LES VACCINS
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LES VACCINS
POUR VOTRE INFORMATION
Communiqué de presse - 2015-458 QPC
Décision n° 2015-458 QPC du 20 mars 2015 - Époux L. [Obligation de vaccination]
Le Conseil constitutionnel a été saisi le 15 janvier 2015 par la Cour de cassation, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée pour les époux L.. Cette question portait sur la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des articles L. 3111-1 à L. 3111-3 du code de la santé publique.
Ces dispositions sont relatives aux obligations de vaccination antidiphtérique, antitétanique et antipoliomyélitique pour les enfants mineurs, sous la responsabilité de leurs parents. Les requérants soutenaient que ces vaccinations obligatoires pouvaient faire courir un risque pour la santé contraire à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé garantie par le onzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946. Le Conseil constitutionnel a écarté ce grief et jugé ces dispositions conformes à la Constitution.
Le Conseil constitutionnel a relevé qu'en imposant ces obligations de vaccination, le législateur a entendu lutter contre trois maladies très graves et contagieuses ou insusceptibles d'être éradiquées. Le législateur a notamment précisé que chacune de ces obligations de vaccination ne s'impose que sous la réserve d'une contre-indication médicale reconnue.
Le Conseil constitutionnel a jugé qu'il est loisible au législateur de définir une politique de vaccination afin de protéger la santé individuelle et collective. Il n'appartient pas au Conseil constitutionnel, qui ne dispose pas d'un pouvoir général d'appréciation et de décision de même nature que celui du Parlement, de remettre en cause, au regard de l'état des connaissances et des techniques, les dispositions prises par le législateur ni de rechercher si l'objectif de protection de la santé que s'est assigné le législateur aurait pu être atteint par d'autres voies, dès lors que les modalités retenues par la loi ne sont pas manifestement inappropriées à l'objectif visé. Le Conseil a conclu que, par les dispositions contestées, le législateur n'a pas porté atteinte à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé telle qu'elle est garantie par le Préambule de 1946.
Le Conseil constitutionnel
Communiqué de presse - 2015-458 QPC
Décision n° 2015-458 QPC du 20 mars 2015 - Époux L. [Obligation de vaccination]
Le Conseil constitutionnel a été saisi le 15 janvier 2015 par la Cour de cassation, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée pour les époux L.. Cette question portait sur la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des articles L. 3111-1 à L. 3111-3 du code de la santé publique.
Ces dispositions sont relatives aux obligations de vaccination antidiphtérique, antitétanique et antipoliomyélitique pour les enfants mineurs, sous la responsabilité de leurs parents. Les requérants soutenaient que ces vaccinations obligatoires pouvaient faire courir un risque pour la santé contraire à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé garantie par le onzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946. Le Conseil constitutionnel a écarté ce grief et jugé ces dispositions conformes à la Constitution.
Le Conseil constitutionnel a relevé qu'en imposant ces obligations de vaccination, le législateur a entendu lutter contre trois maladies très graves et contagieuses ou insusceptibles d'être éradiquées. Le législateur a notamment précisé que chacune de ces obligations de vaccination ne s'impose que sous la réserve d'une contre-indication médicale reconnue.
Le Conseil constitutionnel a jugé qu'il est loisible au législateur de définir une politique de vaccination afin de protéger la santé individuelle et collective. Il n'appartient pas au Conseil constitutionnel, qui ne dispose pas d'un pouvoir général d'appréciation et de décision de même nature que celui du Parlement, de remettre en cause, au regard de l'état des connaissances et des techniques, les dispositions prises par le législateur ni de rechercher si l'objectif de protection de la santé que s'est assigné le législateur aurait pu être atteint par d'autres voies, dès lors que les modalités retenues par la loi ne sont pas manifestement inappropriées à l'objectif visé. Le Conseil a conclu que, par les dispositions contestées, le législateur n'a pas porté atteinte à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé telle qu'elle est garantie par le Préambule de 1946.
Le Conseil constitutionnel
Re: LES VACCINS
Mardis santé du CHU de RENNES
Les vaccins en questions
Mardi 7 avril à 18h – Amphithéâtre Bretagne – CHU Pontchaillou · Rennes
Françoise
Les vaccins en questions
Mardi 7 avril à 18h – Amphithéâtre Bretagne – CHU Pontchaillou · Rennes
Françoise
Re: LES VACCINS
POUR INFORMATION
Va-t-on, vers un refus de remboursement des vaccins rotavirus ?
Paris, le vendredi 3 avril 2015 - Ce mardi, devançant des informations devant être publiées le lendemain par le Canard Enchaîné, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) réactualisait ses données concernant la sécurité des vaccins contre le rotavirus, le Rotarix et le Rotateq. Elle confirmait notamment le recensement de 201 effets indésirables graves sur 1 million de doses distribuées...
Information DOCTEURCLIC
Françoise
Va-t-on, vers un refus de remboursement des vaccins rotavirus ?
Paris, le vendredi 3 avril 2015 - Ce mardi, devançant des informations devant être publiées le lendemain par le Canard Enchaîné, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) réactualisait ses données concernant la sécurité des vaccins contre le rotavirus, le Rotarix et le Rotateq. Elle confirmait notamment le recensement de 201 effets indésirables graves sur 1 million de doses distribuées...
Information DOCTEURCLIC
Françoise
Re: LES VACCINS
Vaccination : Touraine annonce un débat national à l'automne
La ministre de la Santé Marisol Touraine annonce un débat national sur la politique de vaccination dans le but d'enrayer une défiance grandissante à l'égard des vaccins, dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France de samedi.
La ministre reconnaît que "le doute est beaucoup plus élevé en France que dans la plupart des pays européens".
"C'est pourquoi je souhaite un débat", ajoute-t-elle en précisant qu'il sera lancé après la remise, à l'automne, d'un rapport sur la politique vaccinale commandé à la députée PS de Seine-Maritime Sandrine Hurel.
Si les modalités du débat "restent à fixer", Mme Touraine promet "une complète transparence". "Ne rien cacher est la meilleure manière de combattre ceux qui jouent sur des peurs scientifiquement infondées", affirme-t-elle.
"Se vacciner n'est pas un geste de confort, ni uniquement un choix individuel. C'est un enjeu collectif", insiste-t-elle en soulignant que "les premières victimes du refus de vaccination sont les populations les plus fragiles, enfants, personnes âgées".
Le risque est aussi "de voir réapparaître certaines maladies contagieuses et mortelles, qui ont aujourd'hui complètement disparu".
On a appris vendredi que le premier vaccin efficace contre Ebola, un virus qui a fait plus de 11.000 morts en Afrique de l'Ouest depuis décembre 2013, était désormais "à portée de main" selon l'OMS, au vu des résultats préliminaires très encourageants d'un premier essai sur le terrain en Guinée.
Par AFP le 01 août 2015
La ministre de la Santé Marisol Touraine annonce un débat national sur la politique de vaccination dans le but d'enrayer une défiance grandissante à l'égard des vaccins, dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France de samedi.
La ministre reconnaît que "le doute est beaucoup plus élevé en France que dans la plupart des pays européens".
"C'est pourquoi je souhaite un débat", ajoute-t-elle en précisant qu'il sera lancé après la remise, à l'automne, d'un rapport sur la politique vaccinale commandé à la députée PS de Seine-Maritime Sandrine Hurel.
Si les modalités du débat "restent à fixer", Mme Touraine promet "une complète transparence". "Ne rien cacher est la meilleure manière de combattre ceux qui jouent sur des peurs scientifiquement infondées", affirme-t-elle.
"Se vacciner n'est pas un geste de confort, ni uniquement un choix individuel. C'est un enjeu collectif", insiste-t-elle en soulignant que "les premières victimes du refus de vaccination sont les populations les plus fragiles, enfants, personnes âgées".
Le risque est aussi "de voir réapparaître certaines maladies contagieuses et mortelles, qui ont aujourd'hui complètement disparu".
On a appris vendredi que le premier vaccin efficace contre Ebola, un virus qui a fait plus de 11.000 morts en Afrique de l'Ouest depuis décembre 2013, était désormais "à portée de main" selon l'OMS, au vu des résultats préliminaires très encourageants d'un premier essai sur le terrain en Guinée.
Par AFP le 01 août 2015
Re: LES VACCINS
POUR INFORMATION
Bientôt un vaccin sans aiguille ?
VACCINATION – Un nouveau procédé de vaccination utilisant la technologie du laser a été mis au point par des chercheurs français de l'Inserm. Il pourrait être utilisé chez l'homme d'ici quelques années. La fin des piqûres et des polémiques sur l'aluminium contenu dans les vaccins ?
Dites bientôt adieu à votre peur de l'aiguille. Une nouvelle méthode de vaccination utilisant la technologie du laser vient d'être expérimentée avec succès sur des souris de laboratoire par des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Le vaccin, qui ne contient aucun adjuvant, a été administré aux cobayes via des micropores formés dans leur peau grâce à un laser.
Cette découverte, dont les résultats ont été publiés sur le site l'Inserm, laisse entrevoir de nouvelles alternatives aux actuels vaccins, dont la piqûre est souvent mal vécue, notamment chez les enfants, mais aussi en raison des adjuvants qu'ils contiennent qui font régulièrement l'objet de polémiques, souligne l'Inserm.
Comment ça marche ?
"Actuellement, un vaccin est injecté avec une aiguille qui traverse le derme et libère la solution vaccinale dans l’hypoderme ou dans le muscle. On court-circuite donc le derme et son réseau très dense de cellules dendritiques", des cellules extrêmement performantes du système immunitaire. Pour ce faire, les chercheurs ont mis au point un vaccin "ciblé".
Les chercheurs ont utilisé un appareil équipé...
information '' Médisité et Metronews
Bientôt un vaccin sans aiguille ?
VACCINATION – Un nouveau procédé de vaccination utilisant la technologie du laser a été mis au point par des chercheurs français de l'Inserm. Il pourrait être utilisé chez l'homme d'ici quelques années. La fin des piqûres et des polémiques sur l'aluminium contenu dans les vaccins ?
Dites bientôt adieu à votre peur de l'aiguille. Une nouvelle méthode de vaccination utilisant la technologie du laser vient d'être expérimentée avec succès sur des souris de laboratoire par des chercheurs de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Le vaccin, qui ne contient aucun adjuvant, a été administré aux cobayes via des micropores formés dans leur peau grâce à un laser.
Cette découverte, dont les résultats ont été publiés sur le site l'Inserm, laisse entrevoir de nouvelles alternatives aux actuels vaccins, dont la piqûre est souvent mal vécue, notamment chez les enfants, mais aussi en raison des adjuvants qu'ils contiennent qui font régulièrement l'objet de polémiques, souligne l'Inserm.
Comment ça marche ?
"Actuellement, un vaccin est injecté avec une aiguille qui traverse le derme et libère la solution vaccinale dans l’hypoderme ou dans le muscle. On court-circuite donc le derme et son réseau très dense de cellules dendritiques", des cellules extrêmement performantes du système immunitaire. Pour ce faire, les chercheurs ont mis au point un vaccin "ciblé".
Les chercheurs ont utilisé un appareil équipé...
information '' Médisité et Metronews
Re: LES VACCINS
Prévention : faut-il avoir peur des vaccins ?
Succès indiscutable de santé publique, la vaccination permet de se protéger et de protéger les autres – enfants, adultes fragiles… Pour autant, le rapport bénéfice/risque de certains vaccins fait débat, et les intérêts économiques ne sont pas absents.....
Pour la suite, je n'ai pas accès, lire 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS
Succès indiscutable de santé publique, la vaccination permet de se protéger et de protéger les autres – enfants, adultes fragiles… Pour autant, le rapport bénéfice/risque de certains vaccins fait débat, et les intérêts économiques ne sont pas absents.....
Pour la suite, je n'ai pas accès, lire 60 MILLIONS DE CONSOMMATEURS
Re: LES VACCINS
POUR INFORMATION
Santé : vers un débat public sur la vaccination obligatoire
le 12 01 2016
Le 12 janvier 2016, Sandrine Hurel a remis à la ministre en charge de la santé un rapport sur la politique vaccinale. Les vaccins, aujourd’hui, font l’objet de nombreuses controverses et subissent les conséquences d’une méfiance croissante vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique.
Les résultats de la politique vaccinale sont contrastés. L’impact épidémiologique du taux de couverture vaccinale montre des résultats très satisfaisants pour la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos chez l’enfant (vaccins obligatoires chez l’enfant notamment). Mais ce constat est plus nuancé pour les infections invasives méningocoques, la rougeole et la rubéole, la grippe ainsi que l’hépatite B. Dans le prolongement de l’avis du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) de septembre 2014, le rapport s’interroge sur la pertinence d’une différenciation entre vaccins obligatoires et vaccins recommandés. Cette distinction brouille la lisibilité de la politique vaccinale alors qu’il est possible d’obtenir un taux de couverture satisfaisant en l’absence d’obligation. Par ailleurs, il apparaît que l’adhésion à la vaccination n’est pas acquise, y compris chez les médecins. Selon une étude de la Drees, 46,2% des médecins généralistes seulement se sentent à l’aise pour donner des explications sur les adjuvants contenus dans les vaccins à leurs patients. Il convient, en conséquence, d’informer en toute transparence sur les risques des vaccins mais aussi sur les risques des maladies à prévention vaccinale et ceux liés à la non-vaccination. Enfin, la politique vaccinale doit tenir compte de la disponibilité des vaccins. L’obligation vaccinale ne peut être respectée que si les vaccins sont disponibles. Or, certains vaccins cessent d’être disponibles en tant que tels mais ils peuvent être contenus dans des vaccins multivalents contraignant les patients à accepter des vaccins non obligatoires, ce qui accroît la défiance. C’est ce qu’il s’est, par exemple, produit quand les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’ont été disponibles que combinés avec un vaccin contre l’hépatite B.
Pour refonder la politique vaccinale, le rapport recommande l’organisation d’un débat public sur le rapport bénéfice/risque de la vaccination. En parallèle, une conférence de consensus scientifique devrait répondre à deux questions : quelle relation entre obligation vaccinale et taux de couverture vaccinale, quelles stratégies de prescription face à des vaccins dont la composition varie. Lors de la remise du rapport, la ministre en charge de la santé a annoncé une concertation citoyenne tout au long de l’année 2016. Ses conclusions sur l’évolution de la politique vaccinale seront présentées en décembre 2016.
Se serait bien que chaque malade s'exprime ici sur les vaccins.
Madame XXX je vous avais déjà répondu personnellement.
Récemment à la télé un médecin Professeur à ma grande surprise pensait comme moi.....
je peux affirmer que nous allons en entendre parler toute l'année
Cordialement
BRIAND
Santé : vers un débat public sur la vaccination obligatoire
le 12 01 2016
Le 12 janvier 2016, Sandrine Hurel a remis à la ministre en charge de la santé un rapport sur la politique vaccinale. Les vaccins, aujourd’hui, font l’objet de nombreuses controverses et subissent les conséquences d’une méfiance croissante vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique.
Les résultats de la politique vaccinale sont contrastés. L’impact épidémiologique du taux de couverture vaccinale montre des résultats très satisfaisants pour la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos chez l’enfant (vaccins obligatoires chez l’enfant notamment). Mais ce constat est plus nuancé pour les infections invasives méningocoques, la rougeole et la rubéole, la grippe ainsi que l’hépatite B. Dans le prolongement de l’avis du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) de septembre 2014, le rapport s’interroge sur la pertinence d’une différenciation entre vaccins obligatoires et vaccins recommandés. Cette distinction brouille la lisibilité de la politique vaccinale alors qu’il est possible d’obtenir un taux de couverture satisfaisant en l’absence d’obligation. Par ailleurs, il apparaît que l’adhésion à la vaccination n’est pas acquise, y compris chez les médecins. Selon une étude de la Drees, 46,2% des médecins généralistes seulement se sentent à l’aise pour donner des explications sur les adjuvants contenus dans les vaccins à leurs patients. Il convient, en conséquence, d’informer en toute transparence sur les risques des vaccins mais aussi sur les risques des maladies à prévention vaccinale et ceux liés à la non-vaccination. Enfin, la politique vaccinale doit tenir compte de la disponibilité des vaccins. L’obligation vaccinale ne peut être respectée que si les vaccins sont disponibles. Or, certains vaccins cessent d’être disponibles en tant que tels mais ils peuvent être contenus dans des vaccins multivalents contraignant les patients à accepter des vaccins non obligatoires, ce qui accroît la défiance. C’est ce qu’il s’est, par exemple, produit quand les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite n’ont été disponibles que combinés avec un vaccin contre l’hépatite B.
Pour refonder la politique vaccinale, le rapport recommande l’organisation d’un débat public sur le rapport bénéfice/risque de la vaccination. En parallèle, une conférence de consensus scientifique devrait répondre à deux questions : quelle relation entre obligation vaccinale et taux de couverture vaccinale, quelles stratégies de prescription face à des vaccins dont la composition varie. Lors de la remise du rapport, la ministre en charge de la santé a annoncé une concertation citoyenne tout au long de l’année 2016. Ses conclusions sur l’évolution de la politique vaccinale seront présentées en décembre 2016.
Se serait bien que chaque malade s'exprime ici sur les vaccins.
Madame XXX je vous avais déjà répondu personnellement.
Récemment à la télé un médecin Professeur à ma grande surprise pensait comme moi.....
je peux affirmer que nous allons en entendre parler toute l'année
Cordialement
BRIAND
Re: LES VACCINS
Vaccination : Marisol Touraine veut redonner confiance !
La ministre de la santé lance une concertation citoyenne qui pourrait aboutir sur une modification du plan de vaccination d'ici la fin de l'année...
L'enjeu est énorme au moment où un tiers des français ne fait plus confiance aux vaccins. La ministre de la santé, Marisol Touraine, a annoncé ce mardi le début d'une "grande concertation citoyenne" qui pourrait aboutir, à terme, à un changement de la politique de santé, notamment pour les vaccins obligatoires.
L'objectif est clair : "écouter" et "comprendre" les réticences des français, souvent perdus entre les vaccins dits "obligatoires" et ceux qui ne sont que "recommandés". Une confusion qui se traduit par une situation inquiétante dans les cabinets médicaux où la vaccination des nourrissons est en baisse, entraînant la réapparition régulière de cas de rougeole.
Dès le mois de mars, les patients, les professionnels et les associations pourront partager leurs expériences, leurs doutes et leurs appréhensions sur une plateforme internet. Puis en mai, les contributions seront analysées par des jurys composés de citoyens et d'experts. Suivra alors un débat public en Octobre avant l'annonce de mesures concrètes "dès décembre 2016".
Information Public Santé 13/01/2016 | N.Bourboin
La ministre de la santé lance une concertation citoyenne qui pourrait aboutir sur une modification du plan de vaccination d'ici la fin de l'année...
L'enjeu est énorme au moment où un tiers des français ne fait plus confiance aux vaccins. La ministre de la santé, Marisol Touraine, a annoncé ce mardi le début d'une "grande concertation citoyenne" qui pourrait aboutir, à terme, à un changement de la politique de santé, notamment pour les vaccins obligatoires.
L'objectif est clair : "écouter" et "comprendre" les réticences des français, souvent perdus entre les vaccins dits "obligatoires" et ceux qui ne sont que "recommandés". Une confusion qui se traduit par une situation inquiétante dans les cabinets médicaux où la vaccination des nourrissons est en baisse, entraînant la réapparition régulière de cas de rougeole.
Dès le mois de mars, les patients, les professionnels et les associations pourront partager leurs expériences, leurs doutes et leurs appréhensions sur une plateforme internet. Puis en mai, les contributions seront analysées par des jurys composés de citoyens et d'experts. Suivra alors un débat public en Octobre avant l'annonce de mesures concrètes "dès décembre 2016".
Information Public Santé 13/01/2016 | N.Bourboin
Re: LES VACCINS
POUR INFORMATION
Suie à des demandes et après recherche, je lis :
Vaccinations en cas de voyage :
Selon les zones : hépatite A, hépatite B si non réalisés, diphtérie si non réalisé, typhoïde, fièvre jaune, encéphalite japonaise, méningocoque (A et C), encéphalite à tiques, rage.
Pour plus de détails : http://www.chu-stlouis.fr
Centre de vaccination internationales
http://vaccin-voyage-ghparis10.aphp.fr/
Quelles vaccinations après 70 ans ?
Il faut rester vigilant pour sa vaccination. Les maladies concernées sont potentiellement très graves.
Vaccinations de base (remboursées ) :
DTP (Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite) tous les 10 ans.
Grippe tous les ans. Le vaccin contre la grippe est pris en charge à 100% par l'Assurance Maladie à partir de 65 ans.
La vaccination pneumococcique est également recommandée. Elle s'impose en particulier chez les personnes à risque (fumeurs, insuffisants respiratoires, diabétiques). Elle doit ensuite être renouvelée tous les 5 ans.
Suie à des demandes et après recherche, je lis :
Vaccinations en cas de voyage :
Selon les zones : hépatite A, hépatite B si non réalisés, diphtérie si non réalisé, typhoïde, fièvre jaune, encéphalite japonaise, méningocoque (A et C), encéphalite à tiques, rage.
Pour plus de détails : http://www.chu-stlouis.fr
Centre de vaccination internationales
http://vaccin-voyage-ghparis10.aphp.fr/
Quelles vaccinations après 70 ans ?
Il faut rester vigilant pour sa vaccination. Les maladies concernées sont potentiellement très graves.
Vaccinations de base (remboursées ) :
DTP (Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite) tous les 10 ans.
Grippe tous les ans. Le vaccin contre la grippe est pris en charge à 100% par l'Assurance Maladie à partir de 65 ans.
La vaccination pneumococcique est également recommandée. Elle s'impose en particulier chez les personnes à risque (fumeurs, insuffisants respiratoires, diabétiques). Elle doit ensuite être renouvelée tous les 5 ans.
Re: LES VACCINS
L'information ci-dessus provient de E SANTE
Re: LES VACCINS
ATTENTION : UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION
Lu sur un forum PASSPORTSANTÉ
Envoyé par Nicolas Cornu
18-01-2016 03:09:20
Bonjour , je souhaiterais préciser que l'association dont vous parlez (E3M pour les patients atteints de Myofasciite à macrophages) n'est pas du tout contre les vaccinations mais réclame le retrait d'un adjuvant toxique et parfaitement remplaçable ; l'aluminium. Le problème de ces débats qui ternissent la vaccination c'est l' argent comme toujours, l'aluminium leur permet de doubler voir triplé leur marge par rapport à l'adjuvant " sain ". Les bénéfices contre la santé publique , face aux billets nous ne valons pas grand chose, mais le pire serait de se taire...
Envoyé par Antoine
12-01-2016 16:18:17
Moi je simplement contre et je suis un sachant ! c'est mon choix et mon Droit 3. L’Art . 8. § 1er de la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient établit que : « Le patient a le droit de consentir librement à toute intervention du praticien professionnel moyennant information préalable.
Envoyé par Bourguignonm
04-11-2015 07:49:10
https ://www. change .org/p/marisol- touraine -stop-à-la-généralisation-du-vaccin-gardasil Le gardasul un vaccin sous conflit d interet tres peu utile et plein d effets indésirables Pour nous il a gache notre vie
Lu sur un forum PASSPORTSANTÉ
Envoyé par Nicolas Cornu
18-01-2016 03:09:20
Bonjour , je souhaiterais préciser que l'association dont vous parlez (E3M pour les patients atteints de Myofasciite à macrophages) n'est pas du tout contre les vaccinations mais réclame le retrait d'un adjuvant toxique et parfaitement remplaçable ; l'aluminium. Le problème de ces débats qui ternissent la vaccination c'est l' argent comme toujours, l'aluminium leur permet de doubler voir triplé leur marge par rapport à l'adjuvant " sain ". Les bénéfices contre la santé publique , face aux billets nous ne valons pas grand chose, mais le pire serait de se taire...
Envoyé par Antoine
12-01-2016 16:18:17
Moi je simplement contre et je suis un sachant ! c'est mon choix et mon Droit 3. L’Art . 8. § 1er de la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient établit que : « Le patient a le droit de consentir librement à toute intervention du praticien professionnel moyennant information préalable.
Envoyé par Bourguignonm
04-11-2015 07:49:10
https ://www. change .org/p/marisol- touraine -stop-à-la-généralisation-du-vaccin-gardasil Le gardasul un vaccin sous conflit d interet tres peu utile et plein d effets indésirables Pour nous il a gache notre vie
Re: LES VACCINS
Le calendrier vaccinal 2016 : le point sur les nouveautés
BCG, diphtérie-tétanos-poliomyélite, rougeole-oreillon-rubéole, grippe... Le ministère des Affaires sociales et de la Santé vient de publier le calendrier des vaccinations et des recommandations vaccinales pour 2016.
Le calendrier 2016 contient une nouvelle recommandation de vaccination contre le zona pour les adultes âgés de 65 à 74 ans révolus. Il précise également qu'il est possible de proposer une vaccination de rattrapage aux personnes âgées de 75 à 79 ans révolus.
Le calendrier 2016 simplifie par ailleurs la vaccination contre la fièvre jaune avec la suppression (sauf cas particuliers) du rappel de vaccination pour les résidents de Guyane âgés de 2 ans et plus et les personnes issues de la métropole qui y séjournent ou souhaitent s'y rendre.
Le calendrier vaccinal fixe les vaccinations applicables, selon leur âge, aux personnes vivant en France. Il émet des recommandations vaccinales générales et des recommandations vaccinales particulières propres à des conditions spéciales (risques accrus de complications, d’exposition ou de transmission) ou à des expositions professionnelles.
À savoir :
ce calendrier est mis à jour sur la base des recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP).
Publié le 31 mars 2016 - Direction de l'information légale
BCG, diphtérie-tétanos-poliomyélite, rougeole-oreillon-rubéole, grippe... Le ministère des Affaires sociales et de la Santé vient de publier le calendrier des vaccinations et des recommandations vaccinales pour 2016.
Le calendrier 2016 contient une nouvelle recommandation de vaccination contre le zona pour les adultes âgés de 65 à 74 ans révolus. Il précise également qu'il est possible de proposer une vaccination de rattrapage aux personnes âgées de 75 à 79 ans révolus.
Le calendrier 2016 simplifie par ailleurs la vaccination contre la fièvre jaune avec la suppression (sauf cas particuliers) du rappel de vaccination pour les résidents de Guyane âgés de 2 ans et plus et les personnes issues de la métropole qui y séjournent ou souhaitent s'y rendre.
Le calendrier vaccinal fixe les vaccinations applicables, selon leur âge, aux personnes vivant en France. Il émet des recommandations vaccinales générales et des recommandations vaccinales particulières propres à des conditions spéciales (risques accrus de complications, d’exposition ou de transmission) ou à des expositions professionnelles.
À savoir :
ce calendrier est mis à jour sur la base des recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP).
Publié le 31 mars 2016 - Direction de l'information légale