Information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions
A LIRE ECOUTER ET A MEDITER
Appel contre la franchise : http://www.appelcontrelafranchise.org
Pétition contre la franchise médicale
Modérateurs : Moderateur02, soniaC, Moderateur01, catm, EvelyneP
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INFORMATION
Information '' AGEVILLAGE '' que nous remercions
Plan Alzheimer : Sarkozy défend la nécessité des franchises médicales
"Le seule façon de financer le plan" dit le président
Nicolas Sarkozy a justifié vendredi 1 février à Sophia-Antipolis la mise en place, depuis le 1er janvier, des franchises médicales, estimant qu'il s'agissait de la seule façon de financer le plan Alzheimer 2008-2012 qu'il a dévoilé vendredi.
"C'est pour cela (le plan Alzheimer) que j'ai décidé, et je l'assume, de créer les franchises médicales. Ce n'était pas la décision la plus facile (...) mais les moyens je ne peux pas les fabriquer", a déclaré M. Sarkozy.
Les franchises médicales doivent rapporter chaque année 860 millions d'euros. Le plan Alzheimer dévoilé vendredi par le chef de l'Etat prévoit le déblocage d'un total de 1,6 milliard d'euros supplémentaires sur la période 2008-2012, dont 1,4 milliard financé par les seules franchises.
"Qui peut dire que ce n'est pas nécessaire ? Sans les franchises, c'eut été un déficit supplémentaire. C'est la vérité et il faut la regarder en face", a insisté le chef de l'Etat. "J'ai voulu cette priorité. C'est une somme considérable, 1,6 milliard. Cet engagement financier majeur ne doit pas se faire au détriment des comptes de l'assurance maladie", a-t-il ajouté.
"Ceux qui ne veulent pas des franchises, qu'ils viennent dire aux Français comment on finance des dépenses supplémentaires", a lancé Nicolas Sarkozy à ses critiques, notamment à gauche, qui ont dénoncé l'entrée en vigueur de cette mesure le 1er janvier dernier.
"Je n'ai pas voulu dire à la recherche "débrouillez-vous à moyens constants", a-t-il également justifié. Avec les franchises médicales, "nous financerons d'autres priorités, la lutte contre le cancer (...) et le développement des soins palliatifs. Je n'accepte pas l'idée que des compatriotes, si gravement malades, ne puissent pas mourir avec une minimum de respect et de dignité", a-t-il ajouté.
AdV
mis à jour le 04/02/2008
Et s'il donnait ce qu'il doit à la sécurité Sociale BRIAND
Plan Alzheimer : Sarkozy défend la nécessité des franchises médicales
"Le seule façon de financer le plan" dit le président
Nicolas Sarkozy a justifié vendredi 1 février à Sophia-Antipolis la mise en place, depuis le 1er janvier, des franchises médicales, estimant qu'il s'agissait de la seule façon de financer le plan Alzheimer 2008-2012 qu'il a dévoilé vendredi.
"C'est pour cela (le plan Alzheimer) que j'ai décidé, et je l'assume, de créer les franchises médicales. Ce n'était pas la décision la plus facile (...) mais les moyens je ne peux pas les fabriquer", a déclaré M. Sarkozy.
Les franchises médicales doivent rapporter chaque année 860 millions d'euros. Le plan Alzheimer dévoilé vendredi par le chef de l'Etat prévoit le déblocage d'un total de 1,6 milliard d'euros supplémentaires sur la période 2008-2012, dont 1,4 milliard financé par les seules franchises.
"Qui peut dire que ce n'est pas nécessaire ? Sans les franchises, c'eut été un déficit supplémentaire. C'est la vérité et il faut la regarder en face", a insisté le chef de l'Etat. "J'ai voulu cette priorité. C'est une somme considérable, 1,6 milliard. Cet engagement financier majeur ne doit pas se faire au détriment des comptes de l'assurance maladie", a-t-il ajouté.
"Ceux qui ne veulent pas des franchises, qu'ils viennent dire aux Français comment on finance des dépenses supplémentaires", a lancé Nicolas Sarkozy à ses critiques, notamment à gauche, qui ont dénoncé l'entrée en vigueur de cette mesure le 1er janvier dernier.
"Je n'ai pas voulu dire à la recherche "débrouillez-vous à moyens constants", a-t-il également justifié. Avec les franchises médicales, "nous financerons d'autres priorités, la lutte contre le cancer (...) et le développement des soins palliatifs. Je n'accepte pas l'idée que des compatriotes, si gravement malades, ne puissent pas mourir avec une minimum de respect et de dignité", a-t-il ajouté.
AdV
mis à jour le 04/02/2008
Et s'il donnait ce qu'il doit à la sécurité Sociale BRIAND
INFORMATION
information '' VIVA PRESSE '' que nous remercions particulèrement Madame Agnès LEROY Directrice.
Franchises : Roselyne Bachelot fait payer la Sécu
Mise en ligne : 4 février 2008
Dans un communiqué, le Collectif interassociatif sur la santé (Ciss) dénonce la proposition faite par Roselyne Bachelot de financer pour les malades les plus en difficulté la prise en charge des franchises par le Fonds national d’action sociale de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).
Ce qui revient à faire financer les franchises par la Sécu. Alors que les franchises ont été annoncées comme devant fournir de nouvelles recettes à la Sécu...
Cette annonce fait suite à la grève des soins menée par des malades pour protester contre les franchises. Le ministère espère apparemment calmer le mouvement des patients en grève des soins tout en maintenant le principe des franchises par un moyen détourné (et plus indolore).
Le Ciss constate que ces mesures sont prises sans débat et sans réflexion sur le financement de la protection sociale. Et ce alors que la Mutualité et les associations de malades ont été écartées de la réunion organisée le le 6 février par Nicolas Sarkozy avec les partenaires sociaux pour fixer le calendrier des réformes sur la protection sociale.
http://www.leciss.org
Franchises : Roselyne Bachelot fait payer la Sécu
Mise en ligne : 4 février 2008
Dans un communiqué, le Collectif interassociatif sur la santé (Ciss) dénonce la proposition faite par Roselyne Bachelot de financer pour les malades les plus en difficulté la prise en charge des franchises par le Fonds national d’action sociale de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).
Ce qui revient à faire financer les franchises par la Sécu. Alors que les franchises ont été annoncées comme devant fournir de nouvelles recettes à la Sécu...
Cette annonce fait suite à la grève des soins menée par des malades pour protester contre les franchises. Le ministère espère apparemment calmer le mouvement des patients en grève des soins tout en maintenant le principe des franchises par un moyen détourné (et plus indolore).
Le Ciss constate que ces mesures sont prises sans débat et sans réflexion sur le financement de la protection sociale. Et ce alors que la Mutualité et les associations de malades ont été écartées de la réunion organisée le le 6 février par Nicolas Sarkozy avec les partenaires sociaux pour fixer le calendrier des réformes sur la protection sociale.
http://www.leciss.org
Re: Pétition contre la franchise médicale
Franchises médicales : « culpabilité et mépris »
Madame Marie-France Tirot représentants des assurés sociaux de la CPAM d'Ille et Vilaine est très touchée par le témoignage de Philippe M en grève des médicaments ( paru le 5 février )
Elle déclare que la loi a été votée et mise en application malgré l' opposition manifestée à ce projet lors des derniers conseils d'administration..
Elle poursuit :
– Comment peut-on laisser des malades s'exposer à des complications graves faute de moyens financiers suffisants pour compenser le coût de ces franchises ?
– On entretien la culpabilité de ces personnes : « on est malade, on ne sert à rien, on coûte cher à la société ». Mais où est la solidarité ?
On nous répond par le mérpris et on s'emploie à affaiblir toujours le plus faible.
– Ne baissons pas les bras, soyons nombreux à crier notre désaccord afin de faire en sorte que nos décideurs revient leur copie au plus vite.
La colère gronde.....
Une personne dans la presse ( Monsieur Jean Louis Laurent ) affirme qu'il faut tout dire sur le partage des richesses......
Si on regarde le fond monétaire internationnal dans les pays du G7, la part des salariés a baissé, déclare L'INSEE.... pour le Financial Times .... ce serait entre 120 et 170 milliards d'euros qui ont « ripé . » vers le capital au détriment des salariés. Ces chiffres représentent une dizaine de fois le trou de la sécurité sociale.et autant celui des retraites.
Pourquoi faire tant de tapage avec le déficit de la sécurité sociale ? .
Avant de me faire insulter je voudrais finir :
Selon les Echos, le revenu salarial a peu augmenté depuis 25 ans entre 16 et 20 % disent les plus optimistes depuis 1987 année du CAC 40 baromètre boursier avec un indice de 1000 et aujourd'hui il cote aux environs de 5000 points . Ces chiffres sont-ils dérangeants, à vous de juger.
Merci Monsieur LAURENT pour ces précisions que j'ai résumé.
BRIAND
Madame Marie-France Tirot représentants des assurés sociaux de la CPAM d'Ille et Vilaine est très touchée par le témoignage de Philippe M en grève des médicaments ( paru le 5 février )
Elle déclare que la loi a été votée et mise en application malgré l' opposition manifestée à ce projet lors des derniers conseils d'administration..
Elle poursuit :
– Comment peut-on laisser des malades s'exposer à des complications graves faute de moyens financiers suffisants pour compenser le coût de ces franchises ?
– On entretien la culpabilité de ces personnes : « on est malade, on ne sert à rien, on coûte cher à la société ». Mais où est la solidarité ?
On nous répond par le mérpris et on s'emploie à affaiblir toujours le plus faible.
– Ne baissons pas les bras, soyons nombreux à crier notre désaccord afin de faire en sorte que nos décideurs revient leur copie au plus vite.
La colère gronde.....
Une personne dans la presse ( Monsieur Jean Louis Laurent ) affirme qu'il faut tout dire sur le partage des richesses......
Si on regarde le fond monétaire internationnal dans les pays du G7, la part des salariés a baissé, déclare L'INSEE.... pour le Financial Times .... ce serait entre 120 et 170 milliards d'euros qui ont « ripé . » vers le capital au détriment des salariés. Ces chiffres représentent une dizaine de fois le trou de la sécurité sociale.et autant celui des retraites.
Pourquoi faire tant de tapage avec le déficit de la sécurité sociale ? .
Avant de me faire insulter je voudrais finir :
Selon les Echos, le revenu salarial a peu augmenté depuis 25 ans entre 16 et 20 % disent les plus optimistes depuis 1987 année du CAC 40 baromètre boursier avec un indice de 1000 et aujourd'hui il cote aux environs de 5000 points . Ces chiffres sont-ils dérangeants, à vous de juger.
Merci Monsieur LAURENT pour ces précisions que j'ai résumé.
BRIAND