INFORMATIONS POUR LES JEUNES
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Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
20 % des personnes ayant demandé une aide au 115 en 2010 étaient des jeunes de 18 à 24 ans
Mise en ligne : 22 avril 2011
Selon une étude de l’Observatoire national du 115, 20 % des personnes ayant demandé un abri au 115 en 2010 étaient des jeunes de moins de 25 ans. Ce qui représente 6 326 personnes âgées de 18 à 24 ans et plus de 90 000 appels dans l’année. Un phénomène qui touche toutes les régions.
Près des deux-tiers (61,9 %) sont des garçons, et 38 % des filles. 6 % de ces jeunes Sdf ayant appelé le 115 sont de jeunes mères avec enfant(s). Et la proportion de jeunes filles augmente : dans la seule région parisienne, elle est passée de 16 % à 19 % rien qu’entre 2009 et 2010.
Globalement, plus d’un quart de ces jeunes – filles et garçons confondus – en errance évoquent une rupture familiale. Beaucoup ont une histoire difficile : fugue, placement en foyer ou en famille d’accueil...
Le 115 est une réponse partielle et limitée, même s’il a pu, pour cette population, répondre à la demande d’hébergement dans 85 % des cas.
La Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars) – qui regroupe 850 association et gère le 115 – demande donc un « accompagnement social intensif » de ces jeunes sans domicile : droit au Rsa jeune, accompagnement au logement
Photo ©Jean-Luc Adde.
information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Mise en ligne : 22 avril 2011
Selon une étude de l’Observatoire national du 115, 20 % des personnes ayant demandé un abri au 115 en 2010 étaient des jeunes de moins de 25 ans. Ce qui représente 6 326 personnes âgées de 18 à 24 ans et plus de 90 000 appels dans l’année. Un phénomène qui touche toutes les régions.
Près des deux-tiers (61,9 %) sont des garçons, et 38 % des filles. 6 % de ces jeunes Sdf ayant appelé le 115 sont de jeunes mères avec enfant(s). Et la proportion de jeunes filles augmente : dans la seule région parisienne, elle est passée de 16 % à 19 % rien qu’entre 2009 et 2010.
Globalement, plus d’un quart de ces jeunes – filles et garçons confondus – en errance évoquent une rupture familiale. Beaucoup ont une histoire difficile : fugue, placement en foyer ou en famille d’accueil...
Le 115 est une réponse partielle et limitée, même s’il a pu, pour cette population, répondre à la demande d’hébergement dans 85 % des cas.
La Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars) – qui regroupe 850 association et gère le 115 – demande donc un « accompagnement social intensif » de ces jeunes sans domicile : droit au Rsa jeune, accompagnement au logement
Photo ©Jean-Luc Adde.
information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
POUR INFORMATION
Bourses nationales des lycées : campagne de dépôt des demandes en cours
La campagne de dépôt des demandes de bourses nationales des lycées pour 2011-2012 est ouverte jusqu’au début du mois de juin 2011, les bourses de lycée étant accordées aux familles qui ne peuvent pas assurer seules les frais de scolarité de leurs enfants.
Rentrée universitaire 2011
Dossier social étudiant jusqu’au 30 avril
Les étudiants (ou futurs étudiants) peuvent effectuer en ligne leur demande de bourse et/ou de logement pour l’année universitaire 2011-2012, la campagne de demandes de bourse et de logement s’étalant jusqu’au 30 avril 2011.
BRIAND
Bourses nationales des lycées : campagne de dépôt des demandes en cours
La campagne de dépôt des demandes de bourses nationales des lycées pour 2011-2012 est ouverte jusqu’au début du mois de juin 2011, les bourses de lycée étant accordées aux familles qui ne peuvent pas assurer seules les frais de scolarité de leurs enfants.
Rentrée universitaire 2011
Dossier social étudiant jusqu’au 30 avril
Les étudiants (ou futurs étudiants) peuvent effectuer en ligne leur demande de bourse et/ou de logement pour l’année universitaire 2011-2012, la campagne de demandes de bourse et de logement s’étalant jusqu’au 30 avril 2011.
BRIAND
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Retours de soirée
Événement à fêter, intégration, besoin de décompresser, envie de se marrer… en général les raisons et les occasions de boire de l’alcool ne manquent pas. On se dit même qu’on encaisse plutôt bien, qu’après tout c’est la fête … et on a vite fait d’oublier qu’il existe un certain nombre de risques liés aux excès de consommation d’alcool ou de cannabis, au premier rang desquels les accidents de la route. La bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a pas de fatalité et qu’il existe des solutions simples pour éviter que vos soirées ne tournent au drame. Mais avec un temps d’élimination d’au moins une à deux heures par verre d’alcool absorbé (dose bar standard), mieux vaut anticiper !
Alcool, cannabis et conduite = danger !
Est-il utile de rappeler que l’alcool diminue les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue ? Il perturbe aussi la vision, l’estimation des distances et provoque un allongement du temps de réaction. On ne s’en rend pas compte quand on a bu, mais ces troubles commencent à apparaître dès le premier verre ! De plus, l’effet désinhibiteur de l’alcool peut pousser à prendre des risques que l’on ne prendrait pas en temps normal (vitesse, dépassement).
Le risque d’accident mortel augmente très rapidement en fonction du taux d’alcool dans le sang : dès 0,5 g d’alcool/l de sang, vous multipliez le risque par 2, puis par 10 à 0,8 g/l et par 35 avec 1,2 g/l, etc.
Si vous buvez de l’alcool et consommez du cannabis, vous multipliez par 14 le risque de vous tuer sur la route !
Halte aux idées reçues !
« J'ai l'habitude de boire/fumer, ça ne me fait plus d'effet »
Lorsque l’on fume, on recherche certains effets. Si les effets diminuent avec l’usage, le consommateur augmentera la quantité absorbée pour retrouver les mêmes effets. C’est la logique du produit. De plus, même avec une faible alcoolémie, le conducteur prend des risques qu’il n’aurait pas pris en temps normal. Son temps de réaction est plus long et sa vision moins nette.
« Je connais un truc pour faire baisser mon alcoolémie »
Il n’existe aucun "truc" permettant d’accélérer l’élimination de l’alcool. Seul le temps peut agir. Écoutez les explications de Sylvain Dally, professeur de toxicologie et de médecine légale :
Ma vitesse j’adapterai…
La vitesse intervient dans 1 accident sur 5. Sachez que plus vous roulez vite plus votre champs de vision diminue (il passe de 100° à 40 km/h à 30° à 130 km/h) et moins vous laissez de chance de survie aux personnes accidentées (vous, vos passagers, la personne que vous renversez ou heurtez).
Avec le concours de la Prévention routière
BRIAND
Événement à fêter, intégration, besoin de décompresser, envie de se marrer… en général les raisons et les occasions de boire de l’alcool ne manquent pas. On se dit même qu’on encaisse plutôt bien, qu’après tout c’est la fête … et on a vite fait d’oublier qu’il existe un certain nombre de risques liés aux excès de consommation d’alcool ou de cannabis, au premier rang desquels les accidents de la route. La bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a pas de fatalité et qu’il existe des solutions simples pour éviter que vos soirées ne tournent au drame. Mais avec un temps d’élimination d’au moins une à deux heures par verre d’alcool absorbé (dose bar standard), mieux vaut anticiper !
Alcool, cannabis et conduite = danger !
Est-il utile de rappeler que l’alcool diminue les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue ? Il perturbe aussi la vision, l’estimation des distances et provoque un allongement du temps de réaction. On ne s’en rend pas compte quand on a bu, mais ces troubles commencent à apparaître dès le premier verre ! De plus, l’effet désinhibiteur de l’alcool peut pousser à prendre des risques que l’on ne prendrait pas en temps normal (vitesse, dépassement).
Le risque d’accident mortel augmente très rapidement en fonction du taux d’alcool dans le sang : dès 0,5 g d’alcool/l de sang, vous multipliez le risque par 2, puis par 10 à 0,8 g/l et par 35 avec 1,2 g/l, etc.
Si vous buvez de l’alcool et consommez du cannabis, vous multipliez par 14 le risque de vous tuer sur la route !
Halte aux idées reçues !
« J'ai l'habitude de boire/fumer, ça ne me fait plus d'effet »
Lorsque l’on fume, on recherche certains effets. Si les effets diminuent avec l’usage, le consommateur augmentera la quantité absorbée pour retrouver les mêmes effets. C’est la logique du produit. De plus, même avec une faible alcoolémie, le conducteur prend des risques qu’il n’aurait pas pris en temps normal. Son temps de réaction est plus long et sa vision moins nette.
« Je connais un truc pour faire baisser mon alcoolémie »
Il n’existe aucun "truc" permettant d’accélérer l’élimination de l’alcool. Seul le temps peut agir. Écoutez les explications de Sylvain Dally, professeur de toxicologie et de médecine légale :
Ma vitesse j’adapterai…
La vitesse intervient dans 1 accident sur 5. Sachez que plus vous roulez vite plus votre champs de vision diminue (il passe de 100° à 40 km/h à 30° à 130 km/h) et moins vous laissez de chance de survie aux personnes accidentées (vous, vos passagers, la personne que vous renversez ou heurtez).
Avec le concours de la Prévention routière
BRIAND
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Un dixième mois de bourse sera versé aux étudiants à compter de la première quinzaine de septembre
Le versement du dixième mois complet de bourse réclamé par les syndicats étudiants, et que le chef de l'Etat leur avait promis en 2009, sera effectif dès le mois de septembre. "Tous les étudiants ayant complété leur dossier dans les temps, bénéficieront (...) de dix mois de bourse sur l'année universitaire 2011-2012" (contre 9 mois et demi jusqu'à présent), a confié Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur dans un entretien accordé à "20 minutes". Alors que le gouvernement a annoncé une série de nouvelles mesures visant à réduire le déficit, Laurent Wauquiez a salué le fait que la gestion des finances ne se fasse pas "au détriment de la jeunesse". Cette mesure répond aux réalités du calendrier universitaire et représente une avancée sociale réelle pour les 500 000 boursiers qui toucheront entre 80 et 230 euros supplémentaires en septembre, se félicite l'UNEF. L'organisation ajoute toutefois que "la majorité des étudiants reste dans une situation sociale préoccupante". "Les dépenses obligatoires (qui ont augmenté de 33,2 % en 5 ans), les aides au logement (qui n'ont pas été revalorisées depuis 10 ans) ou encore l'élargissement du nombre de boursiers sont des dossiers laissés en friche par le gouvernement", souligne-t-elle.
Le 10e mois de bourse est une mesure estimée à environ 160 millions d'euros par an, d'où les réserves émises par le ministre de l'Economie, François Baroin, cet été ....... 26/08/11
Pour information BRIAND
Le versement du dixième mois complet de bourse réclamé par les syndicats étudiants, et que le chef de l'Etat leur avait promis en 2009, sera effectif dès le mois de septembre. "Tous les étudiants ayant complété leur dossier dans les temps, bénéficieront (...) de dix mois de bourse sur l'année universitaire 2011-2012" (contre 9 mois et demi jusqu'à présent), a confié Laurent Wauquiez, ministre de l'Enseignement supérieur dans un entretien accordé à "20 minutes". Alors que le gouvernement a annoncé une série de nouvelles mesures visant à réduire le déficit, Laurent Wauquiez a salué le fait que la gestion des finances ne se fasse pas "au détriment de la jeunesse". Cette mesure répond aux réalités du calendrier universitaire et représente une avancée sociale réelle pour les 500 000 boursiers qui toucheront entre 80 et 230 euros supplémentaires en septembre, se félicite l'UNEF. L'organisation ajoute toutefois que "la majorité des étudiants reste dans une situation sociale préoccupante". "Les dépenses obligatoires (qui ont augmenté de 33,2 % en 5 ans), les aides au logement (qui n'ont pas été revalorisées depuis 10 ans) ou encore l'élargissement du nombre de boursiers sont des dossiers laissés en friche par le gouvernement", souligne-t-elle.
Le 10e mois de bourse est une mesure estimée à environ 160 millions d'euros par an, d'où les réserves émises par le ministre de l'Economie, François Baroin, cet été ....... 26/08/11
Pour information BRIAND
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION
Gardasil : faut-il vacciner les jeunes filles ? Mise en ligne : 12 septembre 2011
Crises de paralysie, violents maux de tête et de ventre... Le 8 juillet dernier, Laura, 16 ans, et Laetitia, 20 ans, ont déposé une demande d’indemnisation à la Commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux (Crci) de Lyon, dont elles dépendent. Elles sont victimes, selon elles, des effets secondaires du Gardasil, avec lequel elles ont été vaccinées, à l’instar de 1,5 million de jeunes filles en France. Commercialisé en 2006 par Sanofi-Pasteur, ce vaccin [1] est censé protéger contre quatre types de papillomavirus, responsables de 70 % des cancers du col de l’utérus et de verrues génitales. En 2008, la revue indépendante Prescrire, la première à s’être interrogée sur le Mediator, estimait que « le profil d’effets indésirables rend raisonnable le pari de la vaccination », mais précisait néanmoins que « seule la vaccination de jeunes femmes non infectées serait cohérente à condition qu’elles n’aient jamais eu de relations sexuelles ». Or, en France, le vaccin est recommandé chez les adolescentes de 14 ans et, en rattrapage, chez celles de 15 à 23 ans, au plus tard dans l’année qui suit leur premier rapport sexuel. 4 millions de doses ont déjà été administrées. Selon l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) – qui recense 1 700 notifications d’effets indésirables, dont 82 % sont bénins –, « le rapport bénéfice-risque reste favorable ». Le Gardasil est toutefois inscrit depuis janvier dernier sur la liste des médicaments à surveiller. Car le vaccin pourrait bien avoir été mis sur le marché trop vite. Les essais n’ont duré que quatre ans. Insuffisant, selon certains experts, pour évaluer le produit.
Plus surprenant, le ministre de la Santé d’alors, Xavier Bertrand, n’a pas attendu l’avis du Comité technique des vaccinations pour en autoriser le remboursement. Il faut dire qu’à 123 euros l’injection et alors que trois sont nécessaires, le laboratoire aurait eu du mal à trouver preneur. Tout aussi troublant : en août 2010, une publicité pour le vaccin a été interdite sous prétexte qu’il n’avait pas encore fait la preuve de son efficacité, « le délai entre l’infection et l’apparition d’un cancer invasif étant estimé entre quinze et vingt-cinq ans », justifiait l’Afssaps. Alors, la vaccination est-elle vraiment utile ? Le Gardasil ne protège que contre certains virus. Il ne dispense donc pas les femmes de continuer à faire régulièrement un frottis de dépistage, seul moyen ayant contribué jusque-là à diminuer l’incidence des cancers du col de l’utérus. D’ailleurs, selon Prescrire, « on ne connaît encore ni les effets en termes de prévention du cancer du col de l’utérus ni la durée de protection conférée au-delà de cinq ans ».
Controversé aux Etats-Unis, le Gardasil l’est aussi en Europe. En Allemagne, de nombreux médecins ont demandé l’arrêt de la vaccination ; la Belgique et la Suède ont refusé de le rembourser ; l’Autriche l’a déremboursé après le décès d’une adolescente et en Espagne, suite à l’hospitalisation de deux jeunes filles, un moratoire sur la vaccination a été demandé... Selon l’Association européenne contre le cancer du col de l’utérus (Ecca), la mise en place de programmes de dépistage pourrait éviter que, chaque année, 30 000 femmes meurent de ce cancer. Des femmes issues de milieux défavorisés pour la plupart, qui échappent à la surveillance, et pour lesquelles le prix de ce vaccin – qu’il leur faut avancer – risque d’être radicalement dissuasif.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
[1] Un second vaccin existe depuis : le Cervarix.
Gardasil : faut-il vacciner les jeunes filles ? Mise en ligne : 12 septembre 2011
Crises de paralysie, violents maux de tête et de ventre... Le 8 juillet dernier, Laura, 16 ans, et Laetitia, 20 ans, ont déposé une demande d’indemnisation à la Commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux (Crci) de Lyon, dont elles dépendent. Elles sont victimes, selon elles, des effets secondaires du Gardasil, avec lequel elles ont été vaccinées, à l’instar de 1,5 million de jeunes filles en France. Commercialisé en 2006 par Sanofi-Pasteur, ce vaccin [1] est censé protéger contre quatre types de papillomavirus, responsables de 70 % des cancers du col de l’utérus et de verrues génitales. En 2008, la revue indépendante Prescrire, la première à s’être interrogée sur le Mediator, estimait que « le profil d’effets indésirables rend raisonnable le pari de la vaccination », mais précisait néanmoins que « seule la vaccination de jeunes femmes non infectées serait cohérente à condition qu’elles n’aient jamais eu de relations sexuelles ». Or, en France, le vaccin est recommandé chez les adolescentes de 14 ans et, en rattrapage, chez celles de 15 à 23 ans, au plus tard dans l’année qui suit leur premier rapport sexuel. 4 millions de doses ont déjà été administrées. Selon l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) – qui recense 1 700 notifications d’effets indésirables, dont 82 % sont bénins –, « le rapport bénéfice-risque reste favorable ». Le Gardasil est toutefois inscrit depuis janvier dernier sur la liste des médicaments à surveiller. Car le vaccin pourrait bien avoir été mis sur le marché trop vite. Les essais n’ont duré que quatre ans. Insuffisant, selon certains experts, pour évaluer le produit.
Plus surprenant, le ministre de la Santé d’alors, Xavier Bertrand, n’a pas attendu l’avis du Comité technique des vaccinations pour en autoriser le remboursement. Il faut dire qu’à 123 euros l’injection et alors que trois sont nécessaires, le laboratoire aurait eu du mal à trouver preneur. Tout aussi troublant : en août 2010, une publicité pour le vaccin a été interdite sous prétexte qu’il n’avait pas encore fait la preuve de son efficacité, « le délai entre l’infection et l’apparition d’un cancer invasif étant estimé entre quinze et vingt-cinq ans », justifiait l’Afssaps. Alors, la vaccination est-elle vraiment utile ? Le Gardasil ne protège que contre certains virus. Il ne dispense donc pas les femmes de continuer à faire régulièrement un frottis de dépistage, seul moyen ayant contribué jusque-là à diminuer l’incidence des cancers du col de l’utérus. D’ailleurs, selon Prescrire, « on ne connaît encore ni les effets en termes de prévention du cancer du col de l’utérus ni la durée de protection conférée au-delà de cinq ans ».
Controversé aux Etats-Unis, le Gardasil l’est aussi en Europe. En Allemagne, de nombreux médecins ont demandé l’arrêt de la vaccination ; la Belgique et la Suède ont refusé de le rembourser ; l’Autriche l’a déremboursé après le décès d’une adolescente et en Espagne, suite à l’hospitalisation de deux jeunes filles, un moratoire sur la vaccination a été demandé... Selon l’Association européenne contre le cancer du col de l’utérus (Ecca), la mise en place de programmes de dépistage pourrait éviter que, chaque année, 30 000 femmes meurent de ce cancer. Des femmes issues de milieux défavorisés pour la plupart, qui échappent à la surveillance, et pour lesquelles le prix de ce vaccin – qu’il leur faut avancer – risque d’être radicalement dissuasif.
Remerciements à '' VIVA PRESSE '' particulièrement à Mme Brigitte Bègue
[1] Un second vaccin existe depuis : le Cervarix.
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
POUR INFORMATION
Les jeunes, premières victimes de la crise
Le rapport "Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2011", dévoilé jeudi, alerte sur la situation des 15-24 ans, dont le taux de chômage atteignait 17,3% dans la zone OCDE, au premier trimestre.
La jeunesse est désormais la priorité des priorités. En France et ailleurs, les études et rapports se succèdent, et pointent tous que les 15-24 ans font partie des grandes victimes de la crise.
Le rapport Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2011 dévoilé jeudi ne fait pas exception. Mieux, dans son éditorial, il enjoint aux pays de s'atteler à "un chantier inachevé : investir en faveur des jeunes". Car il y a urgence. Au premier trimestre 2011, le taux de chômage des 15 à 24 ans s'élevait à 17,3% dans la zone OCDE, contre 7% pour les adultes. En France, il avoisine les 23%, tandis qu'en Grèce les chiffres dévoilés jeudi par l'Autorité des statistiques grecques font état d'un taux de chômage des 15-29 ans de 32,9% au deuxième trimestre, contre 22,8% un an plus tôt.
Partout dans le monde, la jeunesse peine à trouver sa place sur le marché du travail. Aujourd'hui, les "Neet", "neither in employment nor in education or training", ne sont plus des exceptions. "Ils constituent une catégorie fortement exposée au risque de marginalisation et d'exclusion, risque qui augmente proportionnellement au temps passé en dehors du monde du travail", analyse John Martin, directeur de l'emploi à l'OCDE. Au dernier trimestre 2010, ce groupe représentait 12,6% des jeunes de 15 à 24 ans dans les trente pays de l'OCDE pour lesquels l'organisation dispose de données, contre 10,6% en 2008. Au total, cela correspond à 22,3 millions de jeunes, soit 14,6 millions d'inactifs non scolarisés et 7,7 millions de chômeurs.............................
Isabelle Moreau – 16/09/2011 INFORMATION LA TRIBUNE
Les jeunes, premières victimes de la crise
Le rapport "Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2011", dévoilé jeudi, alerte sur la situation des 15-24 ans, dont le taux de chômage atteignait 17,3% dans la zone OCDE, au premier trimestre.
La jeunesse est désormais la priorité des priorités. En France et ailleurs, les études et rapports se succèdent, et pointent tous que les 15-24 ans font partie des grandes victimes de la crise.
Le rapport Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2011 dévoilé jeudi ne fait pas exception. Mieux, dans son éditorial, il enjoint aux pays de s'atteler à "un chantier inachevé : investir en faveur des jeunes". Car il y a urgence. Au premier trimestre 2011, le taux de chômage des 15 à 24 ans s'élevait à 17,3% dans la zone OCDE, contre 7% pour les adultes. En France, il avoisine les 23%, tandis qu'en Grèce les chiffres dévoilés jeudi par l'Autorité des statistiques grecques font état d'un taux de chômage des 15-29 ans de 32,9% au deuxième trimestre, contre 22,8% un an plus tôt.
Partout dans le monde, la jeunesse peine à trouver sa place sur le marché du travail. Aujourd'hui, les "Neet", "neither in employment nor in education or training", ne sont plus des exceptions. "Ils constituent une catégorie fortement exposée au risque de marginalisation et d'exclusion, risque qui augmente proportionnellement au temps passé en dehors du monde du travail", analyse John Martin, directeur de l'emploi à l'OCDE. Au dernier trimestre 2010, ce groupe représentait 12,6% des jeunes de 15 à 24 ans dans les trente pays de l'OCDE pour lesquels l'organisation dispose de données, contre 10,6% en 2008. Au total, cela correspond à 22,3 millions de jeunes, soit 14,6 millions d'inactifs non scolarisés et 7,7 millions de chômeurs.............................
Isabelle Moreau – 16/09/2011 INFORMATION LA TRIBUNE
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Comment vont les jeunes ?
Mise en ligne : 3 octobre 2011
Ils se voient en « génération sacrifiée », alors que leurs aînés considèrent qu’ils sont débauchés et égoïstes.
Etat des lieux de la jeunesse.
Le défi du premier emploi
Les jeunes d’aujourd’hui ont l’impression de ne pas être nés à la bonne époque. Leurs parents, pensent-ils, ont eu la chance de profiter des avancées soixante-huitardes et leur jeunesse a été plus confortable. « Avant, ceux qui faisaient des études avaient plus de facilités pour accéder à l’emploi », estime Marc, vingt-quatre ans, titulaire d’un master en relations internationales et géopolitique. Quand nous l’avons rencontré, ce jeune diplômé cherchait un emploi depuis six mois. « On me répond que je n’ai pas assez d’expérience. Quelque part, c’est justifié, mais si on ne nous donne pas les moyens d’acquérir de l’expérience, on ne risque pas d’en avoir... » sourit-il. Il envisage de se réinscrire en faculté afin d’accéder à des stages.
Marc n’est pas un cas à part. Le taux de chômage, de 9,2 % à l’échelon national, atteint 22,8 % [1] chez les 15-24 ans. Si les années 1970 ont effectivement été plus faciles, avec un taux de chômage de 5 % pour les jeunes diplômés, depuis 1980, ce taux n’est jamais redescendu sous les 15 %…
Du fait de l’allongement de la durée des études et de la difficulté de trouver un premier emploi, les jeunes sont la catégorie la plus touchée par la précarité : un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté. Conséquence directe : le report de la prise d’indépendance. « Je fais des petits boulots alimentaires de temps en temps, mais heureusement mes parents nous aident », confie encore Marc, qui loue un appartement avec sa petite amie.
Une santé sacrifiée
« Il m’est arrivé plusieurs fois d’être malade et de ne pas pouvoir consulter. Maintenant que je gagne un Smic, la question va moins se poser mais, étudiante, j’avais tout juste de quoi payer le loyer. » Emilie, vingt-six ans, va rarement chez le médecin. Cela fait plus de cinq ans qu’elle n’a pas consulté de gynécologue, plus de dix ans pour le dentiste : trop onéreux pour son maigre budget. Comme elle, en 2010, 15 à 20 % des étudiants ont renoncé à des soins essentiels pour raisons financières, et seules 43 % des étudiantes ont consulté un gynécologue.
Pourtant, d’après la dernière enquête de la mutuelle des étudiants (Lmde), 82 % des étudiants se disent en bonne santé. « Ce chiffre positif cache une réalité contrastée, estime Nicolas Souveton, président de l’Observatoire expertise et prévention pour la santé des étudiants. Les jeunes acceptent de plus en plus de choses. Ainsi,ne pas se soigner quand on a la grippe est aujourd’hui devenu normal. »
Il existe pourtant des solutions au sein même des universités. Les services universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumpps) proposent des consultations de généralistes et de spécialistes gratuites à tous les étudiants. Mais ces structures restent trop méconnues.
Des individualistes solidaires
Pour sept Français sur dix, les jeunes seraient individualistes [2]. Ils ne penseraient qu’à eux, seraient intolérants, peu disposés à aider la société… Le fait est que, dans ce domaine, la jeune génération diffère des précédentes. D’après une étude de la Fondation pour l’innovation politique, 39 % des jeunes Français déclarent ne pas vouloir payer pour les retraites de leurs aînés, et ils ne sont que 17 % à souhaiter militer dans un parti. Si la conscience politique existe toujours, elle reste dans la sphère privée, avec un rejet des « systèmes de pensée trop rigides », constatait Odile de Laurens, présidente de l’observatoire de la Fondation de France, en 2007. « J’ai mes propres idées, mais j’ai envie de rester indépendant », confirme Marc. Désabusés, les jeunes ne croient plus aux partis (84 % se fient peu ou pas aux politiques), mais placent leurs espoirs dans les associations (85 % leur font confiance). Pour autant, leur engagement reste limité. D’une part du fait de leur situation économique, mais aussi parce qu’ils privilégient des actions ponctuelles et personnelles : signature de pétitions, actes de charité, manifestations… La Fondation de France a fini par trouver le terme juste pour qualifier les jeunes du xxie siècle : « individualistes solidaires ».
Plus sages qu’on ne le croit
Binge drinking, apéros Facebook… Selon bien des gros titres des médias, les jeunes ne penseraient qu’à s’enivrer. « Ça permet d’éviter des sujets plus sensibles, comme le mal-être. On a monté le thème de l’alcool en épingle, dénonce Christophe Moreau, sociologue et coauteur de La Fête et les Jeunes [3]. Depuis l’Antiquité, on dit que les jeunes sont plus dépravés qu’avant. » Or, seuls 5 à 10 % seraient concernés par la dépendance. « Pour eux, le problème principal est le mal-être. Ils recherchent un oubli de soi », assure le sociologue. Les jeunes aujourd’hui boivent moins que leurs aînés en leur temps, mais il est vrai qu’ils recherchent plus l’ivresse. « Ils boivent de façon plus festive. Il y a une ébriété, mais pas de désocialisation », tempère Christophe Moreau.
Quant au cannabis, un tiers des étudiants confient en avoir déjà consommé, et 3 % en prendre régulièrement. Enfin, si les jeunes sont considérés toujours plus précoces en matière de sexualité, l’âge médian du premier rapport n’a pourtant pas bougé depuis trente ans chez les garçons (17,2 ans) et n’a baissé que d’une année pour les filles (17,6 ans) [4].
Information '' VIVA'' que nous remercions particulièrement Elsa Maudet
[1] Chiffres Insee, février 2011
[2] D’après une étude réalisée en 2009 par Audirep pour l’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev).
[3] Editions Apogée, 19 euros.
[4] Institut national d’études démographiques 2006.
Mise en ligne : 3 octobre 2011
Ils se voient en « génération sacrifiée », alors que leurs aînés considèrent qu’ils sont débauchés et égoïstes.
Etat des lieux de la jeunesse.
Le défi du premier emploi
Les jeunes d’aujourd’hui ont l’impression de ne pas être nés à la bonne époque. Leurs parents, pensent-ils, ont eu la chance de profiter des avancées soixante-huitardes et leur jeunesse a été plus confortable. « Avant, ceux qui faisaient des études avaient plus de facilités pour accéder à l’emploi », estime Marc, vingt-quatre ans, titulaire d’un master en relations internationales et géopolitique. Quand nous l’avons rencontré, ce jeune diplômé cherchait un emploi depuis six mois. « On me répond que je n’ai pas assez d’expérience. Quelque part, c’est justifié, mais si on ne nous donne pas les moyens d’acquérir de l’expérience, on ne risque pas d’en avoir... » sourit-il. Il envisage de se réinscrire en faculté afin d’accéder à des stages.
Marc n’est pas un cas à part. Le taux de chômage, de 9,2 % à l’échelon national, atteint 22,8 % [1] chez les 15-24 ans. Si les années 1970 ont effectivement été plus faciles, avec un taux de chômage de 5 % pour les jeunes diplômés, depuis 1980, ce taux n’est jamais redescendu sous les 15 %…
Du fait de l’allongement de la durée des études et de la difficulté de trouver un premier emploi, les jeunes sont la catégorie la plus touchée par la précarité : un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté. Conséquence directe : le report de la prise d’indépendance. « Je fais des petits boulots alimentaires de temps en temps, mais heureusement mes parents nous aident », confie encore Marc, qui loue un appartement avec sa petite amie.
Une santé sacrifiée
« Il m’est arrivé plusieurs fois d’être malade et de ne pas pouvoir consulter. Maintenant que je gagne un Smic, la question va moins se poser mais, étudiante, j’avais tout juste de quoi payer le loyer. » Emilie, vingt-six ans, va rarement chez le médecin. Cela fait plus de cinq ans qu’elle n’a pas consulté de gynécologue, plus de dix ans pour le dentiste : trop onéreux pour son maigre budget. Comme elle, en 2010, 15 à 20 % des étudiants ont renoncé à des soins essentiels pour raisons financières, et seules 43 % des étudiantes ont consulté un gynécologue.
Pourtant, d’après la dernière enquête de la mutuelle des étudiants (Lmde), 82 % des étudiants se disent en bonne santé. « Ce chiffre positif cache une réalité contrastée, estime Nicolas Souveton, président de l’Observatoire expertise et prévention pour la santé des étudiants. Les jeunes acceptent de plus en plus de choses. Ainsi,ne pas se soigner quand on a la grippe est aujourd’hui devenu normal. »
Il existe pourtant des solutions au sein même des universités. Les services universitaires de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumpps) proposent des consultations de généralistes et de spécialistes gratuites à tous les étudiants. Mais ces structures restent trop méconnues.
Des individualistes solidaires
Pour sept Français sur dix, les jeunes seraient individualistes [2]. Ils ne penseraient qu’à eux, seraient intolérants, peu disposés à aider la société… Le fait est que, dans ce domaine, la jeune génération diffère des précédentes. D’après une étude de la Fondation pour l’innovation politique, 39 % des jeunes Français déclarent ne pas vouloir payer pour les retraites de leurs aînés, et ils ne sont que 17 % à souhaiter militer dans un parti. Si la conscience politique existe toujours, elle reste dans la sphère privée, avec un rejet des « systèmes de pensée trop rigides », constatait Odile de Laurens, présidente de l’observatoire de la Fondation de France, en 2007. « J’ai mes propres idées, mais j’ai envie de rester indépendant », confirme Marc. Désabusés, les jeunes ne croient plus aux partis (84 % se fient peu ou pas aux politiques), mais placent leurs espoirs dans les associations (85 % leur font confiance). Pour autant, leur engagement reste limité. D’une part du fait de leur situation économique, mais aussi parce qu’ils privilégient des actions ponctuelles et personnelles : signature de pétitions, actes de charité, manifestations… La Fondation de France a fini par trouver le terme juste pour qualifier les jeunes du xxie siècle : « individualistes solidaires ».
Plus sages qu’on ne le croit
Binge drinking, apéros Facebook… Selon bien des gros titres des médias, les jeunes ne penseraient qu’à s’enivrer. « Ça permet d’éviter des sujets plus sensibles, comme le mal-être. On a monté le thème de l’alcool en épingle, dénonce Christophe Moreau, sociologue et coauteur de La Fête et les Jeunes [3]. Depuis l’Antiquité, on dit que les jeunes sont plus dépravés qu’avant. » Or, seuls 5 à 10 % seraient concernés par la dépendance. « Pour eux, le problème principal est le mal-être. Ils recherchent un oubli de soi », assure le sociologue. Les jeunes aujourd’hui boivent moins que leurs aînés en leur temps, mais il est vrai qu’ils recherchent plus l’ivresse. « Ils boivent de façon plus festive. Il y a une ébriété, mais pas de désocialisation », tempère Christophe Moreau.
Quant au cannabis, un tiers des étudiants confient en avoir déjà consommé, et 3 % en prendre régulièrement. Enfin, si les jeunes sont considérés toujours plus précoces en matière de sexualité, l’âge médian du premier rapport n’a pourtant pas bougé depuis trente ans chez les garçons (17,2 ans) et n’a baissé que d’une année pour les filles (17,6 ans) [4].
Information '' VIVA'' que nous remercions particulièrement Elsa Maudet
[1] Chiffres Insee, février 2011
[2] D’après une étude réalisée en 2009 par Audirep pour l’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev).
[3] Editions Apogée, 19 euros.
[4] Institut national d’études démographiques 2006.
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Mutuelles étudiantes, le coup de pouce de l’Etat
Mise en ligne : 2 décembre 2011
Les mutuelles étudiantes et la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) ont signé au ministère de l’Enseignement supérieur, un accord de financement portant à 52 euros (au lieu de 51,60) par étudiant et par an, la "remise de gestion" accordée par l’Etat aux mutuelles (ce qui représente un engagement de 85 millions d’euros par an).
Cet accord arrive à point nommé car nombreux sont les étudiants qui ont de plus en plus de mal à se soigner. Les mutuelles étudiantes LMDE, SMEREP se réjouissent de cette bonne nouvelle.
"Les étudiants ne feront pas les frais d’une rigueur aveugle. Cet accord fortifie les mutuelles étudiantes et leurs missions de service public", a commenté le ministre de l’Enseignement supérieur, Laurent Wauquiez.
Le ministre, attaqué sur les problèmes de finacement des universités et sur la situation des diplômes étrangers, à donc aplani les choses avec ce partenariat d’autant plus réclamé par les étudiants que la majorité a récemment voté une hausse de 3,5% à 7% de la taxe sur les complémentaires santé, ce qui fragilise l’équilibre financier des mutuelles.
Intérrogé dans le journal 20 minutes, Laurent Wauquiez assure qu’il souhaite mettre en place également un passeport santé étudiant, un guide avec des conseils, lancer de grandes campagnes de prévention, mettre en place des relais santé, tenus par des étudiants, et en direction des étudiants. Autres points : l’amélioration du parcours de soins, avec une prestation minimum garantie : une consultation de prévention gratuite, dispensée au cœur des campus.
L’UNEF, principal syndicat étudiant prend acte de ces décisions et rappelle que la santé reste le premier poste sur lequel les étudiant économisent.
Information VIVA que nous remercions
Mise en ligne : 2 décembre 2011
Les mutuelles étudiantes et la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) ont signé au ministère de l’Enseignement supérieur, un accord de financement portant à 52 euros (au lieu de 51,60) par étudiant et par an, la "remise de gestion" accordée par l’Etat aux mutuelles (ce qui représente un engagement de 85 millions d’euros par an).
Cet accord arrive à point nommé car nombreux sont les étudiants qui ont de plus en plus de mal à se soigner. Les mutuelles étudiantes LMDE, SMEREP se réjouissent de cette bonne nouvelle.
"Les étudiants ne feront pas les frais d’une rigueur aveugle. Cet accord fortifie les mutuelles étudiantes et leurs missions de service public", a commenté le ministre de l’Enseignement supérieur, Laurent Wauquiez.
Le ministre, attaqué sur les problèmes de finacement des universités et sur la situation des diplômes étrangers, à donc aplani les choses avec ce partenariat d’autant plus réclamé par les étudiants que la majorité a récemment voté une hausse de 3,5% à 7% de la taxe sur les complémentaires santé, ce qui fragilise l’équilibre financier des mutuelles.
Intérrogé dans le journal 20 minutes, Laurent Wauquiez assure qu’il souhaite mettre en place également un passeport santé étudiant, un guide avec des conseils, lancer de grandes campagnes de prévention, mettre en place des relais santé, tenus par des étudiants, et en direction des étudiants. Autres points : l’amélioration du parcours de soins, avec une prestation minimum garantie : une consultation de prévention gratuite, dispensée au cœur des campus.
L’UNEF, principal syndicat étudiant prend acte de ces décisions et rappelle que la santé reste le premier poste sur lequel les étudiant économisent.
Information VIVA que nous remercions
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
TRISTE INFORMATION
Tabac et alcool : points noirs chez les jeunes
Mise en ligne : 9 décembre 2011
Les jeunes fument et boivent encore beaucoup, d’après la dernière enquête menée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) publiée hier. 31,5 % d’entre eux sont accros à la cigarette (9% de plus qu’en 2008). Les garçons sont plus assidus au bureau de tabac que les filles (32,7% de fumeurs contre 30,2% de fumeuses).
Plus préoccupant encore, la consommation d’alcool fait un bond chez les jeunes. Ils sont 18% de plus qu’il y a quatre ans à boire régulièrement, c’est-à-dire au moins dix fois par mois. Une habitude inquiétante qui touche là encore beaucoup plus les garçons (15,2%) que les filles (5,6%). Près d’un jeune sur dix boit même tous les jours. Les doses d’alcool absorbées explosent également chez les jeunes, dont une proportion de plus en plus importante se familiarise avec les cuites.
En 2008, 25,6% déclaraient avoir été en état d’ivresse au moins trois fois dans l’année. En 2011, il sont 27,8%. De plus, un ado sur dix a été ivre au moins dix fois dans l’année, une habitude de saoulerie trois fois plus importante chez les garçons de 17 ans (15%) que chez les filles du même âge (5,7%).
Bonne nouvelle : l’usage du cannabis recule chez les ados. Sur 790 000 jeunes Français de 17 ans, 6,5% (soit 51 000 adolescents, dont 38 000 garçons) se revendiquent comme des fumeurs réguliers. Ils étaient deux fois plus nombreux (12,3%) en 2002. La proportion des ados qui ont simplement essayé de fumer une fois dans leur vie diminue également. Ils sont 41,5% contre 50,2% en 2002.
La cocaïne et les produits de synthèse qui irriguent le marché, restent marginales chez les mineurs. Sur les 790 000 jeunes Français de 17 ans, seuls 24 000 ont déjà snifé de la poudre blanche au moins une fois (3% des jeunes) et 15 000 ont pris de l’ecstasy (1,9%). L’expérience de prise de coke, qui avait beaucoup augmenté jusqu’en 2008, semble aujourd’hui jugulée. Et seuls 2,4 % de la classe d’âge se sont aventurés à goûter les amphétamines, un taux légèrement inférieur à celui relevé il y a quatre ans .
Merci VIVA pour cette triste information
Tabac et alcool : points noirs chez les jeunes
Mise en ligne : 9 décembre 2011
Les jeunes fument et boivent encore beaucoup, d’après la dernière enquête menée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) publiée hier. 31,5 % d’entre eux sont accros à la cigarette (9% de plus qu’en 2008). Les garçons sont plus assidus au bureau de tabac que les filles (32,7% de fumeurs contre 30,2% de fumeuses).
Plus préoccupant encore, la consommation d’alcool fait un bond chez les jeunes. Ils sont 18% de plus qu’il y a quatre ans à boire régulièrement, c’est-à-dire au moins dix fois par mois. Une habitude inquiétante qui touche là encore beaucoup plus les garçons (15,2%) que les filles (5,6%). Près d’un jeune sur dix boit même tous les jours. Les doses d’alcool absorbées explosent également chez les jeunes, dont une proportion de plus en plus importante se familiarise avec les cuites.
En 2008, 25,6% déclaraient avoir été en état d’ivresse au moins trois fois dans l’année. En 2011, il sont 27,8%. De plus, un ado sur dix a été ivre au moins dix fois dans l’année, une habitude de saoulerie trois fois plus importante chez les garçons de 17 ans (15%) que chez les filles du même âge (5,7%).
Bonne nouvelle : l’usage du cannabis recule chez les ados. Sur 790 000 jeunes Français de 17 ans, 6,5% (soit 51 000 adolescents, dont 38 000 garçons) se revendiquent comme des fumeurs réguliers. Ils étaient deux fois plus nombreux (12,3%) en 2002. La proportion des ados qui ont simplement essayé de fumer une fois dans leur vie diminue également. Ils sont 41,5% contre 50,2% en 2002.
La cocaïne et les produits de synthèse qui irriguent le marché, restent marginales chez les mineurs. Sur les 790 000 jeunes Français de 17 ans, seuls 24 000 ont déjà snifé de la poudre blanche au moins une fois (3% des jeunes) et 15 000 ont pris de l’ecstasy (1,9%). L’expérience de prise de coke, qui avait beaucoup augmenté jusqu’en 2008, semble aujourd’hui jugulée. Et seuls 2,4 % de la classe d’âge se sont aventurés à goûter les amphétamines, un taux légèrement inférieur à celui relevé il y a quatre ans .
Merci VIVA pour cette triste information
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Débats 2012 Jeunesse : la génération sacrifiée
Mise en ligne : 2 janvier 2012
Sur la Puerta del Sol à Madrid, sur le parvis de la cathédrale Saint-Paul, au cœur de la City à Londres, à Wall Street, le quartier d’affaires de New York, mais aussi au Portugal, en Grèce, au Japon, au Canada… les « indignés » sont dans la rue.
Leurs slogans : U“nited for Global Change” (“ Unis pour un changement global” ), “Changer de modèle maintenant”… Leur ennemi ? Le capitalisme incarné par les banquiers, les bonus, la spéculation, qui conduisent les économies à la ruine et précipitent des populations de plus en plus nombreuses dans le chômage, la précarité et la misère, mais aussi ces gouvernements qui, par manque de volonté politique, ne parviennent pas – ou se refusent – à tenir tête aux marchés.
Diplômée, en général, très diplômée, cultivée, cette génération Erasmus vit en coloc ou soutenue par les parents, survit grâce au système D, aux petits boulots précaires, à quelques subsides étatiques. Enfants d’Internet, ils voyagent sur les réseaux sociaux, créent des sites et des forums de discussion, twittent.
Un sur deux a un sentiment d’angoisse face à l’avenir (baromètre Ipsos-Secours populaire 2010). Rejetant les partis politiques traditionnels, ils rêvent de réinventer un autre système, une économie citoyenne où les inégalités sociales cesseraient de s’accroître.
En France, le mouvement peine à décoller. Selon les observateurs, la crise, moins brutale qu’en Espagne ou en Grèce, sans doute en raison de notre meilleur système de protection sociale, empêcherait une prise de conscience des jeunes générations. D’autres citent aussi la perspective de la toute prochaine élection présidentielle, qui encouragerait les jeunes Français à attendre un changement dans ce cadre…
Iront-ils massivement s’exprimer ? S’ils ont participé à la dernière présidentielle, leur tendance à l’abstention est très marquée…
« Réapprenons à nous indigner »
Stéphane Hessel, ancien ambassadeur de France à l’Onu. “Nous sommes arrivés aujourd’hui à une véritable catastrophe. Nos sociétés vont mal. Les gens veulent renouer avec des valeurs démocratiques fondamentales. Nous l’avons vu avec les révoltes du printemps arabe, qui ont beaucoup utilisé le terme « indigné » et mon petit livre [1]… Je dois dire que lorsque nous avons publié, avec mon éditrice Sylvie Crossman, cet opuscule au titre court et provoquant, nous ne nous doutions pas qu’il aurait autant d’influence. Il a été traduit dans 33 pays. En France, il s’est vendu à 2 millions d’exemplaires.
S’il a autant intéressé, c’est qu’il est sorti à un instant particulier, un moment opportun où les gens en ont assez. On l’a vu avec les manifestations pour les retraites ou lors de la forte mobilisation pour les primaires socialistes. Mais chez nous, en France, et plus encore dans certains pays, comme l’Allemagne, où la démocratie fonctionne bien, l’ennemi est devenu plus diffus. Mais nous le connaissons. Il s’agit de la spéculation financière. Cela pourrait changer si nous réapprenions à nous indigner. Mais pas n’importe comment, ni contre n’importe quoi. Tout ne mérite pas l’indignation.
Je crains toujours ceux qui s’en prennent aux institutions sans proposer d’alternatives. S’indigner ne sert pas à grand-chose si on ne prend pas ensuite la décision de s’engager pour construire autre chose. Voilà pourquoi aujourd’hui je me sens proche des occupants de Wall Street, dont l’indignation se porte sur les dysfonctionnements graves de la finance mondiale. Une saine indignation. Une juste indignation.
Déjà, le Conseil national de la Résistance, en 1944, stigmatisait “la féodalité de la finance ”, contre laquelle il souhaitait résister. En s’appuyant sur le programme du Cnr, de gros efforts ont été faits dans les années d’après guerre pour plus de justice sociale, d’abord en réglementant les marchés, puis avec la création de la Sécurité sociale. Ce furent les Trente Glorieuses.
A partir du milieu des années 1970, sous l’influence de l’école de Chicago [2], est devenue dominante l’idée que l’Etat ne sert à rien et qu’il ne doit entraver en rien la liberté du marché. L’engagement pour demain, c’est de celui-ci qu’il s’agit, le même qu’en 1944 : d’abord réguler les marchés, ensuite réinstaurer une véritable démocratie sociale.”
Remerciements à VIVA particulièrement à Mme Anne-Marie Thomazeau
Mise en ligne : 2 janvier 2012
Sur la Puerta del Sol à Madrid, sur le parvis de la cathédrale Saint-Paul, au cœur de la City à Londres, à Wall Street, le quartier d’affaires de New York, mais aussi au Portugal, en Grèce, au Japon, au Canada… les « indignés » sont dans la rue.
Leurs slogans : U“nited for Global Change” (“ Unis pour un changement global” ), “Changer de modèle maintenant”… Leur ennemi ? Le capitalisme incarné par les banquiers, les bonus, la spéculation, qui conduisent les économies à la ruine et précipitent des populations de plus en plus nombreuses dans le chômage, la précarité et la misère, mais aussi ces gouvernements qui, par manque de volonté politique, ne parviennent pas – ou se refusent – à tenir tête aux marchés.
Diplômée, en général, très diplômée, cultivée, cette génération Erasmus vit en coloc ou soutenue par les parents, survit grâce au système D, aux petits boulots précaires, à quelques subsides étatiques. Enfants d’Internet, ils voyagent sur les réseaux sociaux, créent des sites et des forums de discussion, twittent.
Un sur deux a un sentiment d’angoisse face à l’avenir (baromètre Ipsos-Secours populaire 2010). Rejetant les partis politiques traditionnels, ils rêvent de réinventer un autre système, une économie citoyenne où les inégalités sociales cesseraient de s’accroître.
En France, le mouvement peine à décoller. Selon les observateurs, la crise, moins brutale qu’en Espagne ou en Grèce, sans doute en raison de notre meilleur système de protection sociale, empêcherait une prise de conscience des jeunes générations. D’autres citent aussi la perspective de la toute prochaine élection présidentielle, qui encouragerait les jeunes Français à attendre un changement dans ce cadre…
Iront-ils massivement s’exprimer ? S’ils ont participé à la dernière présidentielle, leur tendance à l’abstention est très marquée…
« Réapprenons à nous indigner »
Stéphane Hessel, ancien ambassadeur de France à l’Onu. “Nous sommes arrivés aujourd’hui à une véritable catastrophe. Nos sociétés vont mal. Les gens veulent renouer avec des valeurs démocratiques fondamentales. Nous l’avons vu avec les révoltes du printemps arabe, qui ont beaucoup utilisé le terme « indigné » et mon petit livre [1]… Je dois dire que lorsque nous avons publié, avec mon éditrice Sylvie Crossman, cet opuscule au titre court et provoquant, nous ne nous doutions pas qu’il aurait autant d’influence. Il a été traduit dans 33 pays. En France, il s’est vendu à 2 millions d’exemplaires.
S’il a autant intéressé, c’est qu’il est sorti à un instant particulier, un moment opportun où les gens en ont assez. On l’a vu avec les manifestations pour les retraites ou lors de la forte mobilisation pour les primaires socialistes. Mais chez nous, en France, et plus encore dans certains pays, comme l’Allemagne, où la démocratie fonctionne bien, l’ennemi est devenu plus diffus. Mais nous le connaissons. Il s’agit de la spéculation financière. Cela pourrait changer si nous réapprenions à nous indigner. Mais pas n’importe comment, ni contre n’importe quoi. Tout ne mérite pas l’indignation.
Je crains toujours ceux qui s’en prennent aux institutions sans proposer d’alternatives. S’indigner ne sert pas à grand-chose si on ne prend pas ensuite la décision de s’engager pour construire autre chose. Voilà pourquoi aujourd’hui je me sens proche des occupants de Wall Street, dont l’indignation se porte sur les dysfonctionnements graves de la finance mondiale. Une saine indignation. Une juste indignation.
Déjà, le Conseil national de la Résistance, en 1944, stigmatisait “la féodalité de la finance ”, contre laquelle il souhaitait résister. En s’appuyant sur le programme du Cnr, de gros efforts ont été faits dans les années d’après guerre pour plus de justice sociale, d’abord en réglementant les marchés, puis avec la création de la Sécurité sociale. Ce furent les Trente Glorieuses.
A partir du milieu des années 1970, sous l’influence de l’école de Chicago [2], est devenue dominante l’idée que l’Etat ne sert à rien et qu’il ne doit entraver en rien la liberté du marché. L’engagement pour demain, c’est de celui-ci qu’il s’agit, le même qu’en 1944 : d’abord réguler les marchés, ensuite réinstaurer une véritable démocratie sociale.”
Remerciements à VIVA particulièrement à Mme Anne-Marie Thomazeau
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Je suis étudiant et je loue un logement, suis-je redevable de la taxe d'habitation ?
Il n’y a pas d’exonération spécifique de taxe d'habitation en faveur des étudiants.
Ainsi, si vous disposez d'un logement au 1er janvier de l'année, vous êtes redevable de la taxe d'habitation pour ce logement pour l'année entière.
Toutefois, certaines résidences sont exonérées de taxe d'habitation :
les résidences universitaires gérées par le CROUS
les résidences affectées au logement des étudiants, dont la gestion est assurée par tout organisme dans des conditions financières et d'occupation analogues à celles des CROUS.
Par ailleurs, si vous occupez une chambre meublée chez une personne qui loue ou sous-loue une partie de son habitation, vous ne payez pas de taxe d'habitation. Celle-ci demeure établie au nom du loueur pour l'ensemble du logement, y compris la pièce louée en meublé.
A noter : Les étudiants rattachés fiscalement au foyer fiscal de leurs parents peuvent, sur demande auprès du service des impôts dont dépend le logement, bénéficier d’un allègement de cette taxe en joignant à leur courrier un copie de l’avis d’imposition de leur parent.
BRIAND
Il n’y a pas d’exonération spécifique de taxe d'habitation en faveur des étudiants.
Ainsi, si vous disposez d'un logement au 1er janvier de l'année, vous êtes redevable de la taxe d'habitation pour ce logement pour l'année entière.
Toutefois, certaines résidences sont exonérées de taxe d'habitation :
les résidences universitaires gérées par le CROUS
les résidences affectées au logement des étudiants, dont la gestion est assurée par tout organisme dans des conditions financières et d'occupation analogues à celles des CROUS.
Par ailleurs, si vous occupez une chambre meublée chez une personne qui loue ou sous-loue une partie de son habitation, vous ne payez pas de taxe d'habitation. Celle-ci demeure établie au nom du loueur pour l'ensemble du logement, y compris la pièce louée en meublé.
A noter : Les étudiants rattachés fiscalement au foyer fiscal de leurs parents peuvent, sur demande auprès du service des impôts dont dépend le logement, bénéficier d’un allègement de cette taxe en joignant à leur courrier un copie de l’avis d’imposition de leur parent.
BRIAND
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Le contrat d’avenir pour les jeunes sans diplômes
Mise en ligne : 2 janvier 2013
Elaboré afin de lutter contre les difficultés d’insertion professionnelle des jeunes sans qualifications, le contrat d’avenir est entré en vigueur le 1er novembre 2012. Les employeurs bénéficient en contrepartie d’une aide de l’état.
C‘était une des principales promesses de campagne de François Hollande dans le domaine de la lutte contre le chômage, celui des jeunes en particulier. La loi et les décrets d’application ont donc été préparés et publiés rapidement pour que le dispositif des contrats d’avenir puisse s’appliquer dès le 1er novembre 2012. Le gouvernement espère la création d’au moins 150000 nouveaux emplois avant la fin 2014.
Le contrat d’avenir reprend le principe de base des « contrats aidés » : en versant une aide financière, l’Etat incite des employeurs à embaucher une catégorie déterminée de personnes.
POUR QUI ?
Le contrat d’avenir s’adresse aux jeunes entre 16 et 25 ans (ou 30 ans pour les travailleurs handicapés), sans emploi et peu ou pas qualifiés. Sont ainsi éligibles les personnes :
- sans aucun diplôme ;
- ou ayant un niveau Cap-Bep si elles justifient d’une période de recherche infructueuse d’emploi d’au moins 6 mois durant les 12 derniers mois ;
- ou résidant en zone dite « prioritaire » (zone urbaine sensible, zone de revitalisation rurale, département d’outre-mer, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon) et ayant atteint un niveau du premier cycle de l’enseignement supérieur si elles justifient d’une période de recherche infructueuse d’emploi d’au moins 12 mois durant les 18 derniers mois.
Outre le fait de procurer un emploi, l’avantage du contrat d’avenir est que son titulaire bénéficie d’un suivi personnalisé professionnel et/ou social, avec un bilan sur son projet. A la fin du contrat, les compétences acquises sont reconnues dans une attestation et son accès à des concours ou des formations est favorisé.
POUR QUELS EMPLOIS ?
Les fonctions proposées doivent relever d’une activité ayant un caractère d’utilité sociale, environnementale ou ayant un fort potentiel de création d’emplois (filières vertes, secteurs social et médico-social, aide à la personne, filières numériques, tourisme…). Les contrats d’avenir sont donc principalement destinés aux employeurs du secteur non marchand (organismes à but non lucratif, comme les associations, collectivités territoriales ou autres personnes morales chargées de la gestion d’un service public, structures d’insertion par l’activité économique). Mais les entreprises du secteur marchand peuvent également proposer des contrats d’avenir, à condition :
- d’assurer à l’employé une perspective de qualification et d’insertion professionnelle durable ;
- et d’appartenir à un secteur à fort potentiel de création d’emplois.
DANS QUELLES CONDITIONS ?
Le contrat d’avenir obéit au régime juridique du contrat unique d’insertion (Cui), et prend donc la forme d’un Cui-Cae (contrat d’accompagnement dans l’emploi) quand il est conclu dans le secteur non marchand et d’un Cui-Cie (contrat initiative-emploi) dans le secteur marchand. En principe, il s’agit d’un temps plein pour un Cdd de 36 mois (ou un Cdi). Mais des exceptions peuvent être accordées par l’autorité administrative, notamment dans l’intérêt de l’employé, compte tenu de son projet professionnel ou de ses besoins de formation.
Le travail est rémunéré au moins au Smic (ou à un montant supérieur si une convention collective le prévoit). L’Etat aide l’employeur à hauteur de 75% du Smic pour un Cui-Cae ou 35% pour un Cui-Cie.
Remerciements à '' VIVA '' particulièrement Mr Sylvain Gisclard et toute l'équipe avec mes MEILLEURS VOEUX
BRIAND
Pour les étudiants boursiers
Les jeunes titulaires de bourses inscrits en 2e ou 3e année de licence ou en 1re année de master peuvent conclure un contrat d’avenir spécifique avec des établissements publics ou privés d’enseignement. L’étudiant bénéficie alors d’un tutorat et d’un emploi du temps adapté à la poursuite de ses études. Le contrat est conclu pour 1 an renouvelable dans la limite de 3 ans. La rémunération peut être cumulée avec la bourse.
Mise en ligne : 2 janvier 2013
Elaboré afin de lutter contre les difficultés d’insertion professionnelle des jeunes sans qualifications, le contrat d’avenir est entré en vigueur le 1er novembre 2012. Les employeurs bénéficient en contrepartie d’une aide de l’état.
C‘était une des principales promesses de campagne de François Hollande dans le domaine de la lutte contre le chômage, celui des jeunes en particulier. La loi et les décrets d’application ont donc été préparés et publiés rapidement pour que le dispositif des contrats d’avenir puisse s’appliquer dès le 1er novembre 2012. Le gouvernement espère la création d’au moins 150000 nouveaux emplois avant la fin 2014.
Le contrat d’avenir reprend le principe de base des « contrats aidés » : en versant une aide financière, l’Etat incite des employeurs à embaucher une catégorie déterminée de personnes.
POUR QUI ?
Le contrat d’avenir s’adresse aux jeunes entre 16 et 25 ans (ou 30 ans pour les travailleurs handicapés), sans emploi et peu ou pas qualifiés. Sont ainsi éligibles les personnes :
- sans aucun diplôme ;
- ou ayant un niveau Cap-Bep si elles justifient d’une période de recherche infructueuse d’emploi d’au moins 6 mois durant les 12 derniers mois ;
- ou résidant en zone dite « prioritaire » (zone urbaine sensible, zone de revitalisation rurale, département d’outre-mer, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon) et ayant atteint un niveau du premier cycle de l’enseignement supérieur si elles justifient d’une période de recherche infructueuse d’emploi d’au moins 12 mois durant les 18 derniers mois.
Outre le fait de procurer un emploi, l’avantage du contrat d’avenir est que son titulaire bénéficie d’un suivi personnalisé professionnel et/ou social, avec un bilan sur son projet. A la fin du contrat, les compétences acquises sont reconnues dans une attestation et son accès à des concours ou des formations est favorisé.
POUR QUELS EMPLOIS ?
Les fonctions proposées doivent relever d’une activité ayant un caractère d’utilité sociale, environnementale ou ayant un fort potentiel de création d’emplois (filières vertes, secteurs social et médico-social, aide à la personne, filières numériques, tourisme…). Les contrats d’avenir sont donc principalement destinés aux employeurs du secteur non marchand (organismes à but non lucratif, comme les associations, collectivités territoriales ou autres personnes morales chargées de la gestion d’un service public, structures d’insertion par l’activité économique). Mais les entreprises du secteur marchand peuvent également proposer des contrats d’avenir, à condition :
- d’assurer à l’employé une perspective de qualification et d’insertion professionnelle durable ;
- et d’appartenir à un secteur à fort potentiel de création d’emplois.
DANS QUELLES CONDITIONS ?
Le contrat d’avenir obéit au régime juridique du contrat unique d’insertion (Cui), et prend donc la forme d’un Cui-Cae (contrat d’accompagnement dans l’emploi) quand il est conclu dans le secteur non marchand et d’un Cui-Cie (contrat initiative-emploi) dans le secteur marchand. En principe, il s’agit d’un temps plein pour un Cdd de 36 mois (ou un Cdi). Mais des exceptions peuvent être accordées par l’autorité administrative, notamment dans l’intérêt de l’employé, compte tenu de son projet professionnel ou de ses besoins de formation.
Le travail est rémunéré au moins au Smic (ou à un montant supérieur si une convention collective le prévoit). L’Etat aide l’employeur à hauteur de 75% du Smic pour un Cui-Cae ou 35% pour un Cui-Cie.
Remerciements à '' VIVA '' particulièrement Mr Sylvain Gisclard et toute l'équipe avec mes MEILLEURS VOEUX
BRIAND
Pour les étudiants boursiers
Les jeunes titulaires de bourses inscrits en 2e ou 3e année de licence ou en 1re année de master peuvent conclure un contrat d’avenir spécifique avec des établissements publics ou privés d’enseignement. L’étudiant bénéficie alors d’un tutorat et d’un emploi du temps adapté à la poursuite de ses études. Le contrat est conclu pour 1 an renouvelable dans la limite de 3 ans. La rémunération peut être cumulée avec la bourse.
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Passer le permis de conduire en candidat libre est-il une bonne idée ?
Vous souhaitez passer votre permis de conduire en candidat libre ? Cet article présente les avantages et défauts du permis de conduire en candidat libre.
Permis en candidat libre : délais d’attente trop longs
En moyenne, il faut compter plus d’un an pour obtenir son permis de conduire en candidat libre. En effet, les délais d’attente annoncés par la préfecture pour obtenir une date pour le passage du code et de l’examen de conduite sont de huit à neuf mois chacun.
Permis en candidat libre : une solution bon marché
Avec les prix exorbitants du permis de conduire dans certaines auto-écoles, on vient à se demander s’il est plus rentable de passer son permis de conduire en candidat libre. En optant pour le passage du permis en candidat libre, vous allégez considérablement le prix de votre permis B.
Les seuls coûts :
- un livre de code,
- location d’une voiture à double commande.
Permis en candidat libre : démarches personnelles
Passer son permis de conduire en candidat libre c’est aussi faire les démarches soit même.
Il faut se déplacer à la préfecture pour déposer son dossier d’inscription (voir les pièces nécessaires), trouver une agence locatrice de voitures à doubles commandes, trouver une personne (avec un permis valable et acquis depuis plus de 5 ans) qui acceptera de vous former à la conduite…
Permis en candidat libre : ce que nous vous conseillons
Ne commencez une formation au permis de conduire en candidat libre que si vous avez déjà conduit. Assurez-vous que l’enseignement de la conduite soit fait par quelqu’un de qualifier. Ne choisissez pas le passage en candidat libre si c’est pour éviter le système des auto-écoles (il existe d’autres alternatives). Listez toutes les agences locatrice de voitures à doubles commandes afin de choisir la moins chère et la plus sérieuse. Au final, passer son permis de conduire en candidat libre n’est pas forcément un bon plan, contrairement à l’idée que l’on s’en fait.
Ce qu'il faut retenir : le permis de conduire en candidat libre correspond surtout aux élèves débrouillards !
Autres informations http://www.quelpermis.com
BRIAND
Vous souhaitez passer votre permis de conduire en candidat libre ? Cet article présente les avantages et défauts du permis de conduire en candidat libre.
Permis en candidat libre : délais d’attente trop longs
En moyenne, il faut compter plus d’un an pour obtenir son permis de conduire en candidat libre. En effet, les délais d’attente annoncés par la préfecture pour obtenir une date pour le passage du code et de l’examen de conduite sont de huit à neuf mois chacun.
Permis en candidat libre : une solution bon marché
Avec les prix exorbitants du permis de conduire dans certaines auto-écoles, on vient à se demander s’il est plus rentable de passer son permis de conduire en candidat libre. En optant pour le passage du permis en candidat libre, vous allégez considérablement le prix de votre permis B.
Les seuls coûts :
- un livre de code,
- location d’une voiture à double commande.
Permis en candidat libre : démarches personnelles
Passer son permis de conduire en candidat libre c’est aussi faire les démarches soit même.
Il faut se déplacer à la préfecture pour déposer son dossier d’inscription (voir les pièces nécessaires), trouver une agence locatrice de voitures à doubles commandes, trouver une personne (avec un permis valable et acquis depuis plus de 5 ans) qui acceptera de vous former à la conduite…
Permis en candidat libre : ce que nous vous conseillons
Ne commencez une formation au permis de conduire en candidat libre que si vous avez déjà conduit. Assurez-vous que l’enseignement de la conduite soit fait par quelqu’un de qualifier. Ne choisissez pas le passage en candidat libre si c’est pour éviter le système des auto-écoles (il existe d’autres alternatives). Listez toutes les agences locatrice de voitures à doubles commandes afin de choisir la moins chère et la plus sérieuse. Au final, passer son permis de conduire en candidat libre n’est pas forcément un bon plan, contrairement à l’idée que l’on s’en fait.
Ce qu'il faut retenir : le permis de conduire en candidat libre correspond surtout aux élèves débrouillards !
Autres informations http://www.quelpermis.com
BRIAND
Re: INFORMATIONS POUR LES JEUNES
Permis de conduire : résultat par courriel ou par lettre
Depuis le 16 mai 2013, les candidats au permis de conduire reçoivent leurs résultats par courriel ou, en cas d’impossibilité, par courrier. Lorsque l’annonce du résultat de l’épreuve théorique (« le code ») a lieu par voie postale, l’inspecteur utilise l’enveloppe fournie à cet effet par l’auto-école. Lorsque l’annonce du résultat de l’épreuve pratique en circulation (« la conduite ») s’effectue par courrier, le candidat doit fournir, au moment de l’examen, une enveloppe affranchie à son adresse. Attention : L’absence d’enveloppe, affranchie, implique le report de l’épreuve.
JO du 11 mai, 2013
BRIAND
Depuis le 16 mai 2013, les candidats au permis de conduire reçoivent leurs résultats par courriel ou, en cas d’impossibilité, par courrier. Lorsque l’annonce du résultat de l’épreuve théorique (« le code ») a lieu par voie postale, l’inspecteur utilise l’enveloppe fournie à cet effet par l’auto-école. Lorsque l’annonce du résultat de l’épreuve pratique en circulation (« la conduite ») s’effectue par courrier, le candidat doit fournir, au moment de l’examen, une enveloppe affranchie à son adresse. Attention : L’absence d’enveloppe, affranchie, implique le report de l’épreuve.
JO du 11 mai, 2013
BRIAND