Bonsoir,
Comme proposé dans le sujet "Atelier d'écriture", je vous suggère de rédiger un premier texte , disons dans la semaine.
Il s'agit d'une proposition "classique" d'atelier d'écriture, il s'agit tout simplement de placer dans votre texte
les quatre éléments suivants :
Un lieu : un train
Un objet : une télécommande
Une personne : une femme prénommée Eva
Un moment : le début du printemps
Le récit devrait être d'environ 20 à 30 lignes maxi pour être lu facilement.
A vos claviers et bon voyage!
Rémy
Un 1er récit ! Avis aux amateurs !
Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP
Règles du forum
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de bannissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
Vous pouvez voir ici les règles strictes d'utilisation du FORUM...
Il est interdit de diffamer, d'insulter, de prôner la haine raciale et en résumé tout ce que le respect d'autrui devrait vous interdire !!
Merci de tenir compte de ces règles sous peine de bannissement et d'interdiction temporaire puis définitive de ce forum...
En cas de spams massifs, vous pouvez adresser un message au webmestre via spams@parlonsdelapr.fr
Merci de votre compréhension et de votre soutien
Un 1er récit ! Avis aux amateurs !
Tempus fugit velut umbra ! Carpe diem !
Après ce long hiver triste et froid, le printemps donne des envies de voyage à Eva. Elle veut voir la mer ...
En train, elle mettra seulement deux heures pour arriver à Saint Malo. A l'idée de voir les joncs en fleur et de humer les parfums d'iode des embruns malouins, elle en est toute retournée.
Elle fait ses bagages et prend bien soin d'y mettre son drap de plage et ses maillots, on ne sait jamais si il fait vraiment beau, elle se baignera dans la mer d'émeraude, sinon, les Thermes feront l'affaire.
A la gare, il n'y a pas grand monde au guichet et elle a vite son billet de train en poche. Elle regrette d'avoir mis ces nouvelles sandales à talons, ce n'est pas pratique pour arpenter les quais. Mais ils vont si bien avec cette jolie robe à fleurs et sont assortis à son sac et son chapeau. Et puis, dans très peu de temps, elle sera assise.
Enfin, le train arrive en gare de St Malo et elle croit sentir déjà l'odeur reconnaissable entre toutes de la ville fortifiée. Poutant, la gare en est un peu loin ...
Arrivée à son hôtel, elle regarde la baie qui semble faite de métal argenté sous les derniers rayons du soleil. Elle décide de défaire sa valise et éclate d'un fou rire qui la tiendra un bon quart d'heure. Elle a emmené la télécommande de sa télévision ! pour quoi faire, vraiment ?
Son mari, resté à la maison pour son travail, devra se lever chaque fois qu'il devra changer de programme. Cette idée la ravie au plus haut point. Vraiment quelles belles vacances elle va passer.
Catm
En train, elle mettra seulement deux heures pour arriver à Saint Malo. A l'idée de voir les joncs en fleur et de humer les parfums d'iode des embruns malouins, elle en est toute retournée.
Elle fait ses bagages et prend bien soin d'y mettre son drap de plage et ses maillots, on ne sait jamais si il fait vraiment beau, elle se baignera dans la mer d'émeraude, sinon, les Thermes feront l'affaire.
A la gare, il n'y a pas grand monde au guichet et elle a vite son billet de train en poche. Elle regrette d'avoir mis ces nouvelles sandales à talons, ce n'est pas pratique pour arpenter les quais. Mais ils vont si bien avec cette jolie robe à fleurs et sont assortis à son sac et son chapeau. Et puis, dans très peu de temps, elle sera assise.
Enfin, le train arrive en gare de St Malo et elle croit sentir déjà l'odeur reconnaissable entre toutes de la ville fortifiée. Poutant, la gare en est un peu loin ...
Arrivée à son hôtel, elle regarde la baie qui semble faite de métal argenté sous les derniers rayons du soleil. Elle décide de défaire sa valise et éclate d'un fou rire qui la tiendra un bon quart d'heure. Elle a emmené la télécommande de sa télévision ! pour quoi faire, vraiment ?
Son mari, resté à la maison pour son travail, devra se lever chaque fois qu'il devra changer de programme. Cette idée la ravie au plus haut point. Vraiment quelles belles vacances elle va passer.
Catm
-
sauze arlette
- Messages : 27
- Enregistré le : 17 oct. 2005, 17:19
un nouvel écrivain est né !
Bravo Cat, ton texte est digne des meilleures nouvelles d'Anna Gavalda (que j'aime beaucoup).
je ne dois pas être la seule à vouloir connaître la suite ............
A bientôt
Arlette
je ne dois pas être la seule à vouloir connaître la suite ............
A bientôt
Arlette
Super, Catherine, ce premier essai !
Nat , il n'y a pas de compétition, juste des instant d'évasion pour les rédacteurs et lecteurs, vous voyez tout le monde en redemande !
Dalila, mais chacun prend son clavier , le plus dur c'est de créer la situation, vécue ou imaginaire !
Les contraintes sont pour le texte pas pour vous , au contraire !
On vous attends !
Même Briand !
Nat , il n'y a pas de compétition, juste des instant d'évasion pour les rédacteurs et lecteurs, vous voyez tout le monde en redemande !
Dalila, mais chacun prend son clavier , le plus dur c'est de créer la situation, vécue ou imaginaire !
Les contraintes sont pour le texte pas pour vous , au contraire !
On vous attends !
Même Briand !
Tempus fugit velut umbra ! Carpe diem !
Elle mit la télécommande de coté et continua à défaire sa valise, elle s’est dite que ça serait une petite punition pour son mari, lui qui avait refusé de l’accompagner.
Elle se dévêtit, prit une douche et se reposa quelques petits instants, elle se remémora le train et les vibrations quelle sentait sous ses pieds, elle revit au même temps les prairies qu’elle apercevait à travers la fenêtre...Ses pensée l’aidèrent à sommeiller quelques petites secondes qui lui redonnèrent énergie.
Parmi ses vêtements, elle opta pour une jolie robe rose a bretelles, qui met en valeur son corps svelte et élancé. Elle lissa ses cheveux noirs et les relâcha en cascade sur se épaules, ses yeux d’un bleu d’azur étaient rayonnant de joie, le printemps s’annonçait bien pour Eva, un programme bien chargé était déjà planifié dans sa jolie tête brune. Elle avait pris la décision de partir en vacances après deux langues années de travail consécutives.
Elle mit des ballerines légères et quitta sa chambre…..
Elle se dévêtit, prit une douche et se reposa quelques petits instants, elle se remémora le train et les vibrations quelle sentait sous ses pieds, elle revit au même temps les prairies qu’elle apercevait à travers la fenêtre...Ses pensée l’aidèrent à sommeiller quelques petites secondes qui lui redonnèrent énergie.
Parmi ses vêtements, elle opta pour une jolie robe rose a bretelles, qui met en valeur son corps svelte et élancé. Elle lissa ses cheveux noirs et les relâcha en cascade sur se épaules, ses yeux d’un bleu d’azur étaient rayonnant de joie, le printemps s’annonçait bien pour Eva, un programme bien chargé était déjà planifié dans sa jolie tête brune. Elle avait pris la décision de partir en vacances après deux langues années de travail consécutives.
Elle mit des ballerines légères et quitta sa chambre…..
"Quand je me vois, je me désole ; quand je me compare, je me console"
le début du printemps est toujours le moment idéal pour Eva pour porter ses ballerines préférées, celles de couleur blanche !!! Portées avec sa longue robe de lin, elle était parfaite. Elle glissa un foulard dans sa noire chevelure et sourit. Le reflet qu'elle offrait aux différentes vitrines de magasin la ravissait.
Cependant, un souvenir la perturbait. Le jeune homme dans le train. Le regard de ce jeune homme. Chaleureux, curieux... curieux de la vie... curieux de l'amour.
Un frisson parcourut le corps de la jeune femme.
A des centaines de kilomètres de là, le même frisson venait de parcourir le corps d'un homme. Un homme amoureux ... depuis 3 ans... Il se leva du canapé et chercha du regard la télécommande. Il la saisit et ...
Cependant, un souvenir la perturbait. Le jeune homme dans le train. Le regard de ce jeune homme. Chaleureux, curieux... curieux de la vie... curieux de l'amour.
Un frisson parcourut le corps de la jeune femme.
A des centaines de kilomètres de là, le même frisson venait de parcourir le corps d'un homme. Un homme amoureux ... depuis 3 ans... Il se leva du canapé et chercha du regard la télécommande. Il la saisit et ...
Nat
on ira tous au paradis ...
Des trains pas comme les autres.
Très peu de monde sur le quai de cette petite gare rurale par ce beau matin de printemps. Vous vous souvenez de ces gares où on traverse les voies, juste avant la sonnerie qui annonce l’arrivée de la micheline qui crache sa fumée noire,.maculant ses couleurs jaune et rouge.Et la garde barrière, main sur les hanches, qui regarde passer le convoi, après avoir manœuvré sa manivelle comme tous les jours depuis des années. La jeune Eva, parisienne habituée plutôt à prendre le TGV, avait l’air amusée par la situation en se rappelant ce que lui racontait son grand père qui avait passé sa vie dans les trains comme contrôleur. Elle était venue lui rendre visite dans ce petit village où il s’était retiré depuis sa retraite bien méritée. Il habitait maintenant dans l’école du village, désaffectée et transformée en pavillon depuis qu’elle avait fermé à cause de l’exode rural. Sur la place de la gare, le vieux tube du boulanger avertissait les quelques habitués de son arrivée. Sur les cimes alentour quelques plaques de neige reflétait les rayons du soleil. A l’écart du quai, un vieux hangar restait encore debout au milieu de la végétation qui l’envahissait. Un peu plus loin, Eva pouvait deviner l’entrée noire du tunnel.
- Raymond, le déjeuner est prêt ! lança Jeanne la femme du retraité.
- J’arrive, je cherche ma télécommande pour arrêter ma micheline, répondit le cheminot.
- T’en as pas marre de ce circuit ! Et le jardin , c’est encore moi qui vais l’faire !
Raymond rangea délicatement tous les personnages de son circuit.La jeune citadine, la garde barrière, le boulanger rejoignirent la boîte à biscuits jusqu’au lendemain matin. Le circuit prenait de plus en plus de place dans la pièce depuis quinze ans qu’il avait commencé et aussi dans sa vie quotidienne, au grand dam de Jeanne.
Très peu de monde sur le quai de cette petite gare rurale par ce beau matin de printemps. Vous vous souvenez de ces gares où on traverse les voies, juste avant la sonnerie qui annonce l’arrivée de la micheline qui crache sa fumée noire,.maculant ses couleurs jaune et rouge.Et la garde barrière, main sur les hanches, qui regarde passer le convoi, après avoir manœuvré sa manivelle comme tous les jours depuis des années. La jeune Eva, parisienne habituée plutôt à prendre le TGV, avait l’air amusée par la situation en se rappelant ce que lui racontait son grand père qui avait passé sa vie dans les trains comme contrôleur. Elle était venue lui rendre visite dans ce petit village où il s’était retiré depuis sa retraite bien méritée. Il habitait maintenant dans l’école du village, désaffectée et transformée en pavillon depuis qu’elle avait fermé à cause de l’exode rural. Sur la place de la gare, le vieux tube du boulanger avertissait les quelques habitués de son arrivée. Sur les cimes alentour quelques plaques de neige reflétait les rayons du soleil. A l’écart du quai, un vieux hangar restait encore debout au milieu de la végétation qui l’envahissait. Un peu plus loin, Eva pouvait deviner l’entrée noire du tunnel.
- Raymond, le déjeuner est prêt ! lança Jeanne la femme du retraité.
- J’arrive, je cherche ma télécommande pour arrêter ma micheline, répondit le cheminot.
- T’en as pas marre de ce circuit ! Et le jardin , c’est encore moi qui vais l’faire !
Raymond rangea délicatement tous les personnages de son circuit.La jeune citadine, la garde barrière, le boulanger rejoignirent la boîte à biscuits jusqu’au lendemain matin. Le circuit prenait de plus en plus de place dans la pièce depuis quinze ans qu’il avait commencé et aussi dans sa vie quotidienne, au grand dam de Jeanne.
Tempus fugit velut umbra ! Carpe diem !
Bon ! je vois qu'il y a une préférence pour continuer une histoire.
Mais c'est bien aussi !
J'avais vu dans le forum que Vivie avait essayé il y a qques semaines , et ça n'avait pas prit .
C'est comme on veut.
Néanmoins, je vous propose une consigne par semaine pour exercer différentes formes d'écriture .
Alors on continue l'histoire de Catm
bises de printemps
Mais c'est bien aussi !
J'avais vu dans le forum que Vivie avait essayé il y a qques semaines , et ça n'avait pas prit .
C'est comme on veut.
Néanmoins, je vous propose une consigne par semaine pour exercer différentes formes d'écriture .
Alors on continue l'histoire de Catm
bises de printemps
Tempus fugit velut umbra ! Carpe diem !
Il la saisit et changea de chaine la télévision afin de pouvoir regarder tranquillement son émission préférée sur la nature, en effet cet homme avait une passion les fleurs, les arbres, et les beaux paysages que notre pays offre volontier en ce début de printemps dans nos campagnes.
En effet, pour lui paysagiste de métier rien n'était plus important que des documentaires sur la nature afin de pouvoir améliorer son savoir et de reproduire ces beaux jardins chez ses clients.
Tout en admirant ce spectacle, il se mit à penser à cette inconnnue que son regard croisa lors de son déplacement pour son travail ce matin, dans le train.
En effet il se souvient de la conversation qu'il a eu avec Eva, de la douceur de sa voix et surtout de son doux parfum oriental, quelle femme pensa-t-il!!!!
Toujours pensif sur le canapé la télécommande de la télé toujours à la main, un bruit de porte qui claque le........
En effet, pour lui paysagiste de métier rien n'était plus important que des documentaires sur la nature afin de pouvoir améliorer son savoir et de reproduire ces beaux jardins chez ses clients.
Tout en admirant ce spectacle, il se mit à penser à cette inconnnue que son regard croisa lors de son déplacement pour son travail ce matin, dans le train.
En effet il se souvient de la conversation qu'il a eu avec Eva, de la douceur de sa voix et surtout de son doux parfum oriental, quelle femme pensa-t-il!!!!
Toujours pensif sur le canapé la télécommande de la télé toujours à la main, un bruit de porte qui claque le........