Isabelle Eustache journaliste
Source : Communiqué de presse de l'Institut national de prévention et l'éducation pour la santé (Inpes), janvier 2009 ; Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), dossier grand froid
Merci '' HANDICAPZERO '' pour cette information
Re: LA SANTE
santé : actualités et services
Césarienne, une mode au mépris du danger
La césarienne, une nouvelle mode ? De plus en plus de femmes délaissent l'accouchement classique, et pas seulement pour des raisons médicales !
Les médias anglo-saxons l'ont baptisé le too posh to push. Traduisez ' trop classe pour pousser '. Un nouveau phénomène qui sévit depuis déjàquelques années. Sa particularité ? Choisir la césarienne plutôt que l'accouchement par voie basse. Claudia Schiffer, Victoria Beckham, Madonna? la liste de celles qui auraient déjàdit oui àcette ' tendance ' est longue? très longue.Aujourd'hui, au Brésil, 80 % des naissances en clinique privée se feraient ainsi, selon les sources de http://www.cesarienne.net. Et bien sûr, si on ne peut pas attribuer àcette mode la responsabilité entière des accouchements par césarienne, la plupart des médecins s'accordent àdire qu'elle y contribue considérablement.D'après une étude réalisée par la DREES* et intitulée ' La situation périnatale en France en 2003 ', le taux de césariennes au sein de l'Hexagone est passé de 17,5 % à20,2 % entre 1998 et 2003. Mais plus précisément, le pourcentage de césariennes avant travail (1 fois sur 2 librement choisie par la mère) est passé de 6 % en 1981 à9,2 % en 1998 pour atteindre 12,5 % des accouchements en 2003.Généralement, cette méthode est réservée aux accouchements difficiles, s'accorde toutefois ànuancer l'étude : présentation du bébé par le siège, pathologie de la mère, grossesses multiples, bassin trop étroit. ' Elle peut également résulter d'une angoisse psychique particulière suite àun viol, àdu vaginisme ou àune forte angoisse du sexuel. ' Reste que ces diverses raisons ne concernent qu'une partie des femmes et que certaines réclament l'opération miracle dans le seul but de mieux s'organiser, de se préserver ou de ne pas avoir mal. Il y a celles qui souhaitent insérer la date de leur accouchement dans leur emploi du temps. Il y a celles qui redoutent une naissance susceptible d'être difficile. Il y a celles qui souhaitent protéger leur muscle pelvien. Il y a celles qui ne désirent pas mélanger le sexuel avec la maternité?' Auparavant, les femmes subissaient. Aujourd'hui, elles sont dans le "ce que je veux comme je veux" et profitent des avancées médicales, souligne Élisabeth Darchis, psychologue clinicienne en maternité.C'est un peu comme si elles souhaitaient échapper àleur condition féminine, àtout ce que leurs grands-mères ont pu subir, en refusant d'enfanter dans la douleur. Alors elles programment leur accouchement en sachant qu'en une heure, ce sera fait. ' Une démarche qui s'inscrit en tout cas dans l'ère du temps, où chaque minute est précieuse, où le passage sans transition de la préparation du repas àla vérification des devoirs devient une norme, où la femme doit remplir tous les rôles àla fois et s'y montrer efficace.' Pourtant, s'étonne àdemi Sophie Gamelin-Lavois, consultante en périnatalité, la césarienne est un acte chirurgical qui comporte des séquelles, elles aussi douloureuses (cicatrice, immobilité) comme àla suite de toute opération, et plus durables que des contractions? 'De toute façon, ici, outre la douleur, de multiples facteurs sont souvent évoqués. ' Beaucoup de femmes que je rencontre et qui souhaitent recourir àla césarienne sont très déterminées, nous raconte Erika Teissière, psychologue clinicienne au service de gynécologie du CHU Poissy?St-Germain. Certaines veulent vivre pleinement leur maternité tout en conservant leur intégrité physique et sexuelle. ' D'autres craignent les descentes d'organes ou les déchirures. ' La déchirure est un risque, acquiesce Élisabeth Darchis. Mais l'épisiotomie se répare vite et les déchirures n'altèrent pas la beauté et n'empêchent pas la sexualité. Seulement, le vrai problème, je crois, c'est que nous vivons dans une société où l'intimité est de plus en plus exposée ; on veut l'entretenir, la maîtriser. On voit même des femmes qui, quelques semaines après avoir accouché, se font refaire entièrement le vagin àcoup de chirurgie esthétique. Elles veulent tout, tout de suite, sans laisser faire le temps. ' Et l'experte de conclure : ' psychologiquement, mettre au monde par voie basse, en plusieurs heures, permet d'investir plus facilement l'accouchement. Avec la césarienne, bien que les choses se passent plus rapidement, la mère met plus de temps àcomprendre ce qui se passe, àréaliser qu'elle devient mère. ' * Direction de la recherche des études de l'évaluation et des statistiques
Merci '' HANDICPAZERO '' Particulièrement Madame : Dorothée Blancheton journaliste
Source : Psychoenfants, janvier 2009.
Césarienne, une mode au mépris du danger
La césarienne, une nouvelle mode ? De plus en plus de femmes délaissent l'accouchement classique, et pas seulement pour des raisons médicales !
Les médias anglo-saxons l'ont baptisé le too posh to push. Traduisez ' trop classe pour pousser '. Un nouveau phénomène qui sévit depuis déjàquelques années. Sa particularité ? Choisir la césarienne plutôt que l'accouchement par voie basse. Claudia Schiffer, Victoria Beckham, Madonna? la liste de celles qui auraient déjàdit oui àcette ' tendance ' est longue? très longue.Aujourd'hui, au Brésil, 80 % des naissances en clinique privée se feraient ainsi, selon les sources de http://www.cesarienne.net. Et bien sûr, si on ne peut pas attribuer àcette mode la responsabilité entière des accouchements par césarienne, la plupart des médecins s'accordent àdire qu'elle y contribue considérablement.D'après une étude réalisée par la DREES* et intitulée ' La situation périnatale en France en 2003 ', le taux de césariennes au sein de l'Hexagone est passé de 17,5 % à20,2 % entre 1998 et 2003. Mais plus précisément, le pourcentage de césariennes avant travail (1 fois sur 2 librement choisie par la mère) est passé de 6 % en 1981 à9,2 % en 1998 pour atteindre 12,5 % des accouchements en 2003.Généralement, cette méthode est réservée aux accouchements difficiles, s'accorde toutefois ànuancer l'étude : présentation du bébé par le siège, pathologie de la mère, grossesses multiples, bassin trop étroit. ' Elle peut également résulter d'une angoisse psychique particulière suite àun viol, àdu vaginisme ou àune forte angoisse du sexuel. ' Reste que ces diverses raisons ne concernent qu'une partie des femmes et que certaines réclament l'opération miracle dans le seul but de mieux s'organiser, de se préserver ou de ne pas avoir mal. Il y a celles qui souhaitent insérer la date de leur accouchement dans leur emploi du temps. Il y a celles qui redoutent une naissance susceptible d'être difficile. Il y a celles qui souhaitent protéger leur muscle pelvien. Il y a celles qui ne désirent pas mélanger le sexuel avec la maternité?' Auparavant, les femmes subissaient. Aujourd'hui, elles sont dans le "ce que je veux comme je veux" et profitent des avancées médicales, souligne Élisabeth Darchis, psychologue clinicienne en maternité.C'est un peu comme si elles souhaitaient échapper àleur condition féminine, àtout ce que leurs grands-mères ont pu subir, en refusant d'enfanter dans la douleur. Alors elles programment leur accouchement en sachant qu'en une heure, ce sera fait. ' Une démarche qui s'inscrit en tout cas dans l'ère du temps, où chaque minute est précieuse, où le passage sans transition de la préparation du repas àla vérification des devoirs devient une norme, où la femme doit remplir tous les rôles àla fois et s'y montrer efficace.' Pourtant, s'étonne àdemi Sophie Gamelin-Lavois, consultante en périnatalité, la césarienne est un acte chirurgical qui comporte des séquelles, elles aussi douloureuses (cicatrice, immobilité) comme àla suite de toute opération, et plus durables que des contractions? 'De toute façon, ici, outre la douleur, de multiples facteurs sont souvent évoqués. ' Beaucoup de femmes que je rencontre et qui souhaitent recourir àla césarienne sont très déterminées, nous raconte Erika Teissière, psychologue clinicienne au service de gynécologie du CHU Poissy?St-Germain. Certaines veulent vivre pleinement leur maternité tout en conservant leur intégrité physique et sexuelle. ' D'autres craignent les descentes d'organes ou les déchirures. ' La déchirure est un risque, acquiesce Élisabeth Darchis. Mais l'épisiotomie se répare vite et les déchirures n'altèrent pas la beauté et n'empêchent pas la sexualité. Seulement, le vrai problème, je crois, c'est que nous vivons dans une société où l'intimité est de plus en plus exposée ; on veut l'entretenir, la maîtriser. On voit même des femmes qui, quelques semaines après avoir accouché, se font refaire entièrement le vagin àcoup de chirurgie esthétique. Elles veulent tout, tout de suite, sans laisser faire le temps. ' Et l'experte de conclure : ' psychologiquement, mettre au monde par voie basse, en plusieurs heures, permet d'investir plus facilement l'accouchement. Avec la césarienne, bien que les choses se passent plus rapidement, la mère met plus de temps àcomprendre ce qui se passe, àréaliser qu'elle devient mère. ' * Direction de la recherche des études de l'évaluation et des statistiques
Merci '' HANDICPAZERO '' Particulièrement Madame : Dorothée Blancheton journaliste
Source : Psychoenfants, janvier 2009.
Re: LA SANTE
10 astuces pour faire pencher la balance du bon côté
Nous le savons tous, pour maigrir, il faut manger moins gras, moins sucré, moins de viande mais plus de fruits et légumes, et ne pas grignoter. C'est plus facile àdire qu'àmettre en pratique. Alors si vos efforts sont sans succès, changez de tactique et modifiez vos habitudes alimentaires.
Les grandes règles sont connues de tous, mais leur mise en pratique reste difficile. Pour vous y aider, voici quelques astuces et nouvelles habitudes àprendre qui vous aideront àrécompenser vos efforts.
1) Assaisonnez les légumes et le poisson !
Manger plus de légumes ne signifie pas forcément qu?ils soient cuits àl?eau et consommés nature. Certes, ils ne doivent pas non plus baigner dans l?huile ou le beurre. Entre les deux, vous pouvez les cuisiner en poêlées, purées, salades composées, gratins, etc. De même, vous pouvez les rendre savoureux en ajoutant des épices, des herbes, du vinaigre balsamique, une sauce au yaourt, etc. De la même façon, si on recommande de manger du poisson deux fois par semaine, variez la façon de les cuisiner. Il n?y a pas que le poisson au court-bouillon (papillote, gril?) et n?hésitez pas àles assaisonner selon vos goûts (moutarde àl?ancienne, fondue d?oignons, purée de tomates, citron, curry?).
2) De la viande une fois par jour c?est suffisant
Contrairement àl?idée du repas traditionnel, il n?est pas nécessaire de manger de la viande (ou équivalent : poisson, ?uf, jambon) àchaque repas. Un apport en protéines animales une fois par jour est suffisant. Par exemple, si vous mangez de la viande àmidi, faites le soir un repas composé de légumes (crudités ou potage), suivi d?une assiette de féculents ou céréales (pâtes, riz, blé, semoule, quinoa, boulgour, etc.) assaisonnés d?une ratatouille, de champignons, de tomates?
3) Utilisez les bonnes matières grasses
Videz vos placards et frigo pour ne conserver que l?huile d?olive, de colza et de noix, et si nécessaire une margarine végétale riche en colza ou olive (non hydrogénée !). Elles peuvent servir pour l?assaisonnement et la cuisson.
4) Passez aux édulcorants, momentanément
L?objectif n?est pas de remplacer àterme le sucre par un édulcorant, mais de limiter progressivement votre consommation en diminuant la dose. Le résultat sera visible sur la balance tandis que vous prendrez l?habitude de manger moins sucré.
5) Pas de salière sur la table
L?assaisonnement se fait en cuisine, sans abuser du sel. Une fois àtable, on ne resale plus. Il convient également de se méfier des produits très salés, comme les biscuits, les chips, les charcuteries?
6) N?achetez que le strict nécessaire
Quand vous faites vos courses, limitez-vous au strict nécessaire. Si besoin, établissez une liste et tenez-vous y. On a tous tendance àremplir nos caddies de produits, certes très tentants, mais inutiles. Vous éviterez ainsi les stocks de biscuits, tablettes de chocolat et autres douceurs qui vous feront craquer un jour ou l?autre? sous prétexte qu?il faut les finir.
7) Ne faites pas des courses 100% « light »
Recourir aux laitages, fromages, gâteaux et autres biscuits allégés est une bonne idée, àcondition de les intégrer progressivement dans vos habitudes alimentaires et de ne pas en abuser. Le piège est de manger deux yaourts allégés àla place d?un normal. Ce n?est pas parce que c?est « light » qu?il faut doubler les doses !
Rompez avec les rituels
Les frites du samedi, le poisson pané du vendredi, le cordon bleu du jeudi et les nuggets du mercredi, finissent par peser lourd sur la balance. Cassez ce rythme en cherchant de nouvelles recettes rapides : purée maison, omelette, poisson en papillote?
9) Ne buvez que de l?eau
Seul un verre de jus de fruits sans sucre ajouté est autorisé. Ensuite, évitez toute boisson sucrée. Jus de fruits, boissons fruitées et sodas apportent de nombreuses calories inutiles qu?il est facile d?éviter. Concernant les sodas, les versions light sont préférables car elles n?apportent pas de calories ou très peu, mais elles ont l'inconvénient non négligeable d?entretenir votre goût pour le sucré. Autrement dit, même s?ils sont allégés, plus vous buvez de sodas, plus vous avez envie d?en boire?
10) Ne vous affamez pas et préparez le menu !
Pensez que vous allez vous contenter d?un yaourt et d?une comporte au déjeuner est illusoire. Au mieux, vous viderez le frigo en rentrant le soir chez vous, au pire, vous commencez àgrignoter en début d?après-midi. A noter qu?il est préférable de composer son déjeuner àl?avance. De cette façon vos choix (ou intentions) seront moins guidés par votre faim.
Avec nos remerciements à HANDICAPZERO particulièrement à Madame Isabelle Eustache Journaliste
Nous le savons tous, pour maigrir, il faut manger moins gras, moins sucré, moins de viande mais plus de fruits et légumes, et ne pas grignoter. C'est plus facile àdire qu'àmettre en pratique. Alors si vos efforts sont sans succès, changez de tactique et modifiez vos habitudes alimentaires.
Les grandes règles sont connues de tous, mais leur mise en pratique reste difficile. Pour vous y aider, voici quelques astuces et nouvelles habitudes àprendre qui vous aideront àrécompenser vos efforts.
1) Assaisonnez les légumes et le poisson !
Manger plus de légumes ne signifie pas forcément qu?ils soient cuits àl?eau et consommés nature. Certes, ils ne doivent pas non plus baigner dans l?huile ou le beurre. Entre les deux, vous pouvez les cuisiner en poêlées, purées, salades composées, gratins, etc. De même, vous pouvez les rendre savoureux en ajoutant des épices, des herbes, du vinaigre balsamique, une sauce au yaourt, etc. De la même façon, si on recommande de manger du poisson deux fois par semaine, variez la façon de les cuisiner. Il n?y a pas que le poisson au court-bouillon (papillote, gril?) et n?hésitez pas àles assaisonner selon vos goûts (moutarde àl?ancienne, fondue d?oignons, purée de tomates, citron, curry?).
2) De la viande une fois par jour c?est suffisant
Contrairement àl?idée du repas traditionnel, il n?est pas nécessaire de manger de la viande (ou équivalent : poisson, ?uf, jambon) àchaque repas. Un apport en protéines animales une fois par jour est suffisant. Par exemple, si vous mangez de la viande àmidi, faites le soir un repas composé de légumes (crudités ou potage), suivi d?une assiette de féculents ou céréales (pâtes, riz, blé, semoule, quinoa, boulgour, etc.) assaisonnés d?une ratatouille, de champignons, de tomates?
3) Utilisez les bonnes matières grasses
Videz vos placards et frigo pour ne conserver que l?huile d?olive, de colza et de noix, et si nécessaire une margarine végétale riche en colza ou olive (non hydrogénée !). Elles peuvent servir pour l?assaisonnement et la cuisson.
4) Passez aux édulcorants, momentanément
L?objectif n?est pas de remplacer àterme le sucre par un édulcorant, mais de limiter progressivement votre consommation en diminuant la dose. Le résultat sera visible sur la balance tandis que vous prendrez l?habitude de manger moins sucré.
5) Pas de salière sur la table
L?assaisonnement se fait en cuisine, sans abuser du sel. Une fois àtable, on ne resale plus. Il convient également de se méfier des produits très salés, comme les biscuits, les chips, les charcuteries?
6) N?achetez que le strict nécessaire
Quand vous faites vos courses, limitez-vous au strict nécessaire. Si besoin, établissez une liste et tenez-vous y. On a tous tendance àremplir nos caddies de produits, certes très tentants, mais inutiles. Vous éviterez ainsi les stocks de biscuits, tablettes de chocolat et autres douceurs qui vous feront craquer un jour ou l?autre? sous prétexte qu?il faut les finir.
7) Ne faites pas des courses 100% « light »
Recourir aux laitages, fromages, gâteaux et autres biscuits allégés est une bonne idée, àcondition de les intégrer progressivement dans vos habitudes alimentaires et de ne pas en abuser. Le piège est de manger deux yaourts allégés àla place d?un normal. Ce n?est pas parce que c?est « light » qu?il faut doubler les doses !

Les frites du samedi, le poisson pané du vendredi, le cordon bleu du jeudi et les nuggets du mercredi, finissent par peser lourd sur la balance. Cassez ce rythme en cherchant de nouvelles recettes rapides : purée maison, omelette, poisson en papillote?
9) Ne buvez que de l?eau
Seul un verre de jus de fruits sans sucre ajouté est autorisé. Ensuite, évitez toute boisson sucrée. Jus de fruits, boissons fruitées et sodas apportent de nombreuses calories inutiles qu?il est facile d?éviter. Concernant les sodas, les versions light sont préférables car elles n?apportent pas de calories ou très peu, mais elles ont l'inconvénient non négligeable d?entretenir votre goût pour le sucré. Autrement dit, même s?ils sont allégés, plus vous buvez de sodas, plus vous avez envie d?en boire?
10) Ne vous affamez pas et préparez le menu !
Pensez que vous allez vous contenter d?un yaourt et d?une comporte au déjeuner est illusoire. Au mieux, vous viderez le frigo en rentrant le soir chez vous, au pire, vous commencez àgrignoter en début d?après-midi. A noter qu?il est préférable de composer son déjeuner àl?avance. De cette façon vos choix (ou intentions) seront moins guidés par votre faim.
Avec nos remerciements à HANDICAPZERO particulièrement à Madame Isabelle Eustache Journaliste
Re: LA SANTE
Fibromes : les alternatives à la chirurgie
Mise en ligne : 5 février 2009
Une femme de plus de 35 ans sur trois souffre d’un fibrome. Quand le traitement hormonal ne ralentit pas l’évolution de cette tumeur bénigne, on a recours à la chirurgie. Des solutions moins mutilantes existent, mais elles sont peu proposées.
Chaque année, en France, 150 000 femmes subissent une hystérectomie. Largement pratiquée pour supprimer les fibromes et leurs symptômes (douleurs pelviennes, règles hémorragiques), l’ablation de l’utérus n’est pas sans inconvénients : outre son impact psychologique, elle interdit surtout toute grossesse ultérieure.
Encore peu utilisées, des interventions moins invasives et moins radicales, comme l’embolisation artérielle et le traitement par ultrasons, sont pourtant possibles.
L’embolisation
L’embolisation consiste à injecter des microbilles synthétiques dans les artères de l’utérus par l’intermédiaire d’un cathéter (environ 1 millimètre de diamètre), introduit sous anesthésie locale. Ces billes, en bouchant les canaux d’approvisionnement du fibrome, entraînent sa nécrose, puis sa régression. Selon le nombre et la taille des fibromes, l’intervention dure entre quarante minutes et deux heures.
« Cette méthode présente de nombreux bénéfices, explique le Dr Olivier Serres-Cousiné, radiologue interventionnel à Montpellier. Les symptômes disparaissent dans environ 90 % des cas, le volume des fibromes et celui de l’utérus diminuent dans les mois qui suivent l’intervention. Il n’y a ni anesthésie générale ni cicatrice. » Autre avantage : en conservant son utérus, la femme préserve sa fertilité.
Seuls inconvénients : l’embolisation provoque des crampes parfois violentes (un traitement intraveineux contre la douleur peut être administré) et nécessite un arrêt de travail de trois à huit semaines.
Appliquée à l’origine pour traiter les hémorragies de la délivrance, cette méthode est utilisée depuis une dizaine d’années pour réduire, voire supprimer les fibromes, mais elle est loin d’être généralisée : « Certainement par manque d’information, souligne le Dr Serres-Cousiné. Or elle est bien évaluée aujourd’hui, il n’y a donc pas de raison qu’elle ne se développe pas. » Selon deux récentes études américaines, près de 90 % des patientes seraient satisfaites du résultat.
Les ultrasons
Ce nouveau traitement est expérimenté depuis 2007 au Chu de Tours, lequel s’est doté d’un dispositif mêlant imagerie par résonance magnétique (Irm) et ultrasons focalisés.
Il s’agit de « brûler » le fibrome grâce à la chaleur générée par les ultrasons. La patiente est allongée dans l’appareil d’Irm. Les images tridimensionnelles du fibrome et des tissus environnants permettent un guidage précis des ondes ultrasonores vers les tissus visés.
Dirigés sur le point focal, les ultrasons provoquent une élévation de la température du fibrome entraînant sa destruction. Indolore, l’intervention dure environ trois heures.
Résultat : la taille du fibrome diminue progressivement. Mais cette technique est réservée à certains cas seulement : les fibromes ne doivent pas être nombreux (pas plus de deux), ni trop petits ou situés près de la peau du ventre.
A savoir
Les fibromes (ou myomes) sont des excroissances du muscle utérin. Lorsque les règles deviennent très hémorragiques, que le fibrome atteint le volume d’une grossesse de trois ou quatre mois et entraîne incontinence et sensation de pesanteur dans le bas-ventre, l’intervention s’impose. Un fibrome ne dégénère jamais en cancer.
Information '' VIVA PRESSE ' que nous remercions particulièrement Madame Florence QUENTIN
Mise en ligne : 5 février 2009
Une femme de plus de 35 ans sur trois souffre d’un fibrome. Quand le traitement hormonal ne ralentit pas l’évolution de cette tumeur bénigne, on a recours à la chirurgie. Des solutions moins mutilantes existent, mais elles sont peu proposées.
Chaque année, en France, 150 000 femmes subissent une hystérectomie. Largement pratiquée pour supprimer les fibromes et leurs symptômes (douleurs pelviennes, règles hémorragiques), l’ablation de l’utérus n’est pas sans inconvénients : outre son impact psychologique, elle interdit surtout toute grossesse ultérieure.
Encore peu utilisées, des interventions moins invasives et moins radicales, comme l’embolisation artérielle et le traitement par ultrasons, sont pourtant possibles.
L’embolisation
L’embolisation consiste à injecter des microbilles synthétiques dans les artères de l’utérus par l’intermédiaire d’un cathéter (environ 1 millimètre de diamètre), introduit sous anesthésie locale. Ces billes, en bouchant les canaux d’approvisionnement du fibrome, entraînent sa nécrose, puis sa régression. Selon le nombre et la taille des fibromes, l’intervention dure entre quarante minutes et deux heures.
« Cette méthode présente de nombreux bénéfices, explique le Dr Olivier Serres-Cousiné, radiologue interventionnel à Montpellier. Les symptômes disparaissent dans environ 90 % des cas, le volume des fibromes et celui de l’utérus diminuent dans les mois qui suivent l’intervention. Il n’y a ni anesthésie générale ni cicatrice. » Autre avantage : en conservant son utérus, la femme préserve sa fertilité.
Seuls inconvénients : l’embolisation provoque des crampes parfois violentes (un traitement intraveineux contre la douleur peut être administré) et nécessite un arrêt de travail de trois à huit semaines.
Appliquée à l’origine pour traiter les hémorragies de la délivrance, cette méthode est utilisée depuis une dizaine d’années pour réduire, voire supprimer les fibromes, mais elle est loin d’être généralisée : « Certainement par manque d’information, souligne le Dr Serres-Cousiné. Or elle est bien évaluée aujourd’hui, il n’y a donc pas de raison qu’elle ne se développe pas. » Selon deux récentes études américaines, près de 90 % des patientes seraient satisfaites du résultat.
Les ultrasons
Ce nouveau traitement est expérimenté depuis 2007 au Chu de Tours, lequel s’est doté d’un dispositif mêlant imagerie par résonance magnétique (Irm) et ultrasons focalisés.
Il s’agit de « brûler » le fibrome grâce à la chaleur générée par les ultrasons. La patiente est allongée dans l’appareil d’Irm. Les images tridimensionnelles du fibrome et des tissus environnants permettent un guidage précis des ondes ultrasonores vers les tissus visés.
Dirigés sur le point focal, les ultrasons provoquent une élévation de la température du fibrome entraînant sa destruction. Indolore, l’intervention dure environ trois heures.
Résultat : la taille du fibrome diminue progressivement. Mais cette technique est réservée à certains cas seulement : les fibromes ne doivent pas être nombreux (pas plus de deux), ni trop petits ou situés près de la peau du ventre.
A savoir
Les fibromes (ou myomes) sont des excroissances du muscle utérin. Lorsque les règles deviennent très hémorragiques, que le fibrome atteint le volume d’une grossesse de trois ou quatre mois et entraîne incontinence et sensation de pesanteur dans le bas-ventre, l’intervention s’impose. Un fibrome ne dégénère jamais en cancer.
Information '' VIVA PRESSE ' que nous remercions particulièrement Madame Florence QUENTIN
Re: LA SANTE
Réponse par émail d'une amie que je remercie.
Avec mes amitiés Bises
BRIAND
MERCI pour tes infos sur les fibromes.......mais celles qui sont sous cortisone peuvent être concernées par ces hémorragies. J'en suis un exemple....Mais l'opération : POUR !!! car déjà tranquille....ne change pas sa vie de femme, de plus par précaution le col de l'utérus enlevé pour éviter tous cancers ....
Honnetement entre-nous.....SI ces problèmes évoqués...certaines à partir de 42/43 ans : opération chirurgicale que plutot faire un enfant !! (la mode aujourd'hui d'avoir des enfants de plus en plus tard au détriment de la santé de l'enfant et de la mère ...)
Pour moi...c'était mon cadeau des 48 ans !! opérée le jour de mon anniversaire...et je ne le regrette pas !!!
Avec mes amitiés Bises
BRIAND
MERCI pour tes infos sur les fibromes.......mais celles qui sont sous cortisone peuvent être concernées par ces hémorragies. J'en suis un exemple....Mais l'opération : POUR !!! car déjà tranquille....ne change pas sa vie de femme, de plus par précaution le col de l'utérus enlevé pour éviter tous cancers ....
Honnetement entre-nous.....SI ces problèmes évoqués...certaines à partir de 42/43 ans : opération chirurgicale que plutot faire un enfant !! (la mode aujourd'hui d'avoir des enfants de plus en plus tard au détriment de la santé de l'enfant et de la mère ...)
Pour moi...c'était mon cadeau des 48 ans !! opérée le jour de mon anniversaire...et je ne le regrette pas !!!
Re: LA SANTE
je vois que les blagues sont toujours la
je ne suis pas venue souvent car trop de douleurs
malgres le traitement les mains insoutenables les pieds aussi
aujourd'hui très beau chez nous et mon-mari et alla pèche
j'attend sont arriver et promener au bord du lac faut profiter
je vois beaucoup de souffrance et pas de soulagement dans cette maladie
en espérant que vous allez bien je vous dit a bientôt
bien amicalement isabelle
je ne suis pas venue souvent car trop de douleurs
malgres le traitement les mains insoutenables les pieds aussi
aujourd'hui très beau chez nous et mon-mari et alla pèche
j'attend sont arriver et promener au bord du lac faut profiter
je vois beaucoup de souffrance et pas de soulagement dans cette maladie
en espérant que vous allez bien je vous dit a bientôt
bien amicalement isabelle
Re: LA SANTE
Information ''VIVA'' que nous remercions
Cancer du sein et Ths : un lien après 5 ans de traitement, d’après une étude américaine
Mise en ligne : 5 février 2009
D’après une étude menée par des chercheurs de l’Université de Stanford (Californie, ouest), les femmes ménopausées qui suivent une thérapie hormonale combinée d’oestrogène et de progestérone pendant au moins cinq ans doublent leur risque de développer un cancer du sein.
Un an après la fin de ce type de traitement, le risque de développer un cancer du sein baisse en outre de 28%, relève cette étude.
Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont analysé des données provenant de deux groupes de femmes dont le premier comptait plus de 15 000 participantes devant prendre de l’oestrogène et du progestérone ou un placebo.
Outre cet essai clinique, ils ont également collecté des données provenant d’une étude débutée en 1994, portant sur 41 449 femmes ménopausées, qui avaient été laissées libres de choisir entre un traitement hormonales combinant oestrogène et progestérone, seulement de l’oestrogène ou pas d’hormone du tout.
Les résultats dans les deux groupes étaient très similaires quant à l’accroissement du risque de cancer du sein lié à une thérapie hormonale composée d’oestrogène et de progestérone.
Le nombre d’ordonnances de thérapie hormonales pour des femmes ménopausées est passé de 60 millions en 2001 à seulement 20 millions en 2005.
Notons que ces chiffres et cette étude ne concernent que la population américaine.
P.S. Le résumé de l’étude en anglais est parue sur le site du New England Journal of Medicine (NEJM) daté du 5 février content.nejm.org
Cancer du sein et Ths : un lien après 5 ans de traitement, d’après une étude américaine
Mise en ligne : 5 février 2009
D’après une étude menée par des chercheurs de l’Université de Stanford (Californie, ouest), les femmes ménopausées qui suivent une thérapie hormonale combinée d’oestrogène et de progestérone pendant au moins cinq ans doublent leur risque de développer un cancer du sein.
Un an après la fin de ce type de traitement, le risque de développer un cancer du sein baisse en outre de 28%, relève cette étude.
Pour réaliser cette étude, les chercheurs ont analysé des données provenant de deux groupes de femmes dont le premier comptait plus de 15 000 participantes devant prendre de l’oestrogène et du progestérone ou un placebo.
Outre cet essai clinique, ils ont également collecté des données provenant d’une étude débutée en 1994, portant sur 41 449 femmes ménopausées, qui avaient été laissées libres de choisir entre un traitement hormonales combinant oestrogène et progestérone, seulement de l’oestrogène ou pas d’hormone du tout.
Les résultats dans les deux groupes étaient très similaires quant à l’accroissement du risque de cancer du sein lié à une thérapie hormonale composée d’oestrogène et de progestérone.
Le nombre d’ordonnances de thérapie hormonales pour des femmes ménopausées est passé de 60 millions en 2001 à seulement 20 millions en 2005.
Notons que ces chiffres et cette étude ne concernent que la population américaine.
P.S. Le résumé de l’étude en anglais est parue sur le site du New England Journal of Medicine (NEJM) daté du 5 février content.nejm.org
Re: LA SANTE
Est-il vrai que nous avons droit à des examens de santé gratuitement demande une dame.
Oui Madame !
Une fois tous les cinq ans, chaque assuré peut demander à sa caisse d’assurance-maladie, pour lui-même et ses ayants droit, à bénéficier de ce bilan de santé gratuit dans l’un des 80 centres d’examens de santé de l’assurance-maladie.
Même les personnes bien portantes devraient faire ce bilan.
je serai pour qu'il soit obligatoire après 50 ans, mais il m'avait été répondu dans une réunion : C'est une atteinte à la liberté....
A vous de juger !
BRIAND
Oui Madame !
Une fois tous les cinq ans, chaque assuré peut demander à sa caisse d’assurance-maladie, pour lui-même et ses ayants droit, à bénéficier de ce bilan de santé gratuit dans l’un des 80 centres d’examens de santé de l’assurance-maladie.
Même les personnes bien portantes devraient faire ce bilan.
je serai pour qu'il soit obligatoire après 50 ans, mais il m'avait été répondu dans une réunion : C'est une atteinte à la liberté....
A vous de juger !
BRIAND
Re: LA SANTE
Question posée :
Je souhaite avoir un bébé, j'ai arrêté ma pilule, mais n'arrive pas à démarrer ma grossesse. La cigarette, est-elle en cause ?
Oui, le tabagisme affecte la fécondité. Il double le délai nécessaire à la conception. Dès l'arrêt du tabac, tout redevient normal et il n'est pas rare de voir des femmes commencer une grossesse dans les mois qui suivent l'arrêt du tabac.
Si vous désirez une multitudes de renseignements sur le tabac, je peux vous transmettre en MP un site très important.
BRIAND
Je souhaite avoir un bébé, j'ai arrêté ma pilule, mais n'arrive pas à démarrer ma grossesse. La cigarette, est-elle en cause ?
Oui, le tabagisme affecte la fécondité. Il double le délai nécessaire à la conception. Dès l'arrêt du tabac, tout redevient normal et il n'est pas rare de voir des femmes commencer une grossesse dans les mois qui suivent l'arrêt du tabac.
Si vous désirez une multitudes de renseignements sur le tabac, je peux vous transmettre en MP un site très important.
BRIAND
Re: LA SANTE
Journée de l'audition
12 mars 2009
Renseignements :
Tél : 0 810 200 219 (0,09€ m/n) Du lundi au vendredi de 8h à 19h30.
http://www.audition-infos.org
12 mars 2009
Renseignements :
Tél : 0 810 200 219 (0,09€ m/n) Du lundi au vendredi de 8h à 19h30.
http://www.audition-infos.org
Re: LA SANTE
Ensemble pour une santé solidaire
Militants contre les franchises médicales et mutualistes à l’Assemblée nationale
Mise en ligne : 3 mars 2009
Reçue le 2 mars à l’assemblée nationale par Catherine Lemorton (PS), Martine Billard (Vert), Jacqueline Fraysse (Pcf), Marisol Touraine (PS), Christian Paul (PS) Jean Mallot (PS), une délégation du mouvement Ensemble pour une santé solidaire leur a remis 260 000 pétitions contre les franchises médicales réunies par les collectifs et les Mutuelles de France.
Si l’on y ajoute celles recueillies par les syndicats, c’est un total de 700 000 signatures qui ont été rassemblées sur l’appel contre les franchises lancé en 2007 par le docteur Lehman et que le mouvement Ensemble pour une santé solidaire a relayé.
Malgré, cette mobilisation et le succès rencontré, « la ministre n’a pas trouvé le temps de nous recevoir, ni même parfois de nous répondre » a souligné Bruno Pascal Chevalier.
Il a rappelé aux députés sa grève des soins observée en 2008 pour dénoncer l’imposition des franchises et cité des cas dramatiques issues de son expérience de travailleur social : « une dame de 88 ans a reçu en fin d’année un rappel de 150 euros de franchise avec un commandement à payer. Le gouvernement avait dit que l’on trouverait une solution pour les personnes qui ne pourraient pas payer. Mais tout ce qui est prévu c’est un échelonnement du paiement de la dette. On ne conseille même pas à cette dame de demander une aide sociale. Le comble c’est qu’elle souffre d’Alzheimer alors que les franchises nous avaient été présentées comme devant financer la lutte contre cette maladie. »
Une retraitée a souligné que « chez les pensionnés, 80 % des femmes vivent avec moins de 800 euros mensuels et n’ont pas accès a la Cmu. Depuis l’imposition des franchises, les prix se sont envolés. Parlons des veinotoniques qui ne sont plus remboursés. On nous avait expliqué qu’il s’agissait de placebos. Mais on a les pieds qui gonflent et du mal à se déplacer ».
40 000 pétitions des Mutuelles de France
Parmi les pétitions remises, 40 000 avaient été rassemblées par les Mutuelles de France du Sud.
Sylvie Dubois, présidente de la Mutuelle familiale du Loiret a rapporté que « nous voyons tous les jours des abus en matière de dépassement d’honoraires. C’est scandaleux d’entendre le gouvernement dire qu’on lutter contre ces situations en demandant aux cliniques d’établir des devis. C’est scandaleux d’entendre des chirurgiens justifier les sommes astronomiques exigées en arguant de leurs études longues. Je suis intervenue récemment en faveur d’une personne victime d’un accident du travail, mise en demeure d’acquitter une facture, alors qu’elle n’avait même pas signé d’acceptation du devis. Le chirurgien m’a dit au téléphone que la prothèse de hanche n’était pas cher payée si on comparait son prix à celui du remplacement d’un pot d’échappement ».
Dominique Coupé, militante du mouvement à Orléans, a révélé sa situation : « Je suis seule avec trois enfants à charge. Ma fille s’est cassé le poignet dernièrement. A la clinique, j’ai du payer 150 euros alors que je ne disposais plus que de 170 euros pour achever le mois. J’ai fait le siège de la mutuelle pour être immédiatement remboursée. Je suis moi même malade de la thyroïde mais je dois différer des analyses, des prises de sang car je ne peux pas payer. La maladie me cause des problèmes veineux. Ces médicaments ne sont pas remboursés alors je ne les prends plus ou alors de manière irrégulière ».
Pendant deux heures, tour à tour, les membres de la délégation ont témoigné des difficultés croissantes que rencontre le plus grand nombre pour se soigner.
Avec la loi Bachelot actuellement en discussion, ont-ils souligné, ces difficultés iront crescendo.
Les députés leur ont alors proposé d’assister à la séance de l’Assemblée. A la surprise de la délégation, alors que ce jour là reprenait la discussion sur la loi « Hôpital patients, santé territoire », seulement une trentaine de députés étaient présents dans l’hémicycle. Une situation, regrette le mouvement qui rappelle celle du vote de la loi sur les franchises votée en présence de seulement 77 députés.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Maïté Pinero
Absolument regarder la liste des soutiens P.S. http://grevedesoins.fr/
Militants contre les franchises médicales et mutualistes à l’Assemblée nationale
Mise en ligne : 3 mars 2009
Reçue le 2 mars à l’assemblée nationale par Catherine Lemorton (PS), Martine Billard (Vert), Jacqueline Fraysse (Pcf), Marisol Touraine (PS), Christian Paul (PS) Jean Mallot (PS), une délégation du mouvement Ensemble pour une santé solidaire leur a remis 260 000 pétitions contre les franchises médicales réunies par les collectifs et les Mutuelles de France.
Si l’on y ajoute celles recueillies par les syndicats, c’est un total de 700 000 signatures qui ont été rassemblées sur l’appel contre les franchises lancé en 2007 par le docteur Lehman et que le mouvement Ensemble pour une santé solidaire a relayé.
Malgré, cette mobilisation et le succès rencontré, « la ministre n’a pas trouvé le temps de nous recevoir, ni même parfois de nous répondre » a souligné Bruno Pascal Chevalier.
Il a rappelé aux députés sa grève des soins observée en 2008 pour dénoncer l’imposition des franchises et cité des cas dramatiques issues de son expérience de travailleur social : « une dame de 88 ans a reçu en fin d’année un rappel de 150 euros de franchise avec un commandement à payer. Le gouvernement avait dit que l’on trouverait une solution pour les personnes qui ne pourraient pas payer. Mais tout ce qui est prévu c’est un échelonnement du paiement de la dette. On ne conseille même pas à cette dame de demander une aide sociale. Le comble c’est qu’elle souffre d’Alzheimer alors que les franchises nous avaient été présentées comme devant financer la lutte contre cette maladie. »
Une retraitée a souligné que « chez les pensionnés, 80 % des femmes vivent avec moins de 800 euros mensuels et n’ont pas accès a la Cmu. Depuis l’imposition des franchises, les prix se sont envolés. Parlons des veinotoniques qui ne sont plus remboursés. On nous avait expliqué qu’il s’agissait de placebos. Mais on a les pieds qui gonflent et du mal à se déplacer ».
40 000 pétitions des Mutuelles de France
Parmi les pétitions remises, 40 000 avaient été rassemblées par les Mutuelles de France du Sud.
Sylvie Dubois, présidente de la Mutuelle familiale du Loiret a rapporté que « nous voyons tous les jours des abus en matière de dépassement d’honoraires. C’est scandaleux d’entendre le gouvernement dire qu’on lutter contre ces situations en demandant aux cliniques d’établir des devis. C’est scandaleux d’entendre des chirurgiens justifier les sommes astronomiques exigées en arguant de leurs études longues. Je suis intervenue récemment en faveur d’une personne victime d’un accident du travail, mise en demeure d’acquitter une facture, alors qu’elle n’avait même pas signé d’acceptation du devis. Le chirurgien m’a dit au téléphone que la prothèse de hanche n’était pas cher payée si on comparait son prix à celui du remplacement d’un pot d’échappement ».
Dominique Coupé, militante du mouvement à Orléans, a révélé sa situation : « Je suis seule avec trois enfants à charge. Ma fille s’est cassé le poignet dernièrement. A la clinique, j’ai du payer 150 euros alors que je ne disposais plus que de 170 euros pour achever le mois. J’ai fait le siège de la mutuelle pour être immédiatement remboursée. Je suis moi même malade de la thyroïde mais je dois différer des analyses, des prises de sang car je ne peux pas payer. La maladie me cause des problèmes veineux. Ces médicaments ne sont pas remboursés alors je ne les prends plus ou alors de manière irrégulière ».
Pendant deux heures, tour à tour, les membres de la délégation ont témoigné des difficultés croissantes que rencontre le plus grand nombre pour se soigner.
Avec la loi Bachelot actuellement en discussion, ont-ils souligné, ces difficultés iront crescendo.
Les députés leur ont alors proposé d’assister à la séance de l’Assemblée. A la surprise de la délégation, alors que ce jour là reprenait la discussion sur la loi « Hôpital patients, santé territoire », seulement une trentaine de députés étaient présents dans l’hémicycle. Une situation, regrette le mouvement qui rappelle celle du vote de la loi sur les franchises votée en présence de seulement 77 députés.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Maïté Pinero
Absolument regarder la liste des soutiens P.S. http://grevedesoins.fr/