LA SANTE
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Re: LA SANTE
9 Français sur 10 font confiance dans les professionnels de santé
Le deuxième Baromètre Groupe Pasteur Mutualité sur « La cote de confiance des Français à l’égard des professionnels de santé » montre que 88% des Français leur font confiance (moins 2% par rapport à 2010) et 75% estiment qu’ils sont disponibles et à l’écoute de leurs patients.
Sujets d’inquiétudes
Les français s'inquiètent de la disponibilité de ces professionnels tout comme de la pérennité et la qualité de leur système de santé (déficit de la Sécurité sociale, réforme de l’hôpital public, accès aux soins, etc.).
63% des Français déclarent que les médecins généralistes ne sont pas bien répartis sur le territoire et 67% que les infirmiers ne sont pas assez nombreux.
L’évolution du pouvoir d’achat des Français a également un impact sur leur perception de la tarification des soins : les soins dentaires (pour 89% de la population) et les consultations des médecins spécialistes (74%, chiffre en hausse de 4 points par rapport à 2010) sont jugés encore trop chers.
Les professionnels de santé plébiscités
- les infirmiers (métier reconnu comme difficile)
- les médecins généralistes
- les médecins spécialistes
- les sages-femmes
Enquête réalisée par interviews effectuées du 17 au 22 octobre 2011 par téléphone sur un échantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
Information ''' AGEVILLAGE '' que nous remercions AdV à jour le 12/12/2011
Le deuxième Baromètre Groupe Pasteur Mutualité sur « La cote de confiance des Français à l’égard des professionnels de santé » montre que 88% des Français leur font confiance (moins 2% par rapport à 2010) et 75% estiment qu’ils sont disponibles et à l’écoute de leurs patients.
Sujets d’inquiétudes
Les français s'inquiètent de la disponibilité de ces professionnels tout comme de la pérennité et la qualité de leur système de santé (déficit de la Sécurité sociale, réforme de l’hôpital public, accès aux soins, etc.).
63% des Français déclarent que les médecins généralistes ne sont pas bien répartis sur le territoire et 67% que les infirmiers ne sont pas assez nombreux.
L’évolution du pouvoir d’achat des Français a également un impact sur leur perception de la tarification des soins : les soins dentaires (pour 89% de la population) et les consultations des médecins spécialistes (74%, chiffre en hausse de 4 points par rapport à 2010) sont jugés encore trop chers.
Les professionnels de santé plébiscités
- les infirmiers (métier reconnu comme difficile)
- les médecins généralistes
- les médecins spécialistes
- les sages-femmes
Enquête réalisée par interviews effectuées du 17 au 22 octobre 2011 par téléphone sur un échantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
Information ''' AGEVILLAGE '' que nous remercions AdV à jour le 12/12/2011
Re: LA SANTE
Par décret du 5 octobre 2011, le ministère en charge de la Santé a décidé de dérembourser vingt-huit médicaments,
décision entrée en vigueur le 1er décembre...........Un de plus de ma poche ??? )
Bonne nuit à tous
Cordialement
BRIAND
décision entrée en vigueur le 1er décembre...........Un de plus de ma poche ??? )
Bonne nuit à tous
Cordialement
BRIAND
- Fabienne54
- Messages : 1738
- Enregistré le : 12 avr. 2011, 16:17
Re: LA SANTE
Bonjour Briand et vous tous qui passez par là, petite expérience hier à la pharmacie : je vais acheter un médicament de 20 comprimés pour mon mari, pour un coût de 2,80 € la boite. La pharmacienne me dit qu'elle ne peut pas me vendre la boite de 24 cps sans ordonnance, boite remboursée par la Sécu.
Par contre, elle peut me vendre sans ordonnance le même produit par boite de 12 (on a vérifié c'est le même et ce n'est pas un générique
).
Je décide d'en acheter 2 boites soit 24 cps. Cout de l'opération = 9 € 80, soit 4 € 90 la boite
La bonne santé est une vraie richesse
Allez bonne journée.
Par contre, elle peut me vendre sans ordonnance le même produit par boite de 12 (on a vérifié c'est le même et ce n'est pas un générique

Je décide d'en acheter 2 boites soit 24 cps. Cout de l'opération = 9 € 80, soit 4 € 90 la boite

La bonne santé est une vraie richesse

Allez bonne journée.
Fabienne
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Bruno Spire, président de AIDES
"Il faut que la santé et la solidarité entrent dans le débat présidentiel"
Mise en ligne : 15 décembre 2011
"Les questions de santé ne sont pas dans la tête des dirigeants. Actuellement, nous n’avons même plus de ministère de la Santé. Tout ceci montre le peu de poids politique que représente la santé. Nous voulons avec ce manifeste, faire la promotion de la santé et proposer un système plus juste."[/color[/size]]
C’est dans cet esprit que Bruno Spire, le président de AIDES, association qui se bat aux côtés des malades du sida, a signé le Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire tout comme 123 autres personnalités.
Un engagement qui s’invite dans le débat présidentiel de 2012 pour mettre la santé et la solidarité au cœur des débats politiques. Notre protection sociale est en pleine tourmente, crise oblige ! Le service hospitalier est en grande difficulté. Le financement des soins courants fait l’objet de coupes claires régulièrement. Les déremboursements, les dépassements d’honoraires se banalisent. Le spectre d’une privatisation de notre santé se fait de plus en plus visible.
Pourtant une autre politique est possible, c’est ce que proposent les signataires de ce livre, pour porter haut et fort les valeurs de solidarité qui sont les principes fondateurs de notre Sécurité sociale.
information VIVA que nous remercions
Bruno Spire, président de AIDES
"Il faut que la santé et la solidarité entrent dans le débat présidentiel"
Mise en ligne : 15 décembre 2011
"Les questions de santé ne sont pas dans la tête des dirigeants. Actuellement, nous n’avons même plus de ministère de la Santé. Tout ceci montre le peu de poids politique que représente la santé. Nous voulons avec ce manifeste, faire la promotion de la santé et proposer un système plus juste."[/color[/size]]
C’est dans cet esprit que Bruno Spire, le président de AIDES, association qui se bat aux côtés des malades du sida, a signé le Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire tout comme 123 autres personnalités.
Un engagement qui s’invite dans le débat présidentiel de 2012 pour mettre la santé et la solidarité au cœur des débats politiques. Notre protection sociale est en pleine tourmente, crise oblige ! Le service hospitalier est en grande difficulté. Le financement des soins courants fait l’objet de coupes claires régulièrement. Les déremboursements, les dépassements d’honoraires se banalisent. Le spectre d’une privatisation de notre santé se fait de plus en plus visible.
Pourtant une autre politique est possible, c’est ce que proposent les signataires de ce livre, pour porter haut et fort les valeurs de solidarité qui sont les principes fondateurs de notre Sécurité sociale.
information VIVA que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Les spécialités pharmaceutiques mentionnées ci-dessous sont radiées de la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux à compter du 1er décembre 2011.
Les stocks détenus à la date d'entrée en vigueur du présent arrêté ne peuvent plus être pris en charge :
CODE CIP
PRÉSENTATION
34009 316 390 3 9
ALODONT, solution pour bain de bouche, 200 ml en flacon avec gobelet doseur (laboratoires TONIPHARM)
34009 371 657 8 5
BONVIVA 150 mg (acide ibandronique), comprimés pelliculés (B/1) (laboratoires ROCHE)
34009 371 658 4 6
BONVIVA 150 mg (acide ibandronique), comprimés pelliculés (B/3) (laboratoires ROCHE)
34009 376 871 8 8
BONVIVA 3 mg/3 ml (acide ibandronique), solution injectable en seringue préremplie + 1 aiguille (B/1) (laboratoires ROCHE)
34009 352 821 0 1
BUFLOMEDIL ACTAVIS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ACTAVIS FRANCE)
34009 357 427 9 7
BUFLOMEDIL ARROW 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 351 537 7 7
BUFLOMEDIL BIOGARAN 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires BIOGARAN)
34009 352 694 9 2
BUFLOMEDIL CRISTERS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires CRISTERS)
34009 360 004 8 3
BUFLOMEDIL EG 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 566 125 5 0
BUFLOMEDIL G GAM 150 mg, comprimés pelliculés (B/100) (laboratoires SANDOZ)
34009 331 334 3 6
BUFLOMEDIL L. LAFON 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires L. LAFON)
34009 343 084 7 5
BUFLOMEDIL MYLAN 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 363 310 2 0
BUFLOMEDIL QUALIMED 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires QUALIMED)
34009 367 116 6 2
BUFLOMEDIL RATIOPHARM 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires RATIOPHARM)
34009 354 049 3 0
BUFLOMEDIL RPG 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES)
34009 365 974 5 7
BUFLOMEDIL SANDOZ 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 362 676 3 3
BUFLOMEDIL TEVA 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 367 435 4 0
BUFLOMEDIL WINTHROP 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires WINTHROP MEDICAMENTS)
34009 352 842 8 0
BUFLOMEDIL ZYDUS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 338 081 3 6
CELANCE 0,05 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 338 084 2 6
CELANCE 0,25 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 338 086 5 5
CELANCE 1 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 301 945 4 6
CELESTAMINE (bétaméthasone, dexchlorphéniramine), comprimés (B/30) (laboratoires SCHERING-PLOUGH)
34009 321 359 3 6
COLPOSEPTINE, comprimés gynécologiques (B/18) (laboratoires THERAMEX)
34009 322 139 7 9
CORTISAL (prednisolone, monosalicylate de propylène glycol), crème, 30 g en tube (laboratoires LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES DEXO)
34009 331 453 2 3
DAKIN COOPER STABILISE (hypochlorite de sodium), solution pour application locale, 500 ml en flacon (laboratoires COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE)
34009 345 098 5 8
DIDRONEL 200 mg (étidronate disodique), comprimés sous plaquettes thermoformées (B/60) (laboratoires WARNER CHILCOTT FRANCE)
34009 333 062 0 5
DIDRONEL 400 mg (étidronate disodique), comprimés (B/14) (laboratoires WARNER CHILCOTT FRANCE)
34009 360 208 2 5
ETIDRONATE MYLAN 200 mg, comprimés (B/60) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 358 302 5 8
ETIDRONATE MYLAN 400 mg, comprimés (B/14) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 365 256 5 8
ETIDRONATE SANDOZ 400 mg, comprimés (B/14) (laboratoires SANDOZ)
34009 326 573 3 9
FARLUTAL 500 mg (acétate de médroxyprogestérone), comprimés (B/30) (laboratoires PFIZER)
34009 314 499 8 0
FARLUTAL 500 mg/5 ml (acétate de médroxyprogestérone), suspension injectable (IM) à libération prolongée, 5 ml en flacon (B/1) (laboratoires PFIZER)
34009 371 795 1 5
FONLIPOL 400 mg (tiadénol), comprimés (B/360) (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 313 202 1 0
FONLIPOL 400 mg (tiadénol), comprimés (B/50) (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 346 595 2 2
FONZYLANE 150 mg (chlorhydrate de buflomédil), comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires CEPHALON FRANCE)
34009 319 741 1 6
GIVALEX (hexétidine, salicylate de choline, chlorobutanol), solution pour bain de bouche, 125 ml en flacon (laboratoires NORGINE PHARMA)
34009 304 541 1 4
GLYCO-THYMOLINE 55, solution buccale, 250 ml en flacon (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 304 947 8 3
HEXAQUINE (benzoate de quinine, chlorhydrate de thiamine), comprimés enrobés (B/18) (laboratoires GOMENOL)
34009 304 948 4 4
HEXAQUINE Adulte (benzoate de quinine, chlorhydrate de thiamine), suppositoires (B/6) (laboratoires GOMENOL)
34009 327 570 8 4
INTERCRON (cromoglycate de sodium), solution buvable en ampoule de 5 ml Gé (B/30) (laboratoires ZAMBON FRANCE)
34009 346 597 5 1
LOFTYL 150 mg (chlorhydrate de buflomédil), comprimés pelliculés Gé (B/20) (laboratoires ABBOTT FRANCE)
34009 306 321 9 2
LUMIRELAX 500 mg (méthocarbamol), comprimés (B/20) (laboratoires JUVISE PHARMACEUTICALS)
34009 338 091 9 5
MEGAVIX 50 mg (tétrazépam), comprimés pelliculés sécables Gé (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 306 953 5 7
MYOLASTAN 50 mg (tétrazépam), comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 325 284 8 6
NALCRON (cromoglycate de sodium), solution buvable en ampoule (B/30) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 374 140 6 7
NEXEN 100 mg (nimésulide), comprimés (B/10) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 339 285 1 3
NEXEN 100 mg (nimésulide), comprimés (B/30) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 339 286 8 1
NEXEN 100 mg (nimésulide), granulés pour solution buvable en sachets (B/30) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 391 607 6 4
NIMESULIDE EG 100 mg, comprimés (B/10) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 385 372 0 8
NIMESULIDE EG 100 mg, comprimés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 392 155 1 8
NIMESULIDE TEVA 100 mg, comprimés (B/10) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 389 548 6 9
NIMESULIDE TEVA 100 mg, comprimés (B/30) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 325 624 3 5
NIZORAL 200 mg (kétoconazole), comprimés sécables (B/10) (laboratoires JANSSEN-CILAG)
34009 363 666 1 9
OKIMUS (benzoate de quinine, extrait sec d'aubépine), comprimés enrobés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC) B/40 (laboratoires BIOCODEX)
34009 381 377 8 1
OKIMUS (extrait sec d'aubépine, benzoate de quinine), comprimés enrobés (B/40) (laboratoires BIOCODEX)
34009 323 952 3 1
OSSOPAN 600 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT)
34009 338 193 6 1
PANOS 50 mg (tétrazépam), comprimés enrobés sécables Gé (B/20) (laboratoires DAIICHI SANKYO FRANCE SAS)
34009 314 072 4 9
PROCTOLOG (trimébutine, ruscogénines), crème rectale, 20 g en tube avec canule (laboratoires PFIZER)
34009 314 073 0 0
PROCTOLOG (trimébutine, ruscogénines), suppositoires (B/10) (laboratoires PFIZER)
34009 308 874 5 5
QUININE VITAMINE C GRAND, comprimés enrobés (B/24) (laboratoires GOMENOL)
34009 309 102 6 9
RHINOTROPHYL (tenoate d'éthanolamine), solution pour pulvérisation nasale, 20 ml en flacon (laboratoires JOLLY-JATEL)
34009 354 643 2 3
STRUCTUM 500 mg (chondroïtine sulfate sodique), gélules (B/60) (laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT)
34009 361 065 0 5
TETRAZEPAM ALMUS 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 357 306 7 1
TETRAZEPAM ARROW 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 352 487 3 2
TETRAZEPAM BIOGARAN 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires BIOGARAN)
34009 355 036 2 6
TETRAZEPAM CRISTERS 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires CRISTERS)
34009 355 037 9 4
TETRAZEPAM EG 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 355 035 6 5
TETRAZEPAM G GAM 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 346 017 9 8
TETRAZEPAM MYLAN 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 357 303 8 1
TETRAZEPAM QUALIMED 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires QUALIMED)
34009 353 315 1 9
TETRAZEPAM RATIOPHARM 50 mg, comprimés enrobés sécables (B/20) (laboratoires RATIOPHARM)
34009 355 038 5 5
TETRAZEPAM RPG 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES)
34009 368 198 6 3
TETRAZEPAM SANDOZ 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 361 430 0 5
TETRAZEPAM TEVA 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 367 487 4 3
TETRAZEPAM WINTHROP 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 353 316 8 7
TETRAZEPAM ZYDUS 50 mg, comprimés enrobés sécables (B/20) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 347 683 2 3
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), crème, 20 g en tube (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
34009 347 684 9 1
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), crème, 40 g en tube (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
34009 323 007 7 8
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), suppositoires (B/12) (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
BRIAND
Les spécialités pharmaceutiques mentionnées ci-dessous sont radiées de la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux à compter du 1er décembre 2011.
Les stocks détenus à la date d'entrée en vigueur du présent arrêté ne peuvent plus être pris en charge :
CODE CIP
PRÉSENTATION
34009 316 390 3 9
ALODONT, solution pour bain de bouche, 200 ml en flacon avec gobelet doseur (laboratoires TONIPHARM)
34009 371 657 8 5
BONVIVA 150 mg (acide ibandronique), comprimés pelliculés (B/1) (laboratoires ROCHE)
34009 371 658 4 6
BONVIVA 150 mg (acide ibandronique), comprimés pelliculés (B/3) (laboratoires ROCHE)
34009 376 871 8 8
BONVIVA 3 mg/3 ml (acide ibandronique), solution injectable en seringue préremplie + 1 aiguille (B/1) (laboratoires ROCHE)
34009 352 821 0 1
BUFLOMEDIL ACTAVIS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ACTAVIS FRANCE)
34009 357 427 9 7
BUFLOMEDIL ARROW 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 351 537 7 7
BUFLOMEDIL BIOGARAN 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires BIOGARAN)
34009 352 694 9 2
BUFLOMEDIL CRISTERS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires CRISTERS)
34009 360 004 8 3
BUFLOMEDIL EG 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 566 125 5 0
BUFLOMEDIL G GAM 150 mg, comprimés pelliculés (B/100) (laboratoires SANDOZ)
34009 331 334 3 6
BUFLOMEDIL L. LAFON 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires L. LAFON)
34009 343 084 7 5
BUFLOMEDIL MYLAN 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 363 310 2 0
BUFLOMEDIL QUALIMED 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires QUALIMED)
34009 367 116 6 2
BUFLOMEDIL RATIOPHARM 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires RATIOPHARM)
34009 354 049 3 0
BUFLOMEDIL RPG 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES)
34009 365 974 5 7
BUFLOMEDIL SANDOZ 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 362 676 3 3
BUFLOMEDIL TEVA 150 mg, comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 367 435 4 0
BUFLOMEDIL WINTHROP 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires WINTHROP MEDICAMENTS)
34009 352 842 8 0
BUFLOMEDIL ZYDUS 150 mg, comprimés (B/20) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 338 081 3 6
CELANCE 0,05 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 338 084 2 6
CELANCE 0,25 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 338 086 5 5
CELANCE 1 mg (mésilate de pergolide), comprimés sécables (B/30) (laboratoires LILLY FRANCE SAS)
34009 301 945 4 6
CELESTAMINE (bétaméthasone, dexchlorphéniramine), comprimés (B/30) (laboratoires SCHERING-PLOUGH)
34009 321 359 3 6
COLPOSEPTINE, comprimés gynécologiques (B/18) (laboratoires THERAMEX)
34009 322 139 7 9
CORTISAL (prednisolone, monosalicylate de propylène glycol), crème, 30 g en tube (laboratoires LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES DEXO)
34009 331 453 2 3
DAKIN COOPER STABILISE (hypochlorite de sodium), solution pour application locale, 500 ml en flacon (laboratoires COOPERATION PHARMACEUTIQUE FRANCAISE)
34009 345 098 5 8
DIDRONEL 200 mg (étidronate disodique), comprimés sous plaquettes thermoformées (B/60) (laboratoires WARNER CHILCOTT FRANCE)
34009 333 062 0 5
DIDRONEL 400 mg (étidronate disodique), comprimés (B/14) (laboratoires WARNER CHILCOTT FRANCE)
34009 360 208 2 5
ETIDRONATE MYLAN 200 mg, comprimés (B/60) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 358 302 5 8
ETIDRONATE MYLAN 400 mg, comprimés (B/14) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 365 256 5 8
ETIDRONATE SANDOZ 400 mg, comprimés (B/14) (laboratoires SANDOZ)
34009 326 573 3 9
FARLUTAL 500 mg (acétate de médroxyprogestérone), comprimés (B/30) (laboratoires PFIZER)
34009 314 499 8 0
FARLUTAL 500 mg/5 ml (acétate de médroxyprogestérone), suspension injectable (IM) à libération prolongée, 5 ml en flacon (B/1) (laboratoires PFIZER)
34009 371 795 1 5
FONLIPOL 400 mg (tiadénol), comprimés (B/360) (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 313 202 1 0
FONLIPOL 400 mg (tiadénol), comprimés (B/50) (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 346 595 2 2
FONZYLANE 150 mg (chlorhydrate de buflomédil), comprimés pelliculés (B/20) (laboratoires CEPHALON FRANCE)
34009 319 741 1 6
GIVALEX (hexétidine, salicylate de choline, chlorobutanol), solution pour bain de bouche, 125 ml en flacon (laboratoires NORGINE PHARMA)
34009 304 541 1 4
GLYCO-THYMOLINE 55, solution buccale, 250 ml en flacon (laboratoires SERP [SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES PHARMACEUTIQUES])
34009 304 947 8 3
HEXAQUINE (benzoate de quinine, chlorhydrate de thiamine), comprimés enrobés (B/18) (laboratoires GOMENOL)
34009 304 948 4 4
HEXAQUINE Adulte (benzoate de quinine, chlorhydrate de thiamine), suppositoires (B/6) (laboratoires GOMENOL)
34009 327 570 8 4
INTERCRON (cromoglycate de sodium), solution buvable en ampoule de 5 ml Gé (B/30) (laboratoires ZAMBON FRANCE)
34009 346 597 5 1
LOFTYL 150 mg (chlorhydrate de buflomédil), comprimés pelliculés Gé (B/20) (laboratoires ABBOTT FRANCE)
34009 306 321 9 2
LUMIRELAX 500 mg (méthocarbamol), comprimés (B/20) (laboratoires JUVISE PHARMACEUTICALS)
34009 338 091 9 5
MEGAVIX 50 mg (tétrazépam), comprimés pelliculés sécables Gé (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 306 953 5 7
MYOLASTAN 50 mg (tétrazépam), comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 325 284 8 6
NALCRON (cromoglycate de sodium), solution buvable en ampoule (B/30) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 374 140 6 7
NEXEN 100 mg (nimésulide), comprimés (B/10) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 339 285 1 3
NEXEN 100 mg (nimésulide), comprimés (B/30) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 339 286 8 1
NEXEN 100 mg (nimésulide), granulés pour solution buvable en sachets (B/30) (laboratoires THERABEL LUCIEN PHARMA)
34009 391 607 6 4
NIMESULIDE EG 100 mg, comprimés (B/10) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 385 372 0 8
NIMESULIDE EG 100 mg, comprimés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 392 155 1 8
NIMESULIDE TEVA 100 mg, comprimés (B/10) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 389 548 6 9
NIMESULIDE TEVA 100 mg, comprimés (B/30) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 325 624 3 5
NIZORAL 200 mg (kétoconazole), comprimés sécables (B/10) (laboratoires JANSSEN-CILAG)
34009 363 666 1 9
OKIMUS (benzoate de quinine, extrait sec d'aubépine), comprimés enrobés sous plaquettes thermoformées (PVC/PVDC) B/40 (laboratoires BIOCODEX)
34009 381 377 8 1
OKIMUS (extrait sec d'aubépine, benzoate de quinine), comprimés enrobés (B/40) (laboratoires BIOCODEX)
34009 323 952 3 1
OSSOPAN 600 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT)
34009 338 193 6 1
PANOS 50 mg (tétrazépam), comprimés enrobés sécables Gé (B/20) (laboratoires DAIICHI SANKYO FRANCE SAS)
34009 314 072 4 9
PROCTOLOG (trimébutine, ruscogénines), crème rectale, 20 g en tube avec canule (laboratoires PFIZER)
34009 314 073 0 0
PROCTOLOG (trimébutine, ruscogénines), suppositoires (B/10) (laboratoires PFIZER)
34009 308 874 5 5
QUININE VITAMINE C GRAND, comprimés enrobés (B/24) (laboratoires GOMENOL)
34009 309 102 6 9
RHINOTROPHYL (tenoate d'éthanolamine), solution pour pulvérisation nasale, 20 ml en flacon (laboratoires JOLLY-JATEL)
34009 354 643 2 3
STRUCTUM 500 mg (chondroïtine sulfate sodique), gélules (B/60) (laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT)
34009 361 065 0 5
TETRAZEPAM ALMUS 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires ALMUS FRANCE)
34009 357 306 7 1
TETRAZEPAM ARROW 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 352 487 3 2
TETRAZEPAM BIOGARAN 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires BIOGARAN)
34009 355 036 2 6
TETRAZEPAM CRISTERS 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires CRISTERS)
34009 355 037 9 4
TETRAZEPAM EG 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 355 035 6 5
TETRAZEPAM G GAM 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 346 017 9 8
TETRAZEPAM MYLAN 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires MYLAN SAS)
34009 357 303 8 1
TETRAZEPAM QUALIMED 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires QUALIMED)
34009 353 315 1 9
TETRAZEPAM RATIOPHARM 50 mg, comprimés enrobés sécables (B/20) (laboratoires RATIOPHARM)
34009 355 038 5 5
TETRAZEPAM RPG 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires RANBAXY PHARMACIE GENERIQUES)
34009 368 198 6 3
TETRAZEPAM SANDOZ 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANDOZ)
34009 361 430 0 5
TETRAZEPAM TEVA 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires TEVA SANTE)
34009 367 487 4 3
TETRAZEPAM WINTHROP 50 mg, comprimés pelliculés sécables (B/20) (laboratoires SANOFI AVENTIS FRANCE)
34009 353 316 8 7
TETRAZEPAM ZYDUS 50 mg, comprimés enrobés sécables (B/20) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
34009 347 683 2 3
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), crème, 20 g en tube (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
34009 347 684 9 1
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), crème, 40 g en tube (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
34009 323 007 7 8
TITANOREINE (carraghénates, dioxyde de titane, oxyde de zinc), suppositoires (B/12) (laboratoires MC NEIL SANTE GRAND PUBLIC)
BRIAND
Re: LA SANTE
merci merci !!!
pas cool pour le tétrazépam !!!!
de temps en temps cela pouvait aider à aller mieux ....
pas cool pour le tétrazépam !!!!
de temps en temps cela pouvait aider à aller mieux ....
Re: LA SANTE
Vers des séjours plus courts à la maternité - Mise en ligne : 27 décembre 2011
Pour faire de nouvelles économies, l’assurance-maladie a décidé de cibler les jeunes mamans. Déjà expérimenté dans 29 départements, Prado, ce "programme d’accompagnement du retour à domicile", devrait être généralisé en 2012. Il consiste à faire sortir mères et enfants des maternités plus tôt, leur offrant en contrepartie un accompagnement à domicile par des sages-femmes libérales.
La proposition de la Cnam part d’un triple constat. Tout d’abord, la durée moyenne de séjour à la maternité, qui est de 4,3 jours en France (3,1 dans les pays de l’Ocde), ne cesse de diminuer, particulièrement en Ile-de-France. Ensuite, la tarification à l’activité (T2A) rémunère hôpitaux et cliniques d’une somme fixe (2 200 euros) pour un accouchement, quelle que soit la durée du séjour à la maternité. Ce qui pousse les établissements à les écourter. Enfin, afin d’éviter que les retours à domicile se passent mal, les maternités mettent déjà en place un suivi dans le cadre d’une hospitalisation à domicile. Une formule coûteuse pour l’assurance-maladie, qui préfère l’accompagnement à domicile par des sages-femmes libérales, dont la visite est moins onéreuse.
Ce programme d’accompagnement du retour à domicile ne concernerait que les femmes volontaires, ayant accouché par voie basse d’un enfant à terme. Exclues, donc, celles ayant accouché par césarienne ou ayant connu des complications lors de l’accouchement.
Les volontaires recevront la visite d’une conseillère de la Caisse primaire d’assurance-maladie (Cpam), qui leur proposera un suivi à domicile ainsi qu’une liste de sages-femmes libérales, parmi lesquelles elles pourront choisir. Cette conseillère organisera le premier rendez-vous et pourra également aider les jeunes mamans dans leurs démarches administratives (carte Vitale, allocations familiales …). Elles recevront une première visite de la sage-femme choisie le lendemain du retour à domicile, puis une deuxième dans les jours qui suivront.
"Les sorties rapides sont de plus en plus fréquentes"
D’abord hostiles, car non associés au projet, les syndicats de sages-femmes ont fini par accepter le principe. A une condition : que les sages-femmes voient les patientes avant l’accouchement, afin de préparer la sortie de la maternité.
"Les mamans jugent que les grossesses sont actuellement bien prises en charge, mais pas le retour à domicile, explique Christelle Gerber-Montaigu, présidente de l’Organisation nationale des syndicats de sages-femmes, citée par le Monde. Ce n’est pas problématique de sortir au troisième jour, mais c’est important, notamment au quatrième jour, lors de la montée de lait, d’être suivie."
"Il ne faut pas être naïf, il y a là un objectif de réduction des dépenses en organisant la baisse de la durée d’hospitalisation, estime Jacqueline Lavillonnière, de l’Union nationale syndicale des sages-femmes, dans le quotidien du soir. Mais comme les sorties rapides seront de plus en plus fréquentes, autant faire en sorte qu’il y ait un bon suivi."
Dans le même temps, "certaines [sages-femmes] s’alarment déjà de voir l’assurance-maladie accroître son pouvoir sur leur profession libérale", avance le Monde. Des inquiétudes pèsent également sur les mamans : "A J+2, les femmes et les enfants sont fragiles et on les éjecte des maternités", s’insurge Jean-Paul Hamon, le président de la Fédération des médecins de France.
En Basse-Normandie, le Dr Antoine Leveneur, président de l’Union régionale des professionnels de santé, paraît loin d’être satisfait : l’expérimentation de Prado commence bientôt, or ni l’agence régionale de santé (Ars) ni les médecins concernés n’ont été mis au courant.
C'est une information '' VIVA ''que nous remercions
BRIAND
Pour faire de nouvelles économies, l’assurance-maladie a décidé de cibler les jeunes mamans. Déjà expérimenté dans 29 départements, Prado, ce "programme d’accompagnement du retour à domicile", devrait être généralisé en 2012. Il consiste à faire sortir mères et enfants des maternités plus tôt, leur offrant en contrepartie un accompagnement à domicile par des sages-femmes libérales.
La proposition de la Cnam part d’un triple constat. Tout d’abord, la durée moyenne de séjour à la maternité, qui est de 4,3 jours en France (3,1 dans les pays de l’Ocde), ne cesse de diminuer, particulièrement en Ile-de-France. Ensuite, la tarification à l’activité (T2A) rémunère hôpitaux et cliniques d’une somme fixe (2 200 euros) pour un accouchement, quelle que soit la durée du séjour à la maternité. Ce qui pousse les établissements à les écourter. Enfin, afin d’éviter que les retours à domicile se passent mal, les maternités mettent déjà en place un suivi dans le cadre d’une hospitalisation à domicile. Une formule coûteuse pour l’assurance-maladie, qui préfère l’accompagnement à domicile par des sages-femmes libérales, dont la visite est moins onéreuse.
Ce programme d’accompagnement du retour à domicile ne concernerait que les femmes volontaires, ayant accouché par voie basse d’un enfant à terme. Exclues, donc, celles ayant accouché par césarienne ou ayant connu des complications lors de l’accouchement.
Les volontaires recevront la visite d’une conseillère de la Caisse primaire d’assurance-maladie (Cpam), qui leur proposera un suivi à domicile ainsi qu’une liste de sages-femmes libérales, parmi lesquelles elles pourront choisir. Cette conseillère organisera le premier rendez-vous et pourra également aider les jeunes mamans dans leurs démarches administratives (carte Vitale, allocations familiales …). Elles recevront une première visite de la sage-femme choisie le lendemain du retour à domicile, puis une deuxième dans les jours qui suivront.
"Les sorties rapides sont de plus en plus fréquentes"
D’abord hostiles, car non associés au projet, les syndicats de sages-femmes ont fini par accepter le principe. A une condition : que les sages-femmes voient les patientes avant l’accouchement, afin de préparer la sortie de la maternité.
"Les mamans jugent que les grossesses sont actuellement bien prises en charge, mais pas le retour à domicile, explique Christelle Gerber-Montaigu, présidente de l’Organisation nationale des syndicats de sages-femmes, citée par le Monde. Ce n’est pas problématique de sortir au troisième jour, mais c’est important, notamment au quatrième jour, lors de la montée de lait, d’être suivie."
"Il ne faut pas être naïf, il y a là un objectif de réduction des dépenses en organisant la baisse de la durée d’hospitalisation, estime Jacqueline Lavillonnière, de l’Union nationale syndicale des sages-femmes, dans le quotidien du soir. Mais comme les sorties rapides seront de plus en plus fréquentes, autant faire en sorte qu’il y ait un bon suivi."
Dans le même temps, "certaines [sages-femmes] s’alarment déjà de voir l’assurance-maladie accroître son pouvoir sur leur profession libérale", avance le Monde. Des inquiétudes pèsent également sur les mamans : "A J+2, les femmes et les enfants sont fragiles et on les éjecte des maternités", s’insurge Jean-Paul Hamon, le président de la Fédération des médecins de France.
En Basse-Normandie, le Dr Antoine Leveneur, président de l’Union régionale des professionnels de santé, paraît loin d’être satisfait : l’expérimentation de Prado commence bientôt, or ni l’agence régionale de santé (Ars) ni les médecins concernés n’ont été mis au courant.
C'est une information '' VIVA ''que nous remercions
BRIAND
Re: LA SANTE
Communiqués : Fédération Hospitalière de France
Emprunts "structurés" et difficultés d'accès aux crédits bancaires : La FHF demande une mobilisation urgente des pouvoirs publics
En dépit des alertes répétées adressées par la FHF au Ministère de la Santé sur les difficultés croissantes des établissements publics de santé et médico-sociaux à obtenir des crédits de la part des organismes bancaires, aucune réponse concrète n'a pour l'heure été apportée. Le Comité des risques financiers, qui semblait la structure en mesure d'échanger avec les représentants des professionnels, ne s'est pas encore réunie sur ce sujet majeur, laissant les établissements isolés.
En dépit des alertes répétées adressées par la FHF au Ministère de la Santé sur les difficultés croissantes des établissements publics de santé et médico-sociaux à obtenir des crédits de la part des organismes bancaires, aucune réponse concrète n'a pour l'heure été apportée. Le Comité des risques financiers, qui semblait la structure en mesure d'échanger avec les représentants des professionnels, ne s'est pas encore réunie sur ce sujet majeur, laissant les établissements isolés.
La FHF demande aux pouvoirs publics des décisions urgentes à la hauteur des enjeux et préconise deux mesures de très court terme :
1/ Mobilisation d'un fonds exceptionnel, de même nature que celui créé pour les collectivités locales, afin d'aider les établissements connaissant les plus grandes difficultés de trésorerie.
2/ Intervention des pouvoirs publics, en association avec la FHF, auprès des autorités financières en charge de ce dossier pour faciliter l'accès des établissements à l'emprunt;
Pour ce qui concerne les emprunts "structurés" contractés par quelques hôpitaux, très minoritaires, la FHF rappelle que la responsabilité des pouvoirs publics est partagée avec celle des établissements. La FHF recommande à ses adhérents concernés, en cas de difficultés majeures, de ne pas hésiter à assigner, avec l'aide de leurs conseils juridiques, les établissements bancaires responsables. Trois arguments juridiques peuvent être avancés à l'appui de telles assignations :
• Absence de consentement éclairé lors de la signature des contrats;
• Opacité des contrats;
• Et dans certains cas clauses illégales et irrégulières
Devant l'importance stratégique de ce dossier susceptible de mettre en péril l'équilibre et le développement de la politique hospitalière sur le territoire, la FHF sera particulièrement exigeante et vigilante pour que des décisions rapides et adaptés soient prises.
BRIAND 27/12/2011
Emprunts "structurés" et difficultés d'accès aux crédits bancaires : La FHF demande une mobilisation urgente des pouvoirs publics
En dépit des alertes répétées adressées par la FHF au Ministère de la Santé sur les difficultés croissantes des établissements publics de santé et médico-sociaux à obtenir des crédits de la part des organismes bancaires, aucune réponse concrète n'a pour l'heure été apportée. Le Comité des risques financiers, qui semblait la structure en mesure d'échanger avec les représentants des professionnels, ne s'est pas encore réunie sur ce sujet majeur, laissant les établissements isolés.
En dépit des alertes répétées adressées par la FHF au Ministère de la Santé sur les difficultés croissantes des établissements publics de santé et médico-sociaux à obtenir des crédits de la part des organismes bancaires, aucune réponse concrète n'a pour l'heure été apportée. Le Comité des risques financiers, qui semblait la structure en mesure d'échanger avec les représentants des professionnels, ne s'est pas encore réunie sur ce sujet majeur, laissant les établissements isolés.
La FHF demande aux pouvoirs publics des décisions urgentes à la hauteur des enjeux et préconise deux mesures de très court terme :
1/ Mobilisation d'un fonds exceptionnel, de même nature que celui créé pour les collectivités locales, afin d'aider les établissements connaissant les plus grandes difficultés de trésorerie.
2/ Intervention des pouvoirs publics, en association avec la FHF, auprès des autorités financières en charge de ce dossier pour faciliter l'accès des établissements à l'emprunt;
Pour ce qui concerne les emprunts "structurés" contractés par quelques hôpitaux, très minoritaires, la FHF rappelle que la responsabilité des pouvoirs publics est partagée avec celle des établissements. La FHF recommande à ses adhérents concernés, en cas de difficultés majeures, de ne pas hésiter à assigner, avec l'aide de leurs conseils juridiques, les établissements bancaires responsables. Trois arguments juridiques peuvent être avancés à l'appui de telles assignations :
• Absence de consentement éclairé lors de la signature des contrats;
• Opacité des contrats;
• Et dans certains cas clauses illégales et irrégulières
Devant l'importance stratégique de ce dossier susceptible de mettre en péril l'équilibre et le développement de la politique hospitalière sur le territoire, la FHF sera particulièrement exigeante et vigilante pour que des décisions rapides et adaptés soient prises.
BRIAND 27/12/2011
Re: LA SANTE
« Réintégrer l’arrêt de travail dans l’arsenal thérapeutique »
Marie Kayser est médecin généraliste, membre du Syndicat de la médecine générale (SMG) et du comité de rédaction de la revue Pratiques.
Le contrôle médical des arrêts de maladie se renforce. Quels sont les effets de cette politique sur la pratique des médecins ?
Dans la convention médicale de 2005, la baisse de la prescription d’arrêts de travail était un des critères examinés pour accorder l’augmentation du tarif de la consultation des médecins libéraux.
Il y a surtout un risque de mise sous tutelle du médecin si ses prescriptions dépassent nettement la moyenne nationale de son secteur. Même si la sanction reste exceptionnelle, ça crée une ambiance générale où, par exemple, les jeunes généralistes sont conditionnés dans le cadre de leur formation à prescrire le moins de jours d’arrêt possible. Il y a beaucoup de pression et l’arrêt n’est plus considéré comme un outil qui permet de maintenir les gens en bonne santé.
Le nombre d’arrêts de travail augmente. Comment analysez-vous ce phénomène ?
Nous n’avons pas d’étude de causalité en la matière. Mais ce sont surtout les arrêts longs qui augmentent. Nous sommes dans une problématique liée à des conditions de travail de plus en plus difficiles.
Il y a des problèmes de souffrance morale liée aux exigences de qualité, à la pression sur la quantité, à l’individualisation des responsabilités. Il y a beaucoup moins d’espace collectif pour des négociations et des discussions avec l’employeur. Il y a aussi une augmentation des troubles musculo-squelettiques liés aux gestes répétitifs et à l’exercice du travail sous tension.
Enfin, il serait aussi intéressant que des études soient menées sur les refus par les patients d’être arrêtés. Il faudrait en connaître l’importance et en analyser les causes. Les patients évoquent souvent la perte financière occasionnée, la crainte de perdre leur emploi, la surcharge de travail qu’assumeront leurs collègues.
Vous concevez l’arrêt de travail comme un outil thérapeutique…
Parfois, les gens ont besoin de se poser, de se reposer. Il ne suffit pas de les renvoyer au travail avec seulement des médicaments, quelle que soit l’affection qu’ils présentent, infectieuse, rhumatologique… On court le risque que celle-ci s’aggrave.
Pour ce qui relève de la souffrance psychologique au travail, due à une mauvaise organisation ou à un harcèlement moral, la seule façon de mettre les gens à l’abri est de les arrêter.
Il y a des gens fatigués, qui ne sont pas dépressifs mais qui vivent des tensions. Parfois, les arrêter une semaine, c’est éviter un certain nombre de décompensations. Or, l’arrêt a de plus en plus un statut à part, et il est important de le réintégrer dans le système de soins.
Information VIVA que nous remercions
BRIAND
Marie Kayser est médecin généraliste, membre du Syndicat de la médecine générale (SMG) et du comité de rédaction de la revue Pratiques.
Le contrôle médical des arrêts de maladie se renforce. Quels sont les effets de cette politique sur la pratique des médecins ?
Dans la convention médicale de 2005, la baisse de la prescription d’arrêts de travail était un des critères examinés pour accorder l’augmentation du tarif de la consultation des médecins libéraux.
Il y a surtout un risque de mise sous tutelle du médecin si ses prescriptions dépassent nettement la moyenne nationale de son secteur. Même si la sanction reste exceptionnelle, ça crée une ambiance générale où, par exemple, les jeunes généralistes sont conditionnés dans le cadre de leur formation à prescrire le moins de jours d’arrêt possible. Il y a beaucoup de pression et l’arrêt n’est plus considéré comme un outil qui permet de maintenir les gens en bonne santé.
Le nombre d’arrêts de travail augmente. Comment analysez-vous ce phénomène ?
Nous n’avons pas d’étude de causalité en la matière. Mais ce sont surtout les arrêts longs qui augmentent. Nous sommes dans une problématique liée à des conditions de travail de plus en plus difficiles.
Il y a des problèmes de souffrance morale liée aux exigences de qualité, à la pression sur la quantité, à l’individualisation des responsabilités. Il y a beaucoup moins d’espace collectif pour des négociations et des discussions avec l’employeur. Il y a aussi une augmentation des troubles musculo-squelettiques liés aux gestes répétitifs et à l’exercice du travail sous tension.
Enfin, il serait aussi intéressant que des études soient menées sur les refus par les patients d’être arrêtés. Il faudrait en connaître l’importance et en analyser les causes. Les patients évoquent souvent la perte financière occasionnée, la crainte de perdre leur emploi, la surcharge de travail qu’assumeront leurs collègues.
Vous concevez l’arrêt de travail comme un outil thérapeutique…
Parfois, les gens ont besoin de se poser, de se reposer. Il ne suffit pas de les renvoyer au travail avec seulement des médicaments, quelle que soit l’affection qu’ils présentent, infectieuse, rhumatologique… On court le risque que celle-ci s’aggrave.
Pour ce qui relève de la souffrance psychologique au travail, due à une mauvaise organisation ou à un harcèlement moral, la seule façon de mettre les gens à l’abri est de les arrêter.
Il y a des gens fatigués, qui ne sont pas dépressifs mais qui vivent des tensions. Parfois, les arrêter une semaine, c’est éviter un certain nombre de décompensations. Or, l’arrêt a de plus en plus un statut à part, et il est important de le réintégrer dans le système de soins.
Information VIVA que nous remercions
BRIAND
Re: LA SANTE
INFORMATION DU JOUR
Une puce remplacera les piqûres
Commandée à distance, elle délivrera des doses précises de médicament.Commandée à distance, elle délivrera des doses précises de médicament.
Le 21/02/2012 à 18:09 - Atlantico
Une avancée fera le bonheur de tous les malades étourdis. Il sera bientôt possible de se faire implanter une puce sous la peau, conçue pour délivrer des doses précises de médicaments à l’intérieur du corps. Elle sera commandée à distance par wifi.
Le système vient de passer les premiers tests cliniques sur l’homme avec succès. Une avancée intéressante, car plus le traitement est lourd et compliqué, moins les patients ont tendance à respecter les posologies prescrites.
Les tests ont été conduits sur huit Danoises souffrant d’ostéoporose (fragilité excessive des os). Elles doivent se soigner grâce à une piqûre sous-cutanée quotidienne extrêmement douloureuse. La puce était composée de vingt nanoréservoirs scellés grâce à des nanoparticules d’or qui se dissolvent grâce à un léger courant électrique. Ils libèrent ainsi le produit dans l’organisme.
Pour toutes les patientes sauf une, la puce, intégrée au corps par anesthésie locale, a eu des résultats similaires aux piqûres. Le succès de ce test permet aux chercheurs d’envisager l’utilisation de leur puce dans des domaines plus larges que le traitement de l’ostéoporose.
Robert Farra, patron de MicroCHIPS et l'un des co-auteurs de l'étude avec des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), de la faculté de médecine de Harvard et de l'Université Case Western Reserve (Ohio), estime que son produit pourrait être utile pour traiter d'autres pathologies comme le diabète, la sclérose en plaque ou certains cancers. Il espère pouvoir le mettre sur le marché d'ici à 5 ans. Les patients pourront ainsi suivre leur traitement sans même y penser.
INFORMATION ATLANTICO
BRIAND
Une puce remplacera les piqûres
Commandée à distance, elle délivrera des doses précises de médicament.Commandée à distance, elle délivrera des doses précises de médicament.
Le 21/02/2012 à 18:09 - Atlantico
Une avancée fera le bonheur de tous les malades étourdis. Il sera bientôt possible de se faire implanter une puce sous la peau, conçue pour délivrer des doses précises de médicaments à l’intérieur du corps. Elle sera commandée à distance par wifi.
Le système vient de passer les premiers tests cliniques sur l’homme avec succès. Une avancée intéressante, car plus le traitement est lourd et compliqué, moins les patients ont tendance à respecter les posologies prescrites.
Les tests ont été conduits sur huit Danoises souffrant d’ostéoporose (fragilité excessive des os). Elles doivent se soigner grâce à une piqûre sous-cutanée quotidienne extrêmement douloureuse. La puce était composée de vingt nanoréservoirs scellés grâce à des nanoparticules d’or qui se dissolvent grâce à un léger courant électrique. Ils libèrent ainsi le produit dans l’organisme.
Pour toutes les patientes sauf une, la puce, intégrée au corps par anesthésie locale, a eu des résultats similaires aux piqûres. Le succès de ce test permet aux chercheurs d’envisager l’utilisation de leur puce dans des domaines plus larges que le traitement de l’ostéoporose.
Robert Farra, patron de MicroCHIPS et l'un des co-auteurs de l'étude avec des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), de la faculté de médecine de Harvard et de l'Université Case Western Reserve (Ohio), estime que son produit pourrait être utile pour traiter d'autres pathologies comme le diabète, la sclérose en plaque ou certains cancers. Il espère pouvoir le mettre sur le marché d'ici à 5 ans. Les patients pourront ainsi suivre leur traitement sans même y penser.
INFORMATION ATLANTICO
BRIAND
Re: LA SANTE
• 23 février 22h35 sur ARTE, à voir l’émission "Malades du travail.
Le syndrome d’épuisement professionnel". Le burn out ou syndrome d’épuisement professionnel : réalité ou épiphénomène surmédiatisé ?
BRIAND
Le syndrome d’épuisement professionnel". Le burn out ou syndrome d’épuisement professionnel : réalité ou épiphénomène surmédiatisé ?
BRIAND
- Fabienne54
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- Enregistré le : 12 avr. 2011, 16:17
Re: LA SANTE
Bonjour Briand, je n'ai pas pu regarder l'émission hier soir sur le travail. J'ai déjà lu des articles sur le burn out, c'est terrible. Le milieu professionnel peut devenir une vraie jungle parfois ...
Merci pour toutes ces info, la puce sous la peau me fait peur (à cause de dérives possibles sans doute) mais je peux concevoir que pour certaines situations cela puisse être aidant.
Bonne journée. A bientôt.
Merci pour toutes ces info, la puce sous la peau me fait peur (à cause de dérives possibles sans doute) mais je peux concevoir que pour certaines situations cela puisse être aidant.
Bonne journée. A bientôt.
Fabienne
Re: LA SANTE
Grippe et personnes âgées :
Les hôpitaux parisiens saturés Quelques recommandations de l'Inpes
L'épidémie de grippe a conduit à une "saturation" des services d'urgences depuis dix jours en France, selon l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) alors que l'AP-HP observait pour sa part samedi "un retour à la normale" après une semaine qualifiée de "très soutenue".
"L'hôpital est au bord de la crise de nerf", écrit samedi dans un communiqué l'Amuf qui demande à être reçue "en urgence" par le ministre du Travail et de la Santé Xavier Bertrand pour "trouver des solutions immédiates". Selon Patrick Pelloux, président de l'Amuf, la situation est critique dans les services d'urgences depuis "une dizaine de jours dans la plupart des régions" en raison de l'épidémie de grippe et les patients, notamment les plus âgés, "ne peuvent plus être accueillis décemment", a-t-il précisé.
Jointe, la direction générale de l'AP-HP, plus grand centre hospitalier universitaire (CHU) de France avec 37 établissements, affirme "sentir une baisse depuis vendredi". "Nous allons ce samedi vers un retour à la normale après une activité très soutenue aux urgences toute la semaine",.
"Les hôpitaux en difficulté ont réduit les hospitalisations programmées pour faire face à l'activité", explique l'AP-HP alors que l'épidémie de grippe continue à progresser, avec déjà plus de 2 millions de personnes touchées, selon le dernier bulletin du réseau des Grog (groupes régionaux d'observation de la grippe).
Il restait samedi des lits disponibles en réanimation, dix pour l'ensemble des hôpitaux, assurait-on, alors que M.... faisait lui état d'un seul lit vacant en réanimation. M. ..... reproche aux autorités "de n'avoir pas cette année encore anticipé l'épidémie", qui si elle est "assez soutenue" n'a "rien d'exceptionnel".
Les agences régionales de santé "multiplient les demandes aux hôpitaux d'ouvrir des lits supplémentaires alors que ce sont elles qui ont imposé aux mêmes hôpitaux de réduire leurs capacités ces dernières années", souligne-t-il. Premier employeur d'Ile-de-France avec 90.000 personnels dont 22.000 médecins, l'AP-HP a pris en charge 7 millions de patients en 2011 dont 1,1 million aux urgences.
Les bons gestes à adopter : les recommandations de l’Institut national de préventon et d’éducation pour la santé (Inpes)
Se laver les mains régulièrement avec de l’eau et du savon,
Se couvrir la bouche dès que l’on tousse, éternue (dans sa manche ou dans un mouchoir à usage unique) est un bon réflexe qu’il faut également transmettre aux enfants,
Eviter de serrer les mains, d’embrasser, de partager ses effets personnels (couverts, verre, brosse à dent, serviette de toilette…), éviter les lieux très fréquentés (centres commerciaux, transports en commun) et éviter si possible d’y emmener les nourrissons et les enfants,
Penser à aérer son logement chaque jour pour renouveler l’air.
YM
Remerciements à '' AGEVILLAGE ''- A jour le 27/02/2012
Les hôpitaux parisiens saturés Quelques recommandations de l'Inpes
L'épidémie de grippe a conduit à une "saturation" des services d'urgences depuis dix jours en France, selon l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) alors que l'AP-HP observait pour sa part samedi "un retour à la normale" après une semaine qualifiée de "très soutenue".
"L'hôpital est au bord de la crise de nerf", écrit samedi dans un communiqué l'Amuf qui demande à être reçue "en urgence" par le ministre du Travail et de la Santé Xavier Bertrand pour "trouver des solutions immédiates". Selon Patrick Pelloux, président de l'Amuf, la situation est critique dans les services d'urgences depuis "une dizaine de jours dans la plupart des régions" en raison de l'épidémie de grippe et les patients, notamment les plus âgés, "ne peuvent plus être accueillis décemment", a-t-il précisé.
Jointe, la direction générale de l'AP-HP, plus grand centre hospitalier universitaire (CHU) de France avec 37 établissements, affirme "sentir une baisse depuis vendredi". "Nous allons ce samedi vers un retour à la normale après une activité très soutenue aux urgences toute la semaine",.
"Les hôpitaux en difficulté ont réduit les hospitalisations programmées pour faire face à l'activité", explique l'AP-HP alors que l'épidémie de grippe continue à progresser, avec déjà plus de 2 millions de personnes touchées, selon le dernier bulletin du réseau des Grog (groupes régionaux d'observation de la grippe).
Il restait samedi des lits disponibles en réanimation, dix pour l'ensemble des hôpitaux, assurait-on, alors que M.... faisait lui état d'un seul lit vacant en réanimation. M. ..... reproche aux autorités "de n'avoir pas cette année encore anticipé l'épidémie", qui si elle est "assez soutenue" n'a "rien d'exceptionnel".
Les agences régionales de santé "multiplient les demandes aux hôpitaux d'ouvrir des lits supplémentaires alors que ce sont elles qui ont imposé aux mêmes hôpitaux de réduire leurs capacités ces dernières années", souligne-t-il. Premier employeur d'Ile-de-France avec 90.000 personnels dont 22.000 médecins, l'AP-HP a pris en charge 7 millions de patients en 2011 dont 1,1 million aux urgences.
Les bons gestes à adopter : les recommandations de l’Institut national de préventon et d’éducation pour la santé (Inpes)
Se laver les mains régulièrement avec de l’eau et du savon,
Se couvrir la bouche dès que l’on tousse, éternue (dans sa manche ou dans un mouchoir à usage unique) est un bon réflexe qu’il faut également transmettre aux enfants,
Eviter de serrer les mains, d’embrasser, de partager ses effets personnels (couverts, verre, brosse à dent, serviette de toilette…), éviter les lieux très fréquentés (centres commerciaux, transports en commun) et éviter si possible d’y emmener les nourrissons et les enfants,
Penser à aérer son logement chaque jour pour renouveler l’air.
YM
Remerciements à '' AGEVILLAGE ''- A jour le 27/02/2012
Re: LA SANTE
Accès aux soins
Pour information
Alors que le Conseil National de l'Ordre des Médecins (CNOM) se saisit (enfin !) des questions d'accès géographique et tarifaire aux soins, et, ce, après les déclarations de Marisol Touraine en f...
Alors que le Conseil National de l'Ordre des Médecins (CNOM) se saisit (enfin !) des questions d'accès géographique et tarifaire aux soins, et, ce, après les déclarations de Marisol Touraine en faveur d'une régulation des dépassements d'honoraires, L'UFC-Que Choisir, attachée à ce que ces thématiques cruciales soient au coeur du débat public, refuse l'autorégulation et appelle à une politique résolue de rétablissement d'une égalité réelle devant la santé.
Pour un usager du système de santé, l'accès aux soins comprend deux composantes majeures : la proximité géographique des professionnels de santé, et la possibilité de les consulter à des tarifs abordables. Pour beaucoup de Français, ces deux prérequis ne sont aujourd'hui pas remplis.
La libre-installation des médecins sur le territoire est en effet à l'origine de l'émergence de véritables déserts médicaux, dans certaines régions rurales comme en périphérie de grandes villes. Plus de 3 millions de Français sont ainsi éloignés de plus de 45 minutes de route des principaux spécialistes, tendance qui s'accentuera avec la diminution à venir du nombre de médecins.
Les mesures incitatives - notamment financières - déployées jusqu'à présent ont fait la preuve de leur inefficacité, et il est désormais nécessaire de mettre en oeuvre des mesures contraignantes, pour garantir une saine répartition des médecins sur le territoire. La proposition de l'Ordre des médecins de demander à chaque nouveau praticien diplômé d'exercer 5 ans dans la région o๠il a étudié va dans le bon sens.
Trouver un médecin n'est pourtant qu'une première étape avant d'accéder aux soins ; encore faut-il avoir les moyens de les financer. Les dépassements d'honoraires des médecins en secteur 2 atteignent désormais 2,5 milliards d'euros par an, un doublement en 20 ans. Dans ce cadre, la proposition du CNOM d'écrêter les tarifs les plus scandaleux (ceux qui dépassent 3 à 4 fois le tarif de l'assurance maladie) manque cruellement d'ambition, et c'est un euphémisme ! Il faut impérativement et sans délai attaquer à la racine un système qui exclut 10 millions de Français des soins pour des raisons budgétaires.
Au moment o๠doivent s'ouvrir de larges négociations sur l'avenir de notre système de santé, les consommateurs et les usagers, premiers intéressés, ont toute leur place dans la réflexion. C'est pourquoi, l'UFC-Que Choisir adresse à la ministre de la Santé les demandes suivantes :
Refuser le conventionnement de nouveaux médecins dans les zones surdotées pour assurer, dans chaque territoire, une densité médicale plancher de médecins généralistes comme de spécialistes ; Initier un réexamen de la rémunération des actes médicaux, à la hausse comme à la baisse, auquel tous les payeurs (assurance maladie, organismes complémentaires et usagers) devront être associés.
Remerciements à Handicapzéro et Que-Choisir
BRIAND
Pour information
Alors que le Conseil National de l'Ordre des Médecins (CNOM) se saisit (enfin !) des questions d'accès géographique et tarifaire aux soins, et, ce, après les déclarations de Marisol Touraine en f...
Alors que le Conseil National de l'Ordre des Médecins (CNOM) se saisit (enfin !) des questions d'accès géographique et tarifaire aux soins, et, ce, après les déclarations de Marisol Touraine en faveur d'une régulation des dépassements d'honoraires, L'UFC-Que Choisir, attachée à ce que ces thématiques cruciales soient au coeur du débat public, refuse l'autorégulation et appelle à une politique résolue de rétablissement d'une égalité réelle devant la santé.
Pour un usager du système de santé, l'accès aux soins comprend deux composantes majeures : la proximité géographique des professionnels de santé, et la possibilité de les consulter à des tarifs abordables. Pour beaucoup de Français, ces deux prérequis ne sont aujourd'hui pas remplis.
La libre-installation des médecins sur le territoire est en effet à l'origine de l'émergence de véritables déserts médicaux, dans certaines régions rurales comme en périphérie de grandes villes. Plus de 3 millions de Français sont ainsi éloignés de plus de 45 minutes de route des principaux spécialistes, tendance qui s'accentuera avec la diminution à venir du nombre de médecins.
Les mesures incitatives - notamment financières - déployées jusqu'à présent ont fait la preuve de leur inefficacité, et il est désormais nécessaire de mettre en oeuvre des mesures contraignantes, pour garantir une saine répartition des médecins sur le territoire. La proposition de l'Ordre des médecins de demander à chaque nouveau praticien diplômé d'exercer 5 ans dans la région o๠il a étudié va dans le bon sens.
Trouver un médecin n'est pourtant qu'une première étape avant d'accéder aux soins ; encore faut-il avoir les moyens de les financer. Les dépassements d'honoraires des médecins en secteur 2 atteignent désormais 2,5 milliards d'euros par an, un doublement en 20 ans. Dans ce cadre, la proposition du CNOM d'écrêter les tarifs les plus scandaleux (ceux qui dépassent 3 à 4 fois le tarif de l'assurance maladie) manque cruellement d'ambition, et c'est un euphémisme ! Il faut impérativement et sans délai attaquer à la racine un système qui exclut 10 millions de Français des soins pour des raisons budgétaires.
Au moment o๠doivent s'ouvrir de larges négociations sur l'avenir de notre système de santé, les consommateurs et les usagers, premiers intéressés, ont toute leur place dans la réflexion. C'est pourquoi, l'UFC-Que Choisir adresse à la ministre de la Santé les demandes suivantes :
Refuser le conventionnement de nouveaux médecins dans les zones surdotées pour assurer, dans chaque territoire, une densité médicale plancher de médecins généralistes comme de spécialistes ; Initier un réexamen de la rémunération des actes médicaux, à la hausse comme à la baisse, auquel tous les payeurs (assurance maladie, organismes complémentaires et usagers) devront être associés.
Remerciements à Handicapzéro et Que-Choisir
BRIAND
Re: LA SANTE
Pétition
En Ligne libre et gratuit.
Dans la plupart des établissements hospitaliers, les patients sont affublés de la même chemise. Taille unique, ouverte dans le dos, quelques boutons pression à l'arrière, et le plus souvent, découvrant leurs fesses au moindre mouvement.
http://www.petitionenligne.fr/petition/ ... ients/2819
En Ligne libre et gratuit.
Dans la plupart des établissements hospitaliers, les patients sont affublés de la même chemise. Taille unique, ouverte dans le dos, quelques boutons pression à l'arrière, et le plus souvent, découvrant leurs fesses au moindre mouvement.
http://www.petitionenligne.fr/petition/ ... ients/2819