LA SANTE
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Re: LA SANTE
Avec nos rmerciements à '' AGEVILLAGE '' pour ces informations
Affections de longue durée - ALD : un coût moyen de 8.700 euros par patient
7,7 millions d'assurés
La prise en charge à 100% des 30 affections de longue durée comme le cancer, le sida ou le diabète concernait 7,7 millions d'assurés sociaux fin 2006, pour un coût moyen de 8.700 euros par patient pour l'Assurance maladie.
En 2006, le coût global des remboursements de soins pour ces malades graves (67 milliards d'euros) a représenté 64% des dépenses d'assurance maladie, précise la Cnam (Caisse nationale d'assurance maladie). Pour bénéficier de la couverture à 100%, le malade doit obtenir un "protocole de soins" établi par son médecin traitant, validé par un médecin conseil de la "Sécu" et régulièrement actualisé. Il bénéficie alors d'une ordonnance "bizone", qui distingue les médicaments et examens en rapport avec l'affection, remboursés à 100%, et les autres, remboursés au taux habituels.
L'âge moyen des personnes en ALD s'élève à 61,4 ans, allant de 18 ans pour la mucoviscidose à 82 ans pour la maladie d'Alzheimer. Les affections cardiovasculaires (2,5 millions de personnes), les cancers (1,5 million), le diabète (1,4 million) et les affections psychiatriques de longue durée (0,9 million) représentent 75% des ALD.
Parmi les autres ALD, on compte notamment les insuffisances respiratoires chroniques graves (220.000), la maladie d'Alzheimer (159.000), les polyarthrites graves (120.000) ou le Sida (78.000). Les dépenses moyennes pour les patients en ALD sont dix fois plus élevées que pour les patients "classiques", 8.700 euros contre 798 euros.
Les remboursements annuels atteignent en moyenne 13.000 euros pour un malade du Sida,
10.000 euros pour un cancer,
7.400 euros pour les pathologies cardiovasculaires
6.000 euros pour un diabète.
Au cours de l'année 2006, 265.000 personnes de plus ont été admises en ALD, soit +3,6% par rapport à 2005. L'Assurance Maladie estime que le nombre de ces personnes atteindrait environ 12 millions d'assurés en 2015. Et 70% des remboursements seraient alors concentrés sur les ALD. Une évolution qui serait due à "l'augmentation de la prévalence des affections de longue durée à structure d'âge identique et, dans une moindre mesure, au vieillissement de la population", selon la Cnam.
CS
mis à jour le 29/06/2008
Affections de longue durée - ALD : un coût moyen de 8.700 euros par patient
7,7 millions d'assurés
La prise en charge à 100% des 30 affections de longue durée comme le cancer, le sida ou le diabète concernait 7,7 millions d'assurés sociaux fin 2006, pour un coût moyen de 8.700 euros par patient pour l'Assurance maladie.
En 2006, le coût global des remboursements de soins pour ces malades graves (67 milliards d'euros) a représenté 64% des dépenses d'assurance maladie, précise la Cnam (Caisse nationale d'assurance maladie). Pour bénéficier de la couverture à 100%, le malade doit obtenir un "protocole de soins" établi par son médecin traitant, validé par un médecin conseil de la "Sécu" et régulièrement actualisé. Il bénéficie alors d'une ordonnance "bizone", qui distingue les médicaments et examens en rapport avec l'affection, remboursés à 100%, et les autres, remboursés au taux habituels.
L'âge moyen des personnes en ALD s'élève à 61,4 ans, allant de 18 ans pour la mucoviscidose à 82 ans pour la maladie d'Alzheimer. Les affections cardiovasculaires (2,5 millions de personnes), les cancers (1,5 million), le diabète (1,4 million) et les affections psychiatriques de longue durée (0,9 million) représentent 75% des ALD.
Parmi les autres ALD, on compte notamment les insuffisances respiratoires chroniques graves (220.000), la maladie d'Alzheimer (159.000), les polyarthrites graves (120.000) ou le Sida (78.000). Les dépenses moyennes pour les patients en ALD sont dix fois plus élevées que pour les patients "classiques", 8.700 euros contre 798 euros.
Les remboursements annuels atteignent en moyenne 13.000 euros pour un malade du Sida,
10.000 euros pour un cancer,
7.400 euros pour les pathologies cardiovasculaires
6.000 euros pour un diabète.
Au cours de l'année 2006, 265.000 personnes de plus ont été admises en ALD, soit +3,6% par rapport à 2005. L'Assurance Maladie estime que le nombre de ces personnes atteindrait environ 12 millions d'assurés en 2015. Et 70% des remboursements seraient alors concentrés sur les ALD. Une évolution qui serait due à "l'augmentation de la prévalence des affections de longue durée à structure d'âge identique et, dans une moindre mesure, au vieillissement de la population", selon la Cnam.
CS
mis à jour le 29/06/2008
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Frais de santé
Des dépassements d’honoraires trop élevés
Mise en ligne : 2 juillet 2008
En 2006, les suppléments de rémunération demandés par les médecins se sont élevés à 2,1 milliards d’euros. Des frais à la charge des malades. Le Ciss, association de patients, demande le plafonnement de leur montant.
Les dépassements de tarif demandés par les médecins restent à un niveau élevé. En 2006, dernière année étudiée par la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam), ils s’élevaient à 2,1 milliards d’euros sur un total de 19,3 milliards d’honoraires perçus par les 115 000 médecins exerçant dans le secteur libéral. Ce sont essentiellement les spécialistes qui présentent une rallonge à leurs patients : 39 % d’entre eux y ont recours, contre 8 % de généralistes. Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Dans certains départements, les patients n’ont plus le choix et sont obligés de payer de leur poche pour avoir accès aux soins, faute de médecins qui respectent les barèmes fixés par le ministère de la Santé. Il y a aussi les spécialités « gloutonnes » : ophtalmologie, gynécologie, anesthésie, chirurgie.
Cette dérive profite de l’inertie des organismes d’assurance-maladie et de l’Etat. L’article 39 de la loi de financement de la Sécurité sociale, votée à l’automne dernier, prévoit qu’« une information écrite précisant le tarif des actes effectués ainsi que la nature et le montant du dépassement facturé doit obligatoirement être remise par le professionnel de la santé à son patient dès lors que ses honoraires dépassent le seuil fixé ». Pour que la mesure soit appliquée, le gouvernement doit publier un décret d’application. Un texte est toujours à l’étude. Il prévoit que tout acte facturé 80 euros ou plus déclenche le processus de devis obligatoire. Le projet a été présenté au conseil de la Cnam, qui l’a rejeté, estimant ce montant trop élevé et proposant de le ramener à 50 euros.
Didier Berneau
Des motifs de renoncement aux soins
Les dépassements d’honoraires ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale et ne le sont que partiellement par les complémentaires. Conséquence : les patients paient. Et ces surcoûts deviennent l’un des premiers motifs de renoncement aux soins, « dommageables pour les personnes et délétères pour la santé publique », s’inquiète la Conférence nationale de santé, qui invite les responsables publics à « agir plus fermement ». Le Ciss, collectif regroupant plusieurs associations de patients, demande pour sa part « un encadrement des dépassements par le plafonnement de leur montant ».
Frais de santé
Des dépassements d’honoraires trop élevés
Mise en ligne : 2 juillet 2008
En 2006, les suppléments de rémunération demandés par les médecins se sont élevés à 2,1 milliards d’euros. Des frais à la charge des malades. Le Ciss, association de patients, demande le plafonnement de leur montant.
Les dépassements de tarif demandés par les médecins restent à un niveau élevé. En 2006, dernière année étudiée par la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam), ils s’élevaient à 2,1 milliards d’euros sur un total de 19,3 milliards d’honoraires perçus par les 115 000 médecins exerçant dans le secteur libéral. Ce sont essentiellement les spécialistes qui présentent une rallonge à leurs patients : 39 % d’entre eux y ont recours, contre 8 % de généralistes. Tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Dans certains départements, les patients n’ont plus le choix et sont obligés de payer de leur poche pour avoir accès aux soins, faute de médecins qui respectent les barèmes fixés par le ministère de la Santé. Il y a aussi les spécialités « gloutonnes » : ophtalmologie, gynécologie, anesthésie, chirurgie.
Cette dérive profite de l’inertie des organismes d’assurance-maladie et de l’Etat. L’article 39 de la loi de financement de la Sécurité sociale, votée à l’automne dernier, prévoit qu’« une information écrite précisant le tarif des actes effectués ainsi que la nature et le montant du dépassement facturé doit obligatoirement être remise par le professionnel de la santé à son patient dès lors que ses honoraires dépassent le seuil fixé ». Pour que la mesure soit appliquée, le gouvernement doit publier un décret d’application. Un texte est toujours à l’étude. Il prévoit que tout acte facturé 80 euros ou plus déclenche le processus de devis obligatoire. Le projet a été présenté au conseil de la Cnam, qui l’a rejeté, estimant ce montant trop élevé et proposant de le ramener à 50 euros.
Didier Berneau
Des motifs de renoncement aux soins
Les dépassements d’honoraires ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale et ne le sont que partiellement par les complémentaires. Conséquence : les patients paient. Et ces surcoûts deviennent l’un des premiers motifs de renoncement aux soins, « dommageables pour les personnes et délétères pour la santé publique », s’inquiète la Conférence nationale de santé, qui invite les responsables publics à « agir plus fermement ». Le Ciss, collectif regroupant plusieurs associations de patients, demande pour sa part « un encadrement des dépassements par le plafonnement de leur montant ».
Re: LA SANTE
En réponse à un courrier reçu, tout le monde ne posséde pas encore internet.
Expiration de l’ordonnance*
Les patients atteints d’une maladie chronique peuvent obtenir la délivrance exceptionnelle de médicaments malgré l’expiration de leur ordonnance. Cette délivrance ne concerne que les médicaments prescrits pour au moins trois mois.
Une même ordonnance ne peut donner lieu qu’à une seule dispense. Le pharmacien ne délivre alors que la plus petite boîte disponible du médicament. Sont exclus de cette mesure les stupéfiants, les anxiolytiques et les hypnotiques.
[02.07.08]
Yves Bérani
* Décret et arrêté publiés au JO du jeudi 7 février 2008.
A noter
Dans la plupart des cas, vous avez trois mois au maximum après la date de prescription pour vous rendre dans une pharmacie et vous faire délivrer les médicaments. Au-delà de cette date, l’ordonnance n’est plus valable, et votre pharmacien ne peut vous délivrer vos médicaments.
Merci '' AGEVILLAGE '' pour cette information
Expiration de l’ordonnance*
Les patients atteints d’une maladie chronique peuvent obtenir la délivrance exceptionnelle de médicaments malgré l’expiration de leur ordonnance. Cette délivrance ne concerne que les médicaments prescrits pour au moins trois mois.
Une même ordonnance ne peut donner lieu qu’à une seule dispense. Le pharmacien ne délivre alors que la plus petite boîte disponible du médicament. Sont exclus de cette mesure les stupéfiants, les anxiolytiques et les hypnotiques.
[02.07.08]
Yves Bérani
* Décret et arrêté publiés au JO du jeudi 7 février 2008.
A noter
Dans la plupart des cas, vous avez trois mois au maximum après la date de prescription pour vous rendre dans une pharmacie et vous faire délivrer les médicaments. Au-delà de cette date, l’ordonnance n’est plus valable, et votre pharmacien ne peut vous délivrer vos médicaments.
Merci '' AGEVILLAGE '' pour cette information
Re: LA SANTE
Avec mes excuses près de Madame LEROY Directrice de VIVA PRESSE
L information ci dessus provient de '' VIVA PRESSE '' et non AGEVILLAGE.
L information ci dessus provient de '' VIVA PRESSE '' et non AGEVILLAGE.
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Si la Sécu rembourse moins, les tarifs des complémentaires vont exploser
Mise en ligne : 9 juillet 2008
Si l’assurance-maladie transférait certains remboursements aux complémentaires santé (mutuelles, assurances...), les tarifs de ces dernières augmenterait significativement, indique l’Agence France-Presse (Afp) qui s’est procuré le projet de rapport annuel du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (Hcaam).
Dans ce projet qui doit être examiné le 10 juillet, le Hcaam indique que dans « l’hypothèse la moins exigeante », les complémentaires devraient assumer une charge supplémentaire de 3 milliards d’euros par an, et seraient donc conduite à une augmentation des cotisations supportées par leurs assurés.
Cette augmentation des cotisations des complémentaires serait alors de « 12 à 16 %, soit de 130 à plus de 185 euros par an et par ménage ». Le Hcaam estime cependant que l’augmentation des charges des complémentaires pourrait ne pas être répercutée totalement, grâce à la « bonne santé financière » des complémentaires. L’augmentation, même limitée, pèserait pourtant d’abord sur les personnes âgées, les familles modestes et les ménages sans couverture complémentaire pour lesquels le Haut conseil juge utile d’envisager des aides.
Les transferts de charges de l’Assurance-maladie vers les complémentaires ont été largement utilisés ses dernières années pour réduire le déficit de la branche maladie de la Sécu.
En juin dernier encore, la mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (Mecss) du Sénat estimait qu’il « peut apparaître légitime d’envisager de nouveaux transferts de charges en direction des assureurs complémentaires ».
Si la Sécu rembourse moins, les tarifs des complémentaires vont exploser
Mise en ligne : 9 juillet 2008
Si l’assurance-maladie transférait certains remboursements aux complémentaires santé (mutuelles, assurances...), les tarifs de ces dernières augmenterait significativement, indique l’Agence France-Presse (Afp) qui s’est procuré le projet de rapport annuel du Haut Conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (Hcaam).
Dans ce projet qui doit être examiné le 10 juillet, le Hcaam indique que dans « l’hypothèse la moins exigeante », les complémentaires devraient assumer une charge supplémentaire de 3 milliards d’euros par an, et seraient donc conduite à une augmentation des cotisations supportées par leurs assurés.
Cette augmentation des cotisations des complémentaires serait alors de « 12 à 16 %, soit de 130 à plus de 185 euros par an et par ménage ». Le Hcaam estime cependant que l’augmentation des charges des complémentaires pourrait ne pas être répercutée totalement, grâce à la « bonne santé financière » des complémentaires. L’augmentation, même limitée, pèserait pourtant d’abord sur les personnes âgées, les familles modestes et les ménages sans couverture complémentaire pour lesquels le Haut conseil juge utile d’envisager des aides.
Les transferts de charges de l’Assurance-maladie vers les complémentaires ont été largement utilisés ses dernières années pour réduire le déficit de la branche maladie de la Sécu.
En juin dernier encore, la mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale (Mecss) du Sénat estimait qu’il « peut apparaître légitime d’envisager de nouveaux transferts de charges en direction des assureurs complémentaires ».
Re: LA SANTE
NOUS NE POURRONS PAYER !!!!
Re: LA SANTE
Information '' AGEVILLAGE '' que nous remercions .
La hausse des dépenses de santé en ville s'accélère : +4,6%
Les dépenses de santé de ville (médecine libérale) remboursées ont connu une hausse de 4,6% en 2007, supérieure à celle constatée de 2004 à 2006 (+3,2% par an en moyenne), mais inférieure à celle de 2000 à 2003 (plus de 7%), a indiqué jeudi la Drees (ministère de la Santé). "L'année 2007 est marquée par une nette accélération de la progression des dépenses de soins de ville en valeur: +4,6% (...) due essentiellement aux progressions des médicaments et des indemnités journalières", écrit-elle dans une étude, précisant que cette hausse des arrêts de travail "s'explique en grande partie par une nette reprise de l'emploi".
Cette accélération "contraste avec les évolutions modérées observées de 2004 à 2006 (+3,2% par an en moyenne)", note-t-elle. "Toutefois, la croissance observée en 2007, bien qu'en accélération par rapport aux trois dernières années, reste inférieure à l'évolution moyenne constatée depuis de début de la décennie et est nettement inférieure à celle constatée de 2000 à 2003 (plus de 7% par an en moyenne)", ajoute la Drees.
Pour télécharger l'étude
YM
mis à jour le 04/08/2008
Avec toutes les économies qu'ils font en faisant des cadeaux, ils veulent encore nous faire avaler cela......
BRIAND
La hausse des dépenses de santé en ville s'accélère : +4,6%
Les dépenses de santé de ville (médecine libérale) remboursées ont connu une hausse de 4,6% en 2007, supérieure à celle constatée de 2004 à 2006 (+3,2% par an en moyenne), mais inférieure à celle de 2000 à 2003 (plus de 7%), a indiqué jeudi la Drees (ministère de la Santé). "L'année 2007 est marquée par une nette accélération de la progression des dépenses de soins de ville en valeur: +4,6% (...) due essentiellement aux progressions des médicaments et des indemnités journalières", écrit-elle dans une étude, précisant que cette hausse des arrêts de travail "s'explique en grande partie par une nette reprise de l'emploi".
Cette accélération "contraste avec les évolutions modérées observées de 2004 à 2006 (+3,2% par an en moyenne)", note-t-elle. "Toutefois, la croissance observée en 2007, bien qu'en accélération par rapport aux trois dernières années, reste inférieure à l'évolution moyenne constatée depuis de début de la décennie et est nettement inférieure à celle constatée de 2000 à 2003 (plus de 7% par an en moyenne)", ajoute la Drees.
Pour télécharger l'étude
YM
mis à jour le 04/08/2008
Avec toutes les économies qu'ils font en faisant des cadeaux, ils veulent encore nous faire avaler cela......
BRIAND
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Acomplia : le médicament anti-obésité n’est pas sans risque
Mise en ligne : 12 août 2008
Mis sur le marché en 2006, Acomplia représentait une innovation majeure dans la lutte contre l’obésité sévère. Ce médicament du laboratoire Sanofi Aventis, associé à un régime alimentaire approprié et à l’exercice physique, obtient des résultats appréciable chez des patients souffrant d’un indice de masse corporelle [1] supérieur à 30 kg/m2 ou supérieur à 27 kg/m2 accompagné d’un diabète de type 2 ou d’un taux élevé de cholestérol, mais il doit être utilisé avec beaucoup de précaution.
Dans une mise en garde publiée qu’elle vient de publier conjointement avec le laboratoire Sanofi Aventis, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) alerte les médecins sur les risques de dépression associés à la prise de l’Acomplia. Ces risques avaient déjà été pointés en 2007 et abouti à édicter une contre-indication chez les patients souffrant d’une dépression en cours ou traités par antidépresseurs.
Or l’analyse des données recueillies depuis a mis aussi en évidence des cas de dépression chez des patients qui ne sont pas dépressifs et ne prenent pas d’antidépresseurs. Dans 80% des cas, ces troubles surviennent au cours des 3 premiers mois de traitement.
« Si une dépression est diagnostiquée, le traitement doit être arrêté », précise l’Agence. « Le patient doit être suivi et traité de façon appropriée ».
En France, Acomplia est disponible uniquement sur prescription médicale. Son remboursement est réservé aux patients obèses et diabétiques de type 2. La prescription doit être effectuée sur une ordonnance de médicament d’exception.
[1] L’indice de masse de corporelle permet de diagnostiquer une obésité ou un surpoids .
Il est calculé en divisant la taille par le poids au carré : IMC=poids/ taille2 Des seuils permettent ensuite d’évaluer les zones à risque, notamment de maladies cardiovasculaires. Une corpulence normale correspond à un IMC compris entre 18,5 et 25.
L’IMC est une méthode fiable pour les adultes de 20 à 65 ans, mais ne peut pas être utilisée telle quelle pour les femmes enceintes ou qui allaitent, les athlètes d’endurance ou les personnes très musclées.
Acomplia : le médicament anti-obésité n’est pas sans risque
Mise en ligne : 12 août 2008
Mis sur le marché en 2006, Acomplia représentait une innovation majeure dans la lutte contre l’obésité sévère. Ce médicament du laboratoire Sanofi Aventis, associé à un régime alimentaire approprié et à l’exercice physique, obtient des résultats appréciable chez des patients souffrant d’un indice de masse corporelle [1] supérieur à 30 kg/m2 ou supérieur à 27 kg/m2 accompagné d’un diabète de type 2 ou d’un taux élevé de cholestérol, mais il doit être utilisé avec beaucoup de précaution.
Dans une mise en garde publiée qu’elle vient de publier conjointement avec le laboratoire Sanofi Aventis, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) alerte les médecins sur les risques de dépression associés à la prise de l’Acomplia. Ces risques avaient déjà été pointés en 2007 et abouti à édicter une contre-indication chez les patients souffrant d’une dépression en cours ou traités par antidépresseurs.
Or l’analyse des données recueillies depuis a mis aussi en évidence des cas de dépression chez des patients qui ne sont pas dépressifs et ne prenent pas d’antidépresseurs. Dans 80% des cas, ces troubles surviennent au cours des 3 premiers mois de traitement.
« Si une dépression est diagnostiquée, le traitement doit être arrêté », précise l’Agence. « Le patient doit être suivi et traité de façon appropriée ».
En France, Acomplia est disponible uniquement sur prescription médicale. Son remboursement est réservé aux patients obèses et diabétiques de type 2. La prescription doit être effectuée sur une ordonnance de médicament d’exception.
[1] L’indice de masse de corporelle permet de diagnostiquer une obésité ou un surpoids .
Il est calculé en divisant la taille par le poids au carré : IMC=poids/ taille2 Des seuils permettent ensuite d’évaluer les zones à risque, notamment de maladies cardiovasculaires. Une corpulence normale correspond à un IMC compris entre 18,5 et 25.
L’IMC est une méthode fiable pour les adultes de 20 à 65 ans, mais ne peut pas être utilisée telle quelle pour les femmes enceintes ou qui allaitent, les athlètes d’endurance ou les personnes très musclées.
Re: LA SANTE
Fumer tue : pourquoi ?
Fumer tue. Personne ne peut désormais l'ignorer, la loi obligeant à faire apparaître clairement sur les paquets de cigarettes des mentions informant de la dangerosité du tabac.
Mais qu'est-ce qui rend une cigarette si dangereuse pour la santé ?
En fumant, on inspire bien sûr de la nicotine, poison violent qui suffirait à rendre le tabac dangereux (injectée directement dans une veine, la dose de nicotine contenue dans une cigarette suffit pour tuer un homme), mais aussi plus de 4000 produits dont au moins 50 sont cancérigènes, entre autres :
du phénol (acide extrêmement toxique)
de la pyridine (liquide inflammable utilisé notamment dans les insecticides)
de l’arsenic (poison très violent)
du méthanol (alcool toxique, utilisé entre autres dans les antigels)
du sulfite d’hydrogène (gaz toxique)
du cyanure d’hydrogène (poison utilisé pour exécuter les condamnés à mort)
de l’ammoniac (utilisé entre autres dans la fabrication d’explosifs et de désinfectants, il facilite l’absorption de nicotine et aggrave la dépendance)
du formol (gaz irritant)
de l’acide formique (très irritant, utilisé dans la fabrication du cuir)
de l’acétonitrile (composé toxique utilisé entre autres dans la fabrication d’insecticides)
du chlorure de méthyle (gaz toxique utilisé dans la fabrication des solvants de peinture)
de l’acroléine (liquide toxique, irritant)
de l’oxyde nitreux (gaz irritant)
de l’acétaldéhyde (liquide inflammable très toxique)
du propionadéhyde (liquide utilisé comme désinfectant)
des goudrons
La forte toxicité des cigarettes vient donc à la fois du tabac lui-même (nicotine), des nombreux produits rajoutés (pour limiter l'acreté, adoucir le goût, ...) et de la combustion (c'est-à-dire de la transformation des molécules par la chaleur).
Reçu d'une amie que je remercie.
JE NE FUME PLUS
J'AI PEUR
Fumer tue. Personne ne peut désormais l'ignorer, la loi obligeant à faire apparaître clairement sur les paquets de cigarettes des mentions informant de la dangerosité du tabac.
Mais qu'est-ce qui rend une cigarette si dangereuse pour la santé ?
En fumant, on inspire bien sûr de la nicotine, poison violent qui suffirait à rendre le tabac dangereux (injectée directement dans une veine, la dose de nicotine contenue dans une cigarette suffit pour tuer un homme), mais aussi plus de 4000 produits dont au moins 50 sont cancérigènes, entre autres :
du phénol (acide extrêmement toxique)
de la pyridine (liquide inflammable utilisé notamment dans les insecticides)
de l’arsenic (poison très violent)
du méthanol (alcool toxique, utilisé entre autres dans les antigels)
du sulfite d’hydrogène (gaz toxique)
du cyanure d’hydrogène (poison utilisé pour exécuter les condamnés à mort)
de l’ammoniac (utilisé entre autres dans la fabrication d’explosifs et de désinfectants, il facilite l’absorption de nicotine et aggrave la dépendance)
du formol (gaz irritant)
de l’acide formique (très irritant, utilisé dans la fabrication du cuir)
de l’acétonitrile (composé toxique utilisé entre autres dans la fabrication d’insecticides)
du chlorure de méthyle (gaz toxique utilisé dans la fabrication des solvants de peinture)
de l’acroléine (liquide toxique, irritant)
de l’oxyde nitreux (gaz irritant)
de l’acétaldéhyde (liquide inflammable très toxique)
du propionadéhyde (liquide utilisé comme désinfectant)
des goudrons
La forte toxicité des cigarettes vient donc à la fois du tabac lui-même (nicotine), des nombreux produits rajoutés (pour limiter l'acreté, adoucir le goût, ...) et de la combustion (c'est-à-dire de la transformation des molécules par la chaleur).
Reçu d'une amie que je remercie.
JE NE FUME PLUS
J'AI PEUR
Re: LA SANTE
Information VIVA PRESSE que nous remercions
L’Afssaps fiche les effets indésirables des produits de tatouage
Mise en ligne : 22 juillet 2008
Désormais, professionnels de santé et tatoueurs doivent déclarer à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) « tout effet indésirable grave provoqué par un produit de tatouage », y compris les produits dits de « maquillage permanent ».
Pour ce faire, l’Afssaps a produit une fiche de déclaration d’effets indésirables repérés, fiche disponible en ligne sur le site de l’agence.
Les réactions possibles aux produits de tatouage peuvent être des allergies (eczéma, urticaire), des inflammations ou des infections. La création de cette fiche déclarative intervient après que deux décrets du début 2008 ont précisé les conditions d’hygiène des piercings et des tatouages
L’Afssaps fiche les effets indésirables des produits de tatouage
Mise en ligne : 22 juillet 2008
Désormais, professionnels de santé et tatoueurs doivent déclarer à l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) « tout effet indésirable grave provoqué par un produit de tatouage », y compris les produits dits de « maquillage permanent ».
Pour ce faire, l’Afssaps a produit une fiche de déclaration d’effets indésirables repérés, fiche disponible en ligne sur le site de l’agence.
Les réactions possibles aux produits de tatouage peuvent être des allergies (eczéma, urticaire), des inflammations ou des infections. La création de cette fiche déclarative intervient après que deux décrets du début 2008 ont précisé les conditions d’hygiène des piercings et des tatouages
Re: LA SANTE
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Assurance-maladie et santé : l’opinion des Français
Mise en ligne : 29 août 2008
La Drees publie une enquête sur l’ « Evolution des opinions des Français en matière de santé et d’assurance-maladie entre 200 et 2007 ».
73 % des personnes interrogées s’estiment de mieux en mieux informées sur la santé, notamment les plus de 65 ans. En la matière, la moitié des sondés affirment n’avoir confiance qu’en leur médecin. 53 % – notamment les ouvriers et les personnes âgées – pensent que les informations sur la santé sont trop compliquées. Logiquement, 68 % critiquent le traitement des questions de santé par les médias et leur reprochent une tendance à l’exagération.
Pourtant, selon l’enquête, la crainte des risques sanitaires s’est accrue : un tiers seulement des Français juge que les aliments sont de meilleures qualité qu’auparavant. Les trois quarts des sondés évoquent un manque de contrôle dans l’alimentation et en craignent des conséquences.
Une majorité (67 %) trouve normal que l’on dépense de plus en plus pour la santé dans notre pays car la santé n’a pas de prix. Si les dépenses de santé sont trop élevées, c’est d’abord parce que la gestion du système est mauvaise (85 %).
Parmi les solutions pour limiter les dépenses de santé, le dossier médical partagé (en projet) ou le médecin traitant sont bien accueillis. Le forfait de 1 euro par consultation laisse sceptique.
Pour réduire les dépenses de santé, les personnes interrogées privilégient la limitation de la liberté des prix des consultations, la modification des habitudes de prescription des médecins, ou encore le non-remboursement des consultations multiples pour le même motif (75 %).
L’universalité du système reste une valeur partagé par 81 % des sondés qui estiment que tout le monde doit bénéficier de l’assurance-maladie. Pourtant, 6 Français sur 10 affirment qu’il y a des inégalités selon le lieu de vie et les revenus. A noter : 24 % seulement des sondés jugent que cela marchera mieux s’il n’y avait pas de monopole de la Sécu.
P.S. Plus d’infos dans Etudes et résultats n° 651 (6 pages) « Evolution des opinions des Français en matière de santé et d’assurance-maladie entre 2000 et 2007 » :
Assurance-maladie et santé : l’opinion des Français
Mise en ligne : 29 août 2008
La Drees publie une enquête sur l’ « Evolution des opinions des Français en matière de santé et d’assurance-maladie entre 200 et 2007 ».
73 % des personnes interrogées s’estiment de mieux en mieux informées sur la santé, notamment les plus de 65 ans. En la matière, la moitié des sondés affirment n’avoir confiance qu’en leur médecin. 53 % – notamment les ouvriers et les personnes âgées – pensent que les informations sur la santé sont trop compliquées. Logiquement, 68 % critiquent le traitement des questions de santé par les médias et leur reprochent une tendance à l’exagération.
Pourtant, selon l’enquête, la crainte des risques sanitaires s’est accrue : un tiers seulement des Français juge que les aliments sont de meilleures qualité qu’auparavant. Les trois quarts des sondés évoquent un manque de contrôle dans l’alimentation et en craignent des conséquences.
Une majorité (67 %) trouve normal que l’on dépense de plus en plus pour la santé dans notre pays car la santé n’a pas de prix. Si les dépenses de santé sont trop élevées, c’est d’abord parce que la gestion du système est mauvaise (85 %).
Parmi les solutions pour limiter les dépenses de santé, le dossier médical partagé (en projet) ou le médecin traitant sont bien accueillis. Le forfait de 1 euro par consultation laisse sceptique.
Pour réduire les dépenses de santé, les personnes interrogées privilégient la limitation de la liberté des prix des consultations, la modification des habitudes de prescription des médecins, ou encore le non-remboursement des consultations multiples pour le même motif (75 %).
L’universalité du système reste une valeur partagé par 81 % des sondés qui estiment que tout le monde doit bénéficier de l’assurance-maladie. Pourtant, 6 Français sur 10 affirment qu’il y a des inégalités selon le lieu de vie et les revenus. A noter : 24 % seulement des sondés jugent que cela marchera mieux s’il n’y avait pas de monopole de la Sécu.
P.S. Plus d’infos dans Etudes et résultats n° 651 (6 pages) « Evolution des opinions des Français en matière de santé et d’assurance-maladie entre 2000 et 2007 » :
Re: LA SANTE
Information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions
Allégations santé : Bruxelles perd la tête
Va-t-il bientôt falloir annexer une notice aux produits alimentaires pour informer les consommateurs de tous les bienfaits qu'ils leur procurent ? C'est ce qu'on peut craindre au vu du projet de règlementation sur les allégations santé concocté par la Commission européenne. Ladite commission était censée fournir une liste de slogans utilisables par les industriels. Comme il s'agit d'éviter de tromper les consommateurs, on aurait pu imaginer qu'elle fasse preuve d'une certaine rigueur. C'est tout le contraire qui s'est produit. La liste en projet comporte plusieurs centaines d'allégations qui semblent émaner du cerveau dérangé d'un professeur Nimbus égaré au pays de l'agroalimentaire. Pour ne prendre que quelques exemples, le café, outre qu'il est « une source majeure d'antioxydants », contribue à une « bonne hydratation, qui maintient les performances mentales et physiques ». Même chose pour le thé qui, en outre « rafraîchit le corps et l'esprit » et « protège contre les dégâts dus aux rayons UV ». Les chewing-gums sans sucre « peuvent être utiles dans la maîtrise du poids » (indubitable, certaines victimes d'amaigrissement dramatique dus aux polyols qu'ils contiennent peuvent en témoigner). Tous les aliments qui n'induisent pas de caries ou d'érosion de la plaque dentaire sont « favorables à la santé dentaire », les graisses sont « une source d'énergie » et tous les produits comportant une certaine dose de vitamines, quelles qu'elles soient « contribuent à une reproduction normale ». Bref, si les Etats membres destinataires de ce projet ne redressent pas la barre, quel que soit le contenu de votre assiette, même s'il s'avère des moins recommandables aux yeux des nutritionnistes, il pourra être déclaré excellent pour la santé avec la bénédiction de Bruxelles. Prompt rétablissement ! Euh pardon, bon appétit !
Date : Jeudi 28 Août
Allégations santé : Bruxelles perd la tête
Va-t-il bientôt falloir annexer une notice aux produits alimentaires pour informer les consommateurs de tous les bienfaits qu'ils leur procurent ? C'est ce qu'on peut craindre au vu du projet de règlementation sur les allégations santé concocté par la Commission européenne. Ladite commission était censée fournir une liste de slogans utilisables par les industriels. Comme il s'agit d'éviter de tromper les consommateurs, on aurait pu imaginer qu'elle fasse preuve d'une certaine rigueur. C'est tout le contraire qui s'est produit. La liste en projet comporte plusieurs centaines d'allégations qui semblent émaner du cerveau dérangé d'un professeur Nimbus égaré au pays de l'agroalimentaire. Pour ne prendre que quelques exemples, le café, outre qu'il est « une source majeure d'antioxydants », contribue à une « bonne hydratation, qui maintient les performances mentales et physiques ». Même chose pour le thé qui, en outre « rafraîchit le corps et l'esprit » et « protège contre les dégâts dus aux rayons UV ». Les chewing-gums sans sucre « peuvent être utiles dans la maîtrise du poids » (indubitable, certaines victimes d'amaigrissement dramatique dus aux polyols qu'ils contiennent peuvent en témoigner). Tous les aliments qui n'induisent pas de caries ou d'érosion de la plaque dentaire sont « favorables à la santé dentaire », les graisses sont « une source d'énergie » et tous les produits comportant une certaine dose de vitamines, quelles qu'elles soient « contribuent à une reproduction normale ». Bref, si les Etats membres destinataires de ce projet ne redressent pas la barre, quel que soit le contenu de votre assiette, même s'il s'avère des moins recommandables aux yeux des nutritionnistes, il pourra être déclaré excellent pour la santé avec la bénédiction de Bruxelles. Prompt rétablissement ! Euh pardon, bon appétit !
Date : Jeudi 28 Août
Re: LA SANTE
Information '' AGEVILLAGE '' que nous remercions
Actualités->Santé
Apres 50 ans, des rapports sexuels réguliers réduisent le risque d’impuissance
Etude finlandaise
Passé la cinquantaine, des relations sexuelles suffisamment fréquentes permettent aux hommes de diminuer le risque d’impuissance.
La dysfonction érectile est l’incapacité à obtenir ou maintenir un degré d'érection suffisant pour avoir une activité sexuelle satisfaisante. Pour évaluer les effets de la fréquence des rapports sexuels sur le risque de survenue de troubles de l’érection, des chercheurs Finlandais ont envoyé des questionnaires à 989 hommes âgés de 55 à 75 ans sans difficulté érectile déclarée.
Un premier questionnaire leur a été adressé en début d’étude et un second 5 ans après. Selon ces données, plus la fréquence des rapports sexuels était élevée au départ, moins il y avait de risque de voir apparaître une impuissance à 5 ans.
Après ajustement sur les comorbidités et les autres facteurs de risque, les hommes qui avaient moins d’une relation sexuelle par semaine étaient deux fois plus nombreux à avoir des troubles d’érection à l’issue de l’enquête que ceux qui avaient un rapport sexuel par semaine. Les participants qui avaient au moins trois rapports hebdomadaires étaient quatre fois moins nombreux à manifester des difficultés érectiles.
Les auteurs en concluent que passé la cinquantaine, des relations sexuelles suffisamment fréquentes permettent aux hommes de diminuer le risque d’impuissance.
Références : (Koskimäki J et al. Am J Med. 2008;121:592-596)
Successful aging
mis à jour le 01/09/2008
Actualités->Santé
Apres 50 ans, des rapports sexuels réguliers réduisent le risque d’impuissance
Etude finlandaise
Passé la cinquantaine, des relations sexuelles suffisamment fréquentes permettent aux hommes de diminuer le risque d’impuissance.
La dysfonction érectile est l’incapacité à obtenir ou maintenir un degré d'érection suffisant pour avoir une activité sexuelle satisfaisante. Pour évaluer les effets de la fréquence des rapports sexuels sur le risque de survenue de troubles de l’érection, des chercheurs Finlandais ont envoyé des questionnaires à 989 hommes âgés de 55 à 75 ans sans difficulté érectile déclarée.
Un premier questionnaire leur a été adressé en début d’étude et un second 5 ans après. Selon ces données, plus la fréquence des rapports sexuels était élevée au départ, moins il y avait de risque de voir apparaître une impuissance à 5 ans.
Après ajustement sur les comorbidités et les autres facteurs de risque, les hommes qui avaient moins d’une relation sexuelle par semaine étaient deux fois plus nombreux à avoir des troubles d’érection à l’issue de l’enquête que ceux qui avaient un rapport sexuel par semaine. Les participants qui avaient au moins trois rapports hebdomadaires étaient quatre fois moins nombreux à manifester des difficultés érectiles.
Les auteurs en concluent que passé la cinquantaine, des relations sexuelles suffisamment fréquentes permettent aux hommes de diminuer le risque d’impuissance.
Références : (Koskimäki J et al. Am J Med. 2008;121:592-596)
Successful aging
mis à jour le 01/09/2008
Re: LA SANTE
Un grand merci à '' AGEVILLAGE '' pour toutes ces informations aujourd'hui 1/09/2008
POUR VOTRE INFORMATION
Actualités->Bien vieillir
Une hospitalisation doublerait le risque de fracture chez les personnes âgées
Etude américaine
L'hospitalisation, surtout répétée, serait fortement associée à un risque de fracture accru chez les personnes âgées, d'après des chercheurs américains, qui soulignent l'importance d'une évaluation et d'un traitement de ce risque.
Chez les personnes âgées, une hospitalisation conduit souvent à une perte des fonctions physiques. L'immobilité augmente le remodelage osseux et diminue la densité minérale osseuse des adultes contraints à l'alitement, indiquent Rebekah Gardner et ses collègues de l'université de Californie.
Pour évaluer le risque de fracture consécutif à une hospitalisation, les chercheurs ont suivi pendant 6,6 ans en moyenne 3.075 personnes âgées de 70 à 79 ans, recrutées dans deux villes américaines entre 1997 et 1998.
Au total, 2.030 personnes ont été hospitalisées pendant l'étude, dont 809 plus de trois fois. Dans le même temps, 285 des participants ont rapporté un total de 362 fractures, incluant 80 fractures de la hanche.
Après ajustement pour le sexe, l'âge et l'origine ethnique, l'analyse a montré que, globalement, l'hospitalisation doublait le risque de fracture, notamment celui de la hanche, ont constaté les chercheurs.
Pour un, deux et trois séjours ou plus à l'hôpital, le risque de fracture était respectivement multiplié par 1,45, 2,42 et 3,65.
Durant l'étude, deux tiers de la cohorte, composée pourtant à l'origine de "personnes âgées relativement en bonne santé", ont connu au moins une hospitalisation et 26% ont été admis à l'hôpital au moins trois fois, soulignent les auteurs.
"Le séjour à l'hôpital pourrait être l'occasion de commencer une évaluation des causes potentielles d'augmentation des risques de fractures et des traitements appropriés pour réduire ce risque", concluent les auteurs.
(Archives of Internal Medicine, vol.168, n°15, pp.1671-1677)
APM
mis à jour le 01/09/2008
POUR VOTRE INFORMATION
Actualités->Bien vieillir
Une hospitalisation doublerait le risque de fracture chez les personnes âgées
Etude américaine
L'hospitalisation, surtout répétée, serait fortement associée à un risque de fracture accru chez les personnes âgées, d'après des chercheurs américains, qui soulignent l'importance d'une évaluation et d'un traitement de ce risque.
Chez les personnes âgées, une hospitalisation conduit souvent à une perte des fonctions physiques. L'immobilité augmente le remodelage osseux et diminue la densité minérale osseuse des adultes contraints à l'alitement, indiquent Rebekah Gardner et ses collègues de l'université de Californie.
Pour évaluer le risque de fracture consécutif à une hospitalisation, les chercheurs ont suivi pendant 6,6 ans en moyenne 3.075 personnes âgées de 70 à 79 ans, recrutées dans deux villes américaines entre 1997 et 1998.
Au total, 2.030 personnes ont été hospitalisées pendant l'étude, dont 809 plus de trois fois. Dans le même temps, 285 des participants ont rapporté un total de 362 fractures, incluant 80 fractures de la hanche.
Après ajustement pour le sexe, l'âge et l'origine ethnique, l'analyse a montré que, globalement, l'hospitalisation doublait le risque de fracture, notamment celui de la hanche, ont constaté les chercheurs.
Pour un, deux et trois séjours ou plus à l'hôpital, le risque de fracture était respectivement multiplié par 1,45, 2,42 et 3,65.
Durant l'étude, deux tiers de la cohorte, composée pourtant à l'origine de "personnes âgées relativement en bonne santé", ont connu au moins une hospitalisation et 26% ont été admis à l'hôpital au moins trois fois, soulignent les auteurs.
"Le séjour à l'hôpital pourrait être l'occasion de commencer une évaluation des causes potentielles d'augmentation des risques de fractures et des traitements appropriés pour réduire ce risque", concluent les auteurs.
(Archives of Internal Medicine, vol.168, n°15, pp.1671-1677)
APM
mis à jour le 01/09/2008
Re: LA SANTE
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Actualités->Santé
Apr7s 50 ans, des rapports sexuels réguliers réduisent le risque d’impuissance
Etude finlandaise
Actualités->Santé
Apr7s 50 ans, des rapports sexuels réguliers réduisent le risque d’impuissance
Etude finlandaise