Bonsoir adephia
Je n'avais pas jugé bon d'afficher cette liste reçue
La raison c'est que j'ai des amies et amis qui sont obligés d'avoir recours à certains des traitements cités, et il y en a bien d'autres.
Vous écrivez : j' attire votre attention :
J'avais assisté à un conférence sur la naissance d'un médicament, voilà plusieurs années.
Comme d'autres je suis surpris sur tout ce déferlement avec toutes les précautions prises entre la découverte de la mollécule et l'autorisation de mise sur le marché AMM ( pratiquement 10 ans ) et ij y a encore deux ans où le médicament peut-être retiré de la vente comme le viox voilà environ 5 ou 6 ans.
En 1985 j'étais une ruine qui se trainait. Envoyé à Paris j'avais testé un médicament donné par un Professeur renommé qui fût un échec. Puis un deuxième le MTX .Retour en Bretagne, j'avais peur, si vous saviez ce que j'avais entendu.....Même mon rhumato m 'avait dit : le moindre problème vous venez, mes confréres sont informé au cas où je serai absent. Toutes les semaines j'entendais mon rhumato ne donnera jamais de çà.....
Depuis deux jours, j'ai déjà reçu des é-mails de malades qui se posent des questions.....
Je vous en pose une ; Que faire quand on souffre terriblement de la PR ???
J'entends beaucoup de bien de ses traitements, mais ils ne sont pas éfficaces pour tous, il faut aussi les supporter comme tous les autres. Chaque malades est différent, et on ne peut pas écouter tout le monde....
Je ne peux que vous conseiller d'allez dans un congrès de l'association vous apprendrez beaucoup de choses sur ces traitements.
Mon épouse fragile comdannée en 1998 s'était sauvée d'un cancer avec beaucoup de chimio.....
Moi un cancer voilà 5 ans nous ne savons pas toujours ce qu'on nous donne....
Souffrir c'est terrible, tous les PR comme nous le savent, mais il faut faire confiance, voilà ce que je pense, mais chacun est libre.
Bien cordialement
BRIAND
LA SANTE
Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP
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Re: LA SANTE
Bonsoir Briand,
Je ne pense pas que l'Afssaps soit "tout le monde"...
Ensuite, bien sûr que nous sommes dans l'obligation de supporter des traitements, lourds parfois, mais cela n'interdit pas de rester lucides sur des effets qui peuvent se révéler dans le temps.
Cordialement
Je ne pense pas que l'Afssaps soit "tout le monde"...
Ensuite, bien sûr que nous sommes dans l'obligation de supporter des traitements, lourds parfois, mais cela n'interdit pas de rester lucides sur des effets qui peuvent se révéler dans le temps.
Cordialement
Re: LA SANTE
Le médicament
Qui autorise la mise sur le marché ?
Mise en ligne : 1er février 2011
Pour qu’un médicament soit vendu, il faut le feu vert de la Commission d’autorisation de mise sur le marché, qui dépend de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Les experts consultés se fondent sur des tonnes de rapports décrivant les caractéristiques du médicament, l’indication, la posologie et le résultat des essais cliniques lors desquels la molécule a été testée sur des groupes de patients…
Tout irait bien si les payeurs n’étaient pas les décideurs. Or, l’Afssaps est financée à 90 % par les firmes pharmaceutiques qui paient pour que leurs dossiers soient examinés. Et, dans près de 80 % des cas, c’est sur la base d’essais cliniques que le laboratoire a menés et payés que le bénéfice-risque du médicament est évalué.
« Quand j’arrivais à la commission, on m’apportait une pile de documents de 1,50 m de haut sur une molécule dont j’ignorais tout et je devais faire une synthèse d’une page et demie en une demi-journée », raconte le Pr Philippe Even, directeur de l’institut Necker et ex-expert à l’Afssaps.
Pas étonnant, dans ces conditions, que l’autorisation de mise sur le marché (Amm) soit donnée dans 90 à 95 % des cas. D’autant que pour faire passer leurs dossiers les laboratoires n’hésitent pas à dissimuler des effets indésirables ou certaines données…
Quant aux experts de l’Afssaps, ils sont souvent juge et partie : les deux tiers travaillent pour l’industrie du médicament ou ont des liens avec elle. Depuis le 1er juillet 1998, ils doivent déclarer leurs conflits d’intérêt, et, depuis le 25 mars 2007, les mentionner quand ils s’expriment publiquement. Une mesure on ne peut moins appliquée.
Avec mes remerciements à '' VIVA PRESSE '' pour cette information particulièrement à Brigitte Bègue
Qui autorise la mise sur le marché ?
Mise en ligne : 1er février 2011
Pour qu’un médicament soit vendu, il faut le feu vert de la Commission d’autorisation de mise sur le marché, qui dépend de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
Les experts consultés se fondent sur des tonnes de rapports décrivant les caractéristiques du médicament, l’indication, la posologie et le résultat des essais cliniques lors desquels la molécule a été testée sur des groupes de patients…
Tout irait bien si les payeurs n’étaient pas les décideurs. Or, l’Afssaps est financée à 90 % par les firmes pharmaceutiques qui paient pour que leurs dossiers soient examinés. Et, dans près de 80 % des cas, c’est sur la base d’essais cliniques que le laboratoire a menés et payés que le bénéfice-risque du médicament est évalué.
« Quand j’arrivais à la commission, on m’apportait une pile de documents de 1,50 m de haut sur une molécule dont j’ignorais tout et je devais faire une synthèse d’une page et demie en une demi-journée », raconte le Pr Philippe Even, directeur de l’institut Necker et ex-expert à l’Afssaps.
Pas étonnant, dans ces conditions, que l’autorisation de mise sur le marché (Amm) soit donnée dans 90 à 95 % des cas. D’autant que pour faire passer leurs dossiers les laboratoires n’hésitent pas à dissimuler des effets indésirables ou certaines données…
Quant aux experts de l’Afssaps, ils sont souvent juge et partie : les deux tiers travaillent pour l’industrie du médicament ou ont des liens avec elle. Depuis le 1er juillet 1998, ils doivent déclarer leurs conflits d’intérêt, et, depuis le 25 mars 2007, les mentionner quand ils s’expriment publiquement. Une mesure on ne peut moins appliquée.
Avec mes remerciements à '' VIVA PRESSE '' pour cette information particulièrement à Brigitte Bègue
Re: LA SANTE
Bonsoir Adelpha
Je suis d"accord avec vous et tout le monde sans doute.
Vous croyez que celles et ceux au début du MtX étaient rassurés !
J'ai un souvenir qui me revient une dame était venue me trouver me disant : Mon mari vient vous rencontrer pour le MTX,
ne lui dites surtout pas que c'est de la chimio, il va penser à autre chose tellement il souffre.
Mais les doses ne sont nullement comparables pour le cancer
L'étè dernier, une jeune dame arrive en vacances et s'éffondre dans un fauteuil, des mains épouvantables et conduisait....
Les copines de travail lui disait toujours prendre tout çà à ton âge, mais tu es folle ma pauvre.... Elle ne prenait rien de son traitement..... Les conseilleurs ne sont pas les payeurs
Nous avons une sale maladie pas toujours facile à soigner, j'en ai commencé un livre, mais je prefére actuellement,aider, informer.
Elle a déjà bouleversé ma vie alors je pense à tous les autres car il y a le reste qu'il faut assumer parfois avec des
drames ....Trois femmes touchées pour un homme, je le dis souvent quand l'autre ne comprend pas, ou le patron qui devient infecte...Les enfants etc....Je vous admire et ce n'est pas de la pommade.
J'en profite pour répondre à une personne qui m'a demandé si mon cancer avait un rapport avec nos traitements. Non
aucun, c'est celui à la mode chez l'homme la prostate. Parfois j'entends cela se soigne bien et je réponds : oui notre
Président en est mort en 1996.
Voilà pourquoi Je vous en posait une question ; Que faire quand on souffre terriblement de la PR ??? Avez vous une autre solution ??? Je mes souviens par ou je suis passé. Parfois le soir fatigué je me couchais pour monter dans ma voiture avec des genoux comme des citrouilles ....Les ponctions, infiltrations, les synos le vendredi pour ne pas avoir d'arrêt ect....
Quand on a du mal à vous trouvez un traitement efficace et le moins toxique pour l'organisme. Le soignant ne peut prévoir la réaction de son patient. Ce n'est facile pour personne.
Bon courage à vous toutes et tous, soignez-vous, voilà ce que je peux vous conseiller suite à mon vécu.
Bien cordialement
BRIAND
Je suis d"accord avec vous et tout le monde sans doute.
Vous croyez que celles et ceux au début du MtX étaient rassurés !
J'ai un souvenir qui me revient une dame était venue me trouver me disant : Mon mari vient vous rencontrer pour le MTX,
ne lui dites surtout pas que c'est de la chimio, il va penser à autre chose tellement il souffre.
Mais les doses ne sont nullement comparables pour le cancer
L'étè dernier, une jeune dame arrive en vacances et s'éffondre dans un fauteuil, des mains épouvantables et conduisait....
Les copines de travail lui disait toujours prendre tout çà à ton âge, mais tu es folle ma pauvre.... Elle ne prenait rien de son traitement..... Les conseilleurs ne sont pas les payeurs
Nous avons une sale maladie pas toujours facile à soigner, j'en ai commencé un livre, mais je prefére actuellement,aider, informer.
Elle a déjà bouleversé ma vie alors je pense à tous les autres car il y a le reste qu'il faut assumer parfois avec des
drames ....Trois femmes touchées pour un homme, je le dis souvent quand l'autre ne comprend pas, ou le patron qui devient infecte...Les enfants etc....Je vous admire et ce n'est pas de la pommade.
J'en profite pour répondre à une personne qui m'a demandé si mon cancer avait un rapport avec nos traitements. Non
aucun, c'est celui à la mode chez l'homme la prostate. Parfois j'entends cela se soigne bien et je réponds : oui notre
Président en est mort en 1996.
Voilà pourquoi Je vous en posait une question ; Que faire quand on souffre terriblement de la PR ??? Avez vous une autre solution ??? Je mes souviens par ou je suis passé. Parfois le soir fatigué je me couchais pour monter dans ma voiture avec des genoux comme des citrouilles ....Les ponctions, infiltrations, les synos le vendredi pour ne pas avoir d'arrêt ect....
Quand on a du mal à vous trouvez un traitement efficace et le moins toxique pour l'organisme. Le soignant ne peut prévoir la réaction de son patient. Ce n'est facile pour personne.
Bon courage à vous toutes et tous, soignez-vous, voilà ce que je peux vous conseiller suite à mon vécu.
Bien cordialement
BRIAND
Re: LA SANTE
500 médecins dénoncent la volonté de l’AP-HP de faire payer les chambres individuelles
Mise en ligne : 4 février 2011
Alors que le service était jusqu’à présent gratuit, l’AP-HP a décidé de faire payer les chambres individuelles aux patients. Tous les établissements ne sont pas concernés, l’expérimentation étant menée, depuis le 1er février, dans les hôpitaux parisiens de Bichat, la Pitié-Salpêtrière et Bretonneau, et en banlieue à Beaujon (Clichy) et Avicenne (Bobigny).
S’ils demandent une chambre individuelle pour raison de confort et non pour raison médicale, les patients devront donc désormais s’acquitter de 45 euros par nuit. La plupart des CHU de France font déjà payer les chambres à un lit, comme ceux d’Angers (39 euros) ou Montpellier (52 euros).
Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre, du côté du personnel hospitalier. Le Mouvement de défense de l’hôpital public (MDHP) a envoyé une lettre ouverte à la directrice de l’AP-HP, Mireille Faugère, pour dénoncer une telle décision. Le document a été signé par 500 médecins.
Le MDHP y dénonce une mesure « injuste », qui remettrait en cause « l’égalité des citoyens face aux soins ». « Visiblement vous pensez Madame la Directrice, que l’Assistance publique doit faire de la concurrence aux cliniques privées, en se plaçant sur leur terrain, considérant les patients comme des clients et adoptant leurs méthodes commerciales », attaque le MDHP.
Au-delà de la dimension éthique, les médecins parlent d’une décision « inapplicable ». Faut-il forcer les patients à payer 45 euros dans les établissements qui n’ont que des chambres à un lit ? Sans leur laisser d’autre choix ? Que faire des malades ayant besoin d’une chambre individuelle pour raison médicale, quand toutes seront déjà occupées ? Face à ces interrogations, le collectif assure que la décision « ne pourra pas être appliquée ».
De son côté, la direction de l’APHP assure que cette démarche permettra « une amélioration du confort hôtelier des patients et du cadre d’exercice professionnel de ceux qui les soignent ».
Le prix de la chambre ne sera pas couvert par l’assurance maladie.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions particulièrement Elsa Maudet
Mise en ligne : 4 février 2011
Alors que le service était jusqu’à présent gratuit, l’AP-HP a décidé de faire payer les chambres individuelles aux patients. Tous les établissements ne sont pas concernés, l’expérimentation étant menée, depuis le 1er février, dans les hôpitaux parisiens de Bichat, la Pitié-Salpêtrière et Bretonneau, et en banlieue à Beaujon (Clichy) et Avicenne (Bobigny).
S’ils demandent une chambre individuelle pour raison de confort et non pour raison médicale, les patients devront donc désormais s’acquitter de 45 euros par nuit. La plupart des CHU de France font déjà payer les chambres à un lit, comme ceux d’Angers (39 euros) ou Montpellier (52 euros).
Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre, du côté du personnel hospitalier. Le Mouvement de défense de l’hôpital public (MDHP) a envoyé une lettre ouverte à la directrice de l’AP-HP, Mireille Faugère, pour dénoncer une telle décision. Le document a été signé par 500 médecins.
Le MDHP y dénonce une mesure « injuste », qui remettrait en cause « l’égalité des citoyens face aux soins ». « Visiblement vous pensez Madame la Directrice, que l’Assistance publique doit faire de la concurrence aux cliniques privées, en se plaçant sur leur terrain, considérant les patients comme des clients et adoptant leurs méthodes commerciales », attaque le MDHP.
Au-delà de la dimension éthique, les médecins parlent d’une décision « inapplicable ». Faut-il forcer les patients à payer 45 euros dans les établissements qui n’ont que des chambres à un lit ? Sans leur laisser d’autre choix ? Que faire des malades ayant besoin d’une chambre individuelle pour raison médicale, quand toutes seront déjà occupées ? Face à ces interrogations, le collectif assure que la décision « ne pourra pas être appliquée ».
De son côté, la direction de l’APHP assure que cette démarche permettra « une amélioration du confort hôtelier des patients et du cadre d’exercice professionnel de ceux qui les soignent ».
Le prix de la chambre ne sera pas couvert par l’assurance maladie.
Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions particulièrement Elsa Maudet
Re: LA SANTE
UNIQUEMENT POUR VOTRE INFORMATION
Coordination santé solidarité Gironde
Payer plus, se soigner moins, ça suffit !
Mise en ligne : 1er février 2011
« Bonne année et bonne santé… mon œil ! », « Payer plus pour se soigner moins, ça suffit ! »... En affichant ces slogans, la Coordination santé solidarité Gironde (Coss 33) a tenu à sensibiliser le grand public à la veille des fêtes de fin d’année. Le 18 décembre dernier, place Saint-Projet, dans le centre-ville de Bordeaux, des militants de la coordination ont distribué 2 000 tracts d’information sur les « cadeaux de Sarko pour 2011 ».
Ces tracts font référence, entre autres, à la baisse du remboursement des médicaments à vignette bleue (de 35 à 30 %), de celui des dispositifs médicaux (de 65 à 60 %), à la hausse du ticket modérateur pour les soins hospitaliers (avec un seuil qui passe de 91 à 120 euros), à la sortie du dispositif affections de longue durée (Ald) de l’hypertension artérielle non compliquée, etc.
« Ce transfert de charges du régime obligatoire vers les complémentaires santé va générer des augmentations de cotisations, ainsi qu’un renoncement accru aux soins – déjà en hausse de 11 % entre 2008 et 2099 –, lorsqu’on sait que 8 % de nos concitoyens n’ont pas de couverture complémentaire », alerte Patrick Julou, administrateur de la Mutuelle familiale d’Aquitaine (Mfa-Mgts), laquelle est membre de la Coss 33*, aux côtés notamment de la section Aquitaine-Nord de Mutuelle Entrain et de l’association Allô amiante.
Agir au niveau national
La mobilisation de la coordination est ancienne. Souvenons-nous des rassemblements devant les cliniques privées, devant l’agence régionale de santé, et des débats organisés contre les dépassements d’honoraires et pour l’accès aux soins. Elle conserve tout son sens dans le contexte actuel : au lendemain du vote de la réforme des retraites et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (Plfss), et à la veille du débat sur la dépendance.
« Compte tenu des rencontres amorcées au sein de la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, notre mouvement “Payer plus pour se soigner moins, ça suffit ! ” va s’intégrer dans la dynamique nationale qui émerge. Une journée d’action nationale pourrait même avoir lieu en mars… », annonce Bernard Coadou, président de l’association girondine La santé, un droit pour tous et l’un des initiateurs de la Coss 33.
P.S. * La Coss 33 regroupe 42 organisations (mutuelles, associations, syndicats de salariés et de médecins…).
Information '' VIVA PRESSE'' que nous remercions particulièrement Karine Pollet
Coordination santé solidarité Gironde
Payer plus, se soigner moins, ça suffit !
Mise en ligne : 1er février 2011
« Bonne année et bonne santé… mon œil ! », « Payer plus pour se soigner moins, ça suffit ! »... En affichant ces slogans, la Coordination santé solidarité Gironde (Coss 33) a tenu à sensibiliser le grand public à la veille des fêtes de fin d’année. Le 18 décembre dernier, place Saint-Projet, dans le centre-ville de Bordeaux, des militants de la coordination ont distribué 2 000 tracts d’information sur les « cadeaux de Sarko pour 2011 ».
Ces tracts font référence, entre autres, à la baisse du remboursement des médicaments à vignette bleue (de 35 à 30 %), de celui des dispositifs médicaux (de 65 à 60 %), à la hausse du ticket modérateur pour les soins hospitaliers (avec un seuil qui passe de 91 à 120 euros), à la sortie du dispositif affections de longue durée (Ald) de l’hypertension artérielle non compliquée, etc.
« Ce transfert de charges du régime obligatoire vers les complémentaires santé va générer des augmentations de cotisations, ainsi qu’un renoncement accru aux soins – déjà en hausse de 11 % entre 2008 et 2099 –, lorsqu’on sait que 8 % de nos concitoyens n’ont pas de couverture complémentaire », alerte Patrick Julou, administrateur de la Mutuelle familiale d’Aquitaine (Mfa-Mgts), laquelle est membre de la Coss 33*, aux côtés notamment de la section Aquitaine-Nord de Mutuelle Entrain et de l’association Allô amiante.
Agir au niveau national
La mobilisation de la coordination est ancienne. Souvenons-nous des rassemblements devant les cliniques privées, devant l’agence régionale de santé, et des débats organisés contre les dépassements d’honoraires et pour l’accès aux soins. Elle conserve tout son sens dans le contexte actuel : au lendemain du vote de la réforme des retraites et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (Plfss), et à la veille du débat sur la dépendance.
« Compte tenu des rencontres amorcées au sein de la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, notre mouvement “Payer plus pour se soigner moins, ça suffit ! ” va s’intégrer dans la dynamique nationale qui émerge. Une journée d’action nationale pourrait même avoir lieu en mars… », annonce Bernard Coadou, président de l’association girondine La santé, un droit pour tous et l’un des initiateurs de la Coss 33.
P.S. * La Coss 33 regroupe 42 organisations (mutuelles, associations, syndicats de salariés et de médecins…).
Information '' VIVA PRESSE'' que nous remercions particulièrement Karine Pollet
Re: LA SANTE
Les défenseurs de l’hôpital public appellent à une journée d’action le 2 avril
Mise en ligne : 7 février 2011
Après le succès de la pétition pour la défense de l’hôpital public, déjà signée par plus d’un million de personnes, 80 associations et collectifs soutenus par des syndicats et partis lancent à nouveau une action santé à l’initiative de la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité. Elle se déroulera le 2 avril prochain.
Un appel basé sur le « Manifeste pour la santé, la solidarité et la proximité, contre la démolition de l’hôpital et des structures de santé de santé ».
L’appel à l’action du 2 avril rappelle qu’avec la loi Hpst – dite loi Bachelot –, « c’est tout notre service public de santé qui se détériore, tant pour celles et ceux qui en ont besoin que pour celles et ceux qui y travaillent » et que « les franchises médicales, les déremboursements, les dépassements d’honoraires, les restructurations hospitalières, les privatisations, le démantèlement de la sécurité sociale, la réforme de la dépendance, la mise à mal de la psychiatrie publique… remettent en cause l’accès aux soins pour des millions de nos concitoyens. »
Les associations et collectifs demandent aux citoyens de se mobiliser dans toutes les régions le samedi 2 avril 2011 pour « un système de santé public, solidaire, pour toutes et pour tous, partout sur le territoire ».
P.S. La pétition : http://petition-mdhp.fr
Le manifeste de la Coordination nationale
Le site de la Coordination, avec la liste complète des participants et la préparation des actions du 2 avril :
http://www.coordination-nationale.org
Information VIVA PRESSE que nos remercions
Parmi les signataires :
Association des médecins urgentistes de France, Association nationale des Centres d’interruption de grossesse et de contraception, Appel des appels, Attac, Coordination des associations pour le droit à la contraception et à l’avortement, CGT, Collectif national contre les franchises, Comité national pour les Droits des femmes, Coordination nationale des Comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, Europe écologie-les Verts, FSU, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Planning familial, les Alternatifs, Manifeste des médecins solidaires, NPA, PCF, Parti de Gauche, PS, Syndicat de la médecine générale, SNASS-CGT, Syndicat national des professionnels de santé au travail, Union nationale des retraités et personnes agées, Union syndicale solidaires,…
Mise en ligne : 7 février 2011
Après le succès de la pétition pour la défense de l’hôpital public, déjà signée par plus d’un million de personnes, 80 associations et collectifs soutenus par des syndicats et partis lancent à nouveau une action santé à l’initiative de la Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité. Elle se déroulera le 2 avril prochain.
Un appel basé sur le « Manifeste pour la santé, la solidarité et la proximité, contre la démolition de l’hôpital et des structures de santé de santé ».
L’appel à l’action du 2 avril rappelle qu’avec la loi Hpst – dite loi Bachelot –, « c’est tout notre service public de santé qui se détériore, tant pour celles et ceux qui en ont besoin que pour celles et ceux qui y travaillent » et que « les franchises médicales, les déremboursements, les dépassements d’honoraires, les restructurations hospitalières, les privatisations, le démantèlement de la sécurité sociale, la réforme de la dépendance, la mise à mal de la psychiatrie publique… remettent en cause l’accès aux soins pour des millions de nos concitoyens. »
Les associations et collectifs demandent aux citoyens de se mobiliser dans toutes les régions le samedi 2 avril 2011 pour « un système de santé public, solidaire, pour toutes et pour tous, partout sur le territoire ».
P.S. La pétition : http://petition-mdhp.fr
Le manifeste de la Coordination nationale
Le site de la Coordination, avec la liste complète des participants et la préparation des actions du 2 avril :
http://www.coordination-nationale.org
Information VIVA PRESSE que nos remercions
Parmi les signataires :
Association des médecins urgentistes de France, Association nationale des Centres d’interruption de grossesse et de contraception, Appel des appels, Attac, Coordination des associations pour le droit à la contraception et à l’avortement, CGT, Collectif national contre les franchises, Comité national pour les Droits des femmes, Coordination nationale des Comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, Europe écologie-les Verts, FSU, Fédération pour une alternative sociale et écologique, Planning familial, les Alternatifs, Manifeste des médecins solidaires, NPA, PCF, Parti de Gauche, PS, Syndicat de la médecine générale, SNASS-CGT, Syndicat national des professionnels de santé au travail, Union nationale des retraités et personnes agées, Union syndicale solidaires,…
Re: LA SANTE
bonjour briand
merci pour votre reponse j ai une RTH suite a cela on m a donne un poste amanage si l on peut dire echange d immeuble sans ascenceurs contre d autre avec ascenceurs mais pas tous et de toute facon on ne nettoye pas des escaliers dans l ascenceure.
je ne plus ce que je vais faire mais je ne suis pas capable de reprendre j arrive a peine a faire mon menage a la maison hier j ai voulu faire quelque carreaux j avais tres mal aux muscles et tendons.
j ai 53 ans et ala pr s ajoute le gougerot et je demande si cela se soigne car on ne m en parle pas beaucoup le rhumato m a juste prescri de la pilocarpin e ce qui ammeliore un peu les brulures de bouche et d estomac mai je fais attention a tous ce que je mange et surtout pas de chose sucre .
je medemande si mes douleures musculaires sont du a la PR ou autre chose car j ai moin de douleurs articulaires.
mais je pense que je suis comme nous tous qui souffrons je ne sais plus ou j en suis ni quoi faire.
pour mon travail je verrai si je n ai pas d autre solution je m arreterai.
merci pour tous Briand et bon courage a vous qui vous battez depuis des annees.
amicalement yolande.
merci pour votre reponse j ai une RTH suite a cela on m a donne un poste amanage si l on peut dire echange d immeuble sans ascenceurs contre d autre avec ascenceurs mais pas tous et de toute facon on ne nettoye pas des escaliers dans l ascenceure.
je ne plus ce que je vais faire mais je ne suis pas capable de reprendre j arrive a peine a faire mon menage a la maison hier j ai voulu faire quelque carreaux j avais tres mal aux muscles et tendons.
j ai 53 ans et ala pr s ajoute le gougerot et je demande si cela se soigne car on ne m en parle pas beaucoup le rhumato m a juste prescri de la pilocarpin e ce qui ammeliore un peu les brulures de bouche et d estomac mai je fais attention a tous ce que je mange et surtout pas de chose sucre .
je medemande si mes douleures musculaires sont du a la PR ou autre chose car j ai moin de douleurs articulaires.
mais je pense que je suis comme nous tous qui souffrons je ne sais plus ou j en suis ni quoi faire.
pour mon travail je verrai si je n ai pas d autre solution je m arreterai.
merci pour tous Briand et bon courage a vous qui vous battez depuis des annees.
amicalement yolande.
Re: LA SANTE
Incontinence urinaire: que faut-il boire ?
Les boissons que nous consommons vont avoir, logiquement un effet sur notre système urinaire. Il est donc important, pour ceux et celles qui souffrent d'incontinence urinaire, de faire attention aux boissons consommées pendant la journée.
Eviter la caféine pour lutter contre l'incontinence urinaire
Le premier conseil quand on souffre d'incontinence urinaire est d'éviter de consommer des boissons caféinées, comme le café bien sûr, mais aussi les colas, les boissons énergisantes, le thé et même le chocolat, à boire ou à manger, en trop grande quantité. Pourquoi éviter la caféine ? Elle a un effet diurétique, c'est-à -dire qu'elle augmente la quantité d'urine qui sera produite. En outre il est probable qu'elle augmente l'activité des muscles qui entraînent la vidange de la vessie. Les études qui sont parues jusqu'à aujourd'hui ne donnent pas des résultats très concluants concernant la caféine et l'incontinence; mais un nouveau travail, pas encore publié (1), semble indiquer que les femmes qui boivent plus de trois tasses de café par jour ont 70% de chances supplémentaires de souffrir d'incontinence urinaire.
Contre l'incontinence urinaire, d'autres aliments à éviter
Il n'y a pas que la caféine qui pose problème aux personnes souffrant d'incontinence urinaire. De nombreuses autres boissons ou aliments peuvent en augmenter les symptômes :
- L'alcool est aussi un diurétique, qui en plus a tendance à diminuer le contrôle de notre cerveau sur nos muscles, y compris ceux de notre vessie. Il a donc une double influence sur l'incontinence...
- Tous les aliments acides (tomates, agrumes etc.) ainsi que les épices peuvent irriter la vessie et donc rendre l'incontinence plus difficile à contrôler. Cela peut cependant dépendre selon les personnes.
Boire moins pour lutter contre l'incontinence urinaire ?
Il semble logique de se dire que si l'on boit moins, on urinera moins, et donc que diminuer la quantité de boissons que l'on consomme va diminuer le problème de l'incontinence urinaire. C'est cependant un mauvais réflexe... en effet, boire est nécessaire à notre santé. Ne plus boire ne va pas éliminer l'incontinence, mais risque au contraire d'y ajouter d'autres problèmes, comme une irritation de la vessie. Donc, même si vous êtes incontinent, continuez à boire suffisamment de fluides – de préférence de l'eau.
information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions particulièrement : Marion Garteiser, journaliste santé
Source : (1) Annual Meetirng, American Urogynecologic Society, septembre 2010
Les boissons que nous consommons vont avoir, logiquement un effet sur notre système urinaire. Il est donc important, pour ceux et celles qui souffrent d'incontinence urinaire, de faire attention aux boissons consommées pendant la journée.
Eviter la caféine pour lutter contre l'incontinence urinaire
Le premier conseil quand on souffre d'incontinence urinaire est d'éviter de consommer des boissons caféinées, comme le café bien sûr, mais aussi les colas, les boissons énergisantes, le thé et même le chocolat, à boire ou à manger, en trop grande quantité. Pourquoi éviter la caféine ? Elle a un effet diurétique, c'est-à -dire qu'elle augmente la quantité d'urine qui sera produite. En outre il est probable qu'elle augmente l'activité des muscles qui entraînent la vidange de la vessie. Les études qui sont parues jusqu'à aujourd'hui ne donnent pas des résultats très concluants concernant la caféine et l'incontinence; mais un nouveau travail, pas encore publié (1), semble indiquer que les femmes qui boivent plus de trois tasses de café par jour ont 70% de chances supplémentaires de souffrir d'incontinence urinaire.
Contre l'incontinence urinaire, d'autres aliments à éviter
Il n'y a pas que la caféine qui pose problème aux personnes souffrant d'incontinence urinaire. De nombreuses autres boissons ou aliments peuvent en augmenter les symptômes :
- L'alcool est aussi un diurétique, qui en plus a tendance à diminuer le contrôle de notre cerveau sur nos muscles, y compris ceux de notre vessie. Il a donc une double influence sur l'incontinence...
- Tous les aliments acides (tomates, agrumes etc.) ainsi que les épices peuvent irriter la vessie et donc rendre l'incontinence plus difficile à contrôler. Cela peut cependant dépendre selon les personnes.
Boire moins pour lutter contre l'incontinence urinaire ?
Il semble logique de se dire que si l'on boit moins, on urinera moins, et donc que diminuer la quantité de boissons que l'on consomme va diminuer le problème de l'incontinence urinaire. C'est cependant un mauvais réflexe... en effet, boire est nécessaire à notre santé. Ne plus boire ne va pas éliminer l'incontinence, mais risque au contraire d'y ajouter d'autres problèmes, comme une irritation de la vessie. Donc, même si vous êtes incontinent, continuez à boire suffisamment de fluides – de préférence de l'eau.
information '' HANDICAPZERO '' que nous remercions particulièrement : Marion Garteiser, journaliste santé
Source : (1) Annual Meetirng, American Urogynecologic Society, septembre 2010
Re: LA SANTE
Pétition
Suite à plusieurs demandes
Il faut que je vous raconte la dernière de Roselyne, et je compte sur vous pour faire passer !
Aujourd'hui, j'avais formation obligatoire sur les prélèvements (sanguins et autres).
Là, le directeur du principal labo avec lequel notre hôpital travaille nous apprend (tenez-vous bien !) que nous, les infirmières, n'avons plus le droit de faire les prises de sang !!!
D'après la dernière ordonnance de notre chère ministre de la santé (donc, pas de passage devant députés et sénateurs !), les laboratoires, pour subsister, devront passer une certification assez contraignante et compliquée, et pour ce faire, doivent, entre-autres, se porter garants du préleveur (c'est à dire, nous, en l'occurrence !).
Conséquence immédiate : les infirmières ne seront autorisées à prélever que si elles ont été formées et agrées par le labo dans lequel le prélèvement est analysé !
Exit, donc, les infirmières intérimaires ou remplaçantes...
Seconde conséquence, et non des moindres : les prélèvements à domicile seront désormais interdits ! Les patients devront donc se rendre au laboratoire par leurs propres moyens, quel que soit leur état, ou bien se faire hospitaliser !
Troisième conséquence : les laboratoires étant tenus de s'équiper de machines hyper-performantes, avec le moins de personnel possible, (ah oui, parce que j'ai oublié de vous préciser que l'état a décidé de diminuer fortement le remboursement des examens sanguins aux laboratoires !) pour pouvoir continuer à fonctionner, ils vont devoir se regrouper (but final avoué : 1 à 2 labos seulement par département !!!). Bref, les hôpitaux de taille moyenne qui possèdent leur propre labo vont le fermer (c'est déjà fait à Paoli-Calmette, par exemple, Cavaillon et Orange vont suivre) et il faudra donc se déplacer vers un grand plateau technique pour faire les examens qui ne sont pas hyper-courants.
Comme ces grands plateaux techniques seront les seuls à accueillir une grande partie des examens à réaliser, nous n'aurons les résultats qu'au bout de plusieurs jours (et mieux vaut ne pas en avoir besoin un vendredi après-midi !)
Enfin, cerise sur le gâteau : en toute discrétion, il a été décidé désormais le directeur d'un labo n'a plus besoin d'être biologiste !
La Générale de Santé, ainsi que d'autres grands groupes financiers sont donc en train de racheter tous les labos de France et de Navarre et il devient donc impossible à un médecin biologiste de posséder son propre labo...
Voilà, je ne peux vous conseiller qu'une seule chose : surtout, ne tombez pas malade ! Et si toutefois cela vous arrivait malgré tout, déménagez aussitôt vers une grande ville, seul moyen d'ici trés peu de temps de pouvoir être soigné dans des conditions acceptables !
Une infirmière démoralisée et dégoûtée...
P.S. : Je viens d'entendre aux infos que le gouvernement envisage sérieusement de réduire les cotations des examens radiologiques : ça ne vous rappelle pas quelque chose ???
Nous avions le meilleur système de santé au monde, mais c'était avant ...
J'ai fait suivre l'info à une amie biologiste, voici sa réponse :
Bonjour,
Étant biologiste directrice d'un petit labo (3 personnes) de proximité, je confirme cette info. L'ordonnance est passée en janvier 2010 et nous avons jusqu'en 2013 pour nous mettre aux nouvelles normes. Ce qui est totalement impossible pour les petits et moyens labos vu le coût car bien évidemment tout cela n'est pas gratuit. Donc pour ma part, étant trop petite, je suis condamnée à disparaître !!! A 54 ans c'est un peu dur à avaler !!! Quant aux regroupements de labos c'est un pis aller, pour faire face aux structures financières qui attendent ( comme pour les cliniques) de racheter et rentabiliser au maximum au dépens de la relation avec les patients. Des labos traitant plus de 1000 dossiers jours ne peuvent être à l'écoute de la personne.
Et effectivement à terme il n'y aura plus que 1 ou 2 labos par département y compris pour les labos des petits hôpitaux.
Ceci est le système américain, allemand, et autres pays européens. Voilà donc l'avenir de la santé vendue aux grands groupes financiers.
en plus et pour parfaire l'info, une pétition à signer pour essayer de sauvegarder l'Hôpital public :
A LIRE A SIGNER ET A FAIRE CIRCULER AU MAXIMUM DE VOS CONTACTS EN LEUR DEMANDANT DE FAIRE LA MÊME CHOSE AVEC LES LEURS. IL FAUT RASSEMBLER 1 000 000 DE SIGNATURES AVANT LA FIN DE LA SEMAINE. MERCI
http://www.petition-mdhp.fr
<http://www.petition-mdhp.fr
Suite à plusieurs demandes
Il faut que je vous raconte la dernière de Roselyne, et je compte sur vous pour faire passer !
Aujourd'hui, j'avais formation obligatoire sur les prélèvements (sanguins et autres).
Là, le directeur du principal labo avec lequel notre hôpital travaille nous apprend (tenez-vous bien !) que nous, les infirmières, n'avons plus le droit de faire les prises de sang !!!
D'après la dernière ordonnance de notre chère ministre de la santé (donc, pas de passage devant députés et sénateurs !), les laboratoires, pour subsister, devront passer une certification assez contraignante et compliquée, et pour ce faire, doivent, entre-autres, se porter garants du préleveur (c'est à dire, nous, en l'occurrence !).
Conséquence immédiate : les infirmières ne seront autorisées à prélever que si elles ont été formées et agrées par le labo dans lequel le prélèvement est analysé !
Exit, donc, les infirmières intérimaires ou remplaçantes...
Seconde conséquence, et non des moindres : les prélèvements à domicile seront désormais interdits ! Les patients devront donc se rendre au laboratoire par leurs propres moyens, quel que soit leur état, ou bien se faire hospitaliser !
Troisième conséquence : les laboratoires étant tenus de s'équiper de machines hyper-performantes, avec le moins de personnel possible, (ah oui, parce que j'ai oublié de vous préciser que l'état a décidé de diminuer fortement le remboursement des examens sanguins aux laboratoires !) pour pouvoir continuer à fonctionner, ils vont devoir se regrouper (but final avoué : 1 à 2 labos seulement par département !!!). Bref, les hôpitaux de taille moyenne qui possèdent leur propre labo vont le fermer (c'est déjà fait à Paoli-Calmette, par exemple, Cavaillon et Orange vont suivre) et il faudra donc se déplacer vers un grand plateau technique pour faire les examens qui ne sont pas hyper-courants.
Comme ces grands plateaux techniques seront les seuls à accueillir une grande partie des examens à réaliser, nous n'aurons les résultats qu'au bout de plusieurs jours (et mieux vaut ne pas en avoir besoin un vendredi après-midi !)
Enfin, cerise sur le gâteau : en toute discrétion, il a été décidé désormais le directeur d'un labo n'a plus besoin d'être biologiste !
La Générale de Santé, ainsi que d'autres grands groupes financiers sont donc en train de racheter tous les labos de France et de Navarre et il devient donc impossible à un médecin biologiste de posséder son propre labo...
Voilà, je ne peux vous conseiller qu'une seule chose : surtout, ne tombez pas malade ! Et si toutefois cela vous arrivait malgré tout, déménagez aussitôt vers une grande ville, seul moyen d'ici trés peu de temps de pouvoir être soigné dans des conditions acceptables !
Une infirmière démoralisée et dégoûtée...
P.S. : Je viens d'entendre aux infos que le gouvernement envisage sérieusement de réduire les cotations des examens radiologiques : ça ne vous rappelle pas quelque chose ???
Nous avions le meilleur système de santé au monde, mais c'était avant ...
J'ai fait suivre l'info à une amie biologiste, voici sa réponse :
Bonjour,
Étant biologiste directrice d'un petit labo (3 personnes) de proximité, je confirme cette info. L'ordonnance est passée en janvier 2010 et nous avons jusqu'en 2013 pour nous mettre aux nouvelles normes. Ce qui est totalement impossible pour les petits et moyens labos vu le coût car bien évidemment tout cela n'est pas gratuit. Donc pour ma part, étant trop petite, je suis condamnée à disparaître !!! A 54 ans c'est un peu dur à avaler !!! Quant aux regroupements de labos c'est un pis aller, pour faire face aux structures financières qui attendent ( comme pour les cliniques) de racheter et rentabiliser au maximum au dépens de la relation avec les patients. Des labos traitant plus de 1000 dossiers jours ne peuvent être à l'écoute de la personne.
Et effectivement à terme il n'y aura plus que 1 ou 2 labos par département y compris pour les labos des petits hôpitaux.
Ceci est le système américain, allemand, et autres pays européens. Voilà donc l'avenir de la santé vendue aux grands groupes financiers.
en plus et pour parfaire l'info, une pétition à signer pour essayer de sauvegarder l'Hôpital public :
A LIRE A SIGNER ET A FAIRE CIRCULER AU MAXIMUM DE VOS CONTACTS EN LEUR DEMANDANT DE FAIRE LA MÊME CHOSE AVEC LES LEURS. IL FAUT RASSEMBLER 1 000 000 DE SIGNATURES AVANT LA FIN DE LA SEMAINE. MERCI
http://www.petition-mdhp.fr
<http://www.petition-mdhp.fr
Re: LA SANTE
Médicaments : la nouvelle vague de déremboursement s’applique dès aujourd’hui
Mise en ligne : 2 mai 2011
La baisse du taux de remboursement des médicaments à vignette bleue – avec le passage de 35 % à 30 % – actée voici quelques semaines intervient aujourd’hui, 2 mai.
Au total, ce déremboursement concerne plus d’un millier de produits actuellement dans le commerce dont des médicaments aussi populaires que l’Advil, le Spasfon, le Ketum ou le Voltarene. En effet, toutes les déclinaisons, dosages et présentations de ces différents produits sont concernés. Des médicaments dont le « service médical rendu » (Smr)à été jugé insuffisant par la Haute autorité de santé (HAS).
La liste des déremboursements concerne également certains dispositifs médicaux : un arrêté du 18 mars 2011, publié au Journal officiel du 25 mars en a abaissé le remboursement de 65 % à 60 %.
P.S. La liste des médicaments publiée au JO du 6 avril 2011 :
http://www.legifrance.gouv.fr
Information VIVA que nous remercions
Mise en ligne : 2 mai 2011
La baisse du taux de remboursement des médicaments à vignette bleue – avec le passage de 35 % à 30 % – actée voici quelques semaines intervient aujourd’hui, 2 mai.
Au total, ce déremboursement concerne plus d’un millier de produits actuellement dans le commerce dont des médicaments aussi populaires que l’Advil, le Spasfon, le Ketum ou le Voltarene. En effet, toutes les déclinaisons, dosages et présentations de ces différents produits sont concernés. Des médicaments dont le « service médical rendu » (Smr)à été jugé insuffisant par la Haute autorité de santé (HAS).
La liste des déremboursements concerne également certains dispositifs médicaux : un arrêté du 18 mars 2011, publié au Journal officiel du 25 mars en a abaissé le remboursement de 65 % à 60 %.
P.S. La liste des médicaments publiée au JO du 6 avril 2011 :
http://www.legifrance.gouv.fr
Information VIVA que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Elle soulage les douleurs rhumatismales
A forte dose, l’aspirine devient anti-inflammatoire, une propriété intéressante que les médecins utilisent pour soulager les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Comment agit-elle ? L’acide acétylsalicylique, autre nom de l’aspirine, inhibe l’action d’enzymes (les Cox) qui sont produites par l’organisme pour nous défendre lors d’infections, lesquelles à leur tour favorisent la production de prostaglandines, des substances responsables du processus inflammatoire local et de la douleur. En inhibant l’action des Cox, l’aspirine inhibe le processus de l’inflammation et calme la douleur.
[02.05.11] Sylvie Boistard '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Elle soulage les douleurs rhumatismales
A forte dose, l’aspirine devient anti-inflammatoire, une propriété intéressante que les médecins utilisent pour soulager les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Comment agit-elle ? L’acide acétylsalicylique, autre nom de l’aspirine, inhibe l’action d’enzymes (les Cox) qui sont produites par l’organisme pour nous défendre lors d’infections, lesquelles à leur tour favorisent la production de prostaglandines, des substances responsables du processus inflammatoire local et de la douleur. En inhibant l’action des Cox, l’aspirine inhibe le processus de l’inflammation et calme la douleur.
[02.05.11] Sylvie Boistard '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
Re: LA SANTE
POUR INFORMATION
Petite revue pratique sur les allergies alimentaires
L’allergie correspond à une réaction exagérée de notre système immunitaire face à un agent (ou allergène) : pollens, acariens, moisissures, poils, et souvent aussi des aliments. La réaction allergique peut se manifester par bien des façons : urticaire, éruption cutanée, nausées, diarrhées, voire vomissements et choc anaphylactique.
Quels sont les principaux allergènes alimentaires ? [/size]
Protéines de lait,
Œufs,
Cacahuètes,
Farine de blé,
Soja,
Fruits de mer,
Poisson,
Fruits à coque (noix, noisette, cajou, amande…).
Mais il existe quantité d’autres aliments auxquels on peut être allergique : graine de sésame, céleri, moutarde, lupin, mollusques...
Comment confirmer qu’il s’agit bien d’une allergie alimentaire ?
Après description des symptômes et des circonstances d’apparition, l’allergologue portera facilement le diagnostic d’allergie alimentaire. L’identification de l’allergène est plus difficile et nécessite des tests de provocation orale.
En pratique, le patient tient un journal alimentaire : il note tous les jours les aliments consommés de façon exhaustive. Ensuite, un aliment suspect est supprimé puis réintroduit. S’il est en cause, les symptômes vont diminuer pour ensuite réapparaître. On peut ensuite tester d’autres aliments, mais toujours un par un, ce qui peut être long.
Une autre technique permet d’identifier les allergènes : l’intradermoréaction et le bilan sanguin. Le sujet est exposé à des extraits alimentaires avant de rechercher la présence d’anticorps IgE spécifiques dans le sang.
En même temps que les allergènes alimentaires, on peut rechercher d’autres allergènes. C’est qu’une personne déjà allergique aux pollens par exemple (asthmatique ou faisant de l’eczéma également) a plus de risque de développer aussi une allergie alimentaire, surtout chez les enfants.
Comment traiter une allergie alimentaire ;?
Une fois l’aliment allergénique identifié, il faut l’évincer de son alimentation. Cette tâche est parfois facile, mais plus souvent extrêmement compliquée, si l’aliment en cause est très répandu et qu’il entre dans la composition d’une grande quantité d’aliments : protéines de lait, farine, œufs… Parfois, lire les étiquettes ne suffit pas et peut se révéler difficile (ex : les protéines de lait s’affichent sous les termes « lactosérum », « caséines » ; les œufs sont désignés par « albumine »). Il faut alors revenir à une alimentation maîtrisée, « faite maison », à partir d’aliments simples dont la composition est parfaitement connue. Certaines évictions rendent aussi difficiles les repas au restaurant ou entre amis…
En cas d’allergie sévère ou d’antécédents de choc anaphylactique, si l’aliment allergénique est malgré tout absorbé, il faut aussitôt contacter un médecin ou le Samu car la survenue d’un nouveau choc anaphylactique peut être très rapide. Ces sujets portent généralement sur eux un bracelet indiquant l’allergie et une dose d’épinéphrine injectable (adrénaline).
Remerciements à HANDICAPZERO - E SANTE et : Mme Eustache Journaliste :
Source : « Allergènes alimentaires », Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) :
Petite revue pratique sur les allergies alimentaires
L’allergie correspond à une réaction exagérée de notre système immunitaire face à un agent (ou allergène) : pollens, acariens, moisissures, poils, et souvent aussi des aliments. La réaction allergique peut se manifester par bien des façons : urticaire, éruption cutanée, nausées, diarrhées, voire vomissements et choc anaphylactique.
Quels sont les principaux allergènes alimentaires ? [/size]
Protéines de lait,
Œufs,
Cacahuètes,
Farine de blé,
Soja,
Fruits de mer,
Poisson,
Fruits à coque (noix, noisette, cajou, amande…).
Mais il existe quantité d’autres aliments auxquels on peut être allergique : graine de sésame, céleri, moutarde, lupin, mollusques...
Comment confirmer qu’il s’agit bien d’une allergie alimentaire ?
Après description des symptômes et des circonstances d’apparition, l’allergologue portera facilement le diagnostic d’allergie alimentaire. L’identification de l’allergène est plus difficile et nécessite des tests de provocation orale.
En pratique, le patient tient un journal alimentaire : il note tous les jours les aliments consommés de façon exhaustive. Ensuite, un aliment suspect est supprimé puis réintroduit. S’il est en cause, les symptômes vont diminuer pour ensuite réapparaître. On peut ensuite tester d’autres aliments, mais toujours un par un, ce qui peut être long.
Une autre technique permet d’identifier les allergènes : l’intradermoréaction et le bilan sanguin. Le sujet est exposé à des extraits alimentaires avant de rechercher la présence d’anticorps IgE spécifiques dans le sang.
En même temps que les allergènes alimentaires, on peut rechercher d’autres allergènes. C’est qu’une personne déjà allergique aux pollens par exemple (asthmatique ou faisant de l’eczéma également) a plus de risque de développer aussi une allergie alimentaire, surtout chez les enfants.
Comment traiter une allergie alimentaire ;?
Une fois l’aliment allergénique identifié, il faut l’évincer de son alimentation. Cette tâche est parfois facile, mais plus souvent extrêmement compliquée, si l’aliment en cause est très répandu et qu’il entre dans la composition d’une grande quantité d’aliments : protéines de lait, farine, œufs… Parfois, lire les étiquettes ne suffit pas et peut se révéler difficile (ex : les protéines de lait s’affichent sous les termes « lactosérum », « caséines » ; les œufs sont désignés par « albumine »). Il faut alors revenir à une alimentation maîtrisée, « faite maison », à partir d’aliments simples dont la composition est parfaitement connue. Certaines évictions rendent aussi difficiles les repas au restaurant ou entre amis…
En cas d’allergie sévère ou d’antécédents de choc anaphylactique, si l’aliment allergénique est malgré tout absorbé, il faut aussitôt contacter un médecin ou le Samu car la survenue d’un nouveau choc anaphylactique peut être très rapide. Ces sujets portent généralement sur eux un bracelet indiquant l’allergie et une dose d’épinéphrine injectable (adrénaline).
Remerciements à HANDICAPZERO - E SANTE et : Mme Eustache Journaliste :
Source : « Allergènes alimentaires », Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) :
Re: LA SANTE
Parabène : une liste de près de 400 médicaments et produits d’hygiène publiée
Mise en ligne : 23 mai 2011
Le 3 mai dernier, les députés adoptaient, contre l’avis du gouvernement, une proposition de loi interdisant l’utilisation de certaines substances chimiques considérées comme des perturbateurs endocriniens, notamment les phtalates, les parabènes et les alkylphénols.
Un vote sans application immédiate sauf à ce que les sénateurs adoptent le même texte.
Le Monde (24/05/2011) publie une liste de près de 400 médicaments et produits d’hygiène contenant des parabènes, utilisés comme conservateur. On y trouve des dentifrices, des crèmes cosmétiques, des sirops mais aussi des médicaments antibiotiques, des antalgiques, etc. Des produits très couramment utilisés.
Cette publication intervient alors que l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) rendra publique une étude en cours avec le concours de plusieurs laboratoires pharmaceutiques, est en cours.
P.S.
http://www.lemonde.fr
Article précédent : Les députés votent pour l’interdiction des phtalates et des parabèn
Information VIVA que nous remercions
Mise en ligne : 23 mai 2011
Le 3 mai dernier, les députés adoptaient, contre l’avis du gouvernement, une proposition de loi interdisant l’utilisation de certaines substances chimiques considérées comme des perturbateurs endocriniens, notamment les phtalates, les parabènes et les alkylphénols.
Un vote sans application immédiate sauf à ce que les sénateurs adoptent le même texte.
Le Monde (24/05/2011) publie une liste de près de 400 médicaments et produits d’hygiène contenant des parabènes, utilisés comme conservateur. On y trouve des dentifrices, des crèmes cosmétiques, des sirops mais aussi des médicaments antibiotiques, des antalgiques, etc. Des produits très couramment utilisés.
Cette publication intervient alors que l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) rendra publique une étude en cours avec le concours de plusieurs laboratoires pharmaceutiques, est en cours.
P.S.
http://www.lemonde.fr
Article précédent : Les députés votent pour l’interdiction des phtalates et des parabèn
Information VIVA que nous remercions